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Sujet : Les Chasseurs

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ChevalierBadin ChevalierBadin
MP
Niveau 22
10 juillet 2020 à 09:08:57

Cela fait des lustres que je n'ai pas écris et je m'y remet avec un petit projet de dark fantasy. Je voulais savoir ce que vous en pensiez. Voilà le tout début :

_____________________________________________________________

Le clocher en bâtière du hameau, phare fantomatique au milieu d’une mer vaporeuse, se dessina dans la brume avant que les deux étrangers n’atteignent le pied de la colline. La brumaille épaisse qui flottait sur la vallée tapissait les bois et les coteaux en une nappe lourde et ouatée au travers de laquelle rien ne filtrait. Celle-ci vous arrivait au sommet du crâne, mais pas plus haut. Les toitures qui hérissaient la couche de brouillard permettaient de repérer le village de loin. Et Chariac était en vue.

Ahanant, les deux hommes d’armes se hissèrent en direction du bourg en tirant leurs destriers par la bride, empruntant une cévenne particulièrement pentue qui serpentait jusqu’en haut. Le chemin, pavé de vieilles pierres, d’entre lesquelles jaillissaient des touffes d’herbes sauvages, était flanqué de petits cairns si vieux que le temps les avait couvert de mousse. Ces témoins silencieux, reliques d’un temps lointain où les peuplades païennes occupaient encore cette région du continent, observèrent la lente progression des deux guerriers jusqu’au bout du sentier.

Arrivé au niveau des premières habitations, un silence pesant les accueillis. Les deux hommes ne s’en formalisèrent guère. Ils auraient été bien plus inquiets de se voir salué par une voix humaine, jaillissant de la brume. Car en vérité, il n’y avait plus âme qui vive ici.

Les deux compères portaient des hauberts de mailles, dont l’acier était d’un noir plus noir que l’encre. Les cuirasses bombées qu’ils avaient enfilés par-dessus étaient d’une teinte tout aussi sombre, tout comme leurs gantelets, leurs chausses et leurs gorgerins. Nul éclat ne s’y reflétait. C’était comme si le métal de leur équipement absorbait toute lumière.

L’écu que chacun transportait, sanglé dans le dos, affichait comme emblème une gueule de loup blanc sur fond noir. Le motif se répétait ici et là sur leur bardas : gravé sur leurs épaulières, sculpté sur les pommeaux de leurs glaives… Il est certaine régions civilisées des Terres-Mornes dans lesquelles n’importe quel homme pâlirait à la seule vue de ces armoiries, mais Chariac était un bourg reculé et aucun paysan croisé ces derniers jours n’avait prêté la moindre attention à leur blason. La bête hurlante. L’insigne des chevaliers jurés de l’Ordre de la Louve.

« Sale endroit, fit le plus vieux des deux, un colosse à la moustache épaisse et au mufle couturé de cicatrices. On se sent observé de toutes parts.
-Des choses terribles se sont produites ici, acquiesça le plus jeune en promenant un regard tranquille sur les bicoques silencieuses. Ces lieux sont saturés d’émotions négatives. »

Son mentor renifla bruyamment et cracha, comme pour conjurer un mauvais sort.

« On laisse les chevaux ici. ‘Veux pas les épuiser inutilement. ‘Les attache pas, qu’ils soient libres de leurs mouvements si on doit fuir précipitamment. »

Le jeune emboîta les pas de son mentor. Sitôt qu’ils avaient posé un pied dans l’enceinte du village, leur attitude avait changée du tout au tout. C’étaient maintenant deux prédateurs qui naviguaient dans les venelles désertes, les genoux fléchis, le pas lent et prudent, le regard dur et alerte, la main posée sur la poignée de leur épée. Le moindre de leurs gestes témoignait de leur expérience au combat, de la vitesse avec laquelle ils pouvaient passer à l’attaque si besoin.

Les deux chevaliers ne déambulaient pas aléatoirement dans les rues de Chariac. Ils avaient une destination. Et celle-ci se dessinait de plus en plus nettement dans la brume à mesure qu’ils remontaient la rue principale.
La chapelle locale surplombait le village, dressée au sommet d’une butte de terre boueuse. Une volée de planches en bois, disposées de manière à former un semblant d’escalier, menaient jusqu’au parvis. Là, les portes enfoncées de l’édifice, aux gonds ravagés comme par la charge d’une bête féroce, s’ouvraient sur un gouffre de noirceur. L’ombre à l’intérieur du bâtiment était si opaque qu’il était impossible de distinguer quoi que ce soit au-delà des premiers bancs, dans l’entrée. Le vieux chevalier fit signe à son compère de ralentir puis, d’un geste, lui intima de se positionner près du porche. Celui-ci s’exécuta, non sans tirer sa lame au clair et la saisir à deux mains. Il n’aurait guère besoin de son bouclier une fois à l’intérieur. Ce à quoi les deux hommes allaient faire face était trop vif pour qu’on s’en protège à l’aide d’un écu de bois, d’aussi bonne facture soit-il. Ils allaient devoir frapper vite et fort, abattre leur proie avant qu’elle n’ait le temps de réagir. S’ils échouaient, alors ils étaient perdus, et deux nouvelles âmes en peine hanteraient Chariac au soir venu.
Le vieux guerrier tira également son glaive hors de son fourreau et le pointa en direction de l’entrée de la chapelle. De sa main libre, il décrocha de son ceinturon un petit sac de cuir qu’il avait récupéré un peu plus tôt sur la selle de son cheval. Défaisant le cordon de son bagage, il en renversa le contenu à ses pieds. Une pièce de viande pourrie, puant la charogne. D’un coup de pied, il projeta la bidoche faisandée à l’intérieur du bâtiment.

Les deux guerriers se figèrent, dans l’attente de ce qui allait se passer. De ce qui allait jaillir de cette tanière. Le vieux, bien visible face aux portes, et le jeune, appuyé contre le mur extérieur, prêt à trancher quiconque ferait mine de sortir.

Une minute passa, puis deux. Ni l’un ni l’autre n’esquissa le moindre geste, mortellement concentrés.
Dans les profondeur de la vieille église en ruine, une chose ancienne et malveillante s’éveilla, tirée de sa léthargie par l’odeur de la viande qu’on avait jeté sur le porche. La chose se déploya, soulevant sa carcasse de chair noircie et de chitine poisseuse. Un gargouillis écoeurant résonna dans le temple. Alors la chose repéra l’homme qui se tenait dans l’entrée et qui dardait vers les ténèbres de son refuge le regard déterminé des hommes de Dieu venus chasser le Mal de ses terres.

La chose rugit et fondit sur l’intrus.

Revoltin Revoltin
MP
Niveau 9
10 juillet 2020 à 11:50:41

C'est pas mal, mais evite plusieurs choses.

-Les metaphores de yencli type "plus noire que l'encre"

-De tourner autour du pot comme "cependant nos deux pelerins n'erraient pas sans but. Ils allaient bien quelque part." Dis tout de suite ou ils vont, c'est pas un conte pour enfant que tu écris.

- les métaphores à rallonge, comme la charge d'une bête féroce. C'est ultra-daté.

Sinon c'est sympa :oui:

ChevalierBadin ChevalierBadin
MP
Niveau 22
10 juillet 2020 à 11:56:02

-Les metaphores de yencli type "plus noire que l'encre"

Je ne comprend pas très bien ce que ça veut dire :hap:

-De tourner autour du pot comme "cependant nos deux pelerins n'erraient pas sans but. Ils allaient bien quelque part." Dis tout de suite ou ils vont, c'est pas un conte pour enfant que tu écris.

C'est vrai que c'est très chargé, je vais alléger ça :oui:

- les métaphores à rallonge, comme la charge d'une bête féroce. C'est ultra-daté.

Même chose qu'au-dessus, je vais essayer d'alléger le tout :oui:

Revoltin Revoltin
MP
Niveau 9
10 juillet 2020 à 12:02:53

En gros, c'est des metaphores vraiment evidente, de "client" de la fantasy vois-tu.

Revoltin Revoltin
MP
Niveau 9
10 juillet 2020 à 12:03:15

Balance la suite pour voir ?

ChevalierBadin ChevalierBadin
MP
Niveau 22
10 juillet 2020 à 12:07:27

Le 10 juillet 2020 à 12:03:15 Revoltin a écrit :
Balance la suite pour voir ?

Pas encore écrite :hap:

Revoltin Revoltin
MP
Niveau 9
10 juillet 2020 à 12:19:12

Allez hop hop hop ça ne va pas se rédiger tout seul !

Chimene_Azalee Chimene_Azalee
MP
Niveau 18
10 juillet 2020 à 12:53:16

Salut, c'est pas mal ! On voit que tu fais des efforts pour présenter de la littérature de qualité, ça fait plaisir ! Cependant il y a pas mal de petites erreurs qui se doivent d'être corrigées.

J'ai buté sur la première phrase, elle a une structure vraiment compliquée pour entrer dans ton texte.

Certaines phrases ou choix de mots sortent un peu du récit et de l'ambiance médiévale, comme celle-ci :

Les deux chevaliers ne déambulaient pas aléatoirement dans les rues de Chariac.

Pour rester dans l'esprit, tu aurais pu dire "au hasard" plutôt qu'aléatoirement.

Des précisions superflues qui allongent les phrases :

occupaient encore cette région du continent

pas besoin de préciser "du continent"

Quand tu utilises du vocabulaire spécifique médiéval, essaye de le faire partout. Quand tu parles des blasons, utilise des termes héraldiques. Un petit doute quand tu parles de leurs chausses. Tu considères ça comme une partie de l'armure ? Ce serait plutôt des solerets dans ce cas

L’écu que chacun transportait, sanglé dans le dos, affichait comme emblème une gueule de loup blanc sur fond noir

Attention à l'utilisation trop fréquente des verbes "faible" comme être, avoir ou faire

L’ombre à l’intérieur du bâtiment était si opaque qu’il était impossible

Des rimes un peu moches parfois :hap:

S’ils échouaient, alors ils étaient perdus, et deux nouvelles âmes en peine hanteraient Chariac au soir venu.

D'ailleurs cette phrase rejoint un peu ce que disait Revoltin, "s'ils échouaient, alors ils étaient perdus".
Pour éviter la rime, tu peux dire "hanteraient Chariac quand viendrait le soir"

La brumaille épaisse qui flottait sur la vallée tapissait les bois et les coteaux en une nappe lourde et ouatée au travers de laquelle rien ne filtrait. Celle-ci vous arrivait au sommet du crâne, mais pas plus haut. Les toitures qui hérissaient la couche de brouillard permettaient de repérer le village de loin. Et Chariac était en vue.

Brume et ensuite brumaille, ok, c'est pas une répétition mais ça y ressemble fort. Tu utilises brouillard juste après mais tu peux dire "purée de pois" pour varier. D'ailleurs, j'ai compris qu'après deuxième lecture que le brouillard ne "flottait" pas vraiment, vu qu'il est au niveau du sol. Peut être que tu devrais affiner ta description pour faire comprendre qu'ils marchent dans le brouillard. D'ailleurs, comment peuvent-ils voir les cairns si le brouillard est à leur niveau ?

En parlant des cairns, j'ai trouvé ça cool que tu dises qu'ils "observent" les chevaliers. Ce qui est dommage, c'est que j'ai pas l'impression,même si à un moment tu dis qu'ils ont l'impression d'être observés, que tu exploites à fond cette image. Tu devrais vraiment utiliser le champ lexical de la vue dans tes descriptions (et enlever la phrase qui dit qu'ils sont observés) pour que le lecteur sente (et tes personnages) qu'il y a bien le décor qui les observe (pas besoin de le dire, ça doit se ressentir) !

Voilà pour moi, j'espère que tu posteras plus parce que ça devient rare de voir des textes (en fantasy surtout) de cette qualité. Avec plus de travail et de rigueur je pense que tu feras du très bon ! :ok:

ChevalierBadin ChevalierBadin
MP
Niveau 22
10 juillet 2020 à 13:51:16

Je poste la suite (j'ai effectué les modifications que vous m'avez conseillé dans la première partie) :

__________________________________

Villard se raidit avant l’impact. La créature le percuta de plein fouet et il se sentit voler pendant un court instant avant de heurter lourdement le sol dans un fracas métallique. La lame de Guilhelm avait fusée, vive comme l’éclair, mais n’avait tranché que le vide.

La bête fit volte-face en soulevant une gerbe de terre et de boue. Sa longue chevelure fouetta l’air. Elle repartit à l’assaut, méthodique, presque mécanique. Le jeune chevalier se jeta en avant in-extremis. L’épaule chitineuse du monstre cogna la façade de la chapelle avant tant de force que l’ensemble de l’édifice trembla sur ses fondations, que les linteaux de bois humide explosèrent sous le choc et que des tuiles, arrachées du toit par la puissance de la charge, retombèrent en une pluie d’ardoise tout autour de la bête.

Elle se retourna, prête à fondre sur sa proie, mais Villard était déjà sur elle. La lame du vieux chevalier traça une courbe luisante dans l’air embruiné et siffla en traversant la chair de la créature. Un parfum fétide s’échappa de la plaie.

La bête tressaillit et bondit comme un ressort, s’éloignant du guerrier qui préparait déjà le coup suivant. De son flanc sectionné s’écoulait un flot de sang mêlé de pus blanchâtre.

« A ma gauche ! rugit Villard en s’élançant. »

Guilhelm le suivit, telle une ombre, en opposant à sa course une cadence légèrement différente. Entre les chasseurs et leur proie s’engagea alors une danse mortelle.

Villard tailla de biais. La créature s’arc-bouta et la lame fendit l’air en vrombissant. Guilhelm surgit sur la gauche, frappant à la verticale. La bête s’effaça, preste comme un chat, et tournoya pour faire face à son nouvel adversaire. Mais le bretteur avait déjà disparu. Un souffle caressa la nuque du monstre et celui-ci plongea sur le côté, laissant le glaive de Villard le frôler. Il se redressa, les babines retroussées, prêt à griffer. Guilhelm était déjà dans son dos.

Les deux chevaliers se battaient comme un seul. Chacun de leurs coups était synchrone, suivait une mélodie qu’eux seuls pouvaient entendre. La lourde armure qu’ils portaient ne semblaient pas les gêner outre-mesure. Ils se mouvaient avec une légèreté féline et une souplesse d’acrobate Kashari. Le tempo qu’ils imposaient à leur proie ne cessait de s’accélérer, leur ballet de se complexifier. Les feintes s’enchaînaient, et la créature n’esquivait plus que de peu les coups portés. Une estafilade apparut le long de son dos, puis, une nouvelle entaille lui barra la gueule de haut en bas.

La pression constante imposée à la créature l’empêchait d’attaquer. Repliée sur elle-même, elle se contentait désormais de reculer en guettant une opportunité de s’enfuir. Adroitement, les deux guerriers parvinrent à l’acculer contre un mur.

« Grâce… Je demande grâce. »

La bête parlait. Sa voix gutturale semblait provenir d’une source enfouie sous terre. Dans un geste presque humain, elle leva des mains osseuses dont les doigts interminables, pourvus de trop d’articulations, étaient prolongés par des griffes recourbées, semblables aux serres d’un rapace. Ses bras squelettiques, entaillés ça et là, étaient secoués de tremblements. Sa chevelure grise retombaient sur son visage comme le voile d’une veuve. Entre deux mèches encrassées de glaise luisait un œil unique à la teinte jaunâtre. Dans son regard se lisait la peur.

Ni Villard ni Guilhelm n’hésitèrent en abattant leurs lames.

________

Ils brûlèrent la dépouille putréfiée sur le parvis de l’église avant de mettre également le feu au bâtiment. Tandis que Villard, le genou à terre, marmonnait une litanie d’exorcisme, Guilhelm nettoyait soigneusement sa lame, maculée de sang corrompu.

« Le sénéchal sera satisfait, dit-il à son compagnon sans interrompre sa besogne. Nul voyageur ou pèlerin égaré ne sera plus victime de cette engeance. »

Le vieux chevalier termina sa prière et se redressa en grimaçant. Le poids des ans se faisait sentir. Chaque combat exigeait un dû plus important que le précédent et des courbatures dont Villard se débarrassait jadis en l’espace de quelques heures persistaient désormais des jours durant. Guilhelm lui lança une œillade moqueuse.

« Eh, vieil homme. N’est-il pas temps de raccrocher les armes ? Crapahuter par monts et par vaux ne vous sied plus guère.
-Les Forces de l’Obscur ne connaissent pas le repos, répliqua le colosse. Moi non plus.
-Les champions de l’Ordre qui survivent aussi longtemps que vous finissent généralement instructeurs à la Citadelle. Cela ne vous a-t-il jamais tenté ?
-Ma place est sur le champ de bataille.
-Votre expérience est inestimable. Le chapitre des Maîtres manque de chasseurs de votre trempe.
-Quel numéro me fais-tu là, gamin ? Depuis quand ma santé et celle de l’Ordre te préoccupe-t-elle tant ?
-Bah (Guilhelm haussa les épaules, un sourire sur les lèvres), je disais ça comme ça. »

Il rengaina son glaive d’un geste nonchalant.

« En route. Inutile de s’éterniser. »

Message édité le 10 juillet 2020 à 13:52:40 par ChevalierBadin
Revoltin Revoltin
MP
Niveau 9
10 juillet 2020 à 16:17:26

Bah ça va j'aime bien. Ça me fait penser à du polochon en moins verbeux :( il y a beaucoup de vocabulaire, c'est bien. Attention toutefois a ne pas verser dans la gaudriole avec certains mots un poil retors comme "chitineux"

Sinon c'est clair court et rythmé, le format est impeccable pour lire ici. Suite ?

Chimene_Azalee Chimene_Azalee
MP
Niveau 18
10 juillet 2020 à 17:15:33

Tu sais ce que ça veut dire verbeux ?

Revoltin Revoltin
MP
Niveau 9
10 juillet 2020 à 17:37:59

"Qui dit les choses en trop de paroles, trop de mots" Après la derniere version que j'ai lue date d'il y a un bail.

Chimene_Azalee Chimene_Azalee
MP
Niveau 18
10 juillet 2020 à 18:02:45

4 ans quand même :hap:

Chimene_Azalee Chimene_Azalee
MP
Niveau 18
10 juillet 2020 à 18:39:47

Interdiction de mettre des parenthèses :peur:

Sinon, rien de plus à dire que mon premier commentaire, fais attentions aux points que j'ai cité plus haut, à voir comment l'histoire évolue.

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