Tu caricatures ce que je dis. Je n'ai jamais dit que ça convenait à tout le monde et que tout le monde devait l'adopter. Le minimalisme ce n'est pas vivre à l'époque des cavernes. J'ai déjà écris à propos de ça dans mes précédents messages.
Edit : la vision du minimalisme que je partage plus ou moins : http://www.theminimalists.com/radical/
Waish gros faut pas voir ce que je t'ai dis comme un reproche/critique sur toi : ton topic, je crois, voulez discuter du less is more.
Aussi je t'en es donné ma vision
Je n'ai jamais dis que tu avais dis que ça convenait à tout le monde : je remarque juste que ce n'est pas le cas.
Et de mon point de vue, ne pas rechercher à avoir plus (ce qui est la base de cette philosophie, ton lien le prouve : l'auteur se contente de ce qu'il a sans se demander comment améliorer sa qualité de vie) c'est accepter le fait que si nos ancêtres avaient fait de même nous serions bel et bien à l'âge des cavernes. Ce n'est ni une caricature ni en désaccord avec tes propos : je pense que c'est tout simplement l'envie d'avoir "plus" qui nous a poussé en tout premier lieu à acquérir des connaissances techniques.
Si tu es désaccord avec ça, ce que je conçois, je te pris de m'éclairer à renfort d'argument
Il se peut que j'explique mal. Ce que je dis c'est que tu commentes quelque chose que je n'ai pas soutenu ici.
Et de mon point de vue, ne pas rechercher à avoir plus (ce qui est la base de cette philosophie, ton lien le prouve : l'auteur se contente de ce qu'il a sans se demander comment améliorer sa qualité de vie) c'est accepter le fait que si nos ancêtres avaient fait de même nous serions bel et bien à l'âge des cavernes. Ce n'est ni une caricature ni en désaccord avec tes propos : je pense que c'est tout simplement l'envie d'avoir "plus" qui nous a poussé en tout premier lieu à acquérir des connaissances techniques.
Qu'est-ce qui est le plus minimaliste :
Personnellement, je préfère le briquet et la liseuse, car ces deux choses m'imposent moins de contraintes physiques. C'est ma manière d'être minimaliste que de privilégier ces choses. Une autre personne trouvera à redire sur mes choix. L'autre aspect du minimalisme (aspect stoïcien), c'est de se détacher de ces choses. Si je perds ma liseuse avec toute les bouquins dessus, ce n'est pas grave pour moi. J'y suis mentalement préparé.
Ces deux exemples montrent bien que le minimalisme (dans mon cas) ne s'oppose pas au progrès technologique. Bien au contraire, dans mon premier message je cite notamment la dématérialisation comme un progrès pour se libérer de contraintes matérielles (comme tout est disponible tout le temps en ligne, je n'ai pas besoin de stocker des choses).
Le bonheur est de continuer de désirer ce que l'on possède. Nous avons le choix entre la peur et l'amour. La peur de perdre car nous sommes dépendants de tel ou tel chose (matériels très souvent), ou l'amour de simplement aimer ce qui est déjà. Aimer ce qui est déjà c'est se contenter de ce qui déjà nous appartient, donc peu. Je pense donc que le bonheur est de ne dépendre de rien, et que dépendre de tel ou tel chose pour recevoir satisfaction, n'est que plaisir. Mais plaisir est contraire de bonheur. Car plaisir éphémère, bonheur est infini, si nous le comprenons véritablement. MON point de vue.
@ ideationn Je suis d'accord mais il faut tenir compte du fait que ce n'est pas qu'un rêve de pauvre, c'est un rêve *imposé* à tous par les entreprises, la publicité, la société en générale. De nombreuses séries télévisées ont été conçues précisément pour vendre ce rêve (je pense en particulier à Beverly Hills 90210, racontant l'histoire d'une famille de la classe moyenne cherchant à s'intégrer dans un quartier de riches, que mes frangins regardaient quand j'étais môme, et que du coup je regardais avec eux sans y avoir jamais vu le moindre intérêt en fait)
(et d'autres séries TV d'ailleurs prenaient le contrepied et montraient comment les histoires d'argent pouvaient pourrir une vie de famille, c'est le cas de Dallas, par exemple)