bonsoir à tous,
je vous partage avec joie ma réflexion approfondie face à ce concept qui me semble essentiel d'être débattu par les initiés en philosophie ou par les curieux
désolé d'avance pour les fautes d'orthographe, la syntaxe grammaticale de dépravé etc.. je vais essayer de m'appliquer dans une base linguistique de façon la plus rigoureuse possible.
le concept de vérité est différent selon les auteurs, mais la plupart du moment c'est :
(c'est les deux exemples les plus connus, qui sont généralement pris en exemple dans le concept de la vérité)
déjà, si on fait un raisonnement logique mais limité, si je dis comme aphorisme :
la vérité n'existe pas
en soit c'est une vérité ? donc une vérité existe malgré tout, donc la vérité existe si on a ce genre de réflexion. Car la plupart le disent sans réflexion approfondie et je trouve ça fort dommage
le problème de la vérité, c'est qu'on a rendu la vérité tel un concept transcendant et quasiment métaphysique pour la plupart du temps et ceux qui déduit aux deux réflexions précédentes du :
- l'entendement humain n'a pas la faculté de connaître une vérité en soi
- l'entendement humain est capable de connaître une vérité à partir de raisonnement déductif
dans les deux exemples les plus connus, le premier est plutôt dans une logique septique face a la vérité (ce qui peut-être compréhensible par le dogmatisme errant dans les écrits de certains philosophes) cependant cet réflexion a été diamétralement influencé par la réflexion du "oui mais à partir des structures de nos pensées, on peut avoir des raisonnements deductifs afin de déduire en soi la vérité", donc ce n'est que deux camps qui sont juste des antinomies et qui n'attaque pas réellement au concept clair de la vérité et de son défaut majeur
au lieu de sanctifier le concept de vérité, il faudrait le mettre dans une échelle humaine et non dans une échelle idéaliste devin que tout le monde puisse accéder à la pensée :
déjà ça mettrait en accord la plupart des septiques tel que Hume, Kant etc.. par rapport au concept de vérité
j'ai une supposition a propos de la divinisation assez simple, pourquoi on a placé la vérité dans un concept transcendantale et quasiment métaphysique (ou pour la plupart métaphysique) : c'est uniquement les philosophes morales, ou moraliste ayant un avantage formelle (et compréhensible) de pouvoir avoir accès à une morale qui nous dépasse et qui permet en soi de le faire accepter en tant que vérité (puisque tout ce qui nous dépasse, ce ne sont que des raisonnements dit a priori) mais c'est peut-être aussi par escroquerie intellectuel ou par naïveté, que platon pensait qu'un autre monde nous régit et qu'on est sombre calque d'un monde parfait qui se fait aliéner par les idées
en soi, il faudrait mettre des limites dans le concept de vérité afin déjà de pouvoir plonger dans la méthode philosophique, sans faire de la masturbation intellectuelle
et donc quand on dit critique de la vérité, ou du concept vérité il faut proposer une chose qui puisse décrire la vérité avec une définition claire et tangible (et non un concept insondable ou innombrable)
je propose en particulier cet définition :
la vérité est une chose qui répond à la réalité à partir de la perception interne ou externe humaine
déjà juste avec une définition pareille, on a éliminé les idéalistes platoniciens avec le concept métaphysique, ou les "métaphysicien"
ensuite, on vient de casser les septiques avec leur définition a se plaindre que le concept de vérité est une chose qui n'est pas dans le champ humain ce qui est d'ailleurs faux
j'attends vos critiques, le pavé a été long
bide
Je post en plusieurs fois j'ai un problème de caractère non lisible.
Le 12 septembre 2022 à 22:36:20 :
je propose en particulier cet définition :
la vérité est une chose qui répond à la réalité à partir de la perception interne ou externe humaine
C'est à peu près la première définition du Larousse :
Adéquation entre la réalité et l'homme qui la pense.
cf. Larousse vérité
Pour moi c'est valable pour une vérité mais pas pour la vérité. Etant donné que cette vérité est subjective à l'homme qui la pense(sa perception) et donc relative.
Le 12 septembre 2022 à 22:36:20 :
déjà ça mettrait en accord la plupart des septiques tel que Hume, Kant etc.. par rapport au concept de vérité
Hume assimile le doute sceptique à "une maladie de l'esprit".
Ce qui est drôle c'est que Hume est sceptique sur cette question notamment avec son concept de vérité de fait.
La vérité c'est moi
Pour Hume : "Tous les objets de la raison humaine ou de nos recherches peuvent se diviser en deux genres, à savoir les relations d'idées et les faits."
"Du premier genre sont les sciences de la géométrie, de l'algèbre et de l'arithmétique et, en bref, toute affirmation qui est intuitivement ou démonstrativement certaine."
C'est la cohérence(cf.Cohérence logique), ça ne dépend pas de la réalité, mais de sa cohérence logique. La vérité en mathématiques est relative au système d'axiomes adoptés.
Son concept de la vérité de fait est relativiste, subjectif et n'est finalement qu'une extrapolation. Elle n'a de vérité que le nom.
Chez Kant il n'y a pas vraiment le concept de la vérité, mais plutôt le rapport de l'homme au réel. cf. Théorie de la connaissance de Kant
Une bonne définition de la vérité pourrait être trouvé en reprenant la définition de la cohérence :
Adéquation entre réalité et conclusion d'un système de logique avec comme point de départ un ou des axiome(s).
Ta definition ne te permet pas de parler de ce que tu ne sais pas.
je lis les critiques, et je vous dit quoi
Le 13 septembre 2022 à 16:42:43 :
Son concept de la vérité de fait est relativiste, subjectif et n'est finalement qu'une extrapolation. Elle n'a de vérité que le nom.Chez Kant il n'y a pas vraiment le concept de la vérité, mais plutôt le rapport de l'homme au réel. cf. Théorie de la connaissance de Kant
Une bonne définition de la vérité pourrait être trouvé en reprenant la définition de la cohérence :
Adéquation entre réalité et conclusion d'un système de logique avec comme point de départ un ou des axiome(s).
donc si on introduit une sorte de règle commune afin de modérer la vérité avec des limites (comme que j'ai cité la perception, et d'ailleurs le bémol de ton discours est que tu reprends une définition Larousse alors que j'implemente la notion de métaphysique qui prétend avoir une supposé vérité chez certain)
Le 13 septembre 2022 à 16:38:39 :
Pour Hume : "Tous les objets de la raison humaine ou de nos recherches peuvent se diviser en deux genres, à savoir les relations d'idées et les faits.""Du premier genre sont les sciences de la géométrie, de l'algèbre et de l'arithmétique et, en bref, toute affirmation qui est intuitivement ou démonstrativement certaine."
Hume qui dit clairement dans le chambre dans la genèse de l'idée (il me semble ça s'appelle comme ça le chapitre) que la pensée (ou de l'idée) est une chose relativement à priori et indépendant des faits,
donc avant une expérience, on a la capacité de pouvoir faire des relations entre les idées a priori afin de déduire (de façon intuitive) ou démontrer (avec une rigueur qui ne pourra dire que c'est incertain)
alors qu'une idée a priori n'est pas forcément juste
ou ça se trouve c'est moi qui lit mal hume
Le 13 septembre 2022 à 16:37:24 :
Le 12 septembre 2022 à 22:36:20 :
déjà ça mettrait en accord la plupart des septiques tel que Hume, Kant etc.. par rapport au concept de vérité
Hume assimile le doute sceptique à "une maladie de l'esprit".
Ce qui est drôle c'est que Hume est sceptique sur cette question notamment avec son concept de vérité de fait.
alors j'ai vraiment mal lu Hume, et j'en suis désolé pour le fait que je me méprends énormément, il faudrait que je m'améliore
La définition de ce qui est nécessaire et universel ne te va pas ?