Petite, lorsque j'ai reçu ce jeu mettant en scène un dauphin, je n'étais pas franchement ravie. Diable, que faire dans un jeu vidéo où tout se passe dans l'eau? Et bien, tout un tas d'aventures ! Entre faire des acrobaties avec ces potes dauphins, foncer tête baissé dans les gangs de requins, récupérer des bébés orques, échapper à cette foutue méduse dans des tubes, sauver le futur de la reine Vortex ( qui doit avoir un lien de parenté avec un pou) etc etc, y'a de quoi faire ! Graphiquement magnifique, même à l'heure actuelle, il m'émerveille encore. Pour ne pas gâcher la chose, les musiques sont envoutantes sans être saoulantes. Doté d'un vrai scénario ( nous sommes sur Megadrive souvenez-vous), ce jeu est tout bonnement incroyable.
Seul bémol et pas des moindres, pourquoi est-ce si dur?!
Ce jeu a t'il réellement été conçu pour des enfants? ( et un hard mode était-il indispensable vu la difficulté hallucinante de base?)

Un jeu incroyable. Le jeu est long mais très difficile! Les graphismes sont vraiment réussis, mais le plus incroyable, ce sont les musiques... Elles ont valu, à elles seules, l'achat de ce jeu mythique sur sega megadrive! Personnelement, j'écoute les musiques de ce jeu sur mon mp3, et je cherche régulièrement des remixes d'elles. Un 20 bien mérité pour ce jeu qui a bercé mon enfance, et qui m'envoûte encore et encore!

Un jeu de 1994. Graphiquement il est sublime. En rappelant que c'est un jeu megadrive, il peut r'habiller certains jeux sur console nomade moderne. La bande son est très belle. Elle est calme envoutânte. Le reflet des grand fonds marins sans pour autant qu'on en ai raz le bol de l'entendre après 5 minutes de jeux ( exeption faite du dernier niveau peut-être ). L'histoire... Bien trouver. Un mélange de science fiction de voyage temporelle et d'accès a d'autre dimension. Le game play. Comment dire il est particulier. Prenez un metroid prime, c'est presque le même principe. Dans le sens ou il faut explorer ( beaucoup ) l'environnement de ces 30 niveaux pour venir a bout des enigmes poser. Les niveaux sont très lymbirinthiques. Ce qui nous pousse souvent a user et abuser du sonar d'ecco pour s'y retrouver. La difficulté. Beaucoup la trouve abusive moi je la trouve optimal. Ce jeu date d'une époque ou les joueurs aimaient s'octroyer a des murs en bétons, en chier pour les briser pour après être fier de soi. Chose qui s'est considérablement perdu dans les jeux actuels ou les difficultés ( même les plus "difficiles" sont plus que gérable. Un opus comme on fais plus maintenant ce qui est plutôt dommage puisque ce jeu s'adresse a ceux qui aiment le challenge.

Pas de surprise avec ce jeu, c'est vraiment la digne suite du 1er épisode. Le jeu est magnifique, les fonds marins sont de toute beauté, les musiques sont enivrantes à souhait, Ecco est très maniable, l'animation est sans faille, on peut facilement tomber sous le charme de ce titre à l'identité très forte. De plus le jeu est doté d'un vrai scénario, comme le 1er opus. Par contre il est clair qu'il ne peut plaire à tout le monde, aussi réussi soit-il. La difficulté est encore une fois très (trop) frustrante par moment, et les énigmes lourdes à résoudre. Mais cet Ecco 2 reste une bouffée d'oxygène sur mégadrive de par sa très grande originalité et son ambiance particulière. A essayer.

Je ne parlerais pas de l'émerveillement que m'a procuré Ecco lorsqu'enfant j'ai été au contact de cette série pour la première fois : le cas échéant cela fera l'objet d'une critique du premier opus.

Je serais presque tenté de mettre 18. Avant de le finir, j'aurais mis aux alentours de 14. Mais je dois reconnaître que je n'étais pas allé bien loin. Jusqu'à la première zone dans le futur. J'avais clairement sous-estimé ce jeu, comme beaucoup d'autres personnes je pense. Noter Ecco n'est pas évident, car c'est un jeu qui a de très grande qualités, mais aussi de gros problèmes.

Le principal problème, c'est que l'on ne comprend pas. Et c'est une caractéristique de cette série : bien souvent, on ne sait pas exactement quel est le but, ce qu'il faut faire, comment le faire, où il faut aller, etc. De surcroît, comme le jeu est difficile, on ne sait jamais si on échoue par manque de talent ou parce qu'on a pas compris une des mécaniques du jeu. Il m'est arrivé plus d'une fois de me mordre les doigts sur des passages où je n'avais tout simplement pas compris "le truc". Sans soluce, il faut être persistant. Et même avec, pour certains passages. Mais c'est faisable. Il faut quand même au départ aimer le challenge. Les passages à s'arracher les cheveux sont très nombreux.

Néanmoins, ce jeu d'aventure est plein de qualités. Tout d'abord le sentiment de liberté qu'il procure. Le caractère jouissif de contrôler un dauphin tout simplement, et qui est bien sûr valable pour tous les épisodes de la série, tout comme l'originalité du concept en général. Sauter hors de l'eau, faire des sauts périlleux, nager à grande vitesse... peu de jeux procurent des sensations comparables. D'ailleurs, la vitesse à laquelle on peut nager est très impressionnante. Et c'est d'une fluidité sans faille.

Ensuite, le jeu est beau. Et plus vous avancerez, plus vous vous en apercevrez. Car oui, ce jeu réserve des surprises. J'insiste sur ce point : ce jeu réserve des surprises. Vous verrez également au fur et à mesure que les environnements sont de plus en plus grands, et certains sont vraiment énormes, voir labyrinthiques. Vers la fin, j'ai dû sortir le papier et le crayon, c'est dire. L'usage du sonar est impératif pour se repérer, et j'ai adoré ce concept. Vous verrez aussi que le jeu a une intrigue. Il faut de préférence avoir fait le premier opus pour la comprendre, mais elle est omniprésente, très originale et bien amené à travers des dialogues aussi étranges qu'intriguants. (En passant, j'ai toujours trouvé très amusant que les dauphins se vouvoient entre eux...) Ecco, c'est tout un univers. Vous verrez enfin que le jeu est long, surtout pour l'époque. Il est plus riche qu'il ne peut paraître au premier abord.

Musicalement, c'est inégal, mais plutôt bon dans l'ensemble. Certaines pistes sont assez moyennes et ne collent pas avec ce que devrait être l'ambiance sous-marine. (certaines sont un peu trop "violentes", alors qu'on aurait préféré retrouver de la douceur.) Mais la grande majorité sont vraiment bonnes, avec des mélodies mémorables. En revanche elles ne sont peut-être pas assez nombreuses, on a l'impression d'entendre souvent les mêmes. Étrangeté du jeu : dès qu'on met sur pause, la piste reprend au début.

La maniabilité est en demi-teinte. Elle est excellente par certains aspects, Ecco répond parfaitement, et c'est un plaisir de le contrôler, mais d'un autre côté elle est assez difficile et paradoxalement assez lourde...elle nécessite une certaine technicité et pour certains passages et le jeu exige vraiment que vous maniiez Ecco à la perfection, et avec dextérité s'il vous plaît. Il faut bien maîtriser les diagonales de la croix directionnelle. En fait il y a deux choses qui sont difficiles avec la maniabilité : les changements de directions à grande vitesse et les collisions contre les parois. C'est compliqué à expliquer, il faut avoir la manette en main pour comprendre, je pense que ceux qui ont joués savent de quoi je parle.

En conclusion, si la difficulté ne vous rebute pas, si l'aspect exploration (car on explore beaucoup) ne vous rebute pas, si l'idée d'incarner un dauphin vous plait, je vous recommande chaudement Ecco: The Tides of Time. Ne vous fiez pas à votre première impression. Ecco n'a pas volé sa réputation de titre culte.

Superbe jeu au gameplay ardu, du coup plutôt destiné à ceux qui ont fini le 1er opus . L'ambiance aquatique est toujours bien présente, on s'y croirait vraiment, cette serie reste un de mes gros coup de cœur megadrive. Par contre le 2 n'est peut être pas assez novateur par rapport au 1er à mon sens mais bon en même temps vu le succès qu'il a eu cela peut se comprendre.. Je confirme que les musiques de la série sont extraordinaires pour l'époque. Je garde un fort souvenir de ce jeu et de ces musiques 20 ans après, et j'y rejoue m^me de temps en temps, c'est dire...

Un jeu qui a bercé le début de mon statut de gamer un jeu magnifique et complexe comme il faut la durée de vie est aussi assez bonne pour un jeu Megadrive et cette durée de vie est surtout générée par la difficulté correct mais qui quand on est jeune n'est pas très simple. Un jeu que je conseille à tous.

Ecco : The Tides of Time est un bon jeu, mais c'est difficile de diriger le dauphin... Sinon les exercices sont assez bien, mais par contre les améliorations des dauphins sont beaucoup trop chères. Avant on pouvait faire nos propres niveaux, et maintenant on peut plus. Si on pouvais créer nos propres niveaux ce sera PARFAIT!

Un second volet qui gomme les défauts de jeunesse du précédent épisode. Il se montre encore plus beau, plus varié et plus accessible. L'ambiance new age est poussée à son paroxysme et c'est un véritable régal de le parcourir aujourd'hui encore. Un chef-d'œuvre de la Megadrive.

Bien meilleur que le 1e Ecco.

On retrouve toutes les qualités du précédent épisode mais aussi sa grosse difficulté.

Ce 2e Ecco est plus beau que le 1e et ne souffre d'aucun défaut.

Le gameplay est identique. Donc, aucun changement de ce côté là.
Enfin presque. Dans certains niveaux, il est possible de se transformer en mouette par exemple. Mais, dommage que cela se fasse à certain point précis du jeu.
Car ces transformations servent juste à progresser dans les niveaux.
De plus, les niveaux bonus sont magnifiques.

Les musiques sont toujours aussi bonnes et relaxantes. En plus de coller parfaitement à l'ambiance du soft.

L'histoire est la suite directe du 1e. Il est conseillé de faire le 1 pour bien comprendre l'histoire du 2.
Petite remarque, Ecco : The Tides of Time a été intégralement traduit en français. Tandis que le 1e est en anglais.

Comme d'habitude, la durée de vie est longue. Voire plus longue que son prédécesseur et sa difficulté est tout aussi élevée.

Les fans du 1e peuvent jeter sur ce jeu, les yeux fermer.

Un jeu magnifique ,qui a bercé mon enfance une hisroire prenante vraiment les graphismes des fonds marin sont excellent,qui nous tranporte vraiment dans les abysses avec tous ses poissons vraiment genial.

une épopée sous-marine pour les joueurs aguerris.

Graphismes et son,
Très joli et grouillant de détails, le jeu nous plonge dans un univers sous-marin retranscrit à merveille que ce soit au niveau de la faune (juste un petit bémol pour l'animation des poissons...), la flore sous-marine où les décors. La bande son quant à elle est juste grisante, les sons, les musiques tout contribue à rendre l'expérience saisissante, ainsi l'ambiance lumineuse et joviale des premiers niveaux laisse place à une atmosphère pesante et inquiétante lors des phases de révélations. Un des points forts du jeu.

Gameplay,
la ça se corse, bien que rapides, les mouvements de notre dauphin sont rigides et contrôler notre mammifère marin demande un certain temps d'adaptation.
De plus, le jeu va en difficulté croissante, et une fois les premiers niveaux passés, la gestion de l'air fait son apparition, il faut alors gérer son temps, faire vite et bien, et le soft nous montre alors son vrai visage, l'exigence. Car le jeu se distingue par une grande difficulté, amenée par les situations de stress (retenez ce nom « tubes of medusa »), la maniabilité, et le level-design. Le jeu alterne alors entre phases en scrolling, niveaux labyrinthiques, et niveaux de rapiditée. Cela dit les commandes restent intuitives, et on se prend même à faire quelques cabrioles lorsque la surface de l'eau montre son nez.

Scénario,
l'histoire reste assez complexe et très intéressante, sans entrer dans les détails, suite au premier ecco, notre dauphin possède le don de pouvoir rester indéfiniment sous l'eau, mais très vite son pouvoir disparait en même temps qu'un descendant de notre protagoniste fait son apparition, s'en suit une quête à travers le temps et différentes déclinaisons futuriste de cet univers vraiment intéressant. Pour les plus motivés, sachez que la fin est assez surprenante pour un jeu de cet époque, et même encore de nos jours.

Ecco, tides of time est un incontournable de la mégadrive pour peu que vous êtes amateur de défis, les graphismes très réussis pour l'époque, la bande son et le scénario vous plongerons dans une ambiance unique et vous offrira une expérience peu commune et terriblement plaisante.
Seul la difficultée pourra freiner les joueurs les moins acharnés mais ce petit détail (faisant le charme du jeu) n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan.

Pas de grandes différences entre le 1er Ecco et cette suite, les qualités et les défauts étant les mêmes (voir mon avis pour plus de précisions).

Ceci étant dit, n'ayant pas particulièrement aimé le 1er, je dois admettre que celui-ci est un cran au-dessus.

Les musiques d'abord, qui collent mieux à l'action et à l'environnement, très douces et très agréables à l'oreille.

Il y a également les passages "3D" qui ont été ajoutés dans cet opus. Je mets volontairement les guillemets, la 3D étant juste une impression, tous les éléments du décor sont bien évidemment en 2D ! Ce passage ne brille pas spécialement par sa qualité graphique, mais il a au moins le mérite de briser la routine !

Pour le reste, tout est identique au 1er, alors je ne me répèterai pas !

Très très très beau jeux , magnifique , sublime se jeux nous transporte dans un univers somptueux. La durée de vie est respectable et une difficulté assez corsé . Une musique envoutante .
Se jeux est une oeuvre a possédé absolument . Culte

Sous ses airs de jeu enfantin, ecco se montre indiscutablement comme une des pièces maîtresse de la megadrive.Car au-delà d'afficher comme héro un dauphin, ecco est un jeu profondément unique. Il est vrai que le concept pourra en rebuter plus d'un. En effet ce jeu ce présente presque comme un soft expérimental avec un scénario pour le moins étrange. Mais quel plaisir de naviguer dans ces eaux limpides, empreint d'un doux vent de mystère. Cette mouture de 1994 est fabuleuse en terme de réalisation. Les décors sont majestueux, la fluidité de l'animation est omniprésente et les univers submergent l'écran de détail du plus bel effet. Mais ce n'est rien à côté des musiques, à la limite de la jouissance psychique. C'est somptueux!!!! C'est neuf, frais, revigorant et presque méditatif. La plupart des tracks sont habités. Son compositeurs signe ici une BO de haute volé. Les seuls défauts, car il y en a, sont la maniabilité qui demande un temps d'adaptation. Le level design pas franchement inspiré, la plupart des niveaux sont labyrinthiques est mal agencé. Cela dit, ecco the tides of time est un chef d’œuvre de de la megadrive qui mérite d'être découvert même aujourd'hui.