Et on nous refait le coup du jeu en noir et blanc narrant une société dystopique dont les travers sont en réalité bien présents dans notre monde actuel. D'entrée de jeu pas d'écran titre et impossible de régler la résolution (écran d'options bugué), ça commence fort. Ça ne m'a pas empêché de finir le jeu tant le challenge est faible, les puzzles sont rares et extrêmement simplistes, les seules fois où on crève c'est en tombant de trop haut, excepté un passage précis où il faudra caner plusieurs fois pour comprendre ce qu'on attend de nous.
White Shadows dénonce de graves problèmes de société, racisme, inégalités, propagande à outrance (ainsi que la violence faite aux femmes apparemment, pas vu à quel moment), le jeu ratisse large (trop sans doute) et de façon très grossière et sans aucune subtilité. Les mêmes messages vont être rabâchés trop souvent ce qui finit par agacer, on avait compris la 1ère fois vous savez. Si vous dénoncez les médias pourris et leurs méthodes de bourrage de crâne, ne faites pas la même chose voyons! Je les exècre dans la réalité, je ne vais pas plus le tolérer dans un jeu vidéo.
Jamais entendu parler de l'adage "show, don't tell"? Plutôt que d'insister lourdement en nous balançant plusieurs fois les mêmes phrases à l'écran, il aurait été plus efficace de nous faire ressentir via l'expérience de jeu ce que les dévs voulaient dénoncer. Car à part avancer on joue très peu en réalité, les mécaniques sont (beaucoup trop) simples et déjà-vu 1000 fois ailleurs.
Visuellement on a un beau noir et blanc, des contrastes très propres, on ressent bien le gigantisme et l'inhumanité des décors. On contrôle un oiseau, un corbeau il me semble, pouvant simplement sauter, s'accroupir et tirer des objets ou des leviers. La maniabilité est molle, le rythme du jeu épouvantable...il faut un peu plus de 2h pour en voir la fin, mais le joueur devra se forcer pour ne pas décrocher en cours de route.
Le sound design est correct, instaurant une ambiance dérangeante, et je pourrais difficilement critiquer la bande son puisqu'il s'agit de musique classique. Ce que je reproche, c'est que son utilisation n'est pas forcément pertinente et en plus le jeu en abuse, Le beau Danube bleu, La chevauchée des Walkyries, Ainsi parlait Zarathoustra, et d'autres encore, beaucoup d'airs connus y passe. C'est à croire que dans la tête des développeurs la musique classique rend tout plus effrayant.
Pas original, pas intéressant à jouer, maladroit dans les messages qu'il veut faire passer. Bref, vraiment pas terrible.
Et on nous refait le coup du jeu en noir et blanc narrant une société dystopique dont les travers sont en réalité bien présents dans notre monde actuel. D'entrée de jeu pas d'écran titre et impossible de régler la résolution (écran d'options bugué), ça commence fort. Ça ne m'a pas empêché de finir le jeu tant le challenge est faible, les puzzles sont rares et extrêmement simplistes, les seules fois où on crève c'est en tombant de trop haut, excepté un passage précis où il faudra caner plusieurs fois pour comprendre ce qu'on attend de nous.
White Shadows dénonce de graves problèmes de société, racisme, inégalités, propagande à outrance (ainsi que la violence faite aux femmes apparemment, pas vu à quel moment), le jeu ratisse large (trop sans doute) et de façon très grossière et sans aucune subtilité. Les mêmes messages vont être rabâchés trop souvent ce qui finit par agacer, on avait compris la 1ère fois vous savez. Si vous dénoncez les médias pourris et leurs méthodes de bourrage de crâne, ne faites pas la même chose voyons! Je les exècre dans la réalité, je ne vais pas plus le tolérer dans un jeu vidéo.
Jamais entendu parler de l'adage "show, don't tell"? Plutôt que d'insister lourdement en nous balançant plusieurs fois les mêmes phrases à l'écran, il aurait été plus efficace de nous faire ressentir via l'expérience de jeu ce que les dévs voulaient dénoncer. Car à part avancer on joue très peu en réalité, les mécaniques sont (beaucoup trop) simples et déjà-vu 1000 fois ailleurs.
Visuellement on a un beau noir et blanc, des contrastes très propres, on ressent bien le gigantisme et l'inhumanité des décors. On contrôle un oiseau, un corbeau il me semble, pouvant simplement sauter, s'accroupir et tirer des objets ou des leviers. La maniabilité est molle, le rythme du jeu épouvantable...il faut un peu plus de 2h pour en voir la fin, mais le joueur devra se forcer pour ne pas décrocher en cours de route.
Le sound design est correct, instaurant une ambiance dérangeante, et je pourrais difficilement critiquer la bande son puisqu'il s'agit de musique classique. Ce que je reproche, c'est que son utilisation n'est pas forcément pertinente et en plus le jeu en abuse, Le beau Danube bleu, La chevauchée des Walkyries, Ainsi parlait Zarathoustra, et d'autres encore, beaucoup d'airs connus y passe. C'est à croire que dans la tête des développeurs la musique classique rend tout plus effrayant.
Pas original, pas intéressant à jouer, maladroit dans les messages qu'il veut faire passer. Bref, vraiment pas terrible.
J'ai trouvé que c'était un super petit jeu ! Ce n'est pas le jeu le plus long, il devrait prendre quelques heures pour se terminer, mais c'est un jeu a l'histoire fantastique. Si vous aimez Limbo, Inside ou Little Nightmares, alors vous aimerez celui-ci.
Que dire de plus, c'est un chef d'oeuvre !
L'ambiance, les musiques, tout est prenant.
Une aventure à l'issue de laquelle on ne ressort pas indemne, les larmes montent à plusieurs passages du jeu.
Je remercie les développeurs de m'avoir fait vivre une aventure aussi mémorable, foncez l'acheter vous ne serez pas déçu !
Je viens de finir le jeu à l'instant. Bon il s'agit d'un genre un peu spécial, du cinématique-puzzle-plateforme game. Je ne connaissais pas. Alors j'avais terminé, jadis, limbo, qui n'avait pas ce côté cinématique. Ici on est beaucoup spectateur et un peu acteur, très peu car le gameplay c'est gauche, droite, sauter, accroupi et activer. C'est tout ! Aucune action, il ne s'agit que d'un plaisir pour les jeux de caméra/mis en valeur, un semblant de scénario sur une société dystopique (héhé héhé, c'est la 1ère fois que je découvre ce mot, j'en profite pour le re-pompé des autres critiques !). Tout se résume à l'ambiance visuelle, caméra et sonore. On est acteur dans une sorte de cinéma plein air même, une sorte de cirque, c'est marrant. Pour la durée, courte certes, mais je n'imagine pas vraiment ce type de jeu durer plus longtemps, le gameplay étant très chiche, on finirait par s'ennuyer fortement. Je mets 14 pour l'originalité, un brin poétique, ça change un peu, on ne verra jamais cela dans un AAA (faudra que je fasse un jeu de Quantic Dream au passage, peut être que c'est ce qui s'en rapproche). Je n'ai jamais fait inside, alors je ne peux pas constater une re pompé (il paraît). A faire d'une traite sur 2H, re jouabilité zéro par contre.