"Leur cible, c'était la caméra. Un pain pouvait partir à tout moment. J'ai couvert des émeutes en banlieue, je ne pensais pas vivre ça dans le Haut-Doubs", témoigne ce jeudi matin un de nos journalistes, toujours sous le choc.
ah ok donc il y a que les jeunes de banlieu qui ont le droit d'attaquer une caméra qui les révèle leur indentité ?
sachant qu'ils en avaient rien à foutre des journalistes juste ils voulait bloquer les militants , qui ont pas l'intelligence de se garer le plus loin possible de leur action écolo !