Salut,
A la vue des cinématiques et des scènes coupées interactives extrêmement violentes et absolument épouvantables dans lesquelles la torture et le sadisme sont placés comme les éléments phares et les arguments premiers dont le but est de susciter une satisfaction morbide de la part du spectateur tout en le confortant dans cette recherche de plaisir via notamment la formation d'une communauté partageant ces intérêts et elle-même issue de l'engouement de masse entourant l'apparition sur le marché d'une nouvelle superproduction asservie d'une sempiternelle et coûteuse médiation, je me permets de remettre largement en question l'utilisation et le recours à de tels procédés et leur bien-fondé à court terme comme à long terme sur un public de tout âge et de toute culture.
Une reproduction dont on ne pourra, après mince observation dans certains cas, que difficilement nier qu'en son cœur séjourne une préoccupation et un soucis à être le plus fidèle à une réalité telle que décrite dans les premières lignes du précédent paragraphe ne devrait-elle pas éveiller chez tout un chacun des questionnements d'ordres psychologiques et morales vis-à-vis des concepteurs du jeu vidéo, mais aussi à l'égard de ceux qui parviennent à tirer profits des fruits de leur travail, fruits et résultats que je nommerai anomalies ou dysfonctionnements, voir à soi-même ?
Ce n'est pas à la critique et à l'atteinte personnelle qu'est ce dessein, mais à la réalisation très progressive d'une phénomène sociétale massifié et communément accepter, dont les causes, aussi diverses soient-elles, on en commun leur capacité à demeurer inatteignable car étant chacune in fine le résultat d'une réflexion entre celles-ci même à tendance exponentielle car ayant toutes un but similaire (celui d'un déséquilibre qui entre autres symptômes induira celui énoncé en objet de ce post) et de surcroît fortement synergique pour peu qu'une faible part d'entre elles soient admises et intégrés.