""Ce test ne sera PAS objectif""
Un jeu oui, mais Royal.
-Bienvenue dans cette petite revue sur Kairos'Light.
-Monsieur Monsieur c'est quoi Kairos'Light ??
-Calme toi jeune Jean, on va y venir.
Tout d'abord, le matériel.
Bon on va pas se mentir, ce jeu ne brille pas pour son photoréalisme. Vous n'aurez vraiment pas besoin d'une bête de machine qui ferait envier tous vos copains à la récrée. Par contre le jeu garde son style bien à lui, on y reviendra.
-Ouais mais Monsieur c'est quoi le jeu, aller dites nous !
-JE T'AI DIT DE TE CALMER JEUNE ALPAGA DES MONTAGNES !
Alors maintenant, pour faire plaisir à notre Jean des familles, le jeu.
Avant toute chose, le jeu est indé, genre ultra indé. On se retrouve avec deux "programmeurs" sauvages qui sortent d'une école dans le BTP dans l'objectif de créer un jeu parce que, pourquoi pas... ?
On a affaire à un "life simulator" (chek mon anglais) qui nous plonge dans la vie de Edmond.
Au programme, découvrir Thésye et ses habitants, travail, quête, survivre (la KOUISINE), se laver et Jean passe !
-Ah pardon !
-Un développeur étant friand des jeux de survie, il nous le fait bien ressentir dès le début du jeu, accrochez vous, vous allez chier du sang le temps de comprendre les mécanismes de base. Une fois ceux-ci acquis, une certaine satisfaction s'en dégage, le jeu devient très rapidement addictif, à la Stardew Valley on va toujours vouloir refaire une journée de plus pour aller entretenir ses employés ou faire pousser des chèvres tel Renaud.
Maintenant, l'ost. C'est des musiques agréables, on ne ressent pas une ambiance digne de Skyrim ou Witcher 3, mais de même que Stardew Valley (oui encore lui) une ambiance propre au jeu se créée très rapidement. Les musiques sont simples (pas besoin d'un concert pour les interpréter) mais sont agréables et collent pour le mieux à l'ambiance du jeu.
Cette ambiance justement, attardons nous dessus. Comme je le disais en introduction, pas besoin d'une bête de machine pour le faire tourner. Oui va ranger ta RTX 3090 Jean, elle ne te sera pas utile. On a affaire ici à des graphismes façon GIMP, simple mais efficace. Le style est respecté jusqu'au bout, c'est cohérent. Un petit style enfantin s'en dégage, la ville parait accueillante, on s'y sent bien. La BO vient accentuer cette esprit "enfantin".
Bon, moins enfantin, vient le jour du jugement, le 30eme jour. Je ne détaillerai pas beaucoup cette partie, je vous laisserai vous faire un avis plutôt que de vous spoiler tout dans la face tel un acteur porno. Seulement, le jeu se veut très re-jouable, avec 7 fins différentes, des tonnes de succès/quêtes/PROJEETS à débloquer selon la façon dont vous jouerez qui influencera évidemment la fin que vous débloquerez.
En CONCLUSION,
On a affaire ici à un jeu grave lourd comme dirait Nounours, que ce soit pour son ambiance, son gameplay ou même son OST. Le jeu étant totalement gratuit, sans microtransaction ni pub, ce serait dommage de ne pas s'y essayer. On se sent loin des dernières productions de nos AAA traditionnels.
Ah oui j'oubliais, le jeu est franchement drôle.
""Ce test ne sera PAS objectif""
Un jeu oui, mais Royal.
-Bienvenue dans cette petite revue sur Kairos'Light.
-Monsieur Monsieur c'est quoi Kairos'Light ??
-Calme toi jeune Jean, on va y venir.
Tout d'abord, le matériel.
Bon on va pas se mentir, ce jeu ne brille pas pour son photoréalisme. Vous n'aurez vraiment pas besoin d'une bête de machine qui ferait envier tous vos copains à la récrée. Par contre le jeu garde son style bien à lui, on y reviendra.
-Ouais mais Monsieur c'est quoi le jeu, aller dites nous !
-JE T'AI DIT DE TE CALMER JEUNE ALPAGA DES MONTAGNES !
Alors maintenant, pour faire plaisir à notre Jean des familles, le jeu.
Avant toute chose, le jeu est indé, genre ultra indé. On se retrouve avec deux "programmeurs" sauvages qui sortent d'une école dans le BTP dans l'objectif de créer un jeu parce que, pourquoi pas... ?
On a affaire à un "life simulator" (chek mon anglais) qui nous plonge dans la vie de Edmond.
Au programme, découvrir Thésye et ses habitants, travail, quête, survivre (la KOUISINE), se laver et Jean passe !
-Ah pardon !
-Un développeur étant friand des jeux de survie, il nous le fait bien ressentir dès le début du jeu, accrochez vous, vous allez chier du sang le temps de comprendre les mécanismes de base. Une fois ceux-ci acquis, une certaine satisfaction s'en dégage, le jeu devient très rapidement addictif, à la Stardew Valley on va toujours vouloir refaire une journée de plus pour aller entretenir ses employés ou faire pousser des chèvres tel Renaud.
Maintenant, l'ost. C'est des musiques agréables, on ne ressent pas une ambiance digne de Skyrim ou Witcher 3, mais de même que Stardew Valley (oui encore lui) une ambiance propre au jeu se créée très rapidement. Les musiques sont simples (pas besoin d'un concert pour les interpréter) mais sont agréables et collent pour le mieux à l'ambiance du jeu.
Cette ambiance justement, attardons nous dessus. Comme je le disais en introduction, pas besoin d'une bête de machine pour le faire tourner. Oui va ranger ta RTX 3090 Jean, elle ne te sera pas utile. On a affaire ici à des graphismes façon GIMP, simple mais efficace. Le style est respecté jusqu'au bout, c'est cohérent. Un petit style enfantin s'en dégage, la ville parait accueillante, on s'y sent bien. La BO vient accentuer cette esprit "enfantin".
Bon, moins enfantin, vient le jour du jugement, le 30eme jour. Je ne détaillerai pas beaucoup cette partie, je vous laisserai vous faire un avis plutôt que de vous spoiler tout dans la face tel un acteur porno. Seulement, le jeu se veut très re-jouable, avec 7 fins différentes, des tonnes de succès/quêtes/PROJEETS à débloquer selon la façon dont vous jouerez qui influencera évidemment la fin que vous débloquerez.
En CONCLUSION,
On a affaire ici à un jeu grave lourd comme dirait Nounours, que ce soit pour son ambiance, son gameplay ou même son OST. Le jeu étant totalement gratuit, sans microtransaction ni pub, ce serait dommage de ne pas s'y essayer. On se sent loin des dernières productions de nos AAA traditionnels.
Ah oui j'oubliais, le jeu est franchement drôle.