Le seul problème que je peux avoir avec Clannad qui est plus ou moins la référence (genre le truc le plus connu) pour les animes qui font pleurer; c'est que tu peux sentir qu'ils ont tout fait pour que tu pleures. Je ne dis pas que c'est bien ou mal (moi ça me dérange pas) mais du coup ça peut carrément te bloquer. Et puis sinon y a les gens qui arrive pas à dépasser l'épisode 1 aussi.
C'est exactement ça qui m'a bloqué avec clannad. Les ficèles sont tellement grosses que ça m'a énervé au lieu de m'émouvoir.
C'est clairement une signature du studio Key de vouloir faire pleurer et c'est sur que ça se ressent! Après si on arrive à se faire transporter par l'histoire ça peut aussi ne pas déranger mais globalement c'est très compréhensible que ça puisse bloquer les gens.
Seul larme pour AnoHana , serrieu quoi cette anime est un pur chef d'oeuvre , la fin juste magnifique
Devant Clannad AS j'ai litterallement chialé les episodes après la mort de nagisa
Angels Beats et AnoHana je me suis senti super mal mais pas au point de pleurer.
pourquoi j'etais sur que la reponse serais shigatsu wa kimi no uso
Chaud cette fragilité...
Le 03 septembre 2015 à 10:56:40 toutanballon a écrit :
@BloodSilver regarde Air TV.
Je l'ai vu il y a un petit moment, je n'ai même pas bronché .
Chaud de pleurer pour ça
J'ai trouvé Code Geass et Death note bien plus triste
Moi aussi je suis très sensible...
J'ai pleuré comme une petite fille en consultant mon solde bancaire le mois dernier
J'suis pas mal émotif par rapport à ce genre de trucs, alors qu'en vrai bah c'est super rare que je pleure, comme certains VDD quoi
Pour le moment j'ai une trentaine d'anime au compteur, j'ai plus ou moins pleuré (au moins la bonne boule au ventre quoi) sur le tiers. M'enfin ça me semble clairement pas exagéré, c'est des scènes super fortes émotionnellement.
Emi et Lilly
Le dernier anime en date à m'avoir soutiré une larmichette, c'était lorsque je me suis rematé Millennium Actress pas plus tard que mercredi.
La dernière séquence SF sur la Lune suivie de la scène de la fusée
Satoshi Kon et Susumu Hirasawa, c'était vraiment un duo magique