+ Extrait représentatif si vous voulez.

Bonjour,
mon style littéraire est moyen, il a besoin d'être amélioré, non plus en détail:

je suis polyvalente je fais essai,autobiographie,manga,bd,fantsay,paranormal,amour,polar,science fiction ce qui revient souvent c'est l'amitié, la première personne du singulier, le présent, un peu de comparaison, enchainement court longue phrases au rythme rapide dans les réactions, un personnage principal uniquement et souvent masculin, je parle beaucoup de pays que j'adore comme les états unis, le chili, l'italie et la france,original, parlant de belles voitures,subordonnées,rappel de prénoms et beaucoup de dialogue,spécialiste de l'action garanti.Souvent de style lié oratoire ou affectif.Les descriptions sont courtes et précises.Je n'écris que rarement des one-shot c'est des tomes mais je suis amateur.C'est créatif et je ne respecte pas toujours le schéma narratif.

Je crois que les termes les plus récurrents quand on me lit c'est "simple", "ciselé", "rythmé"

Je suis à la tête d'un nouveau mouvement littéraire que l'Histoire n'a pas encore nommé
Souvent comparé à Bataille (Georges) dans ma démarche et mes thématiques
Je me sens proche de Miller (Henry) dans l'esprit et la philosophie
Sinon, je développe quelques nouvelles romans horrifique que l'on peut classer dans la mouvance splatter punk (Poppy Z Brite, Barker)

Extrait de mon roman "Trash Gotha 2" à paraître :
SpoilAfficherMasquerTrash Gotha premier du nom disponible en physique ici : https://www.amazon.fr/Trash-Gotha-Hugo-Ski/dp/B08SGR2XLV/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1&keywords=trash+gotha&qid=1633200283&sr=8-1

Rémi c’est le schizo du lycée, toujours dans les couloirs à la récré.

Il se fait tellement victimiser dans la cour qu’il a été obligé de se retrancher à l’intérieur, même que pendant un moment, il passait toutes ses récrés dans les chiottes.

Certes, on est des bâtards, mais franchement il en tient une couche. Il est super chelou, ce gars, il est toujours habillé pareil, avec un pull en laine rouge, des shorts en velours et des pompes petits bateaux. Il a des grands cernes noirs sous les yeux et il se parle à lui-même… Il a clairement une araignée au plafond.

C’est lui qui nous croise, alors que je suis avec Zox et Riton qui posent leurs blazes sur le mur en carrelage du CDI. Il débarque au bout de couloir et il se stoppe en mode « merde j’ai vu quelque chose que je n’aurais pas dû voir. »

- Qu’est-ce que tu veux le taré, tu veux qu’on te nique ta mère, ou quoi ?

Remi ne dit rien, la diplomatie ce n’est pas son fort. Au lieu de ça, il reste planté comme un con au bout du couloir, en se balançant de droite à gauche comme un autiste, on dirait un film d’horreur.

- Eh, fils de pute, on te parle, gueule Zox en lui balançant un poska vide en pleine tête.

Toujours aucune réaction de la part du taré. Et maintenant, son visage s’anime d’un sourire de tueur en série. On va encore dire qu’on est des bâtards avec lui, mais il tend quand même le bâton pour se faire battre, avec ça personne ne pourra le nier.
Zox remonte ses manches, noue les pompons de son bonnet péruvien et fonce vers Rémi pour lui mettre une mandale. Rémi tombe par terre et Zox lui donne des coups de pieds en lui disant de dégager, tout ça pendant que Riton chantonne le générique de Rémi sans famille.

Pendant ce temps-là, Rémi est toujours par terre, tout raide, sans aucune expression sur son visage, comme s’il savait qu’il méritait sa sentence et que de toute façon, vu son araignée au plafond, il sait qu’il doit s’attendre à vivre ce genre de supplice toute sa vie.

- Eh vous faites quoi ?

On se retourne tous les trois en même temps.

Sekel est là, avec Malbranque. D’ailleurs, c’est bizarre, mais Malbranque porte une chemise froissée. Pas du tout son genre. Zox se détourne de Rémi qui reste toujours sans bouger. Il s’adresse à Sekel avec une fausse assurance, parce qu’il bégaie intérieurement

- Ce mec-là, il nous casse les couilles, alors qu’on est en train de peindre, tranquille.
- Ça sert à quoi de chambouler un handicapé, sérieusement ?

Malbranque acquiesce à l’aide de son rire débile, qui le suivra je pense jusqu’à la fin de sa vie. Sauf qu’au lieu de profiter de l’intervention du nouveau, Rémi se met à gigoter par terre en disant « frappez-moi ! frappez-moi ! allez-y frappez moi ! ».

- Tu vois, je te l’avais dit, se justifie Zox, tout plein de nerfs. On ne peut rien faire pour lui, c’est un bolosse.
- Mouais, concède Sekel. Vas-y Malbiche, on bouge."

Perso j'en ai pas, je suis un buvard, selon mon humeur et ce que j'ai envie d'écrire, on peut me trouver du Céline, du Proust, du Cendrars, du Huysmans, du Chateaubriand.... Et en poésie c'est encore plus éclaté...
Bien sûr j'ai pas la prétention d'égaler ces maîtres, mais les rapprochements sont tout de même flagrants.