"Zoé est une petite fille qui croit aux légendes, pas parce qu'elle est naïve mais parce les légendes, elle aime ça. Afin d'aider son oncle le Seigneur Arnold à se débarrasser d'un terrible dragon, Zoé se met en tête de trouver des héros. Et quand elle tombe sur Gwizdo et Lian-Chu - deux chasseurs de dragon à la petite semaine - et bien tant pis, Zoé décide d'y croire quand même !"
Un pitch qui sert autant de trame scénaristique au film que de fil conducteur à son adaptation vidéoludique, dans laquelle la complémentarité entre les trois héros est évidente et fidèle à celle de la série animée.
Lian-Chu s’avère donc logiquement l’armoire à glace de l’équipe, le bourrin dont la finesse n’a d’égale que sa passion pour le tricot, celui à même de tuer facilement les dragons et dont la force brut peut par exemple détruire des rochers entravant la progression.
Gwizdo, couard et avide de son état, derrière un physique ingrat cache bien des qualités, il est rapide et agile et doté d’un double saut bienvenue, il peut également s’accrocher a des barres métalliques afin de gagner en vitesse et d’atteindre d’autres horizons, en clair, l’exploration c’est lui.
Hector enfin, la petite boule de poil, dragon bleu peureux mais pouvant faire preuve de grand saut de courage, mascotte de l’équipe peut jouer de sa petite taille afin de passer dans des petits conduits dont certains s’avèrent labyrinthiques (jolie clin d’œil à la saga des Sonic vu qu’il se mettra alors en boule) et peut se cacher quand l’envie s’en fait ressentir.
A l’instar du feuilleton d'animation très agréable à suivre, le film est une petite réussite, un bijou pyrotechnique intelligent, attachant et poétique, dont Arthur Qwak n’a aucunement à rougir.
Alors quid de cette adaptation en jeux vidéo ? Et bien ce n’est pas mal, pas mal du tout !
Bien que guindé et d’apparence hétérogène, l’amalgame de séquences qui constituent ce titre est garant de sa réussite singulière.
La est sa force, mais également sa faiblesse, car il est évident qu’un système fonctionnant autour du fait de devoir traverser plusieurs fois les mêmes niveaux en respectant des clauses simples d’assimilation mais au challenge difficile, et ce afin de ramasser des médailles garantes de la progression, n’est pas du goût de tout le monde.
Les objectifs de ces défis sont asses variés mais reviennent trop régulièrement là ou aurais sans doute dû être favorisé un aspect plus éclectique dans l’exercice.
Vous allez devoir par exemple récupérer un maximum d’orbes, détruire des œufs de dragons, finir le niveau le plus rapidement possible…
Il va sans dire qu’une connaissance quasi parfaite des niveaux est requise pour qui veut obtenir l’argent ou l’or, car les niveaux, bien qu’assez beaux et poétiques et aux thématiques variées : la jungle, les cavernes volcaniques, le temple, les terres dévastées des dragons – s’avèrent par moment labyrinthique, certains chemins menant à des culs-de-sac, d’autres nécessitant de jongler au meilleur moment entre les personnages afin d’optimiser et fluidifier la progression.
L'objectif est d'en remporter trois (au moins une d'or, une d'argent et une de bronze) pour pouvoir passer au niveau suivant.
Du challenge certes, mais un côté gratifiant au possible en terme de résultat !
Ceci étant dit, ne soyons pas trop optimiste, Chasseur de Dragons n’évite pas l’écueil de sombrer dans le classique d’un système de gameplay bien rodé mais sonnant comme une énième redite, ou encore au détour d’un ensemble d’une répétitivité patente, mais aussi au niveau de boss bien galbés mais dont le concept bancal énervant et la maniabilité en dents de scie s’avère toujours le même.
De plus, si vous vous contentez de le terminer en ligne droite comme un bête vol de dragon reliant un point a à un point b, même avec le challenge des médailles le jeu sera amputé d’une bonne partie.
Le terminer avec toutes les médailles d’or, la est le challenge ultime et véritable penchant attractif de ce soft.
Continuons en ne manquant pas de souligner le clin d’œil à Mario, et plus précisément aux Mario Galaxy, certaines parties des niveaux ayant leur gravité propre.
Ce titre, vous l’avez compris est un pur jeu de plates-formes au scrolling horizontal parsemé de petites subtilités à l’instar de cette dernière qui vous permet, lorsque vous sauterez sur certaines planètes d’être happés par leur système d’attraction et ainsi de vous mouvoir dans tous les sens, jouissif !
Quant à l’environnement sonore, bien qu’il soit amputé de bruitages, les musiques sont un ravissement pour le conduit auditif et appellent à la nostalgie.
Perfectible contrairement au film et à la série, ce titre parsemé de bons sentiments s’en sort cependant de manière tout à fait honorable !
Au début je me disais: " jeu nul,naz,ennuie et barbant."
Maintenant je me dit: "nul,distrayant,sert à passer le temp".
Non sérieusement le gameplay est ingénieux et la réalisation est excellente.
Ce qui dérange le plus c'est la progression, ce jeu m'érite la chandèle mais ce n'est pas un évènement sans-sationèl.
"Zoé est une petite fille qui croit aux légendes, pas parce qu'elle est naïve mais parce les légendes, elle aime ça. Afin d'aider son oncle le Seigneur Arnold à se débarrasser d'un terrible dragon, Zoé se met en tête de trouver des héros. Et quand elle tombe sur Gwizdo et Lian-Chu - deux chasseurs de dragon à la petite semaine - et bien tant pis, Zoé décide d'y croire quand même !"
Un pitch qui sert autant de trame scénaristique au film que de fil conducteur à son adaptation vidéoludique, dans laquelle la complémentarité entre les trois héros est évidente et fidèle à celle de la série animée.
Lian-Chu s’avère donc logiquement l’armoire à glace de l’équipe, le bourrin dont la finesse n’a d’égale que sa passion pour le tricot, celui à même de tuer facilement les dragons et dont la force brut peut par exemple détruire des rochers entravant la progression.
Gwizdo, couard et avide de son état, derrière un physique ingrat cache bien des qualités, il est rapide et agile et doté d’un double saut bienvenue, il peut également s’accrocher a des barres métalliques afin de gagner en vitesse et d’atteindre d’autres horizons, en clair, l’exploration c’est lui.
Hector enfin, la petite boule de poil, dragon bleu peureux mais pouvant faire preuve de grand saut de courage, mascotte de l’équipe peut jouer de sa petite taille afin de passer dans des petits conduits dont certains s’avèrent labyrinthiques (jolie clin d’œil à la saga des Sonic vu qu’il se mettra alors en boule) et peut se cacher quand l’envie s’en fait ressentir.
A l’instar du feuilleton d'animation très agréable à suivre, le film est une petite réussite, un bijou pyrotechnique intelligent, attachant et poétique, dont Arthur Qwak n’a aucunement à rougir.
Alors quid de cette adaptation en jeux vidéo ? Et bien ce n’est pas mal, pas mal du tout !
Bien que guindé et d’apparence hétérogène, l’amalgame de séquences qui constituent ce titre est garant de sa réussite singulière.
La est sa force, mais également sa faiblesse, car il est évident qu’un système fonctionnant autour du fait de devoir traverser plusieurs fois les mêmes niveaux en respectant des clauses simples d’assimilation mais au challenge difficile, et ce afin de ramasser des médailles garantes de la progression, n’est pas du goût de tout le monde.
Les objectifs de ces défis sont asses variés mais reviennent trop régulièrement là ou aurais sans doute dû être favorisé un aspect plus éclectique dans l’exercice.
Vous allez devoir par exemple récupérer un maximum d’orbes, détruire des œufs de dragons, finir le niveau le plus rapidement possible…
Il va sans dire qu’une connaissance quasi parfaite des niveaux est requise pour qui veut obtenir l’argent ou l’or, car les niveaux, bien qu’assez beaux et poétiques et aux thématiques variées : la jungle, les cavernes volcaniques, le temple, les terres dévastées des dragons – s’avèrent par moment labyrinthique, certains chemins menant à des culs-de-sac, d’autres nécessitant de jongler au meilleur moment entre les personnages afin d’optimiser et fluidifier la progression.
L'objectif est d'en remporter trois (au moins une d'or, une d'argent et une de bronze) pour pouvoir passer au niveau suivant.
Du challenge certes, mais un côté gratifiant au possible en terme de résultat !
Ceci étant dit, ne soyons pas trop optimiste, Chasseur de Dragons n’évite pas l’écueil de sombrer dans le classique d’un système de gameplay bien rodé mais sonnant comme une énième redite, ou encore au détour d’un ensemble d’une répétitivité patente, mais aussi au niveau de boss bien galbés mais dont le concept bancal énervant et la maniabilité en dents de scie s’avère toujours le même.
De plus, si vous vous contentez de le terminer en ligne droite comme un bête vol de dragon reliant un point a à un point b, même avec le challenge des médailles le jeu sera amputé d’une bonne partie.
Le terminer avec toutes les médailles d’or, la est le challenge ultime et véritable penchant attractif de ce soft.
Continuons en ne manquant pas de souligner le clin d’œil à Mario, et plus précisément aux Mario Galaxy, certaines parties des niveaux ayant leur gravité propre.
Ce titre, vous l’avez compris est un pur jeu de plates-formes au scrolling horizontal parsemé de petites subtilités à l’instar de cette dernière qui vous permet, lorsque vous sauterez sur certaines planètes d’être happés par leur système d’attraction et ainsi de vous mouvoir dans tous les sens, jouissif !
Quant à l’environnement sonore, bien qu’il soit amputé de bruitages, les musiques sont un ravissement pour le conduit auditif et appellent à la nostalgie.
Perfectible contrairement au film et à la série, ce titre parsemé de bons sentiments s’en sort cependant de manière tout à fait honorable !
Au début je me disais: " jeu nul,naz,ennuie et barbant."
Maintenant je me dit: "nul,distrayant,sert à passer le temp".
Non sérieusement le gameplay est ingénieux et la réalisation est excellente.
Ce qui dérange le plus c'est la progression, ce jeu m'érite la chandèle mais ce n'est pas un évènement sans-sationèl.
J'ai acheté le jeu il y a peu de temps et je trouve qu'il est vraiment très bien. Les musiques sont exquises, le jeu reprend assez bien l'univers de Chasseurs de Dragons, mais le jeu est assez facile à terminer. Malgré que les médailles d'or sont compliqué à obtenir. Bref, ayant "testé" l jeu, je pense qu'il mériterait bien un 16.
Une excellente réalisation, un gameplay simple mais efficace, une bande son énorme... Ce jeu a tout pour plaire. C'est un bon jeu de plate-formes qu'on a là. Certes il a des défauts (mais tous les jeux en ont, non ?) et ceux-ci passent très vite inaperçus lorsqu'on progresse dans cet univers envoûtant.
Un jeu vraiment tres bien realisé pour la DS ! De beaux graphismes, un son tres reussi, de bonnes musiques sauf certaines qui sont un peu pourries ! Franchement, c'est l'un des meilleurs jeu DS que j'ai joué !
Le jeu est fidèle au film, il est graphiquement très beau. Le jeu satisfera les plus petits comme les plus grands. Les mini-jeux sont excellents. Bref je le conseille à ceux qui ont aimés le film et la série. Bonne chance.
Un jeu pour un public assez restreint ( 8-14 ans au grand maximum ) La difficulté est parfois présente, et parfois trop absente. SInon c'est plutôt un bon jeu, j'ai bien aimé les graphismes plutôt originaux. Le jeu est certes ennuyant, mais après l'avoir terminé, on se dit qu'on a passé un bon moment
je n'aime pas dutout ce jeu.Je le conseille juste au fans de la série TV.pour moi, ce ne sont pas de bons graphismes.Je lui donne la note de 9 car pour moi il ne mérite pas plus.très mauvais jeu a mon gôut.
20/20 ! Ce jeu est exceptionnel j'y ai joué car mon cousin de 8 ans, était bloqué à un endroit !
Et je lui ai fini le jeu je le recommande à tous ceux qui ne savent pas quoi offrir pour noël ( je précise pour un enfant de 8 à 12 ans )