En gros, Human Revolution c'est une vue FPS sans sensation, une vue à troisième personne ultra-rigide, vous mijotez le tout dans du jaune pisse... vous obtenez une VF dégueulasse, un gameplay amateur, les graphismes de Perfect Dark Zero sur Xbox, et différentes fins décevantes, sans émotion.

18/20 mais WTF ! "...et d'une IA tout juste moyenne." Mais on a pas joué au même jeu. L'IA est catastrophique ! Je commence par ça parce que c'est ce qui enlève tout le plaisir du jeu ! Elle ne nous voit pas alors qu'on est juste à côté, alors on le tue, un autre a entendu le coup de feu, va voir, et se dit pas qu'il faut faire attention, que je suis juste à côté et que j'le vise dans la tête, non... Ensuite j'en viens à des choses comme l'inventaire, tu stockes 3 armes, t'as plus de places, et tu penses que tu vas débloquer des emplacements durant le jeu, et bah non ! L'aspect RPG est réduit à son aspect le plus basique, le gameplay est banal et ne crée rien de nouveau, à quoi ça sert de jouer la discrétion avec une IA qui a plus de 5 ans de retard. Les graphismes sont bofs, level-design tout ce qu'il y a de plus banal, que des couloirs, qui rend le jeu très linéaire (totale contradiction avec le test de JVC). La bande-son est correct et remonte la note car le scénario aussi qui disposait d'un background énorme se perd très vite car devient moyen. Le jeu se finit en 10h en ligne, et je dirais 15h en entier mais j'ai pas eu le courage. Au final je suis tellement déçu, le 1 fait partie des jeux que je préfère, cette note-là s'adresse aux fans incontestés du 1, rien que pour l'IA, passez à côté (et même les autres).

Soyont clair et objectif sur ce jeux, la liste des defauts est tous simplement ennorme, au premier rant desquels la maniabilite, les graphismes pauvres, le doublage cata,...
Mais ce qui me demonte le plus, c'est a quel point le gents qui se revendique comme fan des films que j'aime beaucoup (Blade runner, Minority report...) le font sans rien comprendre a l'ouvre original qu'ils pompent.
En gros pour eux un heros fan de tecktonique avec des bras en acier, des lunnettes de soleil greffer sur les yeux et le charisme d'une huitre, le tous dans un univers melange de technologie et de rue boueuse=de la science fiction top niveau.
alors que pour moi c'est plutot l'adaptation d'un direct DVD de Van damme.

Un Deus Ex sympa mais qui souffre de tous les défauts des jeux de la 7G, notamment la restriction des possibilités à cause d'un level design trop limité/balisé. Le scénario du jeu est pas fou mais rattrapé par le charisme d'Adam Jensen.

très bon jeu graphiquement très beau gamplay efficace ost de qualité scénario accrocheur un très bon jeux a faire je recommande vivement ce must have

très bon jeux a faire si vous aimer le genre graphismes top gamplay classique mais efficace ost magnifique durée de vie correct scénario plaisant à suivre un bon jeux

Tout d'abord, j'ai pensé, à "Nomad Soul" (lui-même excessivement difficile et prétentieux). Un très bel esprit futuriste et une intrigue captivante : intelligent, astucieux, grandiose et entraînant. Toutefois, pour le petit joueur que je suis, cette aventure est très, très, trop, exigeante, trop fatigante. Ayant choisi le niveau facile et la stratégie d'infiltration, j'ai cumulé les sauvegardes, beaucoup d'échecs et très peu de réussites. J'ai refusé de finir le jeu. Je le hais. Je l'ai effacé de ma console (XBOX 360) et le bannis de mes futurs (re)téléchargements. Je ne supporte pas de tels jeux, pénibles, épuisants, et pourtant merveilleusement détestables. Je le déconseille aux joueurs amateurs.Toutefois, je le recommande à celles et ceux qui n'ont pas d'autre défi à relever que celui de sortir de leur lit à 20h00. Ce jeu est, certes, amusant, mais totalement inutile pour les vraies personnes de la vraie vie du vrai monde. Je suis heureux d'appartenir à cette dernière catégorie, surtout après avoir goûté à ce simulacre de survie médiocrement ludique... de quoi faire passer le "corona-zinizin" pour un simple rhume...

Mon dieu couleur jaine pisse eurk et le gameplay mon dieu rigide et dune lourdeur sans precedant decu car j'entendais bcp de bien de la part de ce jeu

Je ne connaissait pas la série DEUS EX, à part de réputation. Je savais que cela se déroulait dans un environnement futuriste et que l'on incarnait un agent augmenté.
Je l'ai donc acheté pour une bouchée de pain sur le X-Box live, environ 3.50 € en promo.

Ce jeu m'a impressionné à plus d'un titre. Premièrement, son atmosphère d'un futur assombri est très bien rendue; on se croirait vraiment dans l'univers de BLADE RUNNER. Le jeu fourmille de détails qui rendent l'expérience extrêmement riche, les conversations des PNJ lorsqu'on passe à côté d'eux sont par exemple très réalistes. On entend aussi les infos quand des télés sont allumées avec des jingles caractéristiques, bref, ce jeu a une véritable IDENTITÉ.

Tout est là pour nous le prouver : des mails qui nous éclairent sur l'histoire, ou bien des articles de journaux à consulter etc.

Et au fur et à mesure qu'on avance dans le jeu, la ville évolue, le chaos s'installe lentement mais surement. La direction artistique est EXCEPTIONNELLE. C'est un jeu qui vous donne envie de tout fouiller et de tout explorer, tout en résolvant les quêtes secondaires, qui sont également très réussies et s'inscrivent à merveille dans l'aventure principale.

L'IA des ennemis est redoutable quand on joue en mode DEUS EX et si on ne la joue pas furtif, on meurt dans 80 % des cas, car il faut éviter les attaques de front si on veut survivre. Par exemple, dans le nightclub, a un moment, je rentre dans une salle où je ne suis pas censé être; des gardes aux loin me voient à travers la vitre de la pièce (ils sont pourtant dans la salle principale de la boîte) et ils viennent tout de suite pour tenter de me neutraliser après avoir déclenché l'alerte.

Certaines scènes sont poignantes; les dialogues avec certains PNJ nous marquent comme l'échange avec ZELAZNY.

Bien sur, j'ai du attendre de finir le commissariat pour être bien emballé par le scénario car j'ai eu du mal à accrocher au début, mais quand le scénario a bien décollé, ce n'est que du bonheur.

Graphiquement, le jeu s'en tire très bien mais il y a parfois quelques chutes de framerate (je joue sur 360). Il y a beaucoup de séquences de piratage et il est dommage de mettre toujours le même fond d'écran pour désigner les ordinateurs à pirater; ça casse un peu l'immersion.

Les boss ne sont pas très recherchés et la technique pour les battre consiste généralement à prendre l'arme la plus puissante et à tenter d'en finir le plus rapidement possible; par exemple, pour NAMIR, 4 tirs de lance-grenade ont suffit dès le début de l'affrontement. Seul le deuxième boss pourra éventuellement poser quelques problèmes.

En outre, si le jeu incite à la jouer furtif, certaines armes "discrètes" sont en quantité très limitée, comme les fléchettes tranquillisantes ou bien les carreaux d'arbalète.

Il y a aussi certaines séquences de gameplay qui m'ont un peu déçu car on est parfois très assisté, comme quand par exemple, on pirate des tourelles qui se retournent contre les ennemis; la plupart du temps, ces tourelles à pirater sont judicieusement placées et c'est un peu comme si on avait à simplement à appuyer sur un bouton pour instant-kill les ennemis qui bloquent la route.

Hormis ces quelques points de détail, ce jeu a un potentiel de rejouabilité exceptionnelle. En 2019, il reste encore une valeur sure. L'univers m'a tellement emballé que j'ai acheté le tout premier (le portage PC sur PS2 et qui est disponible sur le PSN pour la PS3). Même si graphiquement, le tout premier a mal vieilli, l'intérêt du scénario et l'ambiance "dark-futur" de cette série font que j'ai vraiment accroché. Ensuite, ça sera MANKIND DIVIDED qui est déjà dans ma PS4....

Un jeu vraiment prenant dès lors que l'on se fait happer par le scénario bien amené et qui nous tiens en haleine. J'avoue avoir failli décrocher vers la mission du commissariat; beaucoup de couloirs qui se ressemblaient, et un aspect technique assez rebutant de prime abord.
Je me suis accroché, et la narration m'a convaincu de continuer. L'univers consistant, les dialogues des PNJ, la direction artistique font de ce jeu une véritable fresque futuriste cyber-punk.
Les séquences de piratages sont assez variées pour ne pas être lassantes, ni redondantes. Les choix donnés lors des dialogues permettent d'être acteurs du scénario, même si a priori ils ne sont pas "cruciaux" pour la suite de l'intrigue.
Vraiment un très bon jeu, dont j'adore l'univers et dans lequel je prend plaisir à fouiller les moindres recoins pour accumuler le plus d'infos possibles sur ce complot mêlant la société SARIF INDUSTRIES.
On est fin 2019 et je viens de découvrir cette pépite. Allez-y sans hésitation !!!

FPS/RPG sorti en 2011 sur PC,PS3 et X360 est doté d'un scénar solide permettant la rejouabilité d'ou une belle durée de vie,de bons graphismes et d'un univers très sympa a la blade runner.Par contre j'estime que les scènes d'action sont mal gerés surtout en vue 3è personne on voit que dalle et l'IA est très moyenne.

Le retour d'un des grands nom du RPG.
Human Revolution nous propose de se glisser dans la peau d'Adam Jensen. A une époque ou la technologie est devenu un atout médicinal, de plus en plus d'humains ont recours aux implants cybernétiques, on les appellent les augmentés. Si cette technologie fait les choux gras de quelques sociétés -SARIF Industries en tête-, elle est aussi à l'origine de nombreux problèmes. Lorsque SARIF, où il officie en tant que chef de la sécurité se fait attaquer, Jensen n'a d'autres choix que de plonger dans une aventure de laquelle, il ne sortira pas indemne. Lui qui a déjà trop perdu...
HR est donc un RPG où le choix du joueur tient une place importtante, ordre des missions, chemins empruntés, dialogues, tout est question de choix. Tout ? Non pas vraiment, car si le jeu propose toujours d'aborder une mission en mode "rentre-dedans" ou en mode discret, les affrontements contre les boss ne vous laisseront pas de choix, que vous le vouliez ou non, il faudra les affronter de face. Une manière de faire qui va à l'encontre du principe même du jeu... Navrant.
Hormis cela, vous traversez le jeu à l'aide de vos divers pouvoirs cybernétique et vos armes, quand vous ne trouverez pas le temps de discuter avec les nombreux PNJ ou flâner dans la gigantesque et belle ville du jeu. Car oui, le jeu vous place dans une ville ouverte avec son ambiance, sa faune etc...même si on aurait préféré plus d'interaction à ce niveau là.
Vous l'aurez compris, le jeu est grand, long, offre un panel de possibilités non négligeable. Bref, une vrai réussite malgré 2/3 défauts.

Préquelle de la série Deus Ex des années 2000, Human Revolution débarque pour nous prouver, comme l’avait fait Bioshock en son temps, que le FPS peut être intelligent et peut avoir ses lettres de noblesses…

En 2025, les augmentations ont envahis nos vies. Ces implants permettent d’améliorer nos capacités mentales ou physiques. Adam Jensen, lui, n’a pas choisi d’en avoir et pourtant, est bien obligé de s’en accommoder. A la suite d’un attentat, perpétré par de parfaits inconnus, Jensen a été reconstruit. 6 mois plus tard, il est bien décidé à les retrouver et comprendre leur motivation. Porté par de nombreux dialogues et de messages dispersés dans les niveaux, Deus Ex brille par son scénario, un brin confus parfois. L’aspect RPG, quant à lui, est porté par ces fameuses augmentations. Vous gagnez des points de compétences à dépenser avec précautions notamment dans la 1ere partie du jeu et les développeurs se sont fait plaisir sur les capacités de héros : invisibilité, vision à rayon x, piratage etc…De quoi proposer une variante à chaque nouvelle partie. Deus Ex n’est cependant pas un jeu d’action.

Bien loin de ce que les trailers laissent suggérer, vous n’êtes pas invincible et vous pouvez mourir très vite. Bien sûr, il y a des armes à feu, mais il faut plus réfléchir que de foncer dans le tas. Le level-design entre alors en jeu. Il existe bien des manières d’arriver jusqu’à l’objectif : par les égouts, voler une clé d’accès, pirater la sécurité ou…en dialoguant. La liberté est totale et chaque action a une répercussion in-game. Dommage que cela soit parfois minime. L’autre point noir, enfin, est la réalisation, passé une magnifique intro, le jeu a quand même vieilli.

Je ne puis que vous recommandez ce Deus Ex, Eidos ayant fait un très bon travail. Hâte de voir ce que donnera sa suite, Mankind Divided.

Bonjour,

Le jeu est pas mal du tout, j'ai trouvé l'ambiance un peu spéciale au début, ça ma fait un peu pensé au film « le cinquième élément », non pas les voitures volantes, mais le décors surtout. C'est une question d'habitude, après ça allait très bien !

Le jeu est vraiment bien réalisé. La bande son est au top et l'histoire est intéressante à suivre au fur et à mesure de la progression dans le jeu. Il y a une liberté de mouvement qui m'a beaucoup séduit, par exemple visiter les différentes villes, accéder au domicile personnel de Jensen, commissariat de police, clubs, ruelles, cache, notamment la possibilité de discuter avec toutes personnes que vous pouvez rencontrer dans le jeu etc...

En plus des missions principales, il y a des missions secondaires qui peuvent se rajouter par rapport à certaines personnes avec qui vous allez dialoguer.

La durée de vie du jeu est correct à mon goût.

Les musiques m'ont beaucoup plus, elles sont en rapport avec l'ambiance, ça donne un plus au jeu. Personnellement pour moi, un jeu bien avec une musique quelconque ça passe, mais lorsque qu'une musique est en symbiose avec le jeu, c'est tout de suite nettement mieux.

19 / 20, bravo, je recommande.

A bientôt

Cette nouvelle mouture avait donc fort à faire pour ne pas subir l'inévitable comparaison avec son ainé et je suis forcé de constater que le pari est réussi pour Eidos.
On retrouve les ingrédients qui ont fait la force de la licence: un bon scénario, un gameplay très riche en possibilité et on ajoute une ambiance pesante, opressante soutenue par une ost parfaitement adaptée.

Le scénario n'est pas le plus innovant dans le paysage de la science fiction, mais il a le mérite de traiter d'un sujet peu exploité dans le jeux vidéo: le transhumanisme. De plus, il bénéficie d'un rythme qui va crescendo et d'assez de rebondissement pour vous tenir en haleine, même si l'on peut se douter de ce qu'il va se passer.
A noter, les quêtes annexes sont bien écrites et agréables à effectuer.

Le gameplay offre aux joueurs plusieurs points de vue dans l'approche des situations. Vous pouvez faire votre inspecteur Harry en mettant des pralines à tout le monde ou vous la jouer subtil en passant inaperçu. Les 2 approches sont jouables même si le jeu tend à nous pousser à adopter un style plus proche de cette dernière. En effet, au delà du fait qu'une fois repéré par l'ennemi celui-ci nous envoit ad patres très rapidement, la maniabilité de Jensen dans ce style bourrin est perfectible et empêche d'atteindre la rapidité nécessaire pour se défendre. Dommage, surtout pour ceux qui comptent charcuter du mercenaire.
Le système d'augmentation est plutôt bien fichu, je regrette seulement que, pour peu qu'on fasse les quêtes annexes, la quasi intégralité de celles-ci soient débloquables. Donc finalement on se retrouve avec un personnage très polyvalent en fin de jeu, minorant nos choix de compétence au fur et à mesure de la progression.
Le level design est assez labyrinthique et propose un large panel d'option pour atteindre les différents objectifs. De plus on évite l'écueil de la dualité simpliste "chemin furtif/chemin bourrin". En bref, il y a toujours au moins 3 possibilités d'atteindre un endroit et chacun peut se jouer bourrin ou furtif. Ce qui changera c'est la complexité de jouer bourrin à tel endroit et furtif à tel autre.
Le piratage est lui aussi une réussite, jamais prise de tête, le mini-jeu est basé sur la rapidité et renforce l'immersion dans l'univers.

On en arrive à l'ambiance de ce fameux univers. Le scénario y joue un rôle très certainement, mais pas que. La direction artisitique, tantôt cyber punk pour les environnements urbains, tantôt industrie futuriste, est vraiment maîtrisée. De plus, le jeu est soutenu par un background solide qui vient enrichir la quête principale. Pour peu que l'on s'interesse à tout ce qui passe devant nos yeux, que l'on fasse attention aux très nombreux détails, qu'on s'amuse à pirater les nombreux ordinateurs et portes, on se retrouve avec une massse d'information que l'on peut s'amuser à recouper pour comprendre les agissements des personnages ou encore le contexte social des événements que nous vivons. Et c'est là que le jeu est très fort, les thèmes traités le sont de manière magistrale: transhumanisme et ses conséquences économiques et sociales, place et pouvoir des grandes firmes internationales, l'affaiblissement du poids des Etats dans le contexte économique mondialisé, espionnage industriel, théorie conspirationiste... En bref, y a de la lecture et ce n'est jamais ennuyeux à lire.
L'ambiance globale est soutenue par une bo vraiment bluffante, savant mélange entre morceaux qui appelle à la contemplation et d'autres qui font monter la tension. Bref cette bo, je suis pas prêt de l'oublier.

Le portrait ne serait pas complet sans parler du point noir qui peut tout mettre par terre: le rythme. Si je parlais de crescendo au tout début de la critique en terme positif, il ne faut pas omettre de dire que le tempo est très lent en début de jeu. Le scénario prend son temps pour se mettre en place. De plus, si les villes sont ouvertes et plutôt grandes, les quêtes annexes nous force à faire des aller-retours qui nourrissent un sentiment de répétition qui peut dégouter. On a l'impression de ne pas avancer et on perd le fil de la quête principale: la narration peut alors sembler confuse, notamment à Détroit. Le jeu se rattrape par la suite.
Autres petite ombre au tableau: l'IA. Autant les ennemis n'auront aucun mal à vous headshot à 100m, autant ils seront quelques fois incapables de vous voir alors que vous êtes à leurs pieds, un peu sur le coté derrière une caisse qui nous cache à peine.
Enfin, la qualité graphique est passable, certaines textures sont faibles.