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Sujet : Ici, on poste un extrait de son projet en cours !

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A-San A-San
MP
Niveau 10
15 avril 2019 à 12:10:57

Pour l'instant je prévois au minimum 5 réécriture

NewSnider NewSnider
MP
Niveau 5
15 avril 2019 à 12:37:30

Une deuxième détonation retentit, puis on entendit siffler une autre bombe : et là, elle explosa à à peine quelques mètres du restaurant. Les courageux qui comptaient sur la chance pour survivre au dehors firent rapidement demi-tour, et l’établissement fut de nouveau bondé, si bien que Victor fut séparé de ses parents par la foule effrayée qui se déversait. Alors qu’il tentait d’échapper à la marée humaine terrifiée, une dernière explosion fit s’écrouler le toit, et après ça, le vide total.

Ses yeux blancs grands ouverts se repassaient en boucle ce moment fatidique, le moment où il avait perdu la vie. “Je suis mort…” murmura-t-il. Puis il bondit sur ses pieds et le cria à gorge déployée, sous le regard surpris des clients fantomatiques. Lorsqu’il scanda cette phrase, ses parents traversèrent de nouveau son esprit ; maintenant, il savait qu’il en avait. Avaient-ils eux aussi péri, vivaient-il toujours ? L’avaient-ils oublié comme lui semblait avoir oublié son existence même ? Et alors que toutes ses pensées lui noyaient l’esprit, ses yeux reprirent de leur couleur, un marron perçant, et une pupille discrète fit son apparition devant les yeux effarés de Pérégrine.
Jamais, dans ses années d’errance à Fantown, il n’avait fait l’expérience d’un tel miracle : Victor se transformait en le petit garçon qu’il était autrefois. Des ces yeux nouvellement réapparus coulèrent un flot de larmes, et Rémi s’approcha de l’enfant avec appréhension. Il eût bien fait de garder ses distances car, à peine fut-il à quelques pas de l’ombre qu’elle lui aboya de ne pas s’approcher. “Je suis mort, mort, mort, mort !” répétait-il en sanglots. Plus ses larmes coulaient, plus il devenait un silhouette nette, aux couleurs, apparaissant d’abord fades et ternes, devenant plus éclatante à mesure qu’il pleurait sa propre mort. On distinguait bientôt sa salopette bleue, recouvrant son haut vert, comme s’il venait de retrouver la vie qu’il avait depuis tout ce temps oublié en tant que Réfutateur.

A-San A-San
MP
Niveau 10
15 avril 2019 à 14:03:29

Le 15 avril 2019 à 12:37:30 NewSnider a écrit :
Une deuxième détonation retentit, puis on entendit siffler une autre bombe : et là, elle explosa à à peine quelques mètres du restaurant. Les courageux qui comptaient sur la chance pour survivre au dehors firent rapidement demi-tour, et l’établissement fut de nouveau bondé, si bien que Victor fut séparé de ses parents par la foule effrayée qui se déversait. Alors qu’il tentait d’échapper à la marée humaine terrifiée, une dernière explosion fit s’écrouler le toit, et après ça, le vide total.

Ses yeux blancs grands ouverts se repassaient en boucle ce moment fatidique, le moment où il avait perdu la vie. “Je suis mort…” murmura-t-il. Puis il bondit sur ses pieds et le cria à gorge déployée, sous le regard surpris des clients fantomatiques. Lorsqu’il scanda cette phrase, ses parents traversèrent de nouveau son esprit ; maintenant, il savait qu’il en avait. Avaient-ils eux aussi péri, vivaient-il toujours ? L’avaient-ils oublié comme lui semblait avoir oublié son existence même ? Et alors que toutes ses pensées lui noyaient l’esprit, ses yeux reprirent de leur couleur, un marron perçant, et une pupille discrète fit son apparition devant les yeux effarés de Pérégrine.
Jamais, dans ses années d’errance à Fantown, il n’avait fait l’expérience d’un tel miracle : Victor se transformait en le petit garçon qu’il était autrefois. Des ces yeux nouvellement réapparus coulèrent un flot de larmes, et Rémi s’approcha de l’enfant avec appréhension. Il eût bien fait de garder ses distances car, à peine fut-il à quelques pas de l’ombre qu’elle lui aboya de ne pas s’approcher. “Je suis mort, mort, mort, mort !” répétait-il en sanglots. Plus ses larmes coulaient, plus il devenait un silhouette nette, aux couleurs, apparaissant d’abord fades et ternes, devenant plus éclatante à mesure qu’il pleurait sa propre mort. On distinguait bientôt sa salopette bleue, recouvrant son haut vert, comme s’il venait de retrouver la vie qu’il avait depuis tout ce temps oublié en tant que Réfutateur.

Pas mal, là c'est purement subjectif j'ai l'impression que les choses vont trop vite, tu mériterais peut-être à poser deux ou trois phrases. Puis l'aspect extrait joue beaucoup en ta défaveur car il nous manque pas mal de détails. Sinon, ça se lit bien, c'est fluide.

NewSnider NewSnider
MP
Niveau 5
15 avril 2019 à 14:46:33

Le 15 avril 2019 à 14:03:29 A-San a écrit :

Le 15 avril 2019 à 12:37:30 NewSnider a écrit :
Une deuxième détonation retentit, puis on entendit siffler une autre bombe : et là, elle explosa à à peine quelques mètres du restaurant. Les courageux qui comptaient sur la chance pour survivre au dehors firent rapidement demi-tour, et l’établissement fut de nouveau bondé, si bien que Victor fut séparé de ses parents par la foule effrayée qui se déversait. Alors qu’il tentait d’échapper à la marée humaine terrifiée, une dernière explosion fit s’écrouler le toit, et après ça, le vide total.

Ses yeux blancs grands ouverts se repassaient en boucle ce moment fatidique, le moment où il avait perdu la vie. “Je suis mort…” murmura-t-il. Puis il bondit sur ses pieds et le cria à gorge déployée, sous le regard surpris des clients fantomatiques. Lorsqu’il scanda cette phrase, ses parents traversèrent de nouveau son esprit ; maintenant, il savait qu’il en avait. Avaient-ils eux aussi péri, vivaient-il toujours ? L’avaient-ils oublié comme lui semblait avoir oublié son existence même ? Et alors que toutes ses pensées lui noyaient l’esprit, ses yeux reprirent de leur couleur, un marron perçant, et une pupille discrète fit son apparition devant les yeux effarés de Pérégrine.
Jamais, dans ses années d’errance à Fantown, il n’avait fait l’expérience d’un tel miracle : Victor se transformait en le petit garçon qu’il était autrefois. Des ces yeux nouvellement réapparus coulèrent un flot de larmes, et Rémi s’approcha de l’enfant avec appréhension. Il eût bien fait de garder ses distances car, à peine fut-il à quelques pas de l’ombre qu’elle lui aboya de ne pas s’approcher. “Je suis mort, mort, mort, mort !” répétait-il en sanglots. Plus ses larmes coulaient, plus il devenait un silhouette nette, aux couleurs, apparaissant d’abord fades et ternes, devenant plus éclatante à mesure qu’il pleurait sa propre mort. On distinguait bientôt sa salopette bleue, recouvrant son haut vert, comme s’il venait de retrouver la vie qu’il avait depuis tout ce temps oublié en tant que Réfutateur.

Pas mal, là c'est purement subjectif j'ai l'impression que les choses vont trop vite, tu mériterais peut-être à poser deux ou trois phrases. Puis l'aspect extrait joue beaucoup en ta défaveur car il nous manque pas mal de détails. Sinon, ça se lit bien, c'est fluide.

Ouais c'est vrai que ça manque beaucoup d'émotions, je me suis fait la même remarque (l'extrait c'est vraiment les trois derniers paragraphes que j'ai écrit, tout ce qui précède cet extrait a été relu donc j'ai pas vraiment peaufiné, faudrait que je reprenne l'écriture d'ailleurs :hap: )

knor_knor_knor knor_knor_knor
MP
Niveau 23
16 avril 2019 à 14:32:39

Humble projet qui germe dans ma tête depuis quelques jours, j'en ai noté les principales idées sur un bloc notes et m'y suis mis hier soir. Je crois que c'est la première fois que j'élabore un travail en amont, cela devrait apporter structure à l'histoire.

En voici les premières lignes :

Le néant de la page blanche est un phénomène se montrant parfois viscéral. Longtemps, j’ai cru qu’une histoire se construisait à l’aide d’une imagination débordante, de mots collés aux autres pour en faire ressortir une histoire palpitante. Je n’ai pas vu juste sur ce coup-ci. A dire vrai, dans ma vie, j’ai rarement su tirer au milieu de la cible. Même les fléchettes que je m’évertuais à jeter maladroitement étaient décalées de celles des autres. Néanmoins, un domaine de prédilection qu’est celui de l’écriture est apparu tel un véritable phare qui éclaire des horizons que je croyais à tout jamais brouillardeux.
Rares sont ceux qui pouvaient me lire, je n’étais qu’un jeune pudique à la langue anormalement mouillée tant toute la salive que je produisais avait du mal à déglutir par l’effet de stress qui s’emparait de moi lorsqu’on abordait le sujet tant convoité par mes cellules grises. L’écriture ; un passe-temps, puis une thérapie, puis un métier. Ce sont les trois étapes que j’ai décortiquées soudainement. Un acheminement quelque peu fallacieux de par la quantité de travail fournie lors de longues heures, parfois fastidieuses, je dois le dire, mais surtout mangées sous un emprunt de gourmandise assaillante, pour finir par une boulimie persistante.
Depuis peu, j’habitais dans un petit quartier rassemblant une flopée d’appartements. Le plus luxueux, c’était la mer. Elle se trouvait à quelques pas de mon lit. A mon si jeune âge, 25 ans de soufflés impétueux, c’était une aubaine d’avoir vue sur le monstre bleu. Tantôt j’y vois les bateaux, un peu plus tard, ce sont les pêcheurs que j’entends siffloter. On se fait à la mer, on s’imprègne inconsciemment de ses vagues et quelques mois suffisent pour ne plus la contempler du même œil. Il est triste à penser que la vie nous offre une nature démesurément belle pour en admirer chaque fragment, et finalement la délaisser comme un doudou ayant fait son temps.
Si j’avais pu avoir cet appartement, c’est grâce à mon oncle. Un homme d’affaires dont les affaires ont si bien à faire que nous n’avons rien à faire que d’attendre qu’il nous appelle pour parler d’affaires. Je crois que les Hommes passionnés sont des êtres rares, ils ont en eux cette flamme inatteignable par quelconque intempérie, cette flamme rayonnante aux braises parfois dangereuses pour un entourage fait de paille. Sa femme est partie, elle devait être faite de paille, ou d’une composante facilement inflammable.
Elle a pris les enfants pour les placer dans un nid qu’elle considère douillet, loin du grand méchant loup qu’incarne mon oncle aux yeux de la justice. Il s’est résigné à voir ses enfants grandir. Je crois beaucoup me diriez-vous, mais je crois que le seul enfant qui lui reste, c’est la finance.
Personnellement, les chiffres sont trop brutaux et pas assez rêveurs pour moi. Ils sont cependant strictement nécessaires et le seront toujours. Les mots aussi, je l’espère.
J’adore les mots, depuis tout petit je les manie avec une aisance qui a déconcerté plus d’un de mes professeurs car je n’étais qu’un piètre élève. Les notes n’avaient qu’une vaste forme pour mon jeune esprit, ma vision se résumait simplement à faire les tâches qui me plaisaient en y mettant un grain d’effort. Cela suffisait à susciter le doute au sein d’une réunion que l’on appelait, et que l’on doit encore appeler de cette manière, le conseil de classe. J’étais un sujet pas vraiment palpitant, mais celui qui faisait loucher les consciences : était-il bon ou était-il bon pour tricher ? Enfant, adolescent, tout se construit, tout se fait et se défait et chaque jugement, même inconsciemment, apporte douleur, répit ou confiance en ce futur adulte. Je crois avoir adopté les trois. Le mélange n’est aux abords guère appréciable, un peu comme un choc des cultures dont on s’accoutume par obligation,

Nearby Nearby
MP
Niveau 10
16 avril 2019 à 16:31:57

Il s’est résigné à voir ses enfants grandir.

Non, tu voulais dire "il a renoncé", c'est le contraire

cette flamme inatteignable

inextinguible sinon ?

On sent qu'il y a beaucoup de travail sur le style, je pense que je raboterais certains passages où tu essayes d'épaissir des idées très simples et du coup ça fait pas une super impression

Par exemple ça :d)

Il est triste à penser que la vie nous offre une nature démesurément belle pour en admirer chaque fragment, et finalement la délaisser comme un doudou ayant fait son temps.

Je pense que ça marcherait d'autant mieux en plus court et droit au but, ou peut-être en plusieurs phrases. On comprend l'idée de fond mais elle pourrait être plus frappante dans la formulation

knor_knor_knor knor_knor_knor
MP
Niveau 23
16 avril 2019 à 17:41:48

Oui, inextinguible me semble plus approprié.

J'ai travaillé le style sans trop l'enrober d'artifices inutiles. Difficile, parfois, de trouver un juste milieu tant j'affectionne la période descriptive.

Pour la phrase que tu as citée, je n'ai rien à redire sur celle-ci. J'en suis plutôt satisfait. Néanmoins, je pense pouvoir piocher quelques petits bouts qui sont, comme tu l'as dit, trop épais.
Merci de ta lecture, merci de ta critique. Je pense dédier à cette histoire un petit topic dans quelque temps.

Nearby Nearby
MP
Niveau 10
16 avril 2019 à 17:45:39

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/34/1/1534797953-1487984196-789797987987464646468798798-transprent.png

AleX-I5 AleX-I5
MP
Niveau 10
16 avril 2019 à 18:57:49

"Mon prénom est Florent. Je suis brun, mes yeux sont noirs. Je suis très mignon. J'ai 16 ans. Je m'apprête à prendre le bus. Le bus était là, porte ouverte. Je regardais mes parents et ma petite sœur de 6 ans. Ils souriaient, à part ma petite sœur, qui pleurait.
-Il part où, Florent ? Je ne veux pas qu'il parte...c'est mon grand-frérou à moi... Je souri.
-Ne t'inquiètes pas, je reviendrai pendant les vacances et je vous enverrai des lettres, à toi et à nos parents. Bon, à bientôt ! J'entra dans le bus, je m'assied devant, juste à côté d'une fille blonde très mignonne. Les portes se referma, le bus partit. La fille me regardait. J'en fis autant. Ses cheveux allaient jusqu'à son cou. Son visage était vraiment très beau. Ses yeux étaient bleus.
-Coucou, mon nom est Clémence. Et toi ?
-Florent.
-Enchantée !
-De même.
-C'est quoi...ton démon ?
-Le démon de la Lame Ténébreuse, Sarbonius. Et toi ?
-Kyara, la démone de l'Amour Infernal ! Je souri légèrement.
-Charmant.
-N'est-ce pas ?
-Je peux voir ton «Tatoudémon» ? Elle rougit d'un coup.
-Non, désolée...il est sur ma poitrine...
-Ah. Moi, il est sur mon torse, je peux te...
-Non !
-Mais, un torse, c'est rien.
-Peut-être...
-En tout cas, t'es très belle.
-Merci.
-De rien.
-On pourrait être amis, non ?
-Pourquoi pas. Elle sourit doucement. Ensuite, 3 heures plus tard, on arriva à l'Académie."
C'est du fantastique

RPGamer4Ever RPGamer4Ever
MP
Niveau 10
05 mai 2019 à 14:44:25

Le 16 avril 2019 à 18:57:49 AleX-I5 a écrit :
"Mon prénom est Florent. Je suis brun, mes yeux sont noirs. Je suis très mignon. J'ai 16 ans. Je m'apprête à prendre le bus. Le bus était là, porte ouverte. Je regardais mes parents et ma petite sœur de 6 ans. Ils souriaient, à part ma petite sœur, qui pleurait.
-Il part où, Florent ? Je ne veux pas qu'il parte...c'est mon grand-frérou à moi... Je souri.
-Ne t'inquiètes pas, je reviendrai pendant les vacances et je vous enverrai des lettres, à toi et à nos parents. Bon, à bientôt ! J'entra dans le bus, je m'assied devant, juste à côté d'une fille blonde très mignonne. Les portes se referma, le bus partit. La fille me regardait. J'en fis autant. Ses cheveux allaient jusqu'à son cou. Son visage était vraiment très beau. Ses yeux étaient bleus.
-Coucou, mon nom est Clémence. Et toi ?
-Florent.
-Enchantée !
-De même.
-C'est quoi...ton démon ?
-Le démon de la Lame Ténébreuse, Sarbonius. Et toi ?
-Kyara, la démone de l'Amour Infernal ! Je souri légèrement.
-Charmant.
-N'est-ce pas ?
-Je peux voir ton «Tatoudémon» ? Elle rougit d'un coup.
-Non, désolée...il est sur ma poitrine...
-Ah. Moi, il est sur mon torse, je peux te...
-Non !
-Mais, un torse, c'est rien.
-Peut-être...
-En tout cas, t'es très belle.
-Merci.
-De rien.
-On pourrait être amis, non ?
-Pourquoi pas. Elle sourit doucement. Ensuite, 3 heures plus tard, on arriva à l'Académie."
C'est du fantastique

II manque des descriptions (expression, intonations entre les dialogues) pour rendre le tout plus vivant, immersif, tu avais commencé à le faire au début donc continue dans ce sens. En l'état actuel cela fait encore trop brouillon.
quelques fautes : Je souris (mettre à la ligne) les portes se refermèrent

Minotaure_54 Minotaure_54
MP
Niveau 10
05 mai 2019 à 15:30:50

"Mon garçon, malgré tout ce qu'on a pu te dire, ton autisme est un grand atout. Regarde les, ces neurotypiques, ces gens normaux, cette bande de feignants qui socialisent, se rassemblent et se concertent pour nuire au système. La socialisation n'est qu'une distraction qui te détourne de ce qui importe vraiment : le travail. Tu seras un modèle pour ces gens-là."

Julien-Gracq8 Julien-Gracq8
MP
Niveau 7
10 mai 2019 à 16:44:57

Je bloque un peu sur ce passage, je ne sais pourquoi j'ai l'impression que des choses ne vont pas, quelqu'un pour m'aider?

Texte :

"Elle se tenait debout contre la cloison, la respiration haletante, le front plissé et les mains crispées; elle se dressait face à son agresseur. Il l'avait suivi la veille, jusqu'à devant chez elle; s'était arrêté là un moment, puis était reparti prestement. La jeune femme avait signalé l'évènement à la police, leur avait dit qu'un individu étrange la harcelait ces derniers temps, qu'elle n'était pas tranquille et qu'elle souhaitait savoir que faire - comment se prémunir d'un éventuel incident. C'est pourquoi elle avait acheté un spray lacrymogène et un taser, les moyens ordinaires de défense. Le lendemain, jour clair, sans accroc dans le ciel comme dans les rues. Elle rentrait chez elle le soir venue, soulagée, confiante en la protection que lui conférait ces gadgets achetés en magasin. C'est pourquoi - lorsqu'elle mit la clé dans la serrure, qu'elle déverrouilla la porte, puis enclencha la poignée -, elle crut mourir de surprise et resta figée un moment, quand l'individu d'hier survenu par derrière, lui mit la main contre la bouche, et la poussa à l'intérieur de la maison, avant de refermer la porte.

Elle n'eut pas le temps de sortir ses armes de son sac à main, n'eut pas la force de lui résister, de se libérer de son étreinte; c'est lorsqu'il la repoussa violemment contre une paroi du couloir d'entrée, qu'elle put se libérer un temps des bras de son agresseur. Elle était néanmoins toujours à sa merci, il était grand et robuste, et certainement décidé à la violer; il n'y avait personne chez elle et l'isolation était optimale, crier n'aurait servi à rien. Elle ne pouvait que faire face, pitoyablement, dans une joute inégale et, sitôt qu'elle bondit en vue de lui griffer les yeux, elle se fit arrêter par le géant, pressuriser la mâchoire par l'étau de ses deux mains puissantes, avant d'être repoussée de nouveau et de s'écrouler à genoux contre le mur, le visage en sang, l'arcade ouverte, et la mâchoire déboîtée. Ah! s'écria-t-elle en sentant la colère lui donner une envie de vengeance. Elle aurait voulu se tuer en cet instant, mais plus que tout elle aurait souhaité le tuer lui! le dépecer, le broyer vivant, se repaître de la chair de cet engeance. Elle n'était pas encore violée qu'elle contractait déjà une haine immense pour son agresseur. Elle se soumettait pour l'heure aux pulsions de l'animal, souhaitant ne pas l'irriter, dans l'idée qu'il ne la tue pas, afin pour elle d'assouvir sa vengeance le jour venu."

Grayhena Grayhena
MP
Niveau 61
11 mai 2019 à 01:31:14

Petite mise en contexte :hap: : Une jeune femme vient d'être donné en offrande à un dragon, par les habitants d'une citée meurtrie qui pensent que c'est la seule solution afin de garantir moins d'attaques contre eux.

Texte: Comment arrive-t-on à se rendre compte de ce qui est réel et de ce qui ne l’est pas ? Voilà une question que je me posais beaucoup depuis plus de 48 heures. Propulsée, d’une seconde à l’autre, de la Terre à un monde à l’image des contes fantastiques que l’on connaît tous, voilà une situation qui mérite une sérieuse remise en question. Alors que les évènements se bousculaient à un rythme effréné pour moi, je ne cessais d’observer mon environnement, qui, à chaque seconde, voulait me prouver sa sincérité. Et il était très convaincant. Je n’avais jamais ressenti autant d’émotions, autant de retournements de situations, en aussi peu de temps. Mon esprit et mes nerfs avaient été sérieusement mis à l’épreuve entre le moment où je peinais à sortir de ce gouffre, et le moment ou ce dragon s’est jeté sur moi pour m’avaler. Et encore une fois, je revis tous mes proches dans ma tête. Des phrases, des moments, des situations, sans aucun lien entre eux, me venaient. Etais-je donc en train de dériver quelque part dans l’immensité de l’inconscient, attendant ma mort ? Tout était noir. Ou étais-je ? Mon esprit, mon corps ? Pour mon corps, j’en avais une certaine idée… mais mon esprit ?
Mon esprit était encore là. Mais tout ce qui me venait était confus… Tous ces évènements se bousculaient de nouveau dans ma tête, tout se mélangeait. Mais je sentais autre chose. De la chaleur. Cela ne devait pas m’étonner. Mais aussi de l’air. Plus frais. Une sensation d’endormissement au niveau de mes bras et de mes jambes. Et de démangeaison au niveau de mon nez.
Là-dessus, un de mes yeux s’entrouvrit. Ce que je vis aux premiers abords était vert. Ça bougeait. Ça me chatouillait le visage. Je soufflai une première fois. Ca revenait. Puis une seconde fois. Sans succès. Je bougeai la tête vers le côté. Je vis du bleu. Mon œil s’ouvrit complètement, ainsi que le second. Des oiseaux. De petits nuages. Et de l’herbe. Des arbres. Des collines. Etais-ce le paradis ? Ou alors avais-je gagné un autre monde ? Je pouvais envisager toutes les éventualités. Je ressentais une forte chaleur. Je n’étais pas très bien. J’étais nauséeuse.
Je ramenai mes deux bras vers l’avant, pour me hisser. J’étais allongée sur un épais tapis d’herbe. J’essayai de me relever. Mais ma vue se brouilla. D’un coup, je me sentis partir l’espace d’un instant. Puis de puissants spasmes au niveau du ventre me firent vomir. J’avais l’impression d’avoir une cuite énorme… Mais après avoir vomi, ça allait mieux. Je repris complètement mes esprits. J’observai devant moi. Je reconnus ces collines. Elles étaient semblables à celles de Zhangjiajie. Je m’étais déjà faite la remarque. Plus arrondies, entièrement boisées, telles des gratte-ciels de verdure. Un paysage magnifique… Ce paysage magnifique, c’était toujours la jungle de Kryne. Je me trouvais au sommet d’une colline bien plus arrondie. Comment me suis-je retrouvée ici ? Comment… comment ai-je échappé à ce monstre, venu me dévorer, moi, attachée à un poteau, donnée en offrande ? Je me retournai d’un coup. Et j’hurlai. Je reculai, puis tombai.

Message édité le 11 mai 2019 à 01:32:00 par Grayhena
Melodrama3 Melodrama3
MP
Niveau 2
22 mai 2019 à 13:33:53

Le 10 mai 2019 à 16:44:57 Julien-Gracq8 a écrit :
Je bloque un peu sur ce passage, je ne sais pourquoi j'ai l'impression que des choses ne vont pas, quelqu'un pour m'aider?

Texte :

"Elle se tenait debout contre la cloison, la respiration haletante, le front plissé et les mains crispées; elle se dressait face à son agresseur. Il l'avait suivi la veille, jusqu'à devant chez elle; s'était arrêté là un moment, puis était reparti prestement. La jeune femme avait signalé l'évènement à la police, leur avait dit qu'un individu étrange la harcelait ces derniers temps, qu'elle n'était pas tranquille et qu'elle souhaitait savoir que faire - comment se prémunir d'un éventuel incident. C'est pourquoi elle avait acheté un spray lacrymogène et un taser, les moyens ordinaires de défense. Le lendemain, jour clair, sans accroc dans le ciel comme dans les rues. Elle rentrait chez elle le soir venue, soulagée, confiante en la protection que lui conférait ces gadgets achetés en magasin. C'est pourquoi - lorsqu'elle mit la clé dans la serrure, qu'elle déverrouilla la porte, puis enclencha la poignée -, elle crut mourir de surprise et resta figée un moment, quand l'individu d'hier survenu par derrière, lui mit la main contre la bouche, et la poussa à l'intérieur de la maison, avant de refermer la porte.

Elle n'eut pas le temps de sortir ses armes de son sac à main, n'eut pas la force de lui résister, de se libérer de son étreinte; c'est lorsqu'il la repoussa violemment contre une paroi du couloir d'entrée, qu'elle put se libérer un temps des bras de son agresseur. Elle était néanmoins toujours à sa merci, il était grand et robuste, et certainement décidé à la violer; il n'y avait personne chez elle et l'isolation était optimale, crier n'aurait servi à rien. Elle ne pouvait que faire face, pitoyablement, dans une joute inégale et, sitôt qu'elle bondit en vue de lui griffer les yeux, elle se fit arrêter par le géant, pressuriser la mâchoire par l'étau de ses deux mains puissantes, avant d'être repoussée de nouveau et de s'écrouler à genoux contre le mur, le visage en sang, l'arcade ouverte, et la mâchoire déboîtée. Ah! s'écria-t-elle en sentant la colère lui donner une envie de vengeance. Elle aurait voulu se tuer en cet instant, mais plus que tout elle aurait souhaité le tuer lui! le dépecer, le broyer vivant, se repaître de la chair de cet engeance. Elle n'était pas encore violée qu'elle contractait déjà une haine immense pour son agresseur. Elle se soumettait pour l'heure aux pulsions de l'animal, souhaitant ne pas l'irriter, dans l'idée qu'il ne la tue pas, afin pour elle d'assouvir sa vengeance le jour venu."

C’est un c/c du fameux texte démonté par la dilettante ou bien c’est ton texte auquel tu as ajouté la fameuse phrase ?

Atala-rene Atala-rene
MP
Niveau 6
22 mai 2019 à 16:53:06

Le 22 mai 2019 à 13:33:53 Melodrama3 a écrit :

Le 10 mai 2019 à 16:44:57 Julien-Gracq8 a écrit :
Je bloque un peu sur ce passage, je ne sais pourquoi j'ai l'impression que des choses ne vont pas, quelqu'un pour m'aider?

Texte :

"Elle se tenait debout contre la cloison, la respiration haletante, le front plissé et les mains crispées; elle se dressait face à son agresseur. Il l'avait suivi la veille, jusqu'à devant chez elle; s'était arrêté là un moment, puis était reparti prestement. La jeune femme avait signalé l'évènement à la police, leur avait dit qu'un individu étrange la harcelait ces derniers temps, qu'elle n'était pas tranquille et qu'elle souhaitait savoir que faire - comment se prémunir d'un éventuel incident. C'est pourquoi elle avait acheté un spray lacrymogène et un taser, les moyens ordinaires de défense. Le lendemain, jour clair, sans accroc dans le ciel comme dans les rues. Elle rentrait chez elle le soir venue, soulagée, confiante en la protection que lui conférait ces gadgets achetés en magasin. C'est pourquoi - lorsqu'elle mit la clé dans la serrure, qu'elle déverrouilla la porte, puis enclencha la poignée -, elle crut mourir de surprise et resta figée un moment, quand l'individu d'hier survenu par derrière, lui mit la main contre la bouche, et la poussa à l'intérieur de la maison, avant de refermer la porte.

Elle n'eut pas le temps de sortir ses armes de son sac à main, n'eut pas la force de lui résister, de se libérer de son étreinte; c'est lorsqu'il la repoussa violemment contre une paroi du couloir d'entrée, qu'elle put se libérer un temps des bras de son agresseur. Elle était néanmoins toujours à sa merci, il était grand et robuste, et certainement décidé à la violer; il n'y avait personne chez elle et l'isolation était optimale, crier n'aurait servi à rien. Elle ne pouvait que faire face, pitoyablement, dans une joute inégale et, sitôt qu'elle bondit en vue de lui griffer les yeux, elle se fit arrêter par le géant, pressuriser la mâchoire par l'étau de ses deux mains puissantes, avant d'être repoussée de nouveau et de s'écrouler à genoux contre le mur, le visage en sang, l'arcade ouverte, et la mâchoire déboîtée. Ah! s'écria-t-elle en sentant la colère lui donner une envie de vengeance. Elle aurait voulu se tuer en cet instant, mais plus que tout elle aurait souhaité le tuer lui! le dépecer, le broyer vivant, se repaître de la chair de cet engeance. Elle n'était pas encore violée qu'elle contractait déjà une haine immense pour son agresseur. Elle se soumettait pour l'heure aux pulsions de l'animal, souhaitant ne pas l'irriter, dans l'idée qu'il ne la tue pas, afin pour elle d'assouvir sa vengeance le jour venu."

C’est un c/c du fameux texte démonté par la dilettante ou bien c’est ton texte auquel tu as ajouté la fameuse phrase ?

Tu as l'oeil. :noel:
Le texte est de moi, je l'ai écrit exprès pour y insérer dedans la douce phrase, afin d'en ressentir pleinement le caractère ridicule.
Et ça n'a pas loupé, la phrase frappe vraiment à la relecture, c'est immonde bon sang. :rire2:

Hymenoplastie6 Hymenoplastie6
MP
Niveau 10
07 juin 2019 à 06:09:28

Bonne lecture !

Les rues étaient désert.
Le Bazar Store, comme il s'appelait, était le dernier commerce encore ouvert des alentours.

Elle guettait depuis l'arrêt de bus d'en face les activtés à l'intérieur du magasin.
Quand agir ?

Une partie d'elle priait sans relâche pour que l'épicerie baisse les rideaux ce qui l'empêcherait de mener à bien la mission qui lui a été attribué.

Elle leurs avait donné 15 minutes pour fermer.
Cela faisait plus d'une heure qu'elle patientait là, à attendre une action divine, que la bonne étoile agisse, que son téléphone se mette à vibrer et qu'on lui dise 《On annule tout !》
Mais rien ne se produit.
L'épicerie était toujours ouverte et ses objectif à elle, fixé par ses superieurs, restaient inchangé.

Elle prend une grande inspiration et traverse, hors du passage piéton, espérant une dernière fois qu'une voiture, un camion, un bus ou même une météorite vienne la tuée sur le champ pour l'interrompre dans sa funeste mission

La mort de sa personne était pour elle plus saine et préférable que la tâche qu'elle avait pour ordre d'accomplir...

Mais rien ne se produit.

Elle arrive saine et sauve de l'autre côté, planté devant le magasin éclairé aux LED roses.

Bazar Store.

Elle prend à nouveau une très grande inspiration.
- Seigneur Dieu, implora-t-elle, si vous existez vraiment, elle sort un calibre 38 de sa ceinture, je vous en prie arrêtez moi.

Elle descend sur son visage la fine cagoule noir qui était retroussé sur sa tête.

Elle arme le revolver, les portes automatiques s'ouvrent.

A la caisse deux hommes bavardent, ils étaient en plein fou rire.
Le visage du premier se decompose. Il comprend dès qu'il l'aperçoit sur le seuil du magasin. Il se baisse immédiatement.

Le deuxième était toujours en train de rire.
Une balle lui traverse la tête la seconde d'après.
Le sang s'étale généreusement derrière lui et il tombe comme une masse dans sur un panier de fruits et légumes.

Elle s'approche du comptoir.

L'homme accroupi composait un numéro de téléphone, la police de toute évidence.
Les doigts tremblant sur l'appareil téléphonique.

Il n'avait même pas vu qu'elle se tenait juste derrière lui le canon dans sa direction.

Quand il s'en rend compte, une vision d'horreur se lit sur son visage, il ouvre la bouche pour supplier mais aucun son ne sort.
Car le deuxième coup était déjà parti.
Un cercle écarlate s'imprime entre ses deux yeux.
Et il s'effondre à son tour.

Des pas furieux se font entendre depuis l'étage. Quelqu'un dévale l'escalier à toute vitesse.
Le sergent-major Ivy Murphy prend position, se dissimule, sa mire métallique visait la porte par lequel allait débouler l'inconnu d'un instant à l'autre.

Un fusil à pompe apparaît, puis un adolescent.

Le gamin scrute le magasin de ses yeux affolés, il ne s'attarde même pas sur les deux cadavres à ses pieds, animé par un stress immense et l'instinct de survie, son cerveau reptilien était à la recherche de la menace pour l'éliminer.

Il ne voit personne du premier coup d'oeil.
Mise à part un reflet de ... une arme !

C'est la derniere chose qu'il eut vu, ça et la petite flamme s'échappant du pistolet d'Ivy.

La seconde d'après c'en était terminé pour le troisième membre de la famille Murât.

VeyIox VeyIox
MP
Niveau 10
07 juin 2019 à 09:28:25

Et ça n'a pas loupé, la phrase frappe vraiment à la relecture, c'est immonde bon sang. :rire2:

Elle m'inquiète vraiment, chaque fois que je la lis j'ai l'impression que tout est normal et je dois me concentrer dessus 2 mn pour essayer de comprendre pourquoi tout le monde est choqué

Julien-Gracq8 Julien-Gracq8
MP
Niveau 7
07 juin 2019 à 18:34:42

Le 07 juin 2019 à 09:28:25 VeyIox a écrit :

Et ça n'a pas loupé, la phrase frappe vraiment à la relecture, c'est immonde bon sang. :rire2:

Elle m'inquiète vraiment, chaque fois que je la lis j'ai l'impression que tout est normal et je dois me concentrer dessus 2 mn pour essayer de comprendre pourquoi tout le monde est choqué

Déjà le "Ah!", c'est à peu près interdit sauf pour une parodie. C'est beaucoup trop théâtral ou romantique comme onomatopée.
Ensuite je ne saurais pas l'expliquer en des termes précis mais musicalement elle est hideuse. Il est impossible de l'insérer sans qu'elle ne forme une cassure dans le rythme, je ne vois même pas comment c'est possible.
Pour dire musicalement, c'est comme une croche pointée (le "Ah!"), suivi d'une succession de 5-6 triolets mais "non-pulsé". En gros on a l'impression qu'après une pause lourde sur un "ah!", le tout se déroule comme une phrase fatiguée qui ne veut pas s'arrêter, qui enchaîne une quinzaine de notes d'une même valeur sans qu'il n'y ait de rebond, sans respecter de mesure, pour finir sur un silence (le point).

De fait ça casse tout rythmiquement, sans former une rupture puisque les termes de la phrase ne se comprennent qu'au milieu d'une action, et que ces termes-ci ne sont pas assez forts ou évocateurs pour soulever quelque chose de particulier. C'est comme un brisant coupant la déferlante d'une tempête, si tu veux.

Et puis "la colère lui donner une envie de vengeance", je ne sais pas dans quel contexte se situe son texte, mais ça fait franchement très naïf surtout couplé avec le "ah!".
De plus la phrase est comme essoufflée alors que l'héroïne est censée ressentir des émotions pour le moins intenses et violentes, ça ne colle pas du tout.

EmAnime EmAnime
MP
Niveau 4
07 juin 2019 à 22:23:19

Un extrait de ma fanfiction

''Ma chère Kira

Nous sommes, au jour où je t'écris, le 19 septembre. Comme tu le sais, il s'agit là de la date à laquelle je suis née. Je fête aujourd'hui donc mon 19ème anniversaire. J'aimerais énormément le fêter avec vous tous, mais, vois-tu, comme depuis que je suis entrée à Poudlard, cela m'est impossible. Je dois rester à l'école, c'est ainsi. Je sais que je n'ai pas été une "grande-soeur" très présente depuis la tragédie qui a frappé la famille. Comme j'allais entrer à Poudlard, je n'ai pas pu rester bien longtemps. Dire qu'Adrian, Alan et Lauren venaient de naître... Ils n'auront jamais connu leurs parents. Enfin, je divague ! Je souhaitais juste m'excuser, une fois de plus, de ne pas avoir été très présente. Tu as dû t'occuper des petits avec Connor, devenir comme une mère pour eux, et ce, très jeune. Je ne vous en remercierai jamais assez, lui et toi. Pour en revenir à ta question de la dernière fois, non, il vous est impossible de venir étudier à Poudlard avec moi, comme je te l'ai déjà répété des centaines de fois. Notre famille n'est même plus censée exister depuis notre annexion par la branche secondaire. Vous devez continuer de vous cacher et d'apprendre avec vos professeurs particuliers jusqu'à ce qu'enfin, la vérité soit rétablie. Jusqu'à ce qu'enfin, je monte sur le trône pour rétablir notre honneur perdu. J'ai juré et je continue de jurer d'y arriver un jour.

Enfin, voilà. Je voulais te demander des nouvelles de tout le monde. Comment vont-ils ? Harriet se rétablie bien ? Après la varicelle qu'elle a eu... Et Lauren a perdu sa première dent, non ? Je suis vraiment heureuse pour elle, elle doit se sentir "comme une grande" maintenant ! Dis moi tout, je rêve de pouvoir être à vos côtés en ce moment alors, donne moi quelques nouvelles ! J'adore Poudlard, mais repasser une année, vois-tu... je sais bien que je me dois de la rattraper, avec les événements de l'année passée, la guerre et la mort de Voldemort et le reste, mais bon, j'aurais aimé me consacrer un peu plus à la famille.

Pour terminer, je souhaite t'annoncer que d'après mes sources, une nouvelle héritière devrait bientôt monter sur le trône. Une illégitime. Je compte en profiter pour faire mon grand retour. Préparez-vous tous, les Syn vont sortir de l'ombre !

Affectueusement. Hermione Syn''

Du haut de sa tour, Kira sourit. Enfin. Après tant d'années cachée, leur famille allait enfin pouvoir sortir de l'ombre et affirmer à tous que la branche secondaire qui les avait annexés et avait effacé leur existence au monde mentait. Elle ne pouvait plus cacher sa hâte. Attrapant sa baguette tout près d'elle, elle jeta une gerbe d'étincelle qui résonna dans le château, signe du ralliement familial.

Chimene_Azalee Chimene_Azalee
MP
Niveau 18
07 juin 2019 à 22:53:03

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