A tale of paper rappelle fortement des jeux comme Little nightmares ou Limbo, mais l'aspect glauque de ces deux derniers est remplacé par un aspect plus magique et poétique chez A tale of paper.
Peu de défaut donc, si ce n'est parfois la maniabilité approximative, mais on s'en sort quand même s'en trop de difficulté.
Visuellement c'est joli et l'ambiance est prenante. Les énigmes sont faciles à résoudre. Le déroulement de l'histoire et la mise en scène sont assez intéressants. Une attention particulière à été apporté à la musique qui est très belle et accompagne parfaitement les aventures de notre personnage qui peut se transformer en grenouille, oiseau, boule de papier, et autres, afin d'avancer dans les niveaux. Le son est aussi très bien.
Bref, A tale of paper est un bon petit jeu indépendant envoûtant que je conseille aux amateurs de Limbo, Little nightmares, Inside dont je fais parti.
Jeu mignon avec un grand potentiel de base mais gâché par des contrôles lamentables.
Les touches ne sont pas changeables alors maj + f + barre d’espace ce n’est pas intuitif du tout et en plus ça fait vite mal aux mains.
Le jeu m’oblige à déterre une manette xboite. J’ai horreur des manettes.
Une fois encore les concepteurs ont fait des conneries : le stick fonctionne mais pas la croix directionnelle. Du coup les phases délicates deviennent TRES difficiles. Suffisamment difficiles pour que je ne m’amuse plus.
Autres problèmes : pas de sauvegardes manuelles et la sauvegarde auto ne fonctionne pas (ou elle se situe suffisamment loin dans l’histoire pour que je ne l’ai pas encore atteinte)