Le trouble de la personnalité évitante est un trouble de la personnalité caractérisé par un sentiment de mauvaise adaptation, d'une très forte sensibilité aux situations négatives et à l'évitement d'activités ou relations humaines.
Je soupçonne un nombre non négligeable de khey d'être atteints de ce trouble à différents degrés.
Les individus atteints de troubles de la personnalité évitante se considèrent eux-mêmes être socialement inaptes ou personnellement peu attirants, et évitent une interaction sociale par peur d'être ridiculisés, humiliés, rejetés ou mal-aimés.
Prévalence de 1% dans la population générale.
Les personnes atteintes du trouble de la personnalité évitante sont préoccupées par leur capacité à s'inclure dans une relation sociale de crainte d'être rejetées. La perte et le rejet sont si douloureux que les sujets choisiront d'être seuls plutôt que de prendre le risque de communiquer avec les autres.
Les symptômes sont plutôt équivoques :
En même temps c'est la conséquence logique d'un certain manque de confiance en soi.
Je me soupçonne d'être atteint de ce trouble mais je ne sais pas comment me soigner
C'est complètement incompatible avec le flirt classique du 21e siècle.
Le 20 septembre 2019 à 03:51:51 TurboKid a écrit :
Je me soupçonne d'être atteint de ce trouble mais je ne sais pas comment me soigner
En général, le mieux est d'y aller par étapes et de participer à des activités sociales pour réapprendre à s'affirmer et à se faire confiance. Le coup de pied au cul/la technique de la "douche froide", ça a surtout tendance à enfoncer davantage la personne dans le renfermement sur soi. Mais faut surtout être accompagné pour pas abandonner en cours de route.
Le 20 septembre 2019 à 03:51:06 StoneOfChaos a écrit :
En même temps c'est la conséquence logique d'un certain manque de confiance en soi.
C'est plus vicieux qu'un simple manque de confiance en soi
Il est important pour le patient qu'il garde confiance, car les individus atteints de troubles de la personnalité évitante tenteront souvent d'éviter les séances du traitement s'ils ne font pas confiance au thérapeute ou s'ils éprouvent une peur de rejet. Dans tous les cas, il convient de ne pas prendre ce problème à la légère, car une personne évitante non traitée peut présenter des troubles secondaires : assuétudes, fuite dans l'imaginaire, dépression… De plus, à force d'accumuler les échecs et les déceptions sur le plan relationnel, le patient peut finir par perdre confiance, tant en lui que dans les autres. (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde) [réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore bien plus difficile.
Le 20 septembre 2019 à 03:54:25 StoneOfChaos a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 03:51:51 TurboKid a écrit :
Je me soupçonne d'être atteint de ce trouble mais je ne sais pas comment me soignerEn général, le mieux est d'y aller par étapes et de participer à des activités sociales pour réapprendre à s'affirmer et à se faire confiance. Le coup de pied au cul/la technique de la "douche froide", ça a surtout tendance à enfoncer davantage la personne dans le renfermement sur soi. Mais faut surtout être accompagné pour pas abandonner en cours de route.
Bah le soucis c'est que je suis tout seul et que je suis un zéro tout donc je suis juste perdu
Le pire aspect du trouble c'est le fait qu'il s'auto nourrit et que sa nature rend la simple éventualité de considérer un traitement particulièrement difficile.
Une autre conséquence qui peut se révéler tout aussi grave est une tendance excessive à fuir dans l'imaginaire. Au lieu d'essayer de nouer des relations réelles, ce qui par définition pose problème pour le patient évitant, il peut décider de les imaginer. Ses proches diront de lui qu'il est « dans la lune », « rêveur ». Vu de l'extérieur, à force de réduire ses interactions sociales au minimum, on dira de lui qu'il mène une vie « monacale », ce qui est à la fois vrai et faux : en réalité, il « imagine » sa vie telle qu'il la voudrait. C'est particulièrement vrai pour l'adolescent et le jeune adulte, qui n'ont pas nécessairement la maturité nécessaire pour comprendre qu'en agissant de la sorte, ils ne font que creuser le gouffre qui les sépare du reste des gens. On peut voir alors se mettre en place un véritable cercle vicieux, dans lequel le patient fantasme, puis se heurte à la réalité, qui lui apparaît forcément dure et insatisfaisante (d'autant plus qu'elle est en discordance avec ses fantasmes). Du coup, il la fuit toujours plus, se réfugie toujours plus dans l'imaginaire, et ainsi de suite. Là aussi, une thérapie peut être très difficile à amorcer car, temporairement du moins, la personne évitante peut se satisfaire de la situation, et n'aura pas l'impression de souffrir. Dès lors, il sera d'autant plus réticent à consulter.
juste es ce que le fais de procrastiner et de ne rien aimer c'est lié à ce trouble?
Le 20 septembre 2019 à 03:55:59 CauchySchwartz a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 03:51:06 StoneOfChaos a écrit :
En même temps c'est la conséquence logique d'un certain manque de confiance en soi.C'est plus vicieux qu'un simple manque de confiance en soi
Il est important pour le patient qu'il garde confiance, car les individus atteints de troubles de la personnalité évitante tenteront souvent d'éviter les séances du traitement s'ils ne font pas confiance au thérapeute ou s'ils éprouvent une peur de rejet. Dans tous les cas, il convient de ne pas prendre ce problème à la légère, car une personne évitante non traitée peut présenter des troubles secondaires : assuétudes, fuite dans l'imaginaire, dépression… De plus, à force d'accumuler les échecs et les déceptions sur le plan relationnel, le patient peut finir par perdre confiance, tant en lui que dans les autres. (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde) [réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore bien plus difficile.
La phobie du rejet, quoi. Je connais bien ça, je pense en être partiellement victime. Mais après, je suis un grand anxieux, donc on peut m'appliquer tous les putains de syndromes qui impliquent une peur ou une autre.
Le 20 septembre 2019 à 04:01:32 TurboKid a écrit :
juste es ce que le fais de procrastiner et de ne rien aimer c'est lié à ce trouble?
La procrastination clairement ouais. Le fait de ne rien aimer je ne pense pas
Le 20 septembre 2019 à 04:03:47 CauchySchwartz a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 04:01:32 TurboKid a écrit :
juste es ce que le fais de procrastiner et de ne rien aimer c'est lié à ce trouble?La procrastination clairement ouais. Le fait de ne rien aimer je ne pense pas
bah plus tu procrastines=>moins tu fais de choses et moins tu aimes faire les choses
Le 20 septembre 2019 à 04:01:39 StoneOfChaos a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 03:55:59 CauchySchwartz a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 03:51:06 StoneOfChaos a écrit :
En même temps c'est la conséquence logique d'un certain manque de confiance en soi.C'est plus vicieux qu'un simple manque de confiance en soi
Il est important pour le patient qu'il garde confiance, car les individus atteints de troubles de la personnalité évitante tenteront souvent d'éviter les séances du traitement s'ils ne font pas confiance au thérapeute ou s'ils éprouvent une peur de rejet. Dans tous les cas, il convient de ne pas prendre ce problème à la légère, car une personne évitante non traitée peut présenter des troubles secondaires : assuétudes, fuite dans l'imaginaire, dépression… De plus, à force d'accumuler les échecs et les déceptions sur le plan relationnel, le patient peut finir par perdre confiance, tant en lui que dans les autres. (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde) [réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore bien plus difficile.
La phobie du rejet, quoi. Je connais bien ça, je pense en être partiellement victime. Mais après, je suis un grand anxieux, donc on peut m'appliquer tous les putains de syndromes qui impliquent une peur ou une autre.
La phobie du rejet (sous toute ses formes), c'est une bonne manière de résumer en vrai. Je suis en quête d'une cure moi aussi, c'est en train de foutre ma vie en l'air
duc oup faut faire quoi pour guerrir? faut voir un psy?
c'est pas car on a de nombreux symptôme d'un trouble de perso qu'on en souffre
d'autant plus que quand on souffre de dépression plein de symptôme peuvent être expliqué en parti par cela
Ah ce petit jeu des citations des troubles de la personnalité je peux me considérer comme souffrant de la majorité des troubles existant
hors je sais que c'est pas le cas
faites attention avec les autodiagnostic
Ils vont inventer quoi d'autres comme maladie mentale ?
Le 20 septembre 2019 à 04:04:29 TurboKid a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 04:03:47 CauchySchwartz a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 04:01:32 TurboKid a écrit :
juste es ce que le fais de procrastiner et de ne rien aimer c'est lié à ce trouble?La procrastination clairement ouais. Le fait de ne rien aimer je ne pense pas
bah plus tu procrastines=>moins tu fais de choses et moins tu aimes faire les choses
Je voyais pas ça sous cet angle, mais ça se tient
Après, tu peux procrastiner sur quelque chose que tu aimes je pense.
Le 20 septembre 2019 à 04:07:32 horise a écrit :
c'est pas car on a de nombreux symptôme d'un trouble de perso qu'on en souffre
d'autant plus que quand on souffre de dépression plein de symptôme peuvent être expliqué en parti par celaAh ce petit jeu des citations des troubles de la personnalité je peux me considérer comme souffrant de la majorité des troubles existant
hors je sais que c'est pas le casfaites attention avec les autodiagnostic
je sais de quoi je parle vu que
-je m'imagine une vie dans ma tête alors qu'irl je suis un zéro tout
-j'évite le contact social à tout pris
-je ne sais pas quoi faire pour changer de vie etc
Le 20 septembre 2019 à 03:52:16 CauchySchwartz a écrit :
C'est complètement incompatible avec le flirt classique du 21e siècle.
bah tu flirt pas et tu baises pas et tu passes à autre chose
c'est ce que je fais