Le principe est simple : vous êtes un roi/une reine et il vous faut reconstruire votre royaume et faire face aux monstres qui l'envahissent grâce au sublime pouvoir de l'argent. Vous engagez des sans-abris dans leurs campements de fortune avec des pièces, vous achetez des arcs (pour faire des archers) et marteaux (pour faire des bâtisseurs) pour les équiper, et vous améliorez votre royaume en bâtissant murs, tours de guet et, plus tard, des fermes. Pour gagner de l'argent, c'est simple : vos archers chassent, vos fermiers cultivent. Vous utilisez cet argent pour améliorer vos murs et engager plus de clampins.
Des monstres attaquent chaque nuit pour (quelle horreur !) vous dérober votre argent ainsi que, si vous êtes sans le sou, votre couronne (c'est là qu'est le game over). Vous défendre efficacement est donc très important.
Ces monstres sortent de portails maléfiques, deux de chaque côté, qu'il vous faudra détruire. Pour ça, vous embauchez des chevaliers, que vous envoyez à l'attaque des portails. Détruire un portail en fait surgir une dernière vague d'ennemis, de plus en plus coriaces à chaque portail détruit, jusqu'à la dernière vague du jeu, qui peut causer des ravages si vous n'êtes pas préparé.
Le jeu marche bien : c'est du pixel art propre et soigné, c'est simple à comprendre, il y a quelques subtilités (prioriser certaines tâches, laisser l'herbe pousser pour donner du lapin à chasser à vos archers, etc.), pas de bugs en vue, bref, un petit jeu bien fait. On en fait vite le tour, car il est très répétitif (une fois votre royaume en sécurité, vous allez passer de nombreuses journées à recruter plus d'archers pour faire face à la vague finale), et après quatre heures de jeu et une victoire, je peux assurer que je ne le relancerai pas. Mais pour 5 euros (voire moins en solde), vous allez passer un bon moment et peut-être, comme moi, rire comme un méchant de dessin animé en voyant vos péons déverser à vos pieds le précieux fruit de leur labeur et ainsi remplir votre bourse à raz-bord, dans un délicieux bruit de pièces qui s'entrechoquent.
Le principe est simple : vous êtes un roi/une reine et il vous faut reconstruire votre royaume et faire face aux monstres qui l'envahissent grâce au sublime pouvoir de l'argent. Vous engagez des sans-abris dans leurs campements de fortune avec des pièces, vous achetez des arcs (pour faire des archers) et marteaux (pour faire des bâtisseurs) pour les équiper, et vous améliorez votre royaume en bâtissant murs, tours de guet et, plus tard, des fermes. Pour gagner de l'argent, c'est simple : vos archers chassent, vos fermiers cultivent. Vous utilisez cet argent pour améliorer vos murs et engager plus de clampins.
Des monstres attaquent chaque nuit pour (quelle horreur !) vous dérober votre argent ainsi que, si vous êtes sans le sou, votre couronne (c'est là qu'est le game over). Vous défendre efficacement est donc très important.
Ces monstres sortent de portails maléfiques, deux de chaque côté, qu'il vous faudra détruire. Pour ça, vous embauchez des chevaliers, que vous envoyez à l'attaque des portails. Détruire un portail en fait surgir une dernière vague d'ennemis, de plus en plus coriaces à chaque portail détruit, jusqu'à la dernière vague du jeu, qui peut causer des ravages si vous n'êtes pas préparé.
Le jeu marche bien : c'est du pixel art propre et soigné, c'est simple à comprendre, il y a quelques subtilités (prioriser certaines tâches, laisser l'herbe pousser pour donner du lapin à chasser à vos archers, etc.), pas de bugs en vue, bref, un petit jeu bien fait. On en fait vite le tour, car il est très répétitif (une fois votre royaume en sécurité, vous allez passer de nombreuses journées à recruter plus d'archers pour faire face à la vague finale), et après quatre heures de jeu et une victoire, je peux assurer que je ne le relancerai pas. Mais pour 5 euros (voire moins en solde), vous allez passer un bon moment et peut-être, comme moi, rire comme un méchant de dessin animé en voyant vos péons déverser à vos pieds le précieux fruit de leur labeur et ainsi remplir votre bourse à raz-bord, dans un délicieux bruit de pièces qui s'entrechoquent.