Citizen Sleeper est un jeu de rôle narratif ayant des thématiques comme la précarité, l’identité personnelle et le concept de liberté. Celui-ci nous fait évoluer dans les ruines d’un capitalisme interplanétaire, dans la peau d'un "Dormeur", une conscience humaine numérisée qui doit, à la fois, échapper à la société à laquelle elle appartient, et lutter pour préserver son corps qui se détériore pour cause d’obsolescence programmée.
Citizen Sleeper est un jeu de rôle narratif ayant des thématiques comme la précarité, l’identité personnelle et le concept de liberté. Celui-ci nous fait évoluer dans les ruines d’un capitalisme interplanétaire, dans la peau d'un "Dormeur", une conscience humaine numérisée qui doit, à la fois, échapper à la société à laquelle elle appartient, et lutter pour préserver son corps qui se détériore pour cause d’obsolescence programmée.
Le genre de jeu qui nous fait nous demander si il s'agit vraiment d'un jeu. Ici j'ai plus la sensation d'avoir lu un livre ! Un bon livre dont vous êtes le héros dans un univers cyberpunk avec ses choix et embranchements certes, mais un livre quand même. Un "gameplay" qui consiste à utiliser des "dés" d'actions pour faire avancer les différentes quêtes et puis voila. Au bout de plusieurs "cycles", on comprend bien qu'il va falloir prioriser nos meilleurs jets pour garantir notre survie et avancer sur certaines quêtes critiques. Après on déroule sans trop de difficulté jusqu'à l'une des multiples fins. Gros point négatif : pas de version française.
Ce jeu est absolument génial. Graphiquement, tout d'abord : ce jeu est magnifique, il y a très peu d'aliasing, c'est très propre, très fluide et très bien détaillé. C'est le plus beau jeu du genre après les God of War, qui "triche" avec leur caméra fixe. Concernant le gameplay, en mode normal, la difficulté a été grandement rehaussée, surtout à cause de la suppression des objets de soin que l'on conservait pour les Boss. Le mode normal de razor's edge est plus difficile que le mode difficile de sigma 2. Concernant les ennemis de base, là aussi, le jeu a été équilibré, dans sigma on pouvait relancé des lâcher d'izuna indéfiniment après en avoir réussi un, là c'est un poil plus compliqué, il faut de temps en temps faire une esquive avant d'en faire. Concernant les ennemis qui ne peuvent pas être projeté en l'air, dans sigma 2 on avait souvent le temps de charger avec triangle, dans celui-ci c'est un peu plus compliqué. Concernant le comportement du personnage, je trouve razor's edge plu
Un jeu qui vous plonge dans un univers fantastique , parcourez le monde à la recherche de nombreux mystères
Une quête fantastique qui vous mènera dans des périples inimaginables
Un jeu narratif, hybride entre visual novel et RPG au gameplay assez original. Le pitch est assez complexe et une maîtrise minimale de l’anglais littéraire est nécessaire pour apprécier le scénario qui se révèle très étoffé.
J’ai joué une dizaine d’heures et expérimenté plusieurs fins. Il y a un cocktail assez plaisant dans ce jeu :
- une navigation en scroll vertical survolant les différentes parties de la station spatiale (en anneau)
- l’interface globale, futuriste et léchée avec des micro-interactions gratifiantes
- une bonne diversité de mécanismes via les dés, la monnaie et le système de cycles
- des fx et une bande son envoutante
- des personnages intéressants qui vont déterminer nos préférences de quêtes
Après, il y a d’autres aspects qui m’ont un peu rebuté :
- le design de la station est beau, mais assez incompréhensible : géométrie trop simpliste, problème d’échelle, on ne sait pas trop ce qu’on voit, l’immersion en prend un coup
- les dialogues à rallonge, parfois barbants
La première extension “flux” (de réfugiés) est sortie, mais il faut jouer la carte de la solidarité sinon la quête se finit d’elle-même très rapidement.
Initialement un peu déroutant, Citizen Sleeper m’a au final bien accroché par son ambiance et son histoire prenante, bien qu’exigeant sur la compréhension de son univers complexe.
Un très bon jeu d'une durée moyenne (10h environ), des mécaniques originales utilisant des dès et un worldbuilding intéressant. Environ 9 fins différentes mais néanmoins n'a pas une très bonne rejouabilité une fois l'histoire connue dans les détails.