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Les avis les plus utiles

19/20
titus06
Alerte
Niveau 3
Posté le 04 déc. 2011 à 00:00

Jeux révolutionnaire en son temps, Ultima Underworld aura marqué beaucoup de rolistes à l'époque. Il s'agit du 1er « dungeon crawler » à s'affranchir du déplacement case par case comme cela se faisait à l'époque. On avait donc droit à des graphismes entièrement en 3D (sauf pour les personnages et les objets) texturé, une gestion du personnage répondant au cahier des charges de l'époque en matière de réalisme (gestion de la faim, du poids etc...), une gestion de l'environnement particulièrement réussie (gestion de la lumière, de la longueur des sauts, hauteur de plafond et forme des salles variée, possibilité de regarder dans toutes les directions, de nager), des combats en temps réel et un système de magie classique ( à base de runes à associer). Mais là où le jeu dépassait vraiment les « vieux » dungeon crawler, c’est dans les interactions sociales. Le scenario ne se réduit pas à « toi aller tuer méchant dernier niveau » mais il se développe au fil de vos discutions, des choses que vous apprenez sur le l’organisation sociale des lieux. Bref tout cela parait vivant et ce jeu est sans doute le 1er à donner autant l’impression de « réalité virtuelle ». Bref, Ultima Underworld est un monument du JDR du début des années 90, mais au contraire de Dungeon Master, il ne fît pas de « petits ».

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19/20
exec-u
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Niveau 5
Posté le 08 févr. 2019 à 15:25

Ce jeu doit réellement être remis dans son contexte temporel. Il y a des jeux bien plus vieux qui sont encore facilement accessibles aujourd'hui. UW1 est plus indigeste à cause de son ergonomie datée qui pourra en rebuter plus d'un. Mais, mais, mais... Si vous passez outre la prise en mains devenue délicate, la récompense sera à la hauteur. Vous aurez le privilège de découvrir un des jeux bastion de l'histoire du RPG sous forme digitale. UW1 est un jeu d'une incroyable richesse. L'évolution verticale dans un donjon est certes, même pour l'époque, du déjà vu. Mais la liberté de progression était à couper le souffle. Une expérience videoludique hors du commun.

Mais pourquoi ajouter un nouveau commentaire ? Simplement parce que je ne peux m'empêcher de trouver un élément complètement aberrant qui m'avait déjà choqué à l'époque, à savoir... Les premières lignes du scenario ! Nom d'une purée de cerises, qu'est-ce que c'est que ça??

Les Ultima sont célèbres pour leurs scénarios particulièrement efficaces et travaillés. Des histoires plus tordues les unes que les autres mais avec un fil conducteur toujours assumé et plein de surprises. Or, ici, vous apprenez que la fille de Lord British a été enlevée et il pense que vous êtes coupable... Il faut savoir que votre personnage a déjà bravé mille dangers pour sauver son peuple donc vous seriez en droit de lui dire d'aller se faire cuire une truite. Mais ce n'est pas le pire, non content de vous balancer toute la responsabilité sur le dos, il vous oblige à aller dans le monde glauque et retranché de l'underworld pour y retrouver sa fille. La ramener vivante prouvera votre bonne foi (ben voyons). Et c'est là que c'est le ponpon... Le mec, au lieu de vous balancer une armée et de vous donner l'équipement le plus pointu qui soit afin de mettre toutes les chances de votre côté pour retrouver sa fille chérie, le type vous fout tout seul à poil dans le bled avec vos poings pour vous débrouiller. Va chercher ma fille, guignolo, et reviens pas sans elle! (heu.. ok.. vive la reconaissance).

Bref, ce clin d'oeil mis à part, le jeu m'avait bouleversé à l'époque. Le finir a été une tannée mais O combien gratifiante. L'évolution dans ce labyrinthe multi-niveaux aura été une des plus belles expériences en jeu video de mon enfance. Un plaisir rarement égalé par la suite. La gestion de l'inventaire, les runes magiques, les pnj, les monstres, le complexe de couloirs dans son ensemble, ce jeu était vraiment incroyable et ça me manque aujourd'hui d'être à ce point impliqué dans une histoire, même avec un scenario aussi bâclé.

Une oeuvre d'art à l'époque, un souvenir délicieux aujourd'hui.

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Tous les avis lecteurs (5)

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1 
19/20
titus06
Alerte
Niveau 3
Posté le 04 déc. 2011 à 00:00

Jeux révolutionnaire en son temps, Ultima Underworld aura marqué beaucoup de rolistes à l'époque. Il s'agit du 1er « dungeon crawler » à s'affranchir du déplacement case par case comme cela se faisait à l'époque. On avait donc droit à des graphismes entièrement en 3D (sauf pour les personnages et les objets) texturé, une gestion du personnage répondant au cahier des charges de l'époque en matière de réalisme (gestion de la faim, du poids etc...), une gestion de l'environnement particulièrement réussie (gestion de la lumière, de la longueur des sauts, hauteur de plafond et forme des salles variée, possibilité de regarder dans toutes les directions, de nager), des combats en temps réel et un système de magie classique ( à base de runes à associer). Mais là où le jeu dépassait vraiment les « vieux » dungeon crawler, c’est dans les interactions sociales. Le scenario ne se réduit pas à « toi aller tuer méchant dernier niveau » mais il se développe au fil de vos discutions, des choses que vous apprenez sur le l’organisation sociale des lieux. Bref tout cela parait vivant et ce jeu est sans doute le 1er à donner autant l’impression de « réalité virtuelle ». Bref, Ultima Underworld est un monument du JDR du début des années 90, mais au contraire de Dungeon Master, il ne fît pas de « petits ».

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19/20
exec-u
Alerte
Niveau 5
Posté le 08 févr. 2019 à 15:25

Ce jeu doit réellement être remis dans son contexte temporel. Il y a des jeux bien plus vieux qui sont encore facilement accessibles aujourd'hui. UW1 est plus indigeste à cause de son ergonomie datée qui pourra en rebuter plus d'un. Mais, mais, mais... Si vous passez outre la prise en mains devenue délicate, la récompense sera à la hauteur. Vous aurez le privilège de découvrir un des jeux bastion de l'histoire du RPG sous forme digitale. UW1 est un jeu d'une incroyable richesse. L'évolution verticale dans un donjon est certes, même pour l'époque, du déjà vu. Mais la liberté de progression était à couper le souffle. Une expérience videoludique hors du commun.

Mais pourquoi ajouter un nouveau commentaire ? Simplement parce que je ne peux m'empêcher de trouver un élément complètement aberrant qui m'avait déjà choqué à l'époque, à savoir... Les premières lignes du scenario ! Nom d'une purée de cerises, qu'est-ce que c'est que ça??

Les Ultima sont célèbres pour leurs scénarios particulièrement efficaces et travaillés. Des histoires plus tordues les unes que les autres mais avec un fil conducteur toujours assumé et plein de surprises. Or, ici, vous apprenez que la fille de Lord British a été enlevée et il pense que vous êtes coupable... Il faut savoir que votre personnage a déjà bravé mille dangers pour sauver son peuple donc vous seriez en droit de lui dire d'aller se faire cuire une truite. Mais ce n'est pas le pire, non content de vous balancer toute la responsabilité sur le dos, il vous oblige à aller dans le monde glauque et retranché de l'underworld pour y retrouver sa fille. La ramener vivante prouvera votre bonne foi (ben voyons). Et c'est là que c'est le ponpon... Le mec, au lieu de vous balancer une armée et de vous donner l'équipement le plus pointu qui soit afin de mettre toutes les chances de votre côté pour retrouver sa fille chérie, le type vous fout tout seul à poil dans le bled avec vos poings pour vous débrouiller. Va chercher ma fille, guignolo, et reviens pas sans elle! (heu.. ok.. vive la reconaissance).

Bref, ce clin d'oeil mis à part, le jeu m'avait bouleversé à l'époque. Le finir a été une tannée mais O combien gratifiante. L'évolution dans ce labyrinthe multi-niveaux aura été une des plus belles expériences en jeu video de mon enfance. Un plaisir rarement égalé par la suite. La gestion de l'inventaire, les runes magiques, les pnj, les monstres, le complexe de couloirs dans son ensemble, ce jeu était vraiment incroyable et ça me manque aujourd'hui d'être à ce point impliqué dans une histoire, même avec un scenario aussi bâclé.

Une oeuvre d'art à l'époque, un souvenir délicieux aujourd'hui.

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18/20
[narkotek23]
Alerte
Niveau 10
Posté le 07 févr. 2013 à 00:00

Dans la famille des dungeon crawler je voudrais le grand père ! Ultima Underworld est un jeu énorme dans tout les sens du terme, délaissant le système de cases de ces ancêtres et pourvu d'une vue à la première personne dans un environnement 3D (avant Wolfenstein et Doom, une révolution !) l'immersion est immediate. Parlons un peu de l'histoire.
L'Avatar (le joueur) est faussement accusée d'avoir enlever la fille du baron Almric, celui-ci ne reconnaissant plus en vous le héros que vous étiez jadis vous condamne à errer dans les abysses, ainsi débute votre aventure.
Néanmoins vous ne serait pas seul dans votre quête de liberté, ce dédale renferme en effets des habitants plus où moins simpatique vous pourrez donc marchander avec la plupart, collecter des informations, les dialogues rare point noir du jeu sont quand à eux en anglais.
Avec son système de magie à base de runes, son bestiaires diversifier , des quêtes secondaires et un labyrinthes de plusieurs étages, Ultima underworld reste un must-have du genre.

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18/20
Feldoran
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Niveau 7
Posté le 27 août 2012 à 00:00

Ancêtre d'Arx Fatalis, si vous avez aimé ce dernier, vous pourriez être tenté par un plongeon dans les souterrains effrayants d'Ultima Underworld. Ambiance garantie, il est difficile de ne pas flipper avant chaque descente vers un niveau plus profond. Jeu précurseur, j'étais fasciné par ces déplacements en 3D à l'époque mais la difficulté avait quand même fini par me rebuter, et je ne l'ai jamais terminé :/ A retenter un de ces jours peut-être, mais l'interface a quand même vieilli malheureusement...

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17/20
juju-zapple
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Niveau 8
Posté le 27 déc. 2020 à 14:50

Un jeu incroyable, non pas tant pas ce qu'il a à proposer, mais par quand il l'a proposé.
Une aventure solo à la première personne, le choix de plusieurs classe, une évolution libre selon les désir du joueur, un donjon intriguant, ni trop grand, ni labyrinthique, varié avec ces différents étages, des interactions logiques possibles (utiliser un marteau pour casser une roche, récupérer les cailloux pour s'en faire une arme), des décors 3D réussis, une carte, des pnj avec lesquels l'on peut dialoguer librement, des quêtes simples à considerer (pas juste "va au donjon à l'ouest"), de l'humour, de l'épique, des cinématique doublées, des combats...

Tout cela.... en 1992.

Les points forts du jeu résident dans le fait que tout est très accessible, on est rarement perdu (j'ai du trifouiller les soluces pour le dernier quart du jeu), les objectifs sont souvent clair et le jeu n'attend jamais que le joueur progresse de manière hasardeuse sans pour autant le prendre totalement par la main. L'ensemble à incroyablement bien vieillis (à part l'aspect musical je trouve) et tous les éléments du jeux forment une masse cohérente, une vision vidéo-ludique unique pour laquelle l'interactivitée est un élément central.

De nombreux jeux échouent aujourd'hui la où Underworld réussissait.
Je conseil toutefois la consultation du manuel du jeu (trouvable sur internet, ou lié à l'achat sur Gog), notamment pour les sorts.

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