Les femmes supportent mieux ce genre de souffrance physique car elles se préparent inconsciemment toute leur vie à l'accouchement
Et aussi car à mon avis elles prennent inconsciemment la turbine de tatoueur pour un penis donc qu'elles prennent du plaisir à se faire baiser a l'encre au lieu du sperme par tous les trous des pores de leur peau
Et donc que ce plaisir remplace la souffrance
Comme dans une sodomie
Je crois que c'est hyper subjectif ça.
J'ai souvent entendu dire que les femmes étaient moins dépressives (info ou intox ?), qu'elles enduraient mieux ou peut-être s'en foutaient plus ? Je sais pas.
Pourtant je connais plus de femmes histériques, parce qu'elles plafonnent en pré-rationnel déjà.
Et quand aux douleurs, le truc typique c'est l'homme qui se balade à poil dehors par -10 et la femme frileuse qui fait "ooouuuh trop froid" et les femmes qui en gros n'arrêtent pas de pleurnicher et ne peuvent en fait rien endurer. Pour le physique les hommes m'ont l'air plus franc, par nature (ou conditionnement, ou les deux).
Il y a différent types de douleurs
https://www.reddit.com/r/SampleSize/comments/6l277w/results_how_taboo_are_these_sexual_fetishes_all/
Tiens tiens tiens
On se demande bien pourquoi à l'heure où on prétend que les désirs des femmes seraient à base de "libération", elles fantasment plus que jamais de soumission
les femmes fantasment du viol mais si je le dis je vais encore me faire DDB par des lâches
nan mais osef, comme vous dites. c'était juste un exemple d'illustrer le propos sur la douleur et est-il possible de ne pas la ressentir...
ceci dit balavo , ton analyse du divan sur les femmes et le tatouage m'a fait sourire...
c'est sûrement vrai, une femme voit des phallus partout surtout quand on les touche avec et encore plus quand ça leur procure des sensations
Le 22 septembre 2020 à 12:32:01 BALAVO511 a écrit :
c'est sûrement vrai, une femme voit des phallus partout surtout quand on les touche avec et encore plus quand ça leur procure des sensations
Hé y'a pas que les femmes qui voient des phalus partout : n'importe qui qui est tourné vers le Q à un moment ou un autre de sa vie verrat des vagins et des phallus partou(ze)
Le 22 septembre 2020 à 14:08:34 M-Le-Mot-Dit a écrit :
Le 22 septembre 2020 à 12:32:01 BALAVO511 a écrit :
c'est sûrement vrai, une femme voit des phallus partout surtout quand on les touche avec et encore plus quand ça leur procure des sensationsHé y'a pas que les femmes qui voient des phalus partout : n'importe qui qui est tourné vers le Q à un moment ou un autre de sa vie verrat des vagins et des phallus partou(ze)
Ouai mais y'a plus de phallus que de vagin
Regarde ton parfum c'est un phallus
Ton stylo c'est un phallus
Les vagins sont discrets, genre un taille crayon c'est rare de le sortir
Et le sexe pour les femmes est plus cérébral et pour nous visuel
Donc quand elles voient un phallus ça les fait vraiment partir alors que nous un vagin faux ça nous fait juste marrer
pas certain que la perception de phallus partout soit attribué uniquement à la gente féminine...
sans même parler de l'homosexualité, je vois juste que quand un mec voit des phallus, et à mon avis il en perçoit bien + que tu ne le dis, c'est qu'il a envie de fourrer le sien qque part..
m'enfin c'est peut-être pas La question primordiale, bien que c'est un aspect qui hante souvent notre quotidien : le Q
Pour avancer droit dans la vie, je postule pour la question que pose à peu près tous les ouvrages de Balzac :
Pour un jeune ambitieux détenteur d'un talent certain et d'une relative droiture morale, quelle est la mesure acceptable de corruption qu'il doit boire nécessairement pour être reconnu ?
C'est la question que se posent Rastignac, Rubempré et tant d'autres.
Le 20 septembre 2020 à 19:44:28 Job777 a écrit :
Qu’elle est La question qui doit être bien réfléchie et même résolu. Qui doit passer avant toutes les autres.
La question qui n’est pas une perte de temps. La question cruciale.Pour moi c’est :
C’est quoi le bien ? Et que dois-je faire ?
Cette question me fait sourire, car c'est bien la première véritable que je me sois posé quand j'avais une dizaine d'années. Je m'imagine encore dans mon lit, dans le noir, à réfléchir pendant des heures à toutes les probabilités et résultats logiques qui me venaient à l'esprit. J'ai ressenti un grand vide en pensant qu'en l'absence d'un Dieu qui établirait les règles, le bien absolu n'existerait pas (car pendant longtemps, j'avais acquis sans le vouloir une sorte de conviction que le bien et le mal était un concept qui faisait partie de l'Univers, un peu comme si en l'absence d'êtres humains, ou de toute forme de vie intelligente, le bien et le mal existerait encore).
Au final, sans pour autant avoir vraiment trouvé une réponse, j'en ai conclu que le bien (et donc le mal étant par définition des actes opposés) est la continuité de l'intélligence, et surtout, notre capacité à ressentir des choses .
Je parle de toute intélligence qui donne un sens à l'Univers, vaste étendue de matière et d'énergie qui se meut sans raison.
Biensur dans l'absolu, nous sommes nous même une suite de hasards, et nos actes font partie de la nature, font partie d'une suite d'évolutions, une suite d'actes et de conséquences.
Mais je trouve plus intérréssant, dans la grandeur de l'univers, d'entendre une mélodie que de regarder indéfiniment un gros rocher sans vie tourner en rond et respectant des règles de phisique (même si c'est magnifique).
Pour moi, la seule évolution de l'homme n'aura de valeur que si elle est liée à son ressenti, et non pas à son intélligence brute. A quoi bon avoir des supercalculateur s'il n'y à personne capable de s'émerveiller des résultats ?
Savoir pour savoir, n'à aucun sens. Donc au final, je dirais que le Bien, c'est le ressenti, lié à la capacité d'utiliser son intelligence afin de faire perdurer ce ressenti.
La question la plus importante : "Qu'est ce qu'il se passe ?"