Avec l’essor du JV indépendant, de plus en plus de jeux de plateforme apparaissent, généralement tentant de miser plus sur une certaine originalité et/ou un concept que sur la débauche technique.
Scarygirl est un de ces là.
On suit l'histoire de cette petite fille gothique, élevé par un poulpe, qui décide partir découvrir le monde, pour comprendre pourquoi un vieillard barbu apparaît dans ses rêves, sur les conseils d'un lapin blanc géant qui vit sous l'arbre qui lui sert de maison. Bref, les devs ont fumé un bon truc quand ils ont fait le scénar.
Et le montage sous acide se poursuit sur le reste du jeu, avec un monde coloré, recousu, légèrement gothique et disjoncté.
Mais finalement, le mélange ne rend pas si mal.
Sans pour autant briller par son design ou son graphisme comme un Braid, un Limbo ou un Insanely Twisted Planet, le jeu arrive à se forger une certaine identité.
Le gameplay est relativement : deux boutons d'attaques (attaque rapide et attaques lourdes) qui s’enchaîne simplement pour faire du combo, un bouton de garde, un bouton de saut, un bouton de grab.
Et un transformation supermode quand une certaine jauge est pleine.
Du très classique, mais très efficace.
La prise en main se fait assez vite. Même si la physique un peu nerveuse du jeu peut être déroutante au début.
Bref, Scarygirl ne réinvente pas la poudre, que ce soit visuellement ou en terme de gameplay, et se contente de reprendre sans briller des méthodes approuvés, mais reste un jeu de plate suffisamment sympathique pour vous occuper le temps d'une période creuse.
Avec l’essor du JV indépendant, de plus en plus de jeux de plateforme apparaissent, généralement tentant de miser plus sur une certaine originalité et/ou un concept que sur la débauche technique.
Scarygirl est un de ces là.
On suit l'histoire de cette petite fille gothique, élevé par un poulpe, qui décide partir découvrir le monde, pour comprendre pourquoi un vieillard barbu apparaît dans ses rêves, sur les conseils d'un lapin blanc géant qui vit sous l'arbre qui lui sert de maison. Bref, les devs ont fumé un bon truc quand ils ont fait le scénar.
Et le montage sous acide se poursuit sur le reste du jeu, avec un monde coloré, recousu, légèrement gothique et disjoncté.
Mais finalement, le mélange ne rend pas si mal.
Sans pour autant briller par son design ou son graphisme comme un Braid, un Limbo ou un Insanely Twisted Planet, le jeu arrive à se forger une certaine identité.
Le gameplay est relativement : deux boutons d'attaques (attaque rapide et attaques lourdes) qui s’enchaîne simplement pour faire du combo, un bouton de garde, un bouton de saut, un bouton de grab.
Et un transformation supermode quand une certaine jauge est pleine.
Du très classique, mais très efficace.
La prise en main se fait assez vite. Même si la physique un peu nerveuse du jeu peut être déroutante au début.
Bref, Scarygirl ne réinvente pas la poudre, que ce soit visuellement ou en terme de gameplay, et se contente de reprendre sans briller des méthodes approuvés, mais reste un jeu de plate suffisamment sympathique pour vous occuper le temps d'une période creuse.
Alors déjà se jeux a une bonne qualité et de bon personnage qui sont développé au cours du jeux , Un mode multijoueur Qui peux se faire entre plusieurs fille , mais le moteur physique est complétement arraché et détruit , alors c'est pour se la que j'ai mis 9/20 au lui de 11 donc voila Samantha! .