CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Etoile Abonnement RSS

Sujet : Prologue de mon roman

DébutPage précedente
1
Page suivantePage suivante
FranckBarron FranckBarron
MP
Niveau 2
31 octobre 2022 à 08:34:47

On est à la fin des temps, depuis que je suis adolescent je le sais,
depuis que j'ai 12 ans et que je suis devant le poêle du préfabriqué de
cinquième, et que la vieille bique bourgeoise de français me fait cours.
La pauvre a vu la déchéance de sa civilisation, mais elle ne connaît pas
"no future", elle détesterait la science fiction, les ordinateurs et
surement aussi Donald Trump !
Elle enseigne que Voltaire, Rousseau, Racine, Corneille, Molière, et
Victor Hugo, bref elle n'a pas lu "Substance mort" de K.Dick, pour elle
on est fichu.
Remarquez que l'élève que je suis n'en a rien à foutre, elle-même a
subit une opération esthétique le jour de mai 68, elle laisse poindre
des petits tétons à travers un chemisier, depuis que les fumeurs de
joints ont pris le pouvoir sans s'en rendre compte, elle a perdu toute
vertu comme beaucoup à cette époque. Il aurait été malvenu de faire une
remarque, comme le slip de bain qui vous colle les jours de la piscine.
Un des rares cas où on se sent très mal, et qui pour madame ne demandait
pas l'ombre d'une remarque dans sa sévérité.
Cette catastrophique horreur qu'est l'orthographe vous empoisonne
l'existence, vous regardez une phrase et son sens, pas des mots et un
jeu de constructions syntaxiques, pervers, qui vous empoisonne
l'existence, n'apportant pas de signifié, ayant compris c'est la
première chose qu'on n'abordera jamais, il faudrait la mise en cause,
justement ce dont rêvait sa génération et qui n'a abouti à rien.
Se remettre en cause, c'est reconnaître ses erreurs, cette génération
s'étant égarée dans l'extrême gauche, trotskiste, maoïste, et autres
idéologismes, sachant que l'idée prime avant la réalité des faits, ce
qui montre à quel point cette génération était capricieuse, et
absolument hors de toutes remises en cause, et allait devenir cette
idéologie réactionnaire qui allait voter plus tard pour Sarkosy ou Macron.
Pour le prof ce qui compte c'est le signifiant, le travail, pas le
signifié, c'est là où on imagine qu'ils auraient pu nous envoyer dans
des camps maoïstes suffit d'un changement d'idéologie, la sienne était
pourtant assez claire, c'était Voltaire et le siècle des lumières. Mais
il fallait avant tout maîtriser l'orthographe et la grammaire, sachant
qu'à l'image de la société et de la personne apte à l'étude, c'est un
savoir indispensable à maîtriser, c'est à dire qui ne rapporte rien, le
signifié, il faut le concevoir, n'est jamais une chose que l'on remet en
jeu.
C'est l'heure, on va rendre la dictée, le cauchemar a déjà commencé,
l'imperturbable note s'affiche devant ses yeux, zéro, c'est tout ce
qu'il obtiendra, c'est tout ce qu'il a cherché à obtenir en définitive
vous me direz, ne sachant et nous voulant pas savoir ce que c'est qu'un
adverbe ou un COD, saloperie de chiures de mouches qu'il n'en a encore
rien à foutre aujourd'hui et on ne le changera jamais, il aime que ce
qui rapporte à soi-même, et pas ce qui est sensé rapporter par rapport
aux autres, étant l'idéologie de tous les dominants. Ce qui rapporte
avant tout à soi, pas dans la pensée égoïste, ce qui rapporte à soi,
dans la pensée du bien, qui avant tout de comprendre que l'on ne peut
pas comprendre et expliquer le bien. Ce qui donne une qualité à l'être
est de ne pas partir d'une pensée égoïste, rechercher son profit et son
vouloir, dans le fait de maîtriser l'inutile du conformisme qu'est
l'école et la dictée en est une. Antonio est triste du résultat, il
n'assume pas le verdict, celui de la société, il vient toujours quand on
regardera ce que tu as écris, zéro, comme il est médiocre.
Il a trois amis, l'un d'extrême droite, l'un d'extrême cynisme, l'autre
auquel il est moins lié, un copain et amis des deux, d'extrême je m'en
foutisme, il a 12 ans. C'est le cynique bourgeois qui fera les
meilleures études et aura le meilleur boulot, au fond cela est déjà prévu.

Le deuxième cours de la journée est celui d'Italien, personne ne dit
rien, surtout l'extrême cynique Baliba qui a déjà prévu ce qui fallait
apprendre par cœur sur une feuille, dans la copie qu'il allait remettre.
L'interro se passe bien, l'extrême cynique a déjà les réponses au
devoir, Antonio n'a pas réussi à le lui soutenir.
Le prof d'Italien a un nom à consonance italienne, un adepte de
Mussolini. Il n'y a jamais le moindre bruit dans la classe ; au moindre
chuchotement, il vous menace de vous envoyez en conseil de discipline,
il rentre dans une rage démente, devant une telle colère personne ne
moufte rien. Mais toute la classe pense la même chose même si on ne
s'est pas adressé la parole, ce type est dément, mais que vaut la pensée
d'un élève de 12 ans.
Antonio a une invitation du bourgeois cynique Baliba à jouer.
"Tu veux venir après les cours faire une partie sur Apple II".
"Pourquoi pas après tout" répondît Antonio.

Baliba habite pas loin de chez Antonio, c'est un deux étages, son père
qui tient une entreprise informatique a besoin d'un étage pour ses
ordinateurs, Baliba s'est trouvé seul dans cette classe fréquentée de
brutes de banlieues, il s'est trouvé un ami, un collège de centre ville
qui mélange toutes les classes sociales.
Il est plutôt beau gosse, passe toujours pour quelqu'un de poli et
sociable, tout le contraire d'Antonio de ce côté là, et puis cela fait
toujours bien d'être l'ami d'Antonio, il est sympa, et il est
intelligent, mignon aux yeux des filles, et ce qu'il n'ose pas dire aux
autres, Baliba avait comme un regret d'être pas comme lui, comme s'il
n'avait pas sa franchise. Baliba l'a invité entre midi et deux, à
l'heure pour manger.
Baliba s'est emparé du téléphone.
"Je vais t'expliquer ce qu'il faut faire".
Baliba a déjà en ligne les deux inséparables copines et bons élèves,
assez moches mais la langue assez pendue pour répondre à ce culotté de
Baliba. Elles sont charmées par le baratin de cet imbécile, c'est cela
qui énerve le plus Antonio.
"File-moi les réponses à la deuxième question du devoir d'Italien, je te
fournis le reste"
En fait, ce sont elles qui fournissaient tout.
"Voilà comment on se débrouille dans la vie" dit Baliba en raccrochant.
C'était un ami, il fallait qu'il l'aide. Antonio ne sut pas quoi lui
répondre.
Cet empoté d'Antonio ne savait pas se débrouiller, c'est ce que pensait
Baliba, mais il le trouvait sympa et marrant. Il y avait comme une
mésentente avec Antonio, Baliba savait vivre en société et se faire des
copains avec ses voisines, lui, Antonio se foutait de tout, c'est ce
qu'il pensait.
Antonio n'épilogua pas sur l'histoire, il avait un œuf avec une salade
au dîner. Baliba annonça fièrement qu'il savait faire à manger. Antonio
n'osa pas lui dire que s'il y avait une chose qu'on n'allait lui
apprendre, étant d'une famille bien française, où on aime la bouffe,
c'est la faire. Il ne préféra pas épiloguer sur la difficulté du plat,
on reconnaît à ce genre d'individu comme Baliba, c'est sa mauvaise foi.
Après avoir mangé, on passa à l'étage. Baliba faisait le malin avec ses
disquettes piratées.
"Je vais te montrer quelque chose" Baliba glissa une disquette cinq
pouces un quart dans le lecteur de l'Apple II qui se mit a crisser ;
l'écran en monocolore et 256 par 256 mimait une scène de sexe numérique,
Baliba était content de lui et tout sourire de sa démonstration. Voilà
un avantage d'avoir un ordinateur, il n'osait pas le dire mais c'est ce
qu'il pensait exprimer.
"On va faire une partie de Bilestoad, je vais te massacrer"
Il avait un avantage à ce jeu parce qu'il n'avait pas d'ordinateur,
c'est ce qu'avait toujours pensé Antonio. Deux guerriers vu du dessus
qui s'affrontent avec haches et boucliers, des corps transpercés dans
des éclaboussures de sang, des membres découpés et qui tombent, on ne
verrait pas cela dans un jeu moderne, cela remplissait de joie Baliba.
Antonio ne remporta aucune partie, ne maîtrisant pas le jeu. Il y avait
eu le temps de faire une partie, la défaite avait déjà été suffisante.

FranckBarron FranckBarron
MP
Niveau 2
31 octobre 2022 à 08:35:18

Il s'agit d'étudier la grande littérature, Flaubert, Théophile Gautier,
Hemingway, Simenon et le roman de Françoise Sagan sont au programme,
Bonjour Tristesse. Oui, François Mitterrand a été élu, la gauche a une
politique culturelle et aussi un grand écrivain. La civilisation
disparaissait avec les grands écrivains, le passé était trop lourd pour
qu'elle ne méprise pas la disparition de l'intellectuel et du grand
philosophe, alors autant mettre en avant quelqu'un qui en cette fin de
XXéme siècle était un écrivain. C'était sa référence et l'idéologie
qu'elle pensait défendre, le féminisme et la liberté que la femme a le
droit de saisir et de profiter, en étendard des années 60. Il faut dire
que c'est une écrivaine préférée de sa mère, il ne devrait pas
critiquer, mais quand même, le cynisme, l'immoralité et l'absence de
remords de la narratrice du livre avait frappé Antonio. C'était pas son
histoire, il n'en avait rien à foutre et avait rien retenu de celle-ci,
à part qu'il trouvait la narratrice tête de linotte et ingénue, bref il
l'a détesté, c'était ces bourgeois qu'il méprisait comprenant le
signifiant et ignorant le signifié. Elle pouvait tout se permettre dans
sa liberté de femme, et elle n'avait pas à subir les conséquences de ses
actes et n'avait pas à être jugée. Antonio ne se serait pas permis le
quart de cette insupportable emmerdeuse, et il aurait été convoqué et
viré trois jours de l'école, la vieille bique, cela lui venait même pas
l'esprit de faire des comparaisons, on avait 12 ans, le travail,
l'autorité et la morale, c'est tout ce qui comptait.

Mon père me propose de m'envoyer chez les jésuites, ce n'est pas ce que
je ferais, je préfère le service public, je n'ai envie d'aller voir de
nouveaux tyrans. Acomaçon le prof d'Italien a recommencé à menacer de
renvoyer un élève parce qu'il avait chuchoté une phrase. Le silence est
établi un fois pour toute, on n'entend que le bruit des feuilles
ballotés par le vent, remuant la poussière sous les fenêtres, en ce mois
d'hiver, c'est la seule chose qu'il veut entendre, un silence de
poussière. Tout le monde est terrorisé, Antonio n'en dort pas la nuit,
mais il s'accommode de tout. Acomaçon pense déjà savoir qui va déjà
passer en CCPM, il a tout le monde dans la ligne de mire.
L'autre cours de la journée était le cours de mathématique. Vous avez 18
en cinquième, vous aurez 13 en terminal, c'est par cette affirmation
péremptoire qu'avait débuté le premier cours de mathématique. Et on ne
peut rien y faire, avait-il sous-entendu. Son autorité était assise sur
ce genre de certitudes, celle des mathématiques.
Antonio à 12 ans a déjà compris la relativité en essayant de résoudre un
des nombreux problèmes qu'il se pose, il ne va pas vous l'expliquer.
Mais il peut vous expliquer la relativité restreinte, les vitesses ne
pouvant pas s'additionner au delà de la vitesse de la lumière, limite
physique, c'est le temps qui s'écoule plus vite selon la vitesse, pas
les vitesses qui s'additionnent, et donc aussi de l'endroit où vous vous
trouvez. Dans un référentiel inertiel, immobile, le temps est suspendu.
Mais il ne s'agit pas d'expliquer cela, non aujourd'hui, ce sont les
bijections que le prof explique, malheureusement ce raisonnement
n'existe pas, on ne peut l'associer à aucun raisonnement de relativité,
cette logique n'existe pas dans la réalité, seulement dans vos équations.
Il n'aurait de toute façon pas compris s'il lui avait expliqué cela. De
toute façon, il n'avait pas envie d'apprendre cela, il avait décidé de
rien retenir d'un raisonnement qui n'existait pas. Au demeurant la
théorie n'empêchait pas de résoudre les équations, mais il avait décidé
de rien faire, vu que le but était de passer pour un con, autant rien
foutre.
Que le mètre et la mesure peuvent mesurer les choses, mais la mesure est
fausse, vos raisonnements sont faux. Parce que ni le mètre ni la mesure
n'existent, vous êtes censé ne donner aucune mesure, les deux endroits
sont par essence superposés, vos sens s'accommodent de cette
superposition, qui crée le déterminisme à travers vos sens, la réalité,
mais l'illusion que vous percevez à travers vos sens est vacuité. Vous
voyez le déterminisme, votre réalité, mais pas les conséquences qui
l'ont créé, qui n'est rien que l'appropriation à votre sens et à votre
mental.

La vieille bique bourgeoise, notre prof de français, mdm Durtel, a voté
Francois Mitterand, ce n'est pas ce qu'elle a dit, mais c'est ce que
pense Antonio. Elle est pour la sévérité en classe, cela commence par
les recommandation de l'éducation nationale que de faire un test de Q.I,
pour savoir en effet qui pourra faire des études. Ella a l'air de
prendre très au sérieux ces tests, elle croit comme le fer que c'est une
manière scientifique d'évaluer, qui engendrera le déterminisme de la
classe qu'elle représente, celle des profs et l'éducation. Elle est très
confiante dans ce qu'ils valident ou pas, on voit l'imbécile et celui
qui n'est pas. Celui qui réussira ou pas.
Les tests étaient des suites de nombre à établir ; le caractère
répétitif d'une suite, ce qu'ils appellent la logique mathématique était
signe de l'intelligence.
La logique existe vraiment, c'est le déterminisme, mais la logique
appliquée à soi-même n'existe pas, seul le fou agit de manière logique,
il a déjà prédéterminé les choses en choisissant une constante, alors
que la réalité ne peut être déterminée. Je change d'une idée qui n'est
déjà plus l'autre, car les résultats de mes pensées qui créent mes
formations mentales, de mes perceptions, ressentis, de ma connaissance
et ma corporalité sont le changement, le fait que je vieillis, est
vacuité, vide d'appropriation à un immatériel et un matériel
inconstants. C'est la seul chose qui engendre le déterminisme, à travers
nos actes immatériels et corporels, en utilisant la sphère sensorielle
et le mentale, l'acte, le karma qui crée notre responsabilité,
l'impermanence des choses, des êtres et des écrits, et leur vacuité,
leur absence de nature individuelle. On engendre le bien ou le mal.
Antonio n'avait rien compris à ce qu'il fallait faire et n'avait envie
de réfléchir à une chose qui ne l'intéressait pas, il fit le test peu
confiant, et obtint un résultat médiocre, 90, ce que le psychologue
jugea dans sa psychologie, c'est tout ce qu'il pouvait obtenir. Baliba
avait eu 110 de QI, il se vanta d'être intelligent, il était confiant
dans la suite de ses études, ils étaient déjà en train de travailler
pour lui remettre le prochain devoir, Baliba avait raison, il allait
réussir, son père était un bourgeois installé, il avait la morgue de sa
classe sociale, quand il serait informaticien, les gens travailleraient
pour lui.

La cinquième, la quatrième, redoublement,

"Je viens de corriger les notes de rédactions, malheureusement beaucoup
sont allés voir le livre et ont recopié la suite."
"Antonio, je ne sais pas où vous avez recopié le texte, mais il est
impossible qu'un élève de votre âge puisse écrire une chose pareille"
Antonio décida que cette fois-ci, il ne ferait plus rien, ce qui était
déjà le cas.

La troisième.

"Vous devriez prendre exemple sur Baliba, il a obtenu d'excellentes
notes en Italien, il s'est mis au travail, vous devriez en faire autant".
Antonio n'osa pas lui dire comment, Baliba avait bonne réputation autant
avec les élèves qu'avec les profs, il était amical avec tout le monde et
avait obtenu les encouragements au conseil de classe.
L'élève de troisième ne sembla choqué par cette sotte, elle faisait
partie de ces femmes qui avec la beauté vous mèneraient par les bouts du
nez. Il ne leur avait jamais expliqué qu'elles étaient des connes
candides, non seulement de ne pas s'en rendre compte et de se faire
autrement mener par le bout du nez par certains. Cela faisait partie des
profs dont l'intégrité ne peut être compromise, la cible favorite pour
le genre de racaille que je connaissais. Elle lui avait gâché sa
journée, Antonio se retrouva en seconde de détermination puis en Terminal B.

FranckBarron FranckBarron
MP
Niveau 2
31 octobre 2022 à 08:46:37

"Vous parlez du taux d'emprunt d'Etat de la banque de France, de son taux horaire, du chômage divisé par l'inflation en fonction du smig, du montant que la banque centrale va prêter à la banque de France."
Quatre à cinq élèves se mirent à rire de la bonne blague.
Merdedefacto prof d'économie prit sa mine satisfaite de ce qui avaient compris ce qu'il disait, et qu'il avait entendu à la TV.
Le taux d'emprunt d'état est fixé, après ils font un tableau pour rigoler, où le taux d'emprunt variera en fonction des heures travaillés pour montrer que les chômeurs sont des feignants. Antonio finit cette classe d'ordures, passa son Bac et s'inscrit en Bts Informatique.

Bagabund Bagabund
MP
Niveau 13
02 novembre 2022 à 00:16:27

Pas mal du tout putain. Bien rythmé, plutôt drôle, moi ça me fait marrer, organique vivant, entrainant. Ca se lit bien, il manque quelques "que" à mon avis. Original, dans la forme non, on va pas se mentir, j'ai l'impression d'avoir déjà lu ce style très oral, je ne sais plus je n'ai pas les textes sous la main mais oui, dans un ouvrage acheté, positif quoi. Bien joué.

FranckBarron FranckBarron
MP
Niveau 2
23 novembre 2022 à 00:31:21

Merci pour vos remarques.

FranckBarron FranckBarron
MP
Niveau 2
07 décembre 2022 à 23:28:15

 Tout ces écrivains bourgeoies parisiens, la plupart sont médiocres, j'ai lu les premières pages du prix goncourt, c'est sans aucune sonorité, aucun style comme Beigebeder, pourtant ils parlent que de cela; si c'était la vérité, je serais publié, hors ce n'est pas le cas.

DébutPage précedente
1
Page suivantePage suivante
Répondre
Prévisu
?
Victime de harcèlement en ligne : comment réagir ?
La vidéo du moment