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Sujet : [TOPIC UNIQUE] Suivi du coronavirus

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Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
15 juin 2022 à 14:28:27

Ivermectine et Together : vers un nouveau LancetGate? : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau.html
https://doyourownresearch.substack.com/p/together-trial-index-of-articles?s=w

Vaxorama Vaxorama
MP
Niveau 10
15 juin 2022 à 15:25:01

Le 15 juin 2022 à 14:28:27 :
Ivermectine et Together : vers un nouveau LancetGate? : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau.html
https://doyourownresearch.substack.com/p/together-trial-index-of-articles?s=w

"Là on est dans le cœur du sujet, les études avec des patients non concernés par la gravité de l’affection ne font que diluer les vrais résultats. Toute étude sérieuse devrait avoir comme critère d’exclusion les moins de 50 ans (idem pour Activ 6 qui vient de sortir, 57% ont moins de 50 ans)."

Vallerand Vallerand
MP
Niveau 54
15 juin 2022 à 15:44:07

Le 14 juin 2022 à 00:40:21 :
J'ai regardé la conférence en entier.

Delfraissy appelle au bon sens :) Il indique clairement que le COVID est dangereux que pour les personnes âgées.
On sent bien qu'il a le cul entre deux chaises, il ne faudrait pas froisser ceux qui le payent et à qui il doit sa carrière :siffle:

Delfraissy c'est une ordure. Le mec voulait absolument que tout le monde se masque, il prédisait limite une pandémie sans fin et aujourd'hui vu que t'as plus rien, t'entends même plus parler de lui, tu vois même plus sa gueule sur les plateaux TV :)

Lui comme d'autres de ses potes toubibs, ils vont tous finir par tourner leur veste et faire comme si ils avaient jamais voulu être alarmiste alors qu'au contraire, l'alarmisme ambiant c'était leur fond de commerce :)

RealZakarik RealZakarik
MP
Niveau 44
15 juin 2022 à 16:04:45

Le 15 juin 2022 à 13:59:38 :

Le 15 juin 2022 à 12:42:14 :

Le 15 juin 2022 à 12:18:55 :

Le 15 juin 2022 à 10:01:40 :

Le 14 juin 2022 à 04:16:46 :

> Le 14 juin 2022 à 03:27:31 :

>> Le rapport entre les biais propre au système VAERS et le fait que certains lots concentrent à eux seuls les cas les plus graves des effets secondaires?

>

> Déjà 1) as tu des données réelles sur ça, ou est-ce que ce sont des informations sortis d'obscures site ?

>

> 2) Il y a des biais même dans ces données. Le plus basique de tous : comment sont répartis les lots au sein du pays. Évidemment que des lots qui vont majoritairement atteindre des personnes aisées auront plus de facilité à voir leurs effets secondaires reportés, vu le système de santé US.

>

> Sans compter le fait qu'il y a des îles qui font partie des USA et qui sont bien plus pauvre que le continent. Vu que l'ont peut déclarer soi même un effet secondaire, ceux qui ont un accès internet valable, et les connaissances pour le faire sont aussi favorisé.

>

> Par ailleurs : quelles sont tous les lots actuellement distribué ? Combien doses par lot ? Est ce qu'il y a vraiment une disparité, ou est ce que c'est juste que certains lots ont été plus distribué que d'autres ? Si c'est par États, il y en a des largement moins vaccinés que d'autres, donc certains lots ont pu être moins distribué que d'autres.

>

> Oui, c'est plein de paramètres a prendre en compte. Et ça s'appelle une étude, en tâchant d'éliminer autant de biais que possible.

>

> > Tu as lu l’article ou tu te contentes de ses explications? C’est pas toi qui me reproche de donner la parole aux experts? Changement de veste.

>

> La critique argumentée d'études publiées fait partie de la méthode scientifique.

>

> Sortir un expert pour qu'il sorte des données non vérifiées, sans études relue, est une erreur, par contre, écouter les critiques émises par des experts sur des études parues n'en est pas une.

>

> Ce n'est pas le seul que j'ai vu pointer des problèmes sur cette étude, c'est juste le plus complet.

>

> > Le vaccin EUA n’a pas été approuvé par la FDA et n’est pas le Comirnaty. Doit-on faire confiance à Pfizer ?

>

> Il l'a été. Il s'agit juste d'un changement mineur n'ayant pas spécialement d'implication sur l'efficacité et l'innocuité du vaccin.

Et le rapport avec l’adultération des lots? Logiquement un taux de mortalité plus élevé dans un État après la vaccination suggère que le vaccin doit être administrés à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population. Sans adultėration tout les lots doivent avoir la même nocivité peut importe la région ; le vaccin est dangereux ou il ne l’est pas. Une telle disparité est anormale en soi.

Le rapport ? Ben tout simplement si tu n'as aucune autre donnée pour juger si oui, ou non, c'est disproportionné selon tel ou tel lot... Comment sais tu si ça l'est ?

Le simple fais de ne pas savoir si un lot a plus été injecté qu'un autre, ou même s'il a plus été injecté a une tranche d'âge qu'à une autre, est un énorme biais.

Figure toi que si un lot est injecté a des vieux et qu'un lot est injecté a des jeunes, le taux de mortalité ne va pas être le même. Car, je le rappel, un rapport du VAERS ne signifie pas que c'est bien lié au vaccin.

Tu réponds à moitié à ma question. As-tu lu cet article et par conséquent, comprends-tu les arguments de ce professeur à la lumière de l’article? Ou tu te contentes seulement de sa réponse?

J'y ai lu, et j'en ai lu d'autres aussi.

Ça c’est Pfizer qui le dit et on doit lui faire confiance. Le vaccin EUA n’est pas celui autorisé. Pfizer a communiqué qu’il ne produira pas de vaccins Comirnaty.

Non, je t'avais mis un lien - parce que c'est celui que j'ai trouvé et flemme de chercher plus pour d'autres - l'agence du Canada l'a dit que c'était un changement de formulation n'ayant aucun impact majeur.

C’est pas ce que j’ai dit, qu’une région où le taux de blessures vaccinales est le plus élevé signifie que le vaccin doit être administré à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population? Autrement cela voudrait dire que les lots sont différents suivant les âges. Mais comment expliquer que seule 5 % des lots sont responsables des EL (principalement dans les 48 heures après injection ce qui suggère
bien que le tir est concomitant avec l’EL) graves et pourquoi les personnes vulnérables seraient les seules à avoir reçus ces lots spécifiques?

Sais-tu comment les lots ont été répartis au sein du pays ou des institutions ?
En quelle quantité chaque lot a été distribué ?

Et donc on sait que les nanoparticules lipidiques sont susceptibles de voyager par voie sanguine et de transfecter les cellules des organes rencontrés et il s’étonne que l’article parle de l’inflammation causée par la spike (qui lors d’une infection au C-19 ne serait certainement pas là)? Ce professeur n’a sans doute jamais entendu parler de l’expérience de biodistribution de Pfizer ou des expériences sur la protéine S seule. Pareillement pour ses remarques à propos du VAERS où il insinue que les autres vaccins pourraient êtres responsables de cette explosion de cas alors que les vaccins traditionnels sont très peu sujets aux problèmes cardiovasculaires. Et oui dans certains cas et notamment pour les EL rares la causalité est à démontrer mais l’article le précise.

Si tu n'es pas satisfait de cette analyse, tu peux aussi aller voir une autre, c'est pas ça qui manque :
https://sciencebasedmedicine.org/scientific-review-articles-as-antivaccine-disinformation/

Par ailleurs, grâce à ce nouvel article, je peux légitimement remettre en cause Stephanie Seneff... Un peu plus qu'elle ne l'est déjà. A savoir que dans cette étude, c'est elle qui la dirigeait (celui qui dirige est toujours le premier nom parmi les auteurs).

Donc, du coup, Stephanie Seneff a déjà déclaré, au calme, "Le glyphosate est probablement responsable de la forme aiguë du COVID". Ah, et aussi "le glyphosate est responsable de l'autisme" et "le glyphosate est responsable de la plupart des maladies neurologiques, métaboliques, oncologiques et auto-immunes".

https://jennifermargulis.net/glyphosate-and-covid-19-connection/

Alors si tu permet, je vais la ranger tranquillement dans le même placard que Raoult et Montagnier.

Elle émet une hypothèse et ça justifie de la lyncher sur la place publique. Quand au glyphosate ou aux pesticides en général, c’est je pense un sujet beaucoup plus complexe que ça.

À voir comment évoluera la santé des personnes vaccinés dans les années à venir.

Elle émet une hypothèse basée sur du vent, et de ce qu'on peut voir de ses anciennes affirmations (oui, parce que si pour le COVID c'est une hypothèse, le reste non), j'ajouterai même qu'elle chercher à faire rentrer au forceps le COVID dans son hypothèse, étant donné qu'elle a la certitude que le Glyphosate cause tout et n'importe, plutôt que d'essayer d'obtenir des faits.

Ca en dit long sur sa manière de travailler et sa fiabilité.

Le 15 juin 2022 à 14:28:27 :
Ivermectine et Together : vers un nouveau LancetGate? : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau.html
https://doyourownresearch.substack.com/p/together-trial-index-of-articles?s=w

Il y a de nombreuses études et au moins une méta-analyse (il me semble), prouvant la non-efficacité de l'Ivermectine. Donc même si une étude a peut-être un problème, ça ne remet pas en cause les conclusions.

Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
15 juin 2022 à 20:52:44

Le 15 juin 2022 à 16:04:45 :

Le 15 juin 2022 à 13:59:38 :

Le 15 juin 2022 à 12:42:14 :

Le 15 juin 2022 à 12:18:55 :

Le 15 juin 2022 à 10:01:40 :

> Le 14 juin 2022 à 04:16:46 :

>> Le 14 juin 2022 à 03:27:31 :

> >> Le rapport entre les biais propre au système VAERS et le fait que certains lots concentrent à eux seuls les cas les plus graves des effets secondaires?

> >

> > Déjà 1) as tu des données réelles sur ça, ou est-ce que ce sont des informations sortis d'obscures site ?

> >

> > 2) Il y a des biais même dans ces données. Le plus basique de tous : comment sont répartis les lots au sein du pays. Évidemment que des lots qui vont majoritairement atteindre des personnes aisées auront plus de facilité à voir leurs effets secondaires reportés, vu le système de santé US.

> >

> > Sans compter le fait qu'il y a des îles qui font partie des USA et qui sont bien plus pauvre que le continent. Vu que l'ont peut déclarer soi même un effet secondaire, ceux qui ont un accès internet valable, et les connaissances pour le faire sont aussi favorisé.

> >

> > Par ailleurs : quelles sont tous les lots actuellement distribué ? Combien doses par lot ? Est ce qu'il y a vraiment une disparité, ou est ce que c'est juste que certains lots ont été plus distribué que d'autres ? Si c'est par États, il y en a des largement moins vaccinés que d'autres, donc certains lots ont pu être moins distribué que d'autres.

> >

> > Oui, c'est plein de paramètres a prendre en compte. Et ça s'appelle une étude, en tâchant d'éliminer autant de biais que possible.

> >

> > > Tu as lu l’article ou tu te contentes de ses explications? C’est pas toi qui me reproche de donner la parole aux experts? Changement de veste.

> >

> > La critique argumentée d'études publiées fait partie de la méthode scientifique.

> >

> > Sortir un expert pour qu'il sorte des données non vérifiées, sans études relue, est une erreur, par contre, écouter les critiques émises par des experts sur des études parues n'en est pas une.

> >

> > Ce n'est pas le seul que j'ai vu pointer des problèmes sur cette étude, c'est juste le plus complet.

> >

> > > Le vaccin EUA n’a pas été approuvé par la FDA et n’est pas le Comirnaty. Doit-on faire confiance à Pfizer ?

> >

> > Il l'a été. Il s'agit juste d'un changement mineur n'ayant pas spécialement d'implication sur l'efficacité et l'innocuité du vaccin.

>

> Et le rapport avec l’adultération des lots? Logiquement un taux de mortalité plus élevé dans un État après la vaccination suggère que le vaccin doit être administrés à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population. Sans adultėration tout les lots doivent avoir la même nocivité peut importe la région ; le vaccin est dangereux ou il ne l’est pas. Une telle disparité est anormale en soi.

Le rapport ? Ben tout simplement si tu n'as aucune autre donnée pour juger si oui, ou non, c'est disproportionné selon tel ou tel lot... Comment sais tu si ça l'est ?

Le simple fais de ne pas savoir si un lot a plus été injecté qu'un autre, ou même s'il a plus été injecté a une tranche d'âge qu'à une autre, est un énorme biais.

Figure toi que si un lot est injecté a des vieux et qu'un lot est injecté a des jeunes, le taux de mortalité ne va pas être le même. Car, je le rappel, un rapport du VAERS ne signifie pas que c'est bien lié au vaccin.

> Tu réponds à moitié à ma question. As-tu lu cet article et par conséquent, comprends-tu les arguments de ce professeur à la lumière de l’article? Ou tu te contentes seulement de sa réponse?

J'y ai lu, et j'en ai lu d'autres aussi.

> Ça c’est Pfizer qui le dit et on doit lui faire confiance. Le vaccin EUA n’est pas celui autorisé. Pfizer a communiqué qu’il ne produira pas de vaccins Comirnaty.

Non, je t'avais mis un lien - parce que c'est celui que j'ai trouvé et flemme de chercher plus pour d'autres - l'agence du Canada l'a dit que c'était un changement de formulation n'ayant aucun impact majeur.

C’est pas ce que j’ai dit, qu’une région où le taux de blessures vaccinales est le plus élevé signifie que le vaccin doit être administré à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population? Autrement cela voudrait dire que les lots sont différents suivant les âges. Mais comment expliquer que seule 5 % des lots sont responsables des EL (principalement dans les 48 heures après injection ce qui suggère
bien que le tir est concomitant avec l’EL) graves et pourquoi les personnes vulnérables seraient les seules à avoir reçus ces lots spécifiques?

Sais-tu comment les lots ont été répartis au sein du pays ou des institutions ?
En quelle quantité chaque lot a été distribué ?

Et donc on sait que les nanoparticules lipidiques sont susceptibles de voyager par voie sanguine et de transfecter les cellules des organes rencontrés et il s’étonne que l’article parle de l’inflammation causée par la spike (qui lors d’une infection au C-19 ne serait certainement pas là)? Ce professeur n’a sans doute jamais entendu parler de l’expérience de biodistribution de Pfizer ou des expériences sur la protéine S seule. Pareillement pour ses remarques à propos du VAERS où il insinue que les autres vaccins pourraient êtres responsables de cette explosion de cas alors que les vaccins traditionnels sont très peu sujets aux problèmes cardiovasculaires. Et oui dans certains cas et notamment pour les EL rares la causalité est à démontrer mais l’article le précise.

Si tu n'es pas satisfait de cette analyse, tu peux aussi aller voir une autre, c'est pas ça qui manque :
https://sciencebasedmedicine.org/scientific-review-articles-as-antivaccine-disinformation/

Par ailleurs, grâce à ce nouvel article, je peux légitimement remettre en cause Stephanie Seneff... Un peu plus qu'elle ne l'est déjà. A savoir que dans cette étude, c'est elle qui la dirigeait (celui qui dirige est toujours le premier nom parmi les auteurs).

Donc, du coup, Stephanie Seneff a déjà déclaré, au calme, "Le glyphosate est probablement responsable de la forme aiguë du COVID". Ah, et aussi "le glyphosate est responsable de l'autisme" et "le glyphosate est responsable de la plupart des maladies neurologiques, métaboliques, oncologiques et auto-immunes".

https://jennifermargulis.net/glyphosate-and-covid-19-connection/

Alors si tu permet, je vais la ranger tranquillement dans le même placard que Raoult et Montagnier.

Elle émet une hypothèse et ça justifie de la lyncher sur la place publique. Quand au glyphosate ou aux pesticides en général, c’est je pense un sujet beaucoup plus complexe que ça.

À voir comment évoluera la santé des personnes vaccinés dans les années à venir.

Elle émet une hypothèse basée sur du vent, et de ce qu'on peut voir de ses anciennes affirmations (oui, parce que si pour le COVID c'est une hypothèse, le reste non), j'ajouterai même qu'elle chercher à faire rentrer au forceps le COVID dans son hypothèse, étant donné qu'elle a la certitude que le Glyphosate cause tout et n'importe, plutôt que d'essayer d'obtenir des faits.

Ca en dit long sur sa manière de travailler et sa fiabilité.

Le 15 juin 2022 à 14:28:27 :
Ivermectine et Together : vers un nouveau LancetGate? : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau.html
https://doyourownresearch.substack.com/p/together-trial-index-of-articles?s=w

Il y a de nombreuses études et au moins une méta-analyse (il me semble), prouvant la non-efficacité de l'Ivermectine. Donc même si une étude a peut-être un problème, ça ne remet pas en cause les conclusions.

T’as un minimum de connaissances pour affirmer quoi que soit? Déjà que tu affirmes que les vaccins conventionnels n’ont aucun effets secondaires alors que les cas d’autisme explosent. Il est prouvé que les vaccins sont contaminés par des nanoparticules (et cette fois-ci je parle pas du graphène). Quand au glyphosate j’en sais rien (donc je n’affirme rien).

Il y a beaucoup d’études qui affirment l’efficacité de l’Ivermectine (et de l’HCQ). L’étude Together (comme les études Surgisphere et Recovery pour l’HCQ) présente plusieurs malversations.

Et en parlant de crédibilité scientifique, que dire des "savants" qui ont soutenus l’escroquerie des confinements et le port du masque (et les modèles de Neil Ferguson)? Les enfants, dont le cerveau est en plein développement, respirent leur dioxyde de carbone et pourquoi étant donné qu’ils ne sont pas à risque?

Tiens une étude récente :

Décès excessifs non liés au Covid, 2020-21 : dommages collatéraux des choix politiques ? : https://www.nber.org/papers/w30104

Cette étude a été menée par le National Bureau of Economic Research (NBER).

"Alors que les décès de Covid affligent massivement les personnes âgées, le nombre absolu de décès excédentaires non liés à Covid est similaire pour chacun des groupes d'âge 18-44, 45-64 et plus de 65 ans, avec essentiellement aucun excédent global de décès d'enfants. La mortalité toutes causes confondues pendant la pandémie a été élevée de 26 % pour les adultes en âge de travailler (18-64 ans), contre 18 % pour les personnes âgées."

Message édité le 15 juin 2022 à 20:55:44 par Spartacus_re
RealZakarik RealZakarik
MP
Niveau 44
15 juin 2022 à 21:05:37

Le 15 juin 2022 à 20:52:44 :

Le 15 juin 2022 à 16:04:45 :

Le 15 juin 2022 à 13:59:38 :

Le 15 juin 2022 à 12:42:14 :

Le 15 juin 2022 à 12:18:55 :

> Le 15 juin 2022 à 10:01:40 :

>> Le 14 juin 2022 à 04:16:46 :

> >> Le 14 juin 2022 à 03:27:31 :

> > >> Le rapport entre les biais propre au système VAERS et le fait que certains lots concentrent à eux seuls les cas les plus graves des effets secondaires?

> > >

> > > Déjà 1) as tu des données réelles sur ça, ou est-ce que ce sont des informations sortis d'obscures site ?

> > >

> > > 2) Il y a des biais même dans ces données. Le plus basique de tous : comment sont répartis les lots au sein du pays. Évidemment que des lots qui vont majoritairement atteindre des personnes aisées auront plus de facilité à voir leurs effets secondaires reportés, vu le système de santé US.

> > >

> > > Sans compter le fait qu'il y a des îles qui font partie des USA et qui sont bien plus pauvre que le continent. Vu que l'ont peut déclarer soi même un effet secondaire, ceux qui ont un accès internet valable, et les connaissances pour le faire sont aussi favorisé.

> > >

> > > Par ailleurs : quelles sont tous les lots actuellement distribué ? Combien doses par lot ? Est ce qu'il y a vraiment une disparité, ou est ce que c'est juste que certains lots ont été plus distribué que d'autres ? Si c'est par États, il y en a des largement moins vaccinés que d'autres, donc certains lots ont pu être moins distribué que d'autres.

> > >

> > > Oui, c'est plein de paramètres a prendre en compte. Et ça s'appelle une étude, en tâchant d'éliminer autant de biais que possible.

> > >

> > > > Tu as lu l’article ou tu te contentes de ses explications? C’est pas toi qui me reproche de donner la parole aux experts? Changement de veste.

> > >

> > > La critique argumentée d'études publiées fait partie de la méthode scientifique.

> > >

> > > Sortir un expert pour qu'il sorte des données non vérifiées, sans études relue, est une erreur, par contre, écouter les critiques émises par des experts sur des études parues n'en est pas une.

> > >

> > > Ce n'est pas le seul que j'ai vu pointer des problèmes sur cette étude, c'est juste le plus complet.

> > >

> > > > Le vaccin EUA n’a pas été approuvé par la FDA et n’est pas le Comirnaty. Doit-on faire confiance à Pfizer ?

> > >

> > > Il l'a été. Il s'agit juste d'un changement mineur n'ayant pas spécialement d'implication sur l'efficacité et l'innocuité du vaccin.

> >

> > Et le rapport avec l’adultération des lots? Logiquement un taux de mortalité plus élevé dans un État après la vaccination suggère que le vaccin doit être administrés à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population. Sans adultėration tout les lots doivent avoir la même nocivité peut importe la région ; le vaccin est dangereux ou il ne l’est pas. Une telle disparité est anormale en soi.

>

> Le rapport ? Ben tout simplement si tu n'as aucune autre donnée pour juger si oui, ou non, c'est disproportionné selon tel ou tel lot... Comment sais tu si ça l'est ?

>

> Le simple fais de ne pas savoir si un lot a plus été injecté qu'un autre, ou même s'il a plus été injecté a une tranche d'âge qu'à une autre, est un énorme biais.

>

> Figure toi que si un lot est injecté a des vieux et qu'un lot est injecté a des jeunes, le taux de mortalité ne va pas être le même. Car, je le rappel, un rapport du VAERS ne signifie pas que c'est bien lié au vaccin.

>

> > Tu réponds à moitié à ma question. As-tu lu cet article et par conséquent, comprends-tu les arguments de ce professeur à la lumière de l’article? Ou tu te contentes seulement de sa réponse?

>

> J'y ai lu, et j'en ai lu d'autres aussi.

>

> > Ça c’est Pfizer qui le dit et on doit lui faire confiance. Le vaccin EUA n’est pas celui autorisé. Pfizer a communiqué qu’il ne produira pas de vaccins Comirnaty.

>

> Non, je t'avais mis un lien - parce que c'est celui que j'ai trouvé et flemme de chercher plus pour d'autres - l'agence du Canada l'a dit que c'était un changement de formulation n'ayant aucun impact majeur.

C’est pas ce que j’ai dit, qu’une région où le taux de blessures vaccinales est le plus élevé signifie que le vaccin doit être administré à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population? Autrement cela voudrait dire que les lots sont différents suivant les âges. Mais comment expliquer que seule 5 % des lots sont responsables des EL (principalement dans les 48 heures après injection ce qui suggère
bien que le tir est concomitant avec l’EL) graves et pourquoi les personnes vulnérables seraient les seules à avoir reçus ces lots spécifiques?

Sais-tu comment les lots ont été répartis au sein du pays ou des institutions ?
En quelle quantité chaque lot a été distribué ?

Et donc on sait que les nanoparticules lipidiques sont susceptibles de voyager par voie sanguine et de transfecter les cellules des organes rencontrés et il s’étonne que l’article parle de l’inflammation causée par la spike (qui lors d’une infection au C-19 ne serait certainement pas là)? Ce professeur n’a sans doute jamais entendu parler de l’expérience de biodistribution de Pfizer ou des expériences sur la protéine S seule. Pareillement pour ses remarques à propos du VAERS où il insinue que les autres vaccins pourraient êtres responsables de cette explosion de cas alors que les vaccins traditionnels sont très peu sujets aux problèmes cardiovasculaires. Et oui dans certains cas et notamment pour les EL rares la causalité est à démontrer mais l’article le précise.

Si tu n'es pas satisfait de cette analyse, tu peux aussi aller voir une autre, c'est pas ça qui manque :
https://sciencebasedmedicine.org/scientific-review-articles-as-antivaccine-disinformation/

Par ailleurs, grâce à ce nouvel article, je peux légitimement remettre en cause Stephanie Seneff... Un peu plus qu'elle ne l'est déjà. A savoir que dans cette étude, c'est elle qui la dirigeait (celui qui dirige est toujours le premier nom parmi les auteurs).

Donc, du coup, Stephanie Seneff a déjà déclaré, au calme, "Le glyphosate est probablement responsable de la forme aiguë du COVID". Ah, et aussi "le glyphosate est responsable de l'autisme" et "le glyphosate est responsable de la plupart des maladies neurologiques, métaboliques, oncologiques et auto-immunes".

https://jennifermargulis.net/glyphosate-and-covid-19-connection/

Alors si tu permet, je vais la ranger tranquillement dans le même placard que Raoult et Montagnier.

Elle émet une hypothèse et ça justifie de la lyncher sur la place publique. Quand au glyphosate ou aux pesticides en général, c’est je pense un sujet beaucoup plus complexe que ça.

À voir comment évoluera la santé des personnes vaccinés dans les années à venir.

Elle émet une hypothèse basée sur du vent, et de ce qu'on peut voir de ses anciennes affirmations (oui, parce que si pour le COVID c'est une hypothèse, le reste non), j'ajouterai même qu'elle chercher à faire rentrer au forceps le COVID dans son hypothèse, étant donné qu'elle a la certitude que le Glyphosate cause tout et n'importe, plutôt que d'essayer d'obtenir des faits.

Ca en dit long sur sa manière de travailler et sa fiabilité.

Le 15 juin 2022 à 14:28:27 :
Ivermectine et Together : vers un nouveau LancetGate? : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau.html
https://doyourownresearch.substack.com/p/together-trial-index-of-articles?s=w

Il y a de nombreuses études et au moins une méta-analyse (il me semble), prouvant la non-efficacité de l'Ivermectine. Donc même si une étude a peut-être un problème, ça ne remet pas en cause les conclusions.

T’as un minimum de connaissances pour affirmer quoi que soit? Déjà que tu affirmes que les vaccins conventionnels n’ont aucun effets secondaires alors que les cas d’autisme explosent.

Ils ont des effets secondaires, mais non, l'autisme n'est pas un effet secondaire. C'est démontré depuis longtemps.

Il est prouvé que les vaccins sont contaminés par des nanoparticules (et cette fois-ci je parle pas du graphène). Quand au glyphosate j’en sais rien (donc je n’affirme rien).

Contaminé aux nanoparticules, ça ne veut strictement rien dire. Une nanoparticule, c'est juste une particule de taille nanométrique, mais ça peut être n'importe quoi. Même du sucre peut être une nanoparticule, pour peu qu'il soit suffisamment petit.

Il y a beaucoup d’études qui affirment l’efficacité de l’Ivermectine (et de l’HCQ). L’étude Together (comme les études Surgisphere et Recovery pour l’HCQ) présente plusieurs malversations.

Méta-analyse comme quoi l'Ivermectine ne fonctionne pas, qui n'est ni Togheter, ni Surgisphere, ni Recovery.
https://academic.oup.com/qjmed/article/114/10/721/6375958?login=false

Et en parlant de crédibilité scientifique, que dire des "savants" qui ont soutenus l’escroquerie des confinements et le port du masque (et les modèles de Neil Ferguson)? Les enfants, dont le cerveau est en plein développement, respirent leur dioxyde de carbone et pourquoi étant donné qu’ils ne sont pas à risque?

Risque non démontré pour les enfants, mais qui, par contre, protège un minimum ceux avec qui ils sont en contact.

Tiens une étude récente :

Décès excessifs non liés au Covid, 2020-21 : dommages collatéraux des choix politiques ? : https://www.nber.org/papers/w30104

Cette étude a été menée par le National Bureau of Economic Research (NBER).

"La mortalité toutes causes confondues pendant la pandémie a été élevée de 26 % pour les adultes en âge de travailler (18-64 ans), contre 18 % pour les personnes âgées."

Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

Message édité le 15 juin 2022 à 21:08:49 par RealZakarik
Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
15 juin 2022 à 21:42:59

Le 15 juin 2022 à 21:05:37 :

Le 15 juin 2022 à 20:52:44 :

Le 15 juin 2022 à 16:04:45 :

Le 15 juin 2022 à 13:59:38 :

Le 15 juin 2022 à 12:42:14 :

> Le 15 juin 2022 à 12:18:55 :

>> Le 15 juin 2022 à 10:01:40 :

> >> Le 14 juin 2022 à 04:16:46 :

> > >> Le 14 juin 2022 à 03:27:31 :

> > > >> Le rapport entre les biais propre au système VAERS et le fait que certains lots concentrent à eux seuls les cas les plus graves des effets secondaires?

> > > >

> > > > Déjà 1) as tu des données réelles sur ça, ou est-ce que ce sont des informations sortis d'obscures site ?

> > > >

> > > > 2) Il y a des biais même dans ces données. Le plus basique de tous : comment sont répartis les lots au sein du pays. Évidemment que des lots qui vont majoritairement atteindre des personnes aisées auront plus de facilité à voir leurs effets secondaires reportés, vu le système de santé US.

> > > >

> > > > Sans compter le fait qu'il y a des îles qui font partie des USA et qui sont bien plus pauvre que le continent. Vu que l'ont peut déclarer soi même un effet secondaire, ceux qui ont un accès internet valable, et les connaissances pour le faire sont aussi favorisé.

> > > >

> > > > Par ailleurs : quelles sont tous les lots actuellement distribué ? Combien doses par lot ? Est ce qu'il y a vraiment une disparité, ou est ce que c'est juste que certains lots ont été plus distribué que d'autres ? Si c'est par États, il y en a des largement moins vaccinés que d'autres, donc certains lots ont pu être moins distribué que d'autres.

> > > >

> > > > Oui, c'est plein de paramètres a prendre en compte. Et ça s'appelle une étude, en tâchant d'éliminer autant de biais que possible.

> > > >

> > > > > Tu as lu l’article ou tu te contentes de ses explications? C’est pas toi qui me reproche de donner la parole aux experts? Changement de veste.

> > > >

> > > > La critique argumentée d'études publiées fait partie de la méthode scientifique.

> > > >

> > > > Sortir un expert pour qu'il sorte des données non vérifiées, sans études relue, est une erreur, par contre, écouter les critiques émises par des experts sur des études parues n'en est pas une.

> > > >

> > > > Ce n'est pas le seul que j'ai vu pointer des problèmes sur cette étude, c'est juste le plus complet.

> > > >

> > > > > Le vaccin EUA n’a pas été approuvé par la FDA et n’est pas le Comirnaty. Doit-on faire confiance à Pfizer ?

> > > >

> > > > Il l'a été. Il s'agit juste d'un changement mineur n'ayant pas spécialement d'implication sur l'efficacité et l'innocuité du vaccin.

> > >

> > > Et le rapport avec l’adultération des lots? Logiquement un taux de mortalité plus élevé dans un État après la vaccination suggère que le vaccin doit être administrés à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population. Sans adultėration tout les lots doivent avoir la même nocivité peut importe la région ; le vaccin est dangereux ou il ne l’est pas. Une telle disparité est anormale en soi.

> >

> > Le rapport ? Ben tout simplement si tu n'as aucune autre donnée pour juger si oui, ou non, c'est disproportionné selon tel ou tel lot... Comment sais tu si ça l'est ?

> >

> > Le simple fais de ne pas savoir si un lot a plus été injecté qu'un autre, ou même s'il a plus été injecté a une tranche d'âge qu'à une autre, est un énorme biais.

> >

> > Figure toi que si un lot est injecté a des vieux et qu'un lot est injecté a des jeunes, le taux de mortalité ne va pas être le même. Car, je le rappel, un rapport du VAERS ne signifie pas que c'est bien lié au vaccin.

> >

> > > Tu réponds à moitié à ma question. As-tu lu cet article et par conséquent, comprends-tu les arguments de ce professeur à la lumière de l’article? Ou tu te contentes seulement de sa réponse?

> >

> > J'y ai lu, et j'en ai lu d'autres aussi.

> >

> > > Ça c’est Pfizer qui le dit et on doit lui faire confiance. Le vaccin EUA n’est pas celui autorisé. Pfizer a communiqué qu’il ne produira pas de vaccins Comirnaty.

> >

> > Non, je t'avais mis un lien - parce que c'est celui que j'ai trouvé et flemme de chercher plus pour d'autres - l'agence du Canada l'a dit que c'était un changement de formulation n'ayant aucun impact majeur.

>

> C’est pas ce que j’ai dit, qu’une région où le taux de blessures vaccinales est le plus élevé signifie que le vaccin doit être administré à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population? Autrement cela voudrait dire que les lots sont différents suivant les âges. Mais comment expliquer que seule 5 % des lots sont responsables des EL (principalement dans les 48 heures après injection ce qui suggère

> bien que le tir est concomitant avec l’EL) graves et pourquoi les personnes vulnérables seraient les seules à avoir reçus ces lots spécifiques?

Sais-tu comment les lots ont été répartis au sein du pays ou des institutions ?
En quelle quantité chaque lot a été distribué ?

> Et donc on sait que les nanoparticules lipidiques sont susceptibles de voyager par voie sanguine et de transfecter les cellules des organes rencontrés et il s’étonne que l’article parle de l’inflammation causée par la spike (qui lors d’une infection au C-19 ne serait certainement pas là)? Ce professeur n’a sans doute jamais entendu parler de l’expérience de biodistribution de Pfizer ou des expériences sur la protéine S seule. Pareillement pour ses remarques à propos du VAERS où il insinue que les autres vaccins pourraient êtres responsables de cette explosion de cas alors que les vaccins traditionnels sont très peu sujets aux problèmes cardiovasculaires. Et oui dans certains cas et notamment pour les EL rares la causalité est à démontrer mais l’article le précise.

Si tu n'es pas satisfait de cette analyse, tu peux aussi aller voir une autre, c'est pas ça qui manque :
https://sciencebasedmedicine.org/scientific-review-articles-as-antivaccine-disinformation/

Par ailleurs, grâce à ce nouvel article, je peux légitimement remettre en cause Stephanie Seneff... Un peu plus qu'elle ne l'est déjà. A savoir que dans cette étude, c'est elle qui la dirigeait (celui qui dirige est toujours le premier nom parmi les auteurs).

Donc, du coup, Stephanie Seneff a déjà déclaré, au calme, "Le glyphosate est probablement responsable de la forme aiguë du COVID". Ah, et aussi "le glyphosate est responsable de l'autisme" et "le glyphosate est responsable de la plupart des maladies neurologiques, métaboliques, oncologiques et auto-immunes".

https://jennifermargulis.net/glyphosate-and-covid-19-connection/

Alors si tu permet, je vais la ranger tranquillement dans le même placard que Raoult et Montagnier.

Elle émet une hypothèse et ça justifie de la lyncher sur la place publique. Quand au glyphosate ou aux pesticides en général, c’est je pense un sujet beaucoup plus complexe que ça.

À voir comment évoluera la santé des personnes vaccinés dans les années à venir.

Elle émet une hypothèse basée sur du vent, et de ce qu'on peut voir de ses anciennes affirmations (oui, parce que si pour le COVID c'est une hypothèse, le reste non), j'ajouterai même qu'elle chercher à faire rentrer au forceps le COVID dans son hypothèse, étant donné qu'elle a la certitude que le Glyphosate cause tout et n'importe, plutôt que d'essayer d'obtenir des faits.

Ca en dit long sur sa manière de travailler et sa fiabilité.

Le 15 juin 2022 à 14:28:27 :
Ivermectine et Together : vers un nouveau LancetGate? : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau.html
https://doyourownresearch.substack.com/p/together-trial-index-of-articles?s=w

Il y a de nombreuses études et au moins une méta-analyse (il me semble), prouvant la non-efficacité de l'Ivermectine. Donc même si une étude a peut-être un problème, ça ne remet pas en cause les conclusions.

T’as un minimum de connaissances pour affirmer quoi que soit? Déjà que tu affirmes que les vaccins conventionnels n’ont aucun effets secondaires alors que les cas d’autisme explosent.

Ils ont des effets secondaires, mais non, l'autisme n'est pas un effet secondaire. C'est démontré depuis longtemps.

Il est prouvé que les vaccins sont contaminés par des nanoparticules (et cette fois-ci je parle pas du graphène). Quand au glyphosate j’en sais rien (donc je n’affirme rien).

Contaminé aux nanoparticules, ça ne veut strictement rien dire. Une nanoparticule, c'est juste une particule de taille nanométrique, mais ça peut être n'importe quoi. Même du sucre peut être une nanoparticule, pour peu qu'il soit suffisamment petit.

Il y a beaucoup d’études qui affirment l’efficacité de l’Ivermectine (et de l’HCQ). L’étude Together (comme les études Surgisphere et Recovery pour l’HCQ) présente plusieurs malversations.

Méta-analyse comme quoi l'Ivermectine ne fonctionne pas, qui n'est ni Togheter, ni Surgisphere, ni Recovery.
https://academic.oup.com/qjmed/article/114/10/721/6375958?login=false

Et en parlant de crédibilité scientifique, que dire des "savants" qui ont soutenus l’escroquerie des confinements et le port du masque (et les modèles de Neil Ferguson)? Les enfants, dont le cerveau est en plein développement, respirent leur dioxyde de carbone et pourquoi étant donné qu’ils ne sont pas à risque?

Risque non démontré pour les enfants, mais qui, par contre, protège un minimum ceux avec qui ils sont en contact.

Tiens une étude récente :

Décès excessifs non liés au Covid, 2020-21 : dommages collatéraux des choix politiques ? : https://www.nber.org/papers/w30104

Cette étude a été menée par le National Bureau of Economic Research (NBER).

"La mortalité toutes causes confondues pendant la pandémie a été élevée de 26 % pour les adultes en âge de travailler (18-64 ans), contre 18 % pour les personnes âgées."

Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants. Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

Conclusion :
Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

Manier des chiffres ça doit être dans leurs cordes.

RealZakarik RealZakarik
MP
Niveau 44
15 juin 2022 à 22:11:03

Le 15 juin 2022 à 21:42:59 :

Le 15 juin 2022 à 21:05:37 :

Le 15 juin 2022 à 20:52:44 :

Le 15 juin 2022 à 16:04:45 :

Le 15 juin 2022 à 13:59:38 :

> Le 15 juin 2022 à 12:42:14 :

>> Le 15 juin 2022 à 12:18:55 :

> >> Le 15 juin 2022 à 10:01:40 :

> > >> Le 14 juin 2022 à 04:16:46 :

> > > >> Le 14 juin 2022 à 03:27:31 :

> > > > >> Le rapport entre les biais propre au système VAERS et le fait que certains lots concentrent à eux seuls les cas les plus graves des effets secondaires?

> > > > >

> > > > > Déjà 1) as tu des données réelles sur ça, ou est-ce que ce sont des informations sortis d'obscures site ?

> > > > >

> > > > > 2) Il y a des biais même dans ces données. Le plus basique de tous : comment sont répartis les lots au sein du pays. Évidemment que des lots qui vont majoritairement atteindre des personnes aisées auront plus de facilité à voir leurs effets secondaires reportés, vu le système de santé US.

> > > > >

> > > > > Sans compter le fait qu'il y a des îles qui font partie des USA et qui sont bien plus pauvre que le continent. Vu que l'ont peut déclarer soi même un effet secondaire, ceux qui ont un accès internet valable, et les connaissances pour le faire sont aussi favorisé.

> > > > >

> > > > > Par ailleurs : quelles sont tous les lots actuellement distribué ? Combien doses par lot ? Est ce qu'il y a vraiment une disparité, ou est ce que c'est juste que certains lots ont été plus distribué que d'autres ? Si c'est par États, il y en a des largement moins vaccinés que d'autres, donc certains lots ont pu être moins distribué que d'autres.

> > > > >

> > > > > Oui, c'est plein de paramètres a prendre en compte. Et ça s'appelle une étude, en tâchant d'éliminer autant de biais que possible.

> > > > >

> > > > > > Tu as lu l’article ou tu te contentes de ses explications? C’est pas toi qui me reproche de donner la parole aux experts? Changement de veste.

> > > > >

> > > > > La critique argumentée d'études publiées fait partie de la méthode scientifique.

> > > > >

> > > > > Sortir un expert pour qu'il sorte des données non vérifiées, sans études relue, est une erreur, par contre, écouter les critiques émises par des experts sur des études parues n'en est pas une.

> > > > >

> > > > > Ce n'est pas le seul que j'ai vu pointer des problèmes sur cette étude, c'est juste le plus complet.

> > > > >

> > > > > > Le vaccin EUA n’a pas été approuvé par la FDA et n’est pas le Comirnaty. Doit-on faire confiance à Pfizer ?

> > > > >

> > > > > Il l'a été. Il s'agit juste d'un changement mineur n'ayant pas spécialement d'implication sur l'efficacité et l'innocuité du vaccin.

> > > >

> > > > Et le rapport avec l’adultération des lots? Logiquement un taux de mortalité plus élevé dans un État après la vaccination suggère que le vaccin doit être administrés à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population. Sans adultėration tout les lots doivent avoir la même nocivité peut importe la région ; le vaccin est dangereux ou il ne l’est pas. Une telle disparité est anormale en soi.

> > >

> > > Le rapport ? Ben tout simplement si tu n'as aucune autre donnée pour juger si oui, ou non, c'est disproportionné selon tel ou tel lot... Comment sais tu si ça l'est ?

> > >

> > > Le simple fais de ne pas savoir si un lot a plus été injecté qu'un autre, ou même s'il a plus été injecté a une tranche d'âge qu'à une autre, est un énorme biais.

> > >

> > > Figure toi que si un lot est injecté a des vieux et qu'un lot est injecté a des jeunes, le taux de mortalité ne va pas être le même. Car, je le rappel, un rapport du VAERS ne signifie pas que c'est bien lié au vaccin.

> > >

> > > > Tu réponds à moitié à ma question. As-tu lu cet article et par conséquent, comprends-tu les arguments de ce professeur à la lumière de l’article? Ou tu te contentes seulement de sa réponse?

> > >

> > > J'y ai lu, et j'en ai lu d'autres aussi.

> > >

> > > > Ça c’est Pfizer qui le dit et on doit lui faire confiance. Le vaccin EUA n’est pas celui autorisé. Pfizer a communiqué qu’il ne produira pas de vaccins Comirnaty.

> > >

> > > Non, je t'avais mis un lien - parce que c'est celui que j'ai trouvé et flemme de chercher plus pour d'autres - l'agence du Canada l'a dit que c'était un changement de formulation n'ayant aucun impact majeur.

> >

> > C’est pas ce que j’ai dit, qu’une région où le taux de blessures vaccinales est le plus élevé signifie que le vaccin doit être administré à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population? Autrement cela voudrait dire que les lots sont différents suivant les âges. Mais comment expliquer que seule 5 % des lots sont responsables des EL (principalement dans les 48 heures après injection ce qui suggère

> > bien que le tir est concomitant avec l’EL) graves et pourquoi les personnes vulnérables seraient les seules à avoir reçus ces lots spécifiques?

>

> Sais-tu comment les lots ont été répartis au sein du pays ou des institutions ?

> En quelle quantité chaque lot a été distribué ?

>

> > Et donc on sait que les nanoparticules lipidiques sont susceptibles de voyager par voie sanguine et de transfecter les cellules des organes rencontrés et il s’étonne que l’article parle de l’inflammation causée par la spike (qui lors d’une infection au C-19 ne serait certainement pas là)? Ce professeur n’a sans doute jamais entendu parler de l’expérience de biodistribution de Pfizer ou des expériences sur la protéine S seule. Pareillement pour ses remarques à propos du VAERS où il insinue que les autres vaccins pourraient êtres responsables de cette explosion de cas alors que les vaccins traditionnels sont très peu sujets aux problèmes cardiovasculaires. Et oui dans certains cas et notamment pour les EL rares la causalité est à démontrer mais l’article le précise.

>

> Si tu n'es pas satisfait de cette analyse, tu peux aussi aller voir une autre, c'est pas ça qui manque :

> https://sciencebasedmedicine.org/scientific-review-articles-as-antivaccine-disinformation/

>

> Par ailleurs, grâce à ce nouvel article, je peux légitimement remettre en cause Stephanie Seneff... Un peu plus qu'elle ne l'est déjà. A savoir que dans cette étude, c'est elle qui la dirigeait (celui qui dirige est toujours le premier nom parmi les auteurs).

>

> Donc, du coup, Stephanie Seneff a déjà déclaré, au calme, "Le glyphosate est probablement responsable de la forme aiguë du COVID". Ah, et aussi "le glyphosate est responsable de l'autisme" et "le glyphosate est responsable de la plupart des maladies neurologiques, métaboliques, oncologiques et auto-immunes".

>

> https://jennifermargulis.net/glyphosate-and-covid-19-connection/

>

> Alors si tu permet, je vais la ranger tranquillement dans le même placard que Raoult et Montagnier.

Elle émet une hypothèse et ça justifie de la lyncher sur la place publique. Quand au glyphosate ou aux pesticides en général, c’est je pense un sujet beaucoup plus complexe que ça.

À voir comment évoluera la santé des personnes vaccinés dans les années à venir.

Elle émet une hypothèse basée sur du vent, et de ce qu'on peut voir de ses anciennes affirmations (oui, parce que si pour le COVID c'est une hypothèse, le reste non), j'ajouterai même qu'elle chercher à faire rentrer au forceps le COVID dans son hypothèse, étant donné qu'elle a la certitude que le Glyphosate cause tout et n'importe, plutôt que d'essayer d'obtenir des faits.

Ca en dit long sur sa manière de travailler et sa fiabilité.

Le 15 juin 2022 à 14:28:27 :
Ivermectine et Together : vers un nouveau LancetGate? : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau.html
https://doyourownresearch.substack.com/p/together-trial-index-of-articles?s=w

Il y a de nombreuses études et au moins une méta-analyse (il me semble), prouvant la non-efficacité de l'Ivermectine. Donc même si une étude a peut-être un problème, ça ne remet pas en cause les conclusions.

T’as un minimum de connaissances pour affirmer quoi que soit? Déjà que tu affirmes que les vaccins conventionnels n’ont aucun effets secondaires alors que les cas d’autisme explosent.

Ils ont des effets secondaires, mais non, l'autisme n'est pas un effet secondaire. C'est démontré depuis longtemps.

Il est prouvé que les vaccins sont contaminés par des nanoparticules (et cette fois-ci je parle pas du graphène). Quand au glyphosate j’en sais rien (donc je n’affirme rien).

Contaminé aux nanoparticules, ça ne veut strictement rien dire. Une nanoparticule, c'est juste une particule de taille nanométrique, mais ça peut être n'importe quoi. Même du sucre peut être une nanoparticule, pour peu qu'il soit suffisamment petit.

Il y a beaucoup d’études qui affirment l’efficacité de l’Ivermectine (et de l’HCQ). L’étude Together (comme les études Surgisphere et Recovery pour l’HCQ) présente plusieurs malversations.

Méta-analyse comme quoi l'Ivermectine ne fonctionne pas, qui n'est ni Togheter, ni Surgisphere, ni Recovery.
https://academic.oup.com/qjmed/article/114/10/721/6375958?login=false

Et en parlant de crédibilité scientifique, que dire des "savants" qui ont soutenus l’escroquerie des confinements et le port du masque (et les modèles de Neil Ferguson)? Les enfants, dont le cerveau est en plein développement, respirent leur dioxyde de carbone et pourquoi étant donné qu’ils ne sont pas à risque?

Risque non démontré pour les enfants, mais qui, par contre, protège un minimum ceux avec qui ils sont en contact.

Tiens une étude récente :

Décès excessifs non liés au Covid, 2020-21 : dommages collatéraux des choix politiques ? : https://www.nber.org/papers/w30104

Cette étude a été menée par le National Bureau of Economic Research (NBER).

"La mortalité toutes causes confondues pendant la pandémie a été élevée de 26 % pour les adultes en âge de travailler (18-64 ans), contre 18 % pour les personnes âgées."

Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

Ben non, justement, il n'y en a pas de nanoparticule métallique. Il y a des nanoparticules lipidiques, par contre.

Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

Toujours pas. Ils étaient surveillés avec une attention pour éviter ces morts justement.

Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants.

Là, je suis d'accord que ça a eu des conséquences.

Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

Conclusion :
Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

Si les masques empêchait l'oxygénation, il y aurait une hécatombe de chirurgien dans les salles d'opérations, ce qui n'est pas le cas. Au contraire, le cerveau doit être très bien oxygéné vu le boulot qu'ils font.

Par ailleurs, cette étude a déjà des problèmes qui ont été relevés.
Déjà, une seule personne, ce qui n'arrive jamais.
Ensuite, il donne son propre nom a un effet qu'il a inventé, c'est douteux.
Enfin, cet article n'est cité quasi nul part. Cela signifie qu'aucun autre scientifique n'utilise cette étude comme référence pour quoi que ce soit, et c'est une valeur importante, car c'est aussi un gage de sérieux. Une étude sérieuse sera souvent citée, une étude sans sérieux ne sera cité nul part, ou presque.

Spartacus_re Spartacus_re
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Niveau 6
15 juin 2022 à 22:30:30

Le 15 juin 2022 à 22:11:03 :

Le 15 juin 2022 à 21:42:59 :

Le 15 juin 2022 à 21:05:37 :

Le 15 juin 2022 à 20:52:44 :

Le 15 juin 2022 à 16:04:45 :

> Le 15 juin 2022 à 13:59:38 :

>> Le 15 juin 2022 à 12:42:14 :

> >> Le 15 juin 2022 à 12:18:55 :

> > >> Le 15 juin 2022 à 10:01:40 :

> > > >> Le 14 juin 2022 à 04:16:46 :

> > > > >> Le 14 juin 2022 à 03:27:31 :

> > > > > >> Le rapport entre les biais propre au système VAERS et le fait que certains lots concentrent à eux seuls les cas les plus graves des effets secondaires?

> > > > > >

> > > > > > Déjà 1) as tu des données réelles sur ça, ou est-ce que ce sont des informations sortis d'obscures site ?

> > > > > >

> > > > > > 2) Il y a des biais même dans ces données. Le plus basique de tous : comment sont répartis les lots au sein du pays. Évidemment que des lots qui vont majoritairement atteindre des personnes aisées auront plus de facilité à voir leurs effets secondaires reportés, vu le système de santé US.

> > > > > >

> > > > > > Sans compter le fait qu'il y a des îles qui font partie des USA et qui sont bien plus pauvre que le continent. Vu que l'ont peut déclarer soi même un effet secondaire, ceux qui ont un accès internet valable, et les connaissances pour le faire sont aussi favorisé.

> > > > > >

> > > > > > Par ailleurs : quelles sont tous les lots actuellement distribué ? Combien doses par lot ? Est ce qu'il y a vraiment une disparité, ou est ce que c'est juste que certains lots ont été plus distribué que d'autres ? Si c'est par États, il y en a des largement moins vaccinés que d'autres, donc certains lots ont pu être moins distribué que d'autres.

> > > > > >

> > > > > > Oui, c'est plein de paramètres a prendre en compte. Et ça s'appelle une étude, en tâchant d'éliminer autant de biais que possible.

> > > > > >

> > > > > > > Tu as lu l’article ou tu te contentes de ses explications? C’est pas toi qui me reproche de donner la parole aux experts? Changement de veste.

> > > > > >

> > > > > > La critique argumentée d'études publiées fait partie de la méthode scientifique.

> > > > > >

> > > > > > Sortir un expert pour qu'il sorte des données non vérifiées, sans études relue, est une erreur, par contre, écouter les critiques émises par des experts sur des études parues n'en est pas une.

> > > > > >

> > > > > > Ce n'est pas le seul que j'ai vu pointer des problèmes sur cette étude, c'est juste le plus complet.

> > > > > >

> > > > > > > Le vaccin EUA n’a pas été approuvé par la FDA et n’est pas le Comirnaty. Doit-on faire confiance à Pfizer ?

> > > > > >

> > > > > > Il l'a été. Il s'agit juste d'un changement mineur n'ayant pas spécialement d'implication sur l'efficacité et l'innocuité du vaccin.

> > > > >

> > > > > Et le rapport avec l’adultération des lots? Logiquement un taux de mortalité plus élevé dans un État après la vaccination suggère que le vaccin doit être administrés à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population. Sans adultėration tout les lots doivent avoir la même nocivité peut importe la région ; le vaccin est dangereux ou il ne l’est pas. Une telle disparité est anormale en soi.

> > > >

> > > > Le rapport ? Ben tout simplement si tu n'as aucune autre donnée pour juger si oui, ou non, c'est disproportionné selon tel ou tel lot... Comment sais tu si ça l'est ?

> > > >

> > > > Le simple fais de ne pas savoir si un lot a plus été injecté qu'un autre, ou même s'il a plus été injecté a une tranche d'âge qu'à une autre, est un énorme biais.

> > > >

> > > > Figure toi que si un lot est injecté a des vieux et qu'un lot est injecté a des jeunes, le taux de mortalité ne va pas être le même. Car, je le rappel, un rapport du VAERS ne signifie pas que c'est bien lié au vaccin.

> > > >

> > > > > Tu réponds à moitié à ma question. As-tu lu cet article et par conséquent, comprends-tu les arguments de ce professeur à la lumière de l’article? Ou tu te contentes seulement de sa réponse?

> > > >

> > > > J'y ai lu, et j'en ai lu d'autres aussi.

> > > >

> > > > > Ça c’est Pfizer qui le dit et on doit lui faire confiance. Le vaccin EUA n’est pas celui autorisé. Pfizer a communiqué qu’il ne produira pas de vaccins Comirnaty.

> > > >

> > > > Non, je t'avais mis un lien - parce que c'est celui que j'ai trouvé et flemme de chercher plus pour d'autres - l'agence du Canada l'a dit que c'était un changement de formulation n'ayant aucun impact majeur.

> > >

> > > C’est pas ce que j’ai dit, qu’une région où le taux de blessures vaccinales est le plus élevé signifie que le vaccin doit être administré à des personnes plus vulnérables plutôt qu’à la population? Autrement cela voudrait dire que les lots sont différents suivant les âges. Mais comment expliquer que seule 5 % des lots sont responsables des EL (principalement dans les 48 heures après injection ce qui suggère

> > > bien que le tir est concomitant avec l’EL) graves et pourquoi les personnes vulnérables seraient les seules à avoir reçus ces lots spécifiques?

> >

> > Sais-tu comment les lots ont été répartis au sein du pays ou des institutions ?

> > En quelle quantité chaque lot a été distribué ?

> >

> > > Et donc on sait que les nanoparticules lipidiques sont susceptibles de voyager par voie sanguine et de transfecter les cellules des organes rencontrés et il s’étonne que l’article parle de l’inflammation causée par la spike (qui lors d’une infection au C-19 ne serait certainement pas là)? Ce professeur n’a sans doute jamais entendu parler de l’expérience de biodistribution de Pfizer ou des expériences sur la protéine S seule. Pareillement pour ses remarques à propos du VAERS où il insinue que les autres vaccins pourraient êtres responsables de cette explosion de cas alors que les vaccins traditionnels sont très peu sujets aux problèmes cardiovasculaires. Et oui dans certains cas et notamment pour les EL rares la causalité est à démontrer mais l’article le précise.

> >

> > Si tu n'es pas satisfait de cette analyse, tu peux aussi aller voir une autre, c'est pas ça qui manque :

> > https://sciencebasedmedicine.org/scientific-review-articles-as-antivaccine-disinformation/

> >

> > Par ailleurs, grâce à ce nouvel article, je peux légitimement remettre en cause Stephanie Seneff... Un peu plus qu'elle ne l'est déjà. A savoir que dans cette étude, c'est elle qui la dirigeait (celui qui dirige est toujours le premier nom parmi les auteurs).

> >

> > Donc, du coup, Stephanie Seneff a déjà déclaré, au calme, "Le glyphosate est probablement responsable de la forme aiguë du COVID". Ah, et aussi "le glyphosate est responsable de l'autisme" et "le glyphosate est responsable de la plupart des maladies neurologiques, métaboliques, oncologiques et auto-immunes".

> >

> > https://jennifermargulis.net/glyphosate-and-covid-19-connection/

> >

> > Alors si tu permet, je vais la ranger tranquillement dans le même placard que Raoult et Montagnier.

>

> Elle émet une hypothèse et ça justifie de la lyncher sur la place publique. Quand au glyphosate ou aux pesticides en général, c’est je pense un sujet beaucoup plus complexe que ça.

>

> À voir comment évoluera la santé des personnes vaccinés dans les années à venir.

Elle émet une hypothèse basée sur du vent, et de ce qu'on peut voir de ses anciennes affirmations (oui, parce que si pour le COVID c'est une hypothèse, le reste non), j'ajouterai même qu'elle chercher à faire rentrer au forceps le COVID dans son hypothèse, étant donné qu'elle a la certitude que le Glyphosate cause tout et n'importe, plutôt que d'essayer d'obtenir des faits.

Ca en dit long sur sa manière de travailler et sa fiabilité.

> Le 15 juin 2022 à 14:28:27 :

>Ivermectine et Together : vers un nouveau LancetGate? : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau.html

> https://doyourownresearch.substack.com/p/together-trial-index-of-articles?s=w

Il y a de nombreuses études et au moins une méta-analyse (il me semble), prouvant la non-efficacité de l'Ivermectine. Donc même si une étude a peut-être un problème, ça ne remet pas en cause les conclusions.

T’as un minimum de connaissances pour affirmer quoi que soit? Déjà que tu affirmes que les vaccins conventionnels n’ont aucun effets secondaires alors que les cas d’autisme explosent.

Ils ont des effets secondaires, mais non, l'autisme n'est pas un effet secondaire. C'est démontré depuis longtemps.

Il est prouvé que les vaccins sont contaminés par des nanoparticules (et cette fois-ci je parle pas du graphène). Quand au glyphosate j’en sais rien (donc je n’affirme rien).

Contaminé aux nanoparticules, ça ne veut strictement rien dire. Une nanoparticule, c'est juste une particule de taille nanométrique, mais ça peut être n'importe quoi. Même du sucre peut être une nanoparticule, pour peu qu'il soit suffisamment petit.

Il y a beaucoup d’études qui affirment l’efficacité de l’Ivermectine (et de l’HCQ). L’étude Together (comme les études Surgisphere et Recovery pour l’HCQ) présente plusieurs malversations.

Méta-analyse comme quoi l'Ivermectine ne fonctionne pas, qui n'est ni Togheter, ni Surgisphere, ni Recovery.
https://academic.oup.com/qjmed/article/114/10/721/6375958?login=false

Et en parlant de crédibilité scientifique, que dire des "savants" qui ont soutenus l’escroquerie des confinements et le port du masque (et les modèles de Neil Ferguson)? Les enfants, dont le cerveau est en plein développement, respirent leur dioxyde de carbone et pourquoi étant donné qu’ils ne sont pas à risque?

Risque non démontré pour les enfants, mais qui, par contre, protège un minimum ceux avec qui ils sont en contact.

Tiens une étude récente :

Décès excessifs non liés au Covid, 2020-21 : dommages collatéraux des choix politiques ? : https://www.nber.org/papers/w30104

Cette étude a été menée par le National Bureau of Economic Research (NBER).

"La mortalité toutes causes confondues pendant la pandémie a été élevée de 26 % pour les adultes en âge de travailler (18-64 ans), contre 18 % pour les personnes âgées."

Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

Ben non, justement, il n'y en a pas de nanoparticule métallique. Il y a des nanoparticules lipidiques, par contre.

Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

Toujours pas. Ils étaient surveillés avec une attention pour éviter ces morts justement.

Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants.

Là, je suis d'accord que ça a eu des conséquences.

Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

Conclusion :
Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

Si les masques empêchait l'oxygénation, il y aurait une hécatombe de chirurgien dans les salles d'opérations, ce qui n'est pas le cas. Au contraire, le cerveau doit être très bien oxygéné vu le boulot qu'ils font.

Par ailleurs, cette étude a déjà des problèmes qui ont été relevés.
Déjà, une seule personne, ce qui n'arrive jamais.
Ensuite, il donne son propre nom a un effet qu'il a inventé, c'est douteux.
Enfin, cet article n'est cité quasi nul part. Cela signifie qu'aucun autre scientifique n'utilise cette étude comme référence pour quoi que ce soit, et c'est une valeur importante, car c'est aussi un gage de sérieux. Une étude sérieuse sera souvent citée, une étude sans sérieux ne sera cité nul part, ou presque.

Je parlais des vaccins conventionnels...

Le dosage d’HCQ est le quadruple de la dose maximale autorisée...

Une opération ne dure pas 8h, 5 jours/7 pendant 2 ans...

C’est un exemple d’étude, il y en a d’autres...

RealZakarik RealZakarik
MP
Niveau 44
15 juin 2022 à 22:41:36

Le 15 juin 2022 à 22:30:30 :

Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

Ben non, justement, il n'y en a pas de nanoparticule métallique. Il y a des nanoparticules lipidiques, par contre.

Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

Toujours pas. Ils étaient surveillés avec une attention pour éviter ces morts justement.

Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants.

Là, je suis d'accord que ça a eu des conséquences.

Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

Conclusion :
Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

Si les masques empêchait l'oxygénation, il y aurait une hécatombe de chirurgien dans les salles d'opérations, ce qui n'est pas le cas. Au contraire, le cerveau doit être très bien oxygéné vu le boulot qu'ils font.

Par ailleurs, cette étude a déjà des problèmes qui ont été relevés.
Déjà, une seule personne, ce qui n'arrive jamais.
Ensuite, il donne son propre nom a un effet qu'il a inventé, c'est douteux.
Enfin, cet article n'est cité quasi nul part. Cela signifie qu'aucun autre scientifique n'utilise cette étude comme référence pour quoi que ce soit, et c'est une valeur importante, car c'est aussi un gage de sérieux. Une étude sérieuse sera souvent citée, une étude sans sérieux ne sera cité nul part, ou presque.

Je parlais des vaccins conventionnels...

J'ai du fais une recherche pour savoir de quoi tu parlais.
Une contamination aux nanoparticules en quantité infinitésimale, donc sans conséquence.
Et d'après ce que j'ai trouvé, la publication sur laquelle ça se base est plus que douteuse.

Le dosage d’HCQ est le quadruple de la dose maximale autorisée...

Et alors ? C'est toléré du moment qu'il s'agit d'une étude et que toutes les précautions sont prises.
Validé par un comité d'éthique, surveillé étroitement. Tout était fait pour limiter les risques.

Une opération ne dure pas 8h, 5 jours/7 pendant 2 ans...

Et alors ? Il n'est pas rare que des médecins doivent travailler plus de 10h, particulièrement durant la pandémie qu'on a eu. Et pas loin de 7j/7. Tu as cru quoi ? Ils se tournaient les pouces durant la pandémie ? Et ils devaient avoir leur masque. Il n'y a pas eu d'hécatombe de médecins à l'hôpital pendant ces 2 ans, et il s'agissait de l'un des métiers devant le plus porter le masque.

C’est un exemple d’étude, il y en a d’autres...

Je peux dire pareil : J'en ai bien d'autres, et de plus haut niveau scientifique.

Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
15 juin 2022 à 23:17:37

Le 15 juin 2022 à 22:41:36 :

Le 15 juin 2022 à 22:30:30 :

Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

Ben non, justement, il n'y en a pas de nanoparticule métallique. Il y a des nanoparticules lipidiques, par contre.

Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

Toujours pas. Ils étaient surveillés avec une attention pour éviter ces morts justement.

Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants.

Là, je suis d'accord que ça a eu des conséquences.

Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

Conclusion :
Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

Si les masques empêchait l'oxygénation, il y aurait une hécatombe de chirurgien dans les salles d'opérations, ce qui n'est pas le cas. Au contraire, le cerveau doit être très bien oxygéné vu le boulot qu'ils font.

Par ailleurs, cette étude a déjà des problèmes qui ont été relevés.
Déjà, une seule personne, ce qui n'arrive jamais.
Ensuite, il donne son propre nom a un effet qu'il a inventé, c'est douteux.
Enfin, cet article n'est cité quasi nul part. Cela signifie qu'aucun autre scientifique n'utilise cette étude comme référence pour quoi que ce soit, et c'est une valeur importante, car c'est aussi un gage de sérieux. Une étude sérieuse sera souvent citée, une étude sans sérieux ne sera cité nul part, ou presque.

Je parlais des vaccins conventionnels...

J'ai du fais une recherche pour savoir de quoi tu parlais.
Une contamination aux nanoparticules en quantité infinitésimale, donc sans conséquence.
Et d'après ce que j'ai trouvé, la publication sur laquelle ça se base est plus que douteuse.

Le dosage d’HCQ est le quadruple de la dose maximale autorisée...

Et alors ? C'est toléré du moment qu'il s'agit d'une étude et que toutes les précautions sont prises.
Validé par un comité d'éthique, surveillé étroitement. Tout était fait pour limiter les risques.

Une opération ne dure pas 8h, 5 jours/7 pendant 2 ans...

Et alors ? Il n'est pas rare que des médecins doivent travailler plus de 10h, particulièrement durant la pandémie qu'on a eu. Et pas loin de 7j/7. Tu as cru quoi ? Ils se tournaient les pouces durant la pandémie ? Et ils devaient avoir leur masque. Il n'y a pas eu d'hécatombe de médecins à l'hôpital pendant ces 2 ans, et il s'agissait de l'un des métiers devant le plus porter le masque.

C’est un exemple d’étude, il y en a d’autres...

Je peux dire pareil : J'en ai bien d'autres, et de plus haut niveau scientifique.

J’ai déjà mentionné les 2 chercheurs italiens dont une partie des documents a été perquisitionnée par les autorités. Circulez y a rien à voir.

L’étude Surgisphere est une escroquerie révélée et l’étude Recovery a été stoppée dès qu’une scientifique extérieure à l’étude (Dr Nass) a eu connaissance du dosage utilisé (dosage qui se trouve être le même que pour l’étude Surgisphere). L’agence MHRA a précisé qu'elle n'a pas fixé de recommandations sur les dosages maximums mobilisés dans un cadre de recherche. Cette étude a été parrainé par le Wellcome Trust (GlaxoSmithKline), la Fondation Bill et Melinda Gates et le gouvernement britannique. Dans l’article du Dr. Nass : "Nous savons grâce à la consultation informelle de l'OMS du 13 mars sur le rôle potentiel de la chloroquine que la Fondation Gates avait étudié la pharmacocinétique complexe du médicament, et sur les 25 participants à cette réunion, 5 appartenaient à la Fondation Gates".

C’est toi qui parle d’hécatombe, je parle du développement cérébral des enfants. Et la perte de repères quand à la reconnaissance facial aura de très graves conséquences.

Pourquoi truquer des études (grossièrement) s’il n’y a rien à cacher?

Message édité le 15 juin 2022 à 23:18:41 par Spartacus_re
RealZakarik RealZakarik
MP
Niveau 44
15 juin 2022 à 23:27:58

Le 15 juin 2022 à 23:17:37 :

Le 15 juin 2022 à 22:41:36 :

> Le 15 juin 2022 à 22:30:30 :

>

> Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

Ben non, justement, il n'y en a pas de nanoparticule métallique. Il y a des nanoparticules lipidiques, par contre.

Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

Toujours pas. Ils étaient surveillés avec une attention pour éviter ces morts justement.

Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants.

Là, je suis d'accord que ça a eu des conséquences.

Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

Conclusion :
Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

Si les masques empêchait l'oxygénation, il y aurait une hécatombe de chirurgien dans les salles d'opérations, ce qui n'est pas le cas. Au contraire, le cerveau doit être très bien oxygéné vu le boulot qu'ils font.

Par ailleurs, cette étude a déjà des problèmes qui ont été relevés.
Déjà, une seule personne, ce qui n'arrive jamais.
Ensuite, il donne son propre nom a un effet qu'il a inventé, c'est douteux.
Enfin, cet article n'est cité quasi nul part. Cela signifie qu'aucun autre scientifique n'utilise cette étude comme référence pour quoi que ce soit, et c'est une valeur importante, car c'est aussi un gage de sérieux. Une étude sérieuse sera souvent citée, une étude sans sérieux ne sera cité nul part, ou presque.

Je parlais des vaccins conventionnels...

J'ai du fais une recherche pour savoir de quoi tu parlais.
Une contamination aux nanoparticules en quantité infinitésimale, donc sans conséquence.
Et d'après ce que j'ai trouvé, la publication sur laquelle ça se base est plus que douteuse.

Le dosage d’HCQ est le quadruple de la dose maximale autorisée...

Et alors ? C'est toléré du moment qu'il s'agit d'une étude et que toutes les précautions sont prises.
Validé par un comité d'éthique, surveillé étroitement. Tout était fait pour limiter les risques.

Une opération ne dure pas 8h, 5 jours/7 pendant 2 ans...

Et alors ? Il n'est pas rare que des médecins doivent travailler plus de 10h, particulièrement durant la pandémie qu'on a eu. Et pas loin de 7j/7. Tu as cru quoi ? Ils se tournaient les pouces durant la pandémie ? Et ils devaient avoir leur masque. Il n'y a pas eu d'hécatombe de médecins à l'hôpital pendant ces 2 ans, et il s'agissait de l'un des métiers devant le plus porter le masque.

C’est un exemple d’étude, il y en a d’autres...

Je peux dire pareil : J'en ai bien d'autres, et de plus haut niveau scientifique.

J’ai déjà mentionné les 2 chercheurs italiens dont une partie des documents a été perquisitionnée par les autorités. Circulez y a rien à voir.

L’étude Surgisphere est une escroquerie révélée et l’étude Recovery a été stoppée dès qu’une scientifique extérieure à l’étude (Dr Nass) a eu connaissance du dosage utilisé (dosage qui se trouve être le même que pour l’étude Surgisphere). L’agence MHRA a précisé qu'elle n'a pas fixé de recommandations sur les dosages maximums mobilisés dans un cadre de recherche. Cette étude a été parrainé par le Wellcome Trust (GlaxoSmithKline), la Fondation Bill et Melinda Gates et le gouvernement britannique. Dans l’article du Dr. Nass : "Nous savons grâce à la consultation informelle de l'OMS du 13 mars sur le rôle potentiel de la chloroquine que la Fondation Gates avait étudié la pharmacocinétique complexe du médicament, et sur les 25 participants à cette réunion, 5 appartenaient à la Fondation Gates".

Recovery ne s'est jamais arrêté.
https://www.recoverytrial.net/news/recovery-trial-launched-in-india

Honnêtement, Surgisphere, je n'en avais jamais entendu parler avant, donc je n'en dirais pas plus.

C’est toi qui parle d’hécatombe, je parle du développement cérébral des enfants. Et la perte de repères quand à la reconnaissance facial aura de très graves conséquences.

C'est toi qui parle de manque d'oxygène.
Manque d'oxygène = évanouissement, nausées, malaises, entre autre.
Ce qu'il n'y a pas eu dans les hôpitaux.

Donc tu mélanges tous les problèmes. Certains que tu cite sont véridique, bien que pas irrattrapable à mon avis. Le manque d'oxygène, ça n'existe pas avec le masque.

Pourquoi truquer des études (grossièrement) s’il n’y a rien à cacher?

Recovery n'a pas été truqué, pour Surgisphere, je n'ai pas d'information la-dessus.

Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
15 juin 2022 à 23:54:17

Le 15 juin 2022 à 23:27:58 :

Le 15 juin 2022 à 23:17:37 :

Le 15 juin 2022 à 22:41:36 :

> > Le 15 juin 2022 à 22:30:30 :

> >

> > Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

>

> Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

Ben non, justement, il n'y en a pas de nanoparticule métallique. Il y a des nanoparticules lipidiques, par contre.

> Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

Toujours pas. Ils étaient surveillés avec une attention pour éviter ces morts justement.

> Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants.

Là, je suis d'accord que ça a eu des conséquences.

> Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

>

> L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

>

> Conclusion :

> Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

Si les masques empêchait l'oxygénation, il y aurait une hécatombe de chirurgien dans les salles d'opérations, ce qui n'est pas le cas. Au contraire, le cerveau doit être très bien oxygéné vu le boulot qu'ils font.

Par ailleurs, cette étude a déjà des problèmes qui ont été relevés.
Déjà, une seule personne, ce qui n'arrive jamais.
Ensuite, il donne son propre nom a un effet qu'il a inventé, c'est douteux.
Enfin, cet article n'est cité quasi nul part. Cela signifie qu'aucun autre scientifique n'utilise cette étude comme référence pour quoi que ce soit, et c'est une valeur importante, car c'est aussi un gage de sérieux. Une étude sérieuse sera souvent citée, une étude sans sérieux ne sera cité nul part, ou presque.

Je parlais des vaccins conventionnels...

J'ai du fais une recherche pour savoir de quoi tu parlais.
Une contamination aux nanoparticules en quantité infinitésimale, donc sans conséquence.
Et d'après ce que j'ai trouvé, la publication sur laquelle ça se base est plus que douteuse.

Le dosage d’HCQ est le quadruple de la dose maximale autorisée...

Et alors ? C'est toléré du moment qu'il s'agit d'une étude et que toutes les précautions sont prises.
Validé par un comité d'éthique, surveillé étroitement. Tout était fait pour limiter les risques.

Une opération ne dure pas 8h, 5 jours/7 pendant 2 ans...

Et alors ? Il n'est pas rare que des médecins doivent travailler plus de 10h, particulièrement durant la pandémie qu'on a eu. Et pas loin de 7j/7. Tu as cru quoi ? Ils se tournaient les pouces durant la pandémie ? Et ils devaient avoir leur masque. Il n'y a pas eu d'hécatombe de médecins à l'hôpital pendant ces 2 ans, et il s'agissait de l'un des métiers devant le plus porter le masque.

C’est un exemple d’étude, il y en a d’autres...

Je peux dire pareil : J'en ai bien d'autres, et de plus haut niveau scientifique.

J’ai déjà mentionné les 2 chercheurs italiens dont une partie des documents a été perquisitionnée par les autorités. Circulez y a rien à voir.

L’étude Surgisphere est une escroquerie révélée et l’étude Recovery a été stoppée dès qu’une scientifique extérieure à l’étude (Dr Nass) a eu connaissance du dosage utilisé (dosage qui se trouve être le même que pour l’étude Surgisphere). L’agence MHRA a précisé qu'elle n'a pas fixé de recommandations sur les dosages maximums mobilisés dans un cadre de recherche. Cette étude a été parrainé par le Wellcome Trust (GlaxoSmithKline), la Fondation Bill et Melinda Gates et le gouvernement britannique. Dans l’article du Dr. Nass : "Nous savons grâce à la consultation informelle de l'OMS du 13 mars sur le rôle potentiel de la chloroquine que la Fondation Gates avait étudié la pharmacocinétique complexe du médicament, et sur les 25 participants à cette réunion, 5 appartenaient à la Fondation Gates".

Recovery ne s'est jamais arrêté.
https://www.recoverytrial.net/news/recovery-trial-launched-in-india

Honnêtement, Surgisphere, je n'en avais jamais entendu parler avant, donc je n'en dirais pas plus.

C’est toi qui parle d’hécatombe, je parle du développement cérébral des enfants. Et la perte de repères quand à la reconnaissance facial aura de très graves conséquences.

C'est toi qui parle de manque d'oxygène.
Manque d'oxygène = évanouissement, nausées, malaises, entre autre.
Ce qu'il n'y a pas eu dans les hôpitaux.

Donc tu mélanges tous les problèmes. Certains que tu cite sont véridique, bien que pas irrattrapable à mon avis. Le manque d'oxygène, ça n'existe pas avec le masque.

Pourquoi truquer des études (grossièrement) s’il n’y a rien à cacher?

Recovery n'a pas été truqué, pour Surgisphere, je n'ai pas d'information la-dessus.

L’essai Recovery a bien été arrêté quand à l’essai sur l’HCQ. Surgisphere c’est la fraude du Lancet qui faisait état de taux de mortalité 35% plus élevés chez les patients recevant de l’hydroxychloroquine (surdosage). L’essai Recovery fait suite à l’essai Solidarity qui a été stoppée à cause du rapport frauduleux du Lancet. Le même dosage a été réutilisé dans l’essai suivant, Recovery donc.

Un manque léger et constant d’oxygène peut être nocif même sans être immédiatement perceptible. Et les masques, réutilisés et manipulés, sont un nid à microbes.

Message édité le 15 juin 2022 à 23:55:18 par Spartacus_re
RealZakarik RealZakarik
MP
Niveau 44
16 juin 2022 à 00:46:33

Le 15 juin 2022 à 23:54:17 :

Le 15 juin 2022 à 23:27:58 :

Le 15 juin 2022 à 23:17:37 :

Le 15 juin 2022 à 22:41:36 :

> > > Le 15 juin 2022 à 22:30:30 :

> > >

> > > Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

> >

> > Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

>

> Ben non, justement, il n'y en a pas de nanoparticule métallique. Il y a des nanoparticules lipidiques, par contre.

>

> > Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

>

> Toujours pas. Ils étaient surveillés avec une attention pour éviter ces morts justement.

>

> > Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants.

>

> Là, je suis d'accord que ça a eu des conséquences.

>

> > Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

> >

> > L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

> >

> > Conclusion :

> > Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

>

> Si les masques empêchait l'oxygénation, il y aurait une hécatombe de chirurgien dans les salles d'opérations, ce qui n'est pas le cas. Au contraire, le cerveau doit être très bien oxygéné vu le boulot qu'ils font.

>

> Par ailleurs, cette étude a déjà des problèmes qui ont été relevés.

> Déjà, une seule personne, ce qui n'arrive jamais.

> Ensuite, il donne son propre nom a un effet qu'il a inventé, c'est douteux.

> Enfin, cet article n'est cité quasi nul part. Cela signifie qu'aucun autre scientifique n'utilise cette étude comme référence pour quoi que ce soit, et c'est une valeur importante, car c'est aussi un gage de sérieux. Une étude sérieuse sera souvent citée, une étude sans sérieux ne sera cité nul part, ou presque.

Je parlais des vaccins conventionnels...

J'ai du fais une recherche pour savoir de quoi tu parlais.
Une contamination aux nanoparticules en quantité infinitésimale, donc sans conséquence.
Et d'après ce que j'ai trouvé, la publication sur laquelle ça se base est plus que douteuse.

Le dosage d’HCQ est le quadruple de la dose maximale autorisée...

Et alors ? C'est toléré du moment qu'il s'agit d'une étude et que toutes les précautions sont prises.
Validé par un comité d'éthique, surveillé étroitement. Tout était fait pour limiter les risques.

Une opération ne dure pas 8h, 5 jours/7 pendant 2 ans...

Et alors ? Il n'est pas rare que des médecins doivent travailler plus de 10h, particulièrement durant la pandémie qu'on a eu. Et pas loin de 7j/7. Tu as cru quoi ? Ils se tournaient les pouces durant la pandémie ? Et ils devaient avoir leur masque. Il n'y a pas eu d'hécatombe de médecins à l'hôpital pendant ces 2 ans, et il s'agissait de l'un des métiers devant le plus porter le masque.

C’est un exemple d’étude, il y en a d’autres...

Je peux dire pareil : J'en ai bien d'autres, et de plus haut niveau scientifique.

J’ai déjà mentionné les 2 chercheurs italiens dont une partie des documents a été perquisitionnée par les autorités. Circulez y a rien à voir.

L’étude Surgisphere est une escroquerie révélée et l’étude Recovery a été stoppée dès qu’une scientifique extérieure à l’étude (Dr Nass) a eu connaissance du dosage utilisé (dosage qui se trouve être le même que pour l’étude Surgisphere). L’agence MHRA a précisé qu'elle n'a pas fixé de recommandations sur les dosages maximums mobilisés dans un cadre de recherche. Cette étude a été parrainé par le Wellcome Trust (GlaxoSmithKline), la Fondation Bill et Melinda Gates et le gouvernement britannique. Dans l’article du Dr. Nass : "Nous savons grâce à la consultation informelle de l'OMS du 13 mars sur le rôle potentiel de la chloroquine que la Fondation Gates avait étudié la pharmacocinétique complexe du médicament, et sur les 25 participants à cette réunion, 5 appartenaient à la Fondation Gates".

Recovery ne s'est jamais arrêté.
https://www.recoverytrial.net/news/recovery-trial-launched-in-india

Honnêtement, Surgisphere, je n'en avais jamais entendu parler avant, donc je n'en dirais pas plus.

C’est toi qui parle d’hécatombe, je parle du développement cérébral des enfants. Et la perte de repères quand à la reconnaissance facial aura de très graves conséquences.

C'est toi qui parle de manque d'oxygène.
Manque d'oxygène = évanouissement, nausées, malaises, entre autre.
Ce qu'il n'y a pas eu dans les hôpitaux.

Donc tu mélanges tous les problèmes. Certains que tu cite sont véridique, bien que pas irrattrapable à mon avis. Le manque d'oxygène, ça n'existe pas avec le masque.

Pourquoi truquer des études (grossièrement) s’il n’y a rien à cacher?

Recovery n'a pas été truqué, pour Surgisphere, je n'ai pas d'information la-dessus.

L’essai Recovery a bien été arrêté quand à l’essai sur l’HCQ. Surgisphere c’est la fraude du Lancet qui faisait état de taux de mortalité 35% plus élevés chez les patients recevant de l’hydroxychloroquine (surdosage). L’essai Recovery fait suite à l’essai Solidarity qui a été stoppée à cause du rapport frauduleux du Lancet. Le même dosage a été réutilisé dans l’essai suivant, Recovery donc.

La branche HCQ de l'essai Recovery a été arrêté quand il a finalement été certain de ne rien trouver, pas à cause d'un quelconque scandale.

Un manque léger et constant d’oxygène peut être nocif même sans être immédiatement perceptible. Et les masques, réutilisés et manipulés, sont un nid à microbes.

Sauf qu'il faut prouver un manque d'oxygène et ça se serait vu depuis les dizaines d'années où les médecins portent couramment un masque en hôpital, dans certains services, ceux qui enchaîne les opérations, etc.

Par ailleurs, il y a eu la démonstration, Oxymètre d'hôpital à l'appui, que même avec plusieurs masques les uns sur les autres, il n'y a pas de baisse d'O2 dans le sang. Ca avait été montré en vidéo.

J'ai retrouvé la vidéo de démonstration :
https://www.youtube.com/watch?v=k5npQivAmcE

Il met 6 masques les uns sur les autres tout en étant branché a un oxymètre. S'il y avait une quelconque variation, ça se verrait et il n'y en a... Aucune.

Message édité le 16 juin 2022 à 00:46:58 par RealZakarik
Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
16 juin 2022 à 01:17:37

Le programme d'indemnisation des blessures causées par les vaccins (VICP) et le programme d'indemnisation des blessures contre-mesures (CICP) sont actuellement confrontés à un dilemme, car des milliers de personnes pourraient ne pas recevoir de sitôt des paiements pour leurs blessures.

VICP et CICP sont submergés de plaintes concernant les vaccins. Entre 2010 et 2020, le Programme d'indemnisation des victimes de contre-mesures a reçu 500 plaintes. Au cours des deux années qui ont suivi l'apparition de Covid-19, il a reçu plus de 8 000 plaintes.

Plus de 5 000 d'entre eux sont directement liés aux vaccins Covid-19, avec des blessures allant d'une épaule douloureuse à la mort, selon la Health Resources and Services Administration.

https://www.politico.com/news/2022/06/01/vaccine-injury-compensation-programs-overwhelmed-as-congressional-reform-languishes-00033064
Données : https://www.hrsa.gov/cicp/cicp-data

Un ancien employé de Pfizer signale une étude de la FDA et avertit que le vaccin Pfizer augmente le COVID de plus de 300 % : https://www.lifesitenews.com/news/if-you-get-the-pfizer-vax-youre-more-likely-to-get-covid-insider-leaks-fda-study/

Une ancienne employée de Pfizer nommée Karen Kingston dénonce son ancien employeur. Kingston est actuellement expert en marketing pharmaceutique et analyste en biotechnologie. Lorsqu'elle a examiné l'approbation complète de la FDA pour COMIRNATY, elle a découvert une fraude flagrante dans les études cliniques de Pfizer.

L'étude Pfizer a impliqué plus de 36 000 personnes. Ceux qui ont été injectés plus tôt dans l'étude étaient plus susceptibles de contracter des infections covid plus tard, montrant une nette tendance à la baisse de l'immunité. Ceux qui sont placés dans des groupes "hautement prioritaires", qui ont été vaccinés plus tôt, ont 36% plus de risques d'infection, par rapport au groupe qui a été vacciné plus tard.

Le groupe qui a vacciné plus tard est resté non vacciné pendant 5,1 mois de plus que le groupe qui a été vacciné au début. Ce groupe placebo n'a pas eu de taux d'infection élevés pendant qu'il n'était pas vacciné, même s'il est resté plus longtemps sans aucune «protection». Pour cette raison, Kingston a déclaré que le groupe vacciné "a une chance encore plus élevée d'être infecté par le COVID-19 que la différence de 36% indiquée par cette partie de l'étude".

L'étude a même admis dans sa conclusion : "Une analyse supplémentaire semble indiquer que l'incidence du COVID-19 a généralement augmenté dans chaque groupe de participants à l'étude avec l'augmentation du temps après la dose 2." Kingston a précisé que les taux d'infection "augmentent avec le temps" lorsque les gens reçoivent deux doses d'ARNm de Pfizer.

Le plus choquant était les données sur le groupe placebo. Au cours des quatre premiers mois, le groupe placebo n'avait «aucune protection vaccinale» et a enregistré un taux d'infection de 12,6 cas pour 1 000 années-personnes. Le taux d'infection des personnes non vaccinées n'était que de 1,3 %.

Après leur période de placebo, le groupe a été «entièrement vacciné». En quelques mois seulement, ce groupe est devenu plus contagieux et a montré 43,4 cas pour 1 000 années-personnes. Leur taux d'infection a augmenté de plus de 300 % pour atteindre un taux d'infection de 4,34 %. Mme Kingston a qualifié cela de "super alarmant".

L'étude Pfizer a impliqué plus de 36 000 personnes. Ceux qui ont été injectés plus tôt dans l'étude étaient plus susceptibles de contracter des infections covid plus tard, montrant une nette tendance à la baisse de l'immunité. Ceux qui sont placés dans des groupes "hautement prioritaires", qui ont été vaccinés plus tôt, ont 36% plus de risques d'infection, par rapport au groupe qui a été vacciné plus tard.

Le groupe qui a vacciné plus tard est resté non vacciné pendant 5,1 mois de plus que le groupe qui a été vacciné au début. Ce groupe placebo n'a pas eu de taux d'infection élevés pendant qu'il n'était pas vacciné, même s'il est resté plus longtemps sans aucune «protection». Pour cette raison, Kingston a déclaré que le groupe vacciné "a une chance encore plus élevée d'être infecté par le COVID-19 que la différence de 36% indiquée par cette partie de l'étude".

L'étude a même admis dans sa conclusion : "Une analyse supplémentaire semble indiquer que l'incidence du COVID-19 a généralement augmenté dans chaque groupe de participants à l'étude avec l'augmentation du temps après la dose 2." Kingston a précisé que les taux d'infection "augmentent avec le temps" lorsque les gens reçoivent deux doses d'ARNm de Pfizer.

Le plus choquant était les données sur le groupe placebo. Au cours des quatre premiers mois, le groupe placebo n'avait «aucune protection vaccinale» et a enregistré un taux d'infection de 12,6 cas pour 1 000 années-personnes. Le taux d'infection des personnes non vaccinées n'était que de 1,3 %.

Après leur période de placebo, le groupe a été «entièrement vacciné». En quelques mois seulement, ce groupe est devenu plus contagieux et a montré 43,4 cas pour 1 000 années-personnes. Leur taux d'infection a augmenté de plus de 300 % pour atteindre un taux d'infection de 4,34 %. Mme Kingston a qualifié cela de "super alarmant".

Doc : https://www.fda.gov/media/152176/download

RealZakarik RealZakarik
MP
Niveau 44
16 juin 2022 à 01:30:45

Le 16 juin 2022 à 01:17:37 :
Le programme d'indemnisation des blessures causées par les vaccins (VICP) et le programme d'indemnisation des blessures contre-mesures (CICP) sont actuellement confrontés à un dilemme, car des milliers de personnes pourraient ne pas recevoir de sitôt des paiements pour leurs blessures.

VICP et CICP sont submergés de plaintes concernant les vaccins. Entre 2010 et 2020, le Programme d'indemnisation des victimes de contre-mesures a reçu 500 plaintes. Au cours des deux années qui ont suivi l'apparition de Covid-19, il a reçu plus de 8 000 plaintes.

Plus de 5 000 d'entre eux sont directement liés aux vaccins Covid-19, avec des blessures allant d'une épaule douloureuse à la mort, selon la Health Resources and Services Administration.

https://www.politico.com/news/2022/06/01/vaccine-injury-compensation-programs-overwhelmed-as-congressional-reform-languishes-00033064
Données : https://www.hrsa.gov/cicp/cicp-data

Pas spécialement étonnant. Il reste à faire le tri entre ce qui est lié au vaccin ou non, et ça, ça doit être le vrai bordel.

Un ancien employé de Pfizer signale une étude de la FDA et avertit que le vaccin Pfizer augmente le COVID de plus de 300 % : https://www.lifesitenews.com/news/if-you-get-the-pfizer-vax-youre-more-likely-to-get-covid-insider-leaks-fda-study/

Une ancienne employée de Pfizer nommée Karen Kingston dénonce son ancien employeur. Kingston est actuellement expert en marketing pharmaceutique et analyste en biotechnologie. Lorsqu'elle a examiné l'approbation complète de la FDA pour COMIRNATY, elle a découvert une fraude flagrante dans les études cliniques de Pfizer.

L'étude Pfizer a impliqué plus de 36 000 personnes. Ceux qui ont été injectés plus tôt dans l'étude étaient plus susceptibles de contracter des infections covid plus tard, montrant une nette tendance à la baisse de l'immunité. Ceux qui sont placés dans des groupes "hautement prioritaires", qui ont été vaccinés plus tôt, ont 36% plus de risques d'infection, par rapport au groupe qui a été vacciné plus tard.

Le groupe qui a vacciné plus tard est resté non vacciné pendant 5,1 mois de plus que le groupe qui a été vacciné au début. Ce groupe placebo n'a pas eu de taux d'infection élevés pendant qu'il n'était pas vacciné, même s'il est resté plus longtemps sans aucune «protection». Pour cette raison, Kingston a déclaré que le groupe vacciné "a une chance encore plus élevée d'être infecté par le COVID-19 que la différence de 36% indiquée par cette partie de l'étude".

L'étude a même admis dans sa conclusion : "Une analyse supplémentaire semble indiquer que l'incidence du COVID-19 a généralement augmenté dans chaque groupe de participants à l'étude avec l'augmentation du temps après la dose 2." Kingston a précisé que les taux d'infection "augmentent avec le temps" lorsque les gens reçoivent deux doses d'ARNm de Pfizer.

Le plus choquant était les données sur le groupe placebo. Au cours des quatre premiers mois, le groupe placebo n'avait «aucune protection vaccinale» et a enregistré un taux d'infection de 12,6 cas pour 1 000 années-personnes. Le taux d'infection des personnes non vaccinées n'était que de 1,3 %.

Après leur période de placebo, le groupe a été «entièrement vacciné». En quelques mois seulement, ce groupe est devenu plus contagieux et a montré 43,4 cas pour 1 000 années-personnes. Leur taux d'infection a augmenté de plus de 300 % pour atteindre un taux d'infection de 4,34 %. Mme Kingston a qualifié cela de "super alarmant".

L'étude Pfizer a impliqué plus de 36 000 personnes. Ceux qui ont été injectés plus tôt dans l'étude étaient plus susceptibles de contracter des infections covid plus tard, montrant une nette tendance à la baisse de l'immunité. Ceux qui sont placés dans des groupes "hautement prioritaires", qui ont été vaccinés plus tôt, ont 36% plus de risques d'infection, par rapport au groupe qui a été vacciné plus tard.

Le groupe qui a vacciné plus tard est resté non vacciné pendant 5,1 mois de plus que le groupe qui a été vacciné au début. Ce groupe placebo n'a pas eu de taux d'infection élevés pendant qu'il n'était pas vacciné, même s'il est resté plus longtemps sans aucune «protection». Pour cette raison, Kingston a déclaré que le groupe vacciné "a une chance encore plus élevée d'être infecté par le COVID-19 que la différence de 36% indiquée par cette partie de l'étude".

L'étude a même admis dans sa conclusion : "Une analyse supplémentaire semble indiquer que l'incidence du COVID-19 a généralement augmenté dans chaque groupe de participants à l'étude avec l'augmentation du temps après la dose 2." Kingston a précisé que les taux d'infection "augmentent avec le temps" lorsque les gens reçoivent deux doses d'ARNm de Pfizer.

Le plus choquant était les données sur le groupe placebo. Au cours des quatre premiers mois, le groupe placebo n'avait «aucune protection vaccinale» et a enregistré un taux d'infection de 12,6 cas pour 1 000 années-personnes. Le taux d'infection des personnes non vaccinées n'était que de 1,3 %.

Après leur période de placebo, le groupe a été «entièrement vacciné». En quelques mois seulement, ce groupe est devenu plus contagieux et a montré 43,4 cas pour 1 000 années-personnes. Leur taux d'infection a augmenté de plus de 300 % pour atteindre un taux d'infection de 4,34 %. Mme Kingston a qualifié cela de "super alarmant".

Doc : https://www.fda.gov/media/152176/download

Bon déjà, comme d'habitude, la source de l'article c'est : Crois moi, mec, je dis la vérité.

Et après survol du doc, je n'ai rien vu de choquant. C'est quoi, au juste, les passages problématique ? J'ai pas envie de me taper la doc de la FDA.

Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
16 juin 2022 à 02:15:22

Le 16 juin 2022 à 01:30:45 :

Le 16 juin 2022 à 01:17:37 :
Le programme d'indemnisation des blessures causées par les vaccins (VICP) et le programme d'indemnisation des blessures contre-mesures (CICP) sont actuellement confrontés à un dilemme, car des milliers de personnes pourraient ne pas recevoir de sitôt des paiements pour leurs blessures.

VICP et CICP sont submergés de plaintes concernant les vaccins. Entre 2010 et 2020, le Programme d'indemnisation des victimes de contre-mesures a reçu 500 plaintes. Au cours des deux années qui ont suivi l'apparition de Covid-19, il a reçu plus de 8 000 plaintes.

Plus de 5 000 d'entre eux sont directement liés aux vaccins Covid-19, avec des blessures allant d'une épaule douloureuse à la mort, selon la Health Resources and Services Administration.

https://www.politico.com/news/2022/06/01/vaccine-injury-compensation-programs-overwhelmed-as-congressional-reform-languishes-00033064
Données : https://www.hrsa.gov/cicp/cicp-data

Pas spécialement étonnant. Il reste à faire le tri entre ce qui est lié au vaccin ou non, et ça, ça doit être le vrai bordel.

Un ancien employé de Pfizer signale une étude de la FDA et avertit que le vaccin Pfizer augmente le COVID de plus de 300 % : https://www.lifesitenews.com/news/if-you-get-the-pfizer-vax-youre-more-likely-to-get-covid-insider-leaks-fda-study/

Une ancienne employée de Pfizer nommée Karen Kingston dénonce son ancien employeur. Kingston est actuellement expert en marketing pharmaceutique et analyste en biotechnologie. Lorsqu'elle a examiné l'approbation complète de la FDA pour COMIRNATY, elle a découvert une fraude flagrante dans les études cliniques de Pfizer.

L'étude Pfizer a impliqué plus de 36 000 personnes. Ceux qui ont été injectés plus tôt dans l'étude étaient plus susceptibles de contracter des infections covid plus tard, montrant une nette tendance à la baisse de l'immunité. Ceux qui sont placés dans des groupes "hautement prioritaires", qui ont été vaccinés plus tôt, ont 36% plus de risques d'infection, par rapport au groupe qui a été vacciné plus tard.

Le groupe qui a vacciné plus tard est resté non vacciné pendant 5,1 mois de plus que le groupe qui a été vacciné au début. Ce groupe placebo n'a pas eu de taux d'infection élevés pendant qu'il n'était pas vacciné, même s'il est resté plus longtemps sans aucune «protection». Pour cette raison, Kingston a déclaré que le groupe vacciné "a une chance encore plus élevée d'être infecté par le COVID-19 que la différence de 36% indiquée par cette partie de l'étude".

L'étude a même admis dans sa conclusion : "Une analyse supplémentaire semble indiquer que l'incidence du COVID-19 a généralement augmenté dans chaque groupe de participants à l'étude avec l'augmentation du temps après la dose 2." Kingston a précisé que les taux d'infection "augmentent avec le temps" lorsque les gens reçoivent deux doses d'ARNm de Pfizer.

Le plus choquant était les données sur le groupe placebo. Au cours des quatre premiers mois, le groupe placebo n'avait «aucune protection vaccinale» et a enregistré un taux d'infection de 12,6 cas pour 1 000 années-personnes. Le taux d'infection des personnes non vaccinées n'était que de 1,3 %.

Après leur période de placebo, le groupe a été «entièrement vacciné». En quelques mois seulement, ce groupe est devenu plus contagieux et a montré 43,4 cas pour 1 000 années-personnes. Leur taux d'infection a augmenté de plus de 300 % pour atteindre un taux d'infection de 4,34 %. Mme Kingston a qualifié cela de "super alarmant".

L'étude Pfizer a impliqué plus de 36 000 personnes. Ceux qui ont été injectés plus tôt dans l'étude étaient plus susceptibles de contracter des infections covid plus tard, montrant une nette tendance à la baisse de l'immunité. Ceux qui sont placés dans des groupes "hautement prioritaires", qui ont été vaccinés plus tôt, ont 36% plus de risques d'infection, par rapport au groupe qui a été vacciné plus tard.

Le groupe qui a vacciné plus tard est resté non vacciné pendant 5,1 mois de plus que le groupe qui a été vacciné au début. Ce groupe placebo n'a pas eu de taux d'infection élevés pendant qu'il n'était pas vacciné, même s'il est resté plus longtemps sans aucune «protection». Pour cette raison, Kingston a déclaré que le groupe vacciné "a une chance encore plus élevée d'être infecté par le COVID-19 que la différence de 36% indiquée par cette partie de l'étude".

L'étude a même admis dans sa conclusion : "Une analyse supplémentaire semble indiquer que l'incidence du COVID-19 a généralement augmenté dans chaque groupe de participants à l'étude avec l'augmentation du temps après la dose 2." Kingston a précisé que les taux d'infection "augmentent avec le temps" lorsque les gens reçoivent deux doses d'ARNm de Pfizer.

Le plus choquant était les données sur le groupe placebo. Au cours des quatre premiers mois, le groupe placebo n'avait «aucune protection vaccinale» et a enregistré un taux d'infection de 12,6 cas pour 1 000 années-personnes. Le taux d'infection des personnes non vaccinées n'était que de 1,3 %.

Après leur période de placebo, le groupe a été «entièrement vacciné». En quelques mois seulement, ce groupe est devenu plus contagieux et a montré 43,4 cas pour 1 000 années-personnes. Leur taux d'infection a augmenté de plus de 300 % pour atteindre un taux d'infection de 4,34 %. Mme Kingston a qualifié cela de "super alarmant".

Doc : https://www.fda.gov/media/152176/download

Bon déjà, comme d'habitude, la source de l'article c'est : Crois moi, mec, je dis la vérité.

Et après survol du doc, je n'ai rien vu de choquant. C'est quoi, au juste, les passages problématique ? J'ai pas envie de me taper la doc de la FDA.

Je dis pas le contraire, cependant les problèmes remontés peuvent renseigner sur les effets secondaires et suivant le degré se survenance, les comparer à d’autres données. Par exemple les problèmes cardiaques enregistrés par blessures vaccinales par rapport à l’augmentation des problèmes cardiaques toutes causes confondues.

Page 22 du document.

Message édité le 16 juin 2022 à 02:16:01 par Spartacus_re
Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
16 juin 2022 à 02:54:27

Le 16 juin 2022 à 00:46:33 :

Le 15 juin 2022 à 23:54:17 :

Le 15 juin 2022 à 23:27:58 :

Le 15 juin 2022 à 23:17:37 :

Le 15 juin 2022 à 22:41:36 :

> > > > Le 15 juin 2022 à 22:30:30 :

> > > >

> > > > Cette étude aurait plus d'impact si ce n'était pas dans une revue économique, par des économistes. Donc qui n'ont aucune compétence dans le domaine médical.

> > >

> > > Nanoparticules métalliques notamment mais je pense que tu avais compris.

> >

> > Ben non, justement, il n'y en a pas de nanoparticule métallique. Il y a des nanoparticules lipidiques, par contre.

> >

> > > Surgisphere et Recovery ont fait des morts potentiels (oui car en surdosage l’HCQ est mortelle donc tous ne sont sans doute pas morts du Covid). Pourquoi faire cela sachant que la Fondation Gates est pas loin derrière? Et que tu le veux ou non il y une grande disparité dans le résultat des études (pour l’Ivermectine et l’HCQ).

> >

> > Toujours pas. Ils étaient surveillés avec une attention pour éviter ces morts justement.

> >

> > > Alors là je refuse de laisser passer cela. Les confinements ont eu des conséquences catastrophiques sur le développement des enfants.

> >

> > Là, je suis d'accord que ça a eu des conséquences.

> >

> > > Toute une génération sacrifiée. Et pas besoins d’être un génie pour comprendre qu’un cerveau en développement a besoins d’oxygène (et parlons de la reconnaissance facial chez les très jeunes). Et j’ai déjà mis plusieurs études qui prouvent que les masques n’ont eu aucune incidence sur l’épidémie ; pire certaines montrent un effet négatif, par exemple :

> > >

> > > L'effet Foegen - Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de létalité du COVID-19 : https://journals.lww.com/md-journal/Fulltext/2022/02180/The_Foegen_effect__A_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx

> > >

> > > Conclusion :

> > > Cette étude a révélé que le port de masques faciaux pourrait imposer un grand risque aux individus, qui ne serait pas atténué par une réduction du taux d'infection. L'utilisation de masques faciaux pourrait donc être inappropriée, voire contre-indiquée, en tant qu'intervention épidémiologique contre le COVID-19. Prouver ou réfuter «l'effet Foegen» à l'aide d'études expérimentales telles que décrites ci-dessus devrait être une priorité pour les scientifiques de la santé publique.

> >

> > Si les masques empêchait l'oxygénation, il y aurait une hécatombe de chirurgien dans les salles d'opérations, ce qui n'est pas le cas. Au contraire, le cerveau doit être très bien oxygéné vu le boulot qu'ils font.

> >

> > Par ailleurs, cette étude a déjà des problèmes qui ont été relevés.

> > Déjà, une seule personne, ce qui n'arrive jamais.

> > Ensuite, il donne son propre nom a un effet qu'il a inventé, c'est douteux.

> > Enfin, cet article n'est cité quasi nul part. Cela signifie qu'aucun autre scientifique n'utilise cette étude comme référence pour quoi que ce soit, et c'est une valeur importante, car c'est aussi un gage de sérieux. Une étude sérieuse sera souvent citée, une étude sans sérieux ne sera cité nul part, ou presque.

>

> Je parlais des vaccins conventionnels...

J'ai du fais une recherche pour savoir de quoi tu parlais.
Une contamination aux nanoparticules en quantité infinitésimale, donc sans conséquence.
Et d'après ce que j'ai trouvé, la publication sur laquelle ça se base est plus que douteuse.

> Le dosage d’HCQ est le quadruple de la dose maximale autorisée...

Et alors ? C'est toléré du moment qu'il s'agit d'une étude et que toutes les précautions sont prises.
Validé par un comité d'éthique, surveillé étroitement. Tout était fait pour limiter les risques.

> Une opération ne dure pas 8h, 5 jours/7 pendant 2 ans...

Et alors ? Il n'est pas rare que des médecins doivent travailler plus de 10h, particulièrement durant la pandémie qu'on a eu. Et pas loin de 7j/7. Tu as cru quoi ? Ils se tournaient les pouces durant la pandémie ? Et ils devaient avoir leur masque. Il n'y a pas eu d'hécatombe de médecins à l'hôpital pendant ces 2 ans, et il s'agissait de l'un des métiers devant le plus porter le masque.

> C’est un exemple d’étude, il y en a d’autres...

Je peux dire pareil : J'en ai bien d'autres, et de plus haut niveau scientifique.

J’ai déjà mentionné les 2 chercheurs italiens dont une partie des documents a été perquisitionnée par les autorités. Circulez y a rien à voir.

L’étude Surgisphere est une escroquerie révélée et l’étude Recovery a été stoppée dès qu’une scientifique extérieure à l’étude (Dr Nass) a eu connaissance du dosage utilisé (dosage qui se trouve être le même que pour l’étude Surgisphere). L’agence MHRA a précisé qu'elle n'a pas fixé de recommandations sur les dosages maximums mobilisés dans un cadre de recherche. Cette étude a été parrainé par le Wellcome Trust (GlaxoSmithKline), la Fondation Bill et Melinda Gates et le gouvernement britannique. Dans l’article du Dr. Nass : "Nous savons grâce à la consultation informelle de l'OMS du 13 mars sur le rôle potentiel de la chloroquine que la Fondation Gates avait étudié la pharmacocinétique complexe du médicament, et sur les 25 participants à cette réunion, 5 appartenaient à la Fondation Gates".

Recovery ne s'est jamais arrêté.
https://www.recoverytrial.net/news/recovery-trial-launched-in-india

Honnêtement, Surgisphere, je n'en avais jamais entendu parler avant, donc je n'en dirais pas plus.

C’est toi qui parle d’hécatombe, je parle du développement cérébral des enfants. Et la perte de repères quand à la reconnaissance facial aura de très graves conséquences.

C'est toi qui parle de manque d'oxygène.
Manque d'oxygène = évanouissement, nausées, malaises, entre autre.
Ce qu'il n'y a pas eu dans les hôpitaux.

Donc tu mélanges tous les problèmes. Certains que tu cite sont véridique, bien que pas irrattrapable à mon avis. Le manque d'oxygène, ça n'existe pas avec le masque.

Pourquoi truquer des études (grossièrement) s’il n’y a rien à cacher?

Recovery n'a pas été truqué, pour Surgisphere, je n'ai pas d'information la-dessus.

L’essai Recovery a bien été arrêté quand à l’essai sur l’HCQ. Surgisphere c’est la fraude du Lancet qui faisait état de taux de mortalité 35% plus élevés chez les patients recevant de l’hydroxychloroquine (surdosage). L’essai Recovery fait suite à l’essai Solidarity qui a été stoppée à cause du rapport frauduleux du Lancet. Le même dosage a été réutilisé dans l’essai suivant, Recovery donc.

La branche HCQ de l'essai Recovery a été arrêté quand il a finalement été certain de ne rien trouver, pas à cause d'un quelconque scandale.

Un manque léger et constant d’oxygène peut être nocif même sans être immédiatement perceptible. Et les masques, réutilisés et manipulés, sont un nid à microbes.

Sauf qu'il faut prouver un manque d'oxygène et ça se serait vu depuis les dizaines d'années où les médecins portent couramment un masque en hôpital, dans certains services, ceux qui enchaîne les opérations, etc.

Par ailleurs, il y a eu la démonstration, Oxymètre d'hôpital à l'appui, que même avec plusieurs masques les uns sur les autres, il n'y a pas de baisse d'O2 dans le sang. Ca avait été montré en vidéo.

J'ai retrouvé la vidéo de démonstration :
https://www.youtube.com/watch?v=k5npQivAmcE

Il met 6 masques les uns sur les autres tout en étant branché a un oxymètre. S'il y avait une quelconque variation, ça se verrait et il n'y en a... Aucune.

Il me semble bien avoir lu cela. Après c’est sûrement pas l’explication officielle. Je vérifierai à l’occasion. Cependant l’essai Solidarity est bien connu pour être un fiasco et moins de personnes connaissent les détails de l’essai Recovery. Les mêmes doses ont été administrés dans les 2 essais. Un taux de mortalité 35% plus élevés chez les patients recevant de l’hydroxychloroquine.

Une étude publiée en 2012 a évalué l’effet du port prolongé du masque chirurgical sur la santé de 53 chirurgiens turcs. Il s’agissait de personnes en bonne santé préalable. Ils ont constaté une augmentation de la fréquence cardiaque et une diminution de saturation pulsée en oxygène (SpO2 reflet de la saturation artérielle) dès après la première heure de port du masque, en comparant aux valeurs prises sans masque. Une faible variation en saturation en oxygène (SpO2-SaO2) peut refléter une large variation de la pression partielle du sang en oxygène (PaO2).
http://scielo.isciii.es/pdf/neuro/v19n2/3.pdf

Une fraction du CO2 expiré est réinhalé à chaque cycle respiratoire. Cet effet négligeable chez une personne en bonne santé peut occasionner des troubles chez des personnes plus fragiles.

En 2015, une étude s’est intéressée à la fréquence avec laquelle nous touchons notre visage (de manière très souvent inconsciente). Le sujet étudié était alors la transmission d’infections respiratoires et de staphylocoques dorés (bactéries beaucoup plus grosses qu’un virus). En moyenne, nous touchons notre bouche 4x par heure et notre nez 3x par heure. Cela est augmenté avec le port continu d’un masque vu les irritations et les démangeaisons occasionnées.
https://www.ncbi.nlm.nih.h.gov/pmc/articles/PMC7115329/

D’où un risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées.

Et j’ai trouvé ça : L'étude sur les masques de l'OMS est sérieusement défectueuse : https://swprs.org/who-mask-study-seriously-flawed/

Message édité le 16 juin 2022 à 02:57:29 par Spartacus_re
Spartacus_re Spartacus_re
MP
Niveau 6
16 juin 2022 à 13:13:55

Liste des sujets retirés de l'étude avant la dose 2 - Phase 1 - BNT162b1 (100 μg)

https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/06/125742_S1_M5_5351_c4591001-fa-interim-discontinued-patients.pdf

Le document fournit une liste de 112 pages de sujets qui se sont retirés de l'essai clinique de phase 1 de l'injection Pfizer Covid-19, et fournit une vague description des raisons. Environ 800 personnes n'ont jamais terminé l'essai clinique de phase 1 du vaccin Pfizer Covid-19 aux États-Unis en raison soit de la mort, subissant un événement indésirable grave ou retirant brutalement son consentement.

De nombreux sujets ont mystérieusement révoqué leur consentement à poursuivre l'essai pour des raisons telles que la relecture du formulaire de consentement et la décision que ce n'était pas ce qu'ils avaient initialement convenu. Mais malheureusement, plusieurs personnes ont retiré leur consentement à la poursuite de l'essai en raison d'événements indésirables graves.

La page 110 du document mentionne une personne qui a souffert d'une embolie pulmonaire, c'est-à-dire un vaisseau sanguin dans les poumons bloqué par un caillot de sang. Cette affection peut mettre la vie en danger si elle n'est pas traitée rapidement.

La page 108 du document énumère une personne qui a subi un infarctus cérébral. La condition est également connue sous le nom d'accident vasculaire cérébral ischémique et survient à la suite d'une perturbation du flux sanguin vers le cerveau en raison de problèmes avec les vaisseaux sanguins qui l'alimentent. Un manque d'apport sanguin adéquat aux cellules cérébrales les prive d'oxygène et de nutriments vitaux, ce qui peut entraîner la mort de certaines parties du cerveau.

La page 102 du document énumère une personne qui a subi une attaque ischémique transitoire. La condition est également connue sous le nom de mini-AVC et est à nouveau causée par une perturbation de l'apport sanguin au cerveau. Malheureusement, en raison du mini-AVC, cette personne est également tombée et s'est fracturé la cheville en même temps.

La page 100 du document énumère une personne qui a retiré son consentement à poursuivre le procès en raison d'une perte d'audition et d'une surdité totale d'une oreille. La page répertorie également une autre personne qui a subi une "syncope", une perte de conscience temporaire généralement liée à un flux sanguin insuffisant vers le cerveau.

La page 94 du document énumère une personne qui a retiré son consentement en raison d'une tachycardie. La condition fait référence à une fréquence cardiaque trop rapide et peut être causée par un mauvais apport sanguin au muscle cardiaque.

La page 44 du document énumère une personne qui a retiré son consentement en raison d'une paraparésie. La condition fait référence à une paralysie partielle des deux jambes en raison de signaux nerveux perturbés du cerveau aux muscles.

Malheureusement, le document répertorie également plusieurs personnes qui n'ont plus pu participer à l'essai clinique de phase 1 en raison de la mort. Plusieurs décès peuvent être consultés tout au long du document, y compris, mais sans s'y limiter, les pages 106/107, 101, 80 et 47.

Résumé par : https://expose-news.com/2022/06/15/pfizer-documents-800-people-never-finished-trial/

MandrinLouis MandrinLouis
MP
Niveau 25
16 juin 2022 à 13:33:59

on le sait que le vaccin tue, plus que le covid, mais chuuuut l'argent de pfizer prime sur la santé des humains

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