Ni plus ni moins qu’un simple puzzle-game sans grande prétention, Kid Paddle PM est dans la plus pure tradition du genre.
Louons quand même l’idée simple mais amusante qui demande de lier un ensemble de même cartes à une carte personnage (comme celle du petit Barbare), ce afin de pouvoir attaquer la Momie « Qui Pue Qui Tue » et d’augmenter son score, et que la variété de ses dernières s’amplifie au fur et à mesure de l’avancée de la partie.
Il est bien sur possible, comme tout jeu du genre, de réaliser des combos en se la jouant technique un minimum, même si cela nécessite un certain temps d’adaptation dépendant de chacun.
Pour nous expliquer les quelques subtilités, un tutorial est présent dans les options.
A notre grand dam, notons qu’il est, comme le reste en anglais et qu’il n’y a pas moyen d’en changer, alors qu’il n’aurait pas été difficile d’en faire la traduction.
Quant à la musique, elle est de bonne facture, mais au bout d’un certain temps, vous vous lasserez de sa redondance, car elle évite soigneusement de se renouveler !
La maniabilité n’est pas adaptée pour les gros doigts, et aurait gagnée à être gérée différemment.
Par exemple avec l’inclusion d’un stick virtuel en bas à gauche pour déplacer les cartes, et d’un bouton en bas à droite pour les faire tourner.
Il est fort dommage que malgré le « Monsters » ornant son titre, on ne se retrouve qu’avec un seul et unique décor de fond et contre un seul ennemi, évitez donc de faire le rapprochement avec le hors-série du même nom de Midam qui est sorti de toute manière après.
Pour tuer le temps, pourquoi pas !
Ni plus ni moins qu’un simple puzzle-game sans grande prétention, Kid Paddle PM est dans la plus pure tradition du genre.
Louons quand même l’idée simple mais amusante qui demande de lier un ensemble de même cartes à une carte personnage (comme celle du petit Barbare), ce afin de pouvoir attaquer la Momie « Qui Pue Qui Tue » et d’augmenter son score, et que la variété de ses dernières s’amplifie au fur et à mesure de l’avancée de la partie.
Il est bien sur possible, comme tout jeu du genre, de réaliser des combos en se la jouant technique un minimum, même si cela nécessite un certain temps d’adaptation dépendant de chacun.
Pour nous expliquer les quelques subtilités, un tutorial est présent dans les options.
A notre grand dam, notons qu’il est, comme le reste en anglais et qu’il n’y a pas moyen d’en changer, alors qu’il n’aurait pas été difficile d’en faire la traduction.
Quant à la musique, elle est de bonne facture, mais au bout d’un certain temps, vous vous lasserez de sa redondance, car elle évite soigneusement de se renouveler !
La maniabilité n’est pas adaptée pour les gros doigts, et aurait gagnée à être gérée différemment.
Par exemple avec l’inclusion d’un stick virtuel en bas à gauche pour déplacer les cartes, et d’un bouton en bas à droite pour les faire tourner.
Il est fort dommage que malgré le « Monsters » ornant son titre, on ne se retrouve qu’avec un seul et unique décor de fond et contre un seul ennemi, évitez donc de faire le rapprochement avec le hors-série du même nom de Midam qui est sorti de toute manière après.
Pour tuer le temps, pourquoi pas !