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Sujet : [Story] Phœnix

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Mouf67 Mouf67
MP
Niveau 17
05 août 2021 à 05:14:28

Ma réaction après la première qualif de l'année : Le titre pour Gasly https://image.noelshack.com/fichiers/2018/07/6/1518872591-patrick-montel.png

En fait non :hap:

J'ai toujours su que Ghiotto était aussi surcotax qu'un fameux Tom Ritter :hap:

Ce tacle par derrière alors que le pauvre Tom n'a rien demandé, on est pas loin du carton rouge monsieur https://image.noelshack.com/fichiers/2020/06/2/1580828729-mattia.png

Quatorzième temps pour Ocon
De justesse, neuvième temps sur le gong pour Pöpfer : Ocon est éliminé !

Faut être dans les 14 premiers pour passer en Q3 ? :doute: Parce que là on a l'impression qu'Ocon est qualifié puis éliminé, j'ai pas tout compris :doute:
Ou alors c'est un fonctionnement en Q1-Q2-Q3-Q4 ? :hap:

Et celui qui me fait la réflexion que j’aurais pu être l’autre pilote de l’écurie cette année si mon instinct ne m’avait pas induit en erreur risque la peine capitale.

C'est pas faute de l'avoir réclamé chez Sauber hein :)

Lena : Attends, ça ne s’arrête pas là. “Le troisième pilote de l’écurie, l’autrichien Eduard Krainer, prendra sa place au sein de l’équipe à partir du Grand Prix du Portugal.”

Issou, ce cliffhanger osef

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
05 août 2021 à 22:02:38

Le 05 août 2021 à 05:14:28 Mouf67 a écrit :

J'ai toujours su que Ghiotto était aussi surcotax qu'un fameux Tom Ritter :hap:

Ce tacle par derrière alors que le pauvre Tom n'a rien demandé, on est pas loin du carton rouge monsieur https://image.noelshack.com/fichiers/2020/06/2/1580828729-mattia.png

Ilarézon

Quatorzième temps pour Ocon
De justesse, neuvième temps sur le gong pour Pöpfer : Ocon est éliminé !

Faut être dans les 14 premiers pour passer en Q3 ? :doute: Parce que là on a l'impression qu'Ocon est qualifié puis éliminé, j'ai pas tout compris :doute:
Ou alors c'est un fonctionnement en Q1-Q2-Q3-Q4 ? :hap:

26 - 22 - 18 - 14 - 10 :hap:
4 en moins toutes les 10 minutes et reset des chronos même si pas de pause
Et "Q3" à 10 classique
(Format claqué mais crédible :hap: )

Message édité le 05 août 2021 à 22:03:00 par Haryanto
Mouf67 Mouf67
MP
Niveau 17
06 août 2021 à 11:00:29

26 - 22 - 18 - 14 - 10 :hap:

4 en moins toutes les 10 minutes et reset des chronos même si pas de pause
Et "Q3" à 10 classique
(Format claqué mais crédible :hap: )

Ah oui tu l'avais expliqué dans un épisode mais j'avais oublié :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
06 août 2021 à 21:55:24

:mac: S12E09 (n°478) : Syndrome de la deuxième course :mac:

PARTIE 1

Jeudi 3 mai 2029, Circuit de Spa-Francorchamps, Francorchamps
Second week-end de course du WEC, second conflit de calendrier entre la Formule 1 et le WEC cette année ; il sera, ce week-end encore, question pour le monde de l’Endurance d’évoluer dans l’ombre de la discipline reine. F1 au Portugal, Endurance en Belgique et, malgré ma présence dans les Ardennes, c’est évidemment les hommes actuellement à Portimao qui ont mobilisé une partie de mon attention ces derniers jours.

J’ai pris un sacré coup de vieux depuis le début d’année, déjà en fêtant le quinzième anniversaire de ma carrière en monoplace, puis en constatant impuissant la déroute de bon nombre de types contre qui je m’étais justement battu dans mes années junior et dans ma carrière en F1. Ticktum, de Vries, Leclerc, Russell, autant de types contre qui j’ai régulièrement lutté roue contre roue, qui ont fait partie à plusieurs reprises du top 10 au championnat à mes côtés et qui sont en totale noyade ces derniers temps. Et quand je ne m’y attendais certainement pas, voilà que le premier coup de canon est tiré. BWT et Nyck de Vries ont annoncé leur divorce après à peine plus d’un an de mariage, alors que Nyck y allait pour apporter son expérience et BWT y allait pour apporter son chéquier ; finalement, l’expérience de mon ami néerlandais n’a pas sincèrement suffi à faire de l’écurie rose une équipe compétitive, et BWT a dû faire un sérieux acompte pour se débarrasser de l’année et demie de contrat qu’il restait à Nyck.
Aucun signe avant-coureur n’avait été donné et les relations semblaient encore globalement cordiales entre les deux partis, mais si BWT a accepté de débourser entre quinze et vingt millions d’euros pour dégager Nyck, c’est que ça n’allait plus. L’entame de saison de l’écurie était décevante, celle de Nyck tout particulièrement puisqu’il était régulièrement devancé par son jeune équipier Andrea Antonelli, mais la nouvelle n’avait été anticipée par personne. Au moment de comprendre les motivations de ce choix, pas besoin de chercher très loin, le nom de son remplaçant expliquant beaucoup de choses : Eduard Krainer, qui fêtera son vingt-et-unième anniversaire à l’occasion de ses débuts dimanche et qui est de plus en plus souvent annoncé comme un talent générationnel à la Leclerc ou Alonso.

La montée en puissance de mon jeune compatriote est épatante, c’est sûr, avec sa deuxième place finale en tant que rookie l’an dernier en F2. Ses deux victoires lors du round d’ouverture de cette saison à Bahreïn ont montré qu’il était parti en mission pour le titre et BWT ne le laissera pas aller au bout de cette mission puisque le voilà désormais propulsé dans la catégorie reine où il deviendra, ce dimanche, le dix-septième pilote autrichien à prendre le départ d’un Grand Prix. Je suis tiraillé entre l’infinie déception de savoir l’un de mes meilleurs amis du paddock mis à la porte et une certaine curiosité vis-à-vis de mon jeune compatriote, “Eka”, de dix ans mon cadet. En tout cas, une chose est sûre, voir un autrichien dans une écurie autrichienne, ça a de la gueule.

Désormais, il n’est plus question de donner un avis de “consultant” sur la F1, il est question de donner satisfaction en qualité de pilote sur le toboggan des Ardennes. La course à Sebring nous a souri avec une Ferrari très coriace qui a pu remonter au classement au gré des pépins des autres voitures mais, en toute honnêteté, il ne faut pas s’attendre à des top 5 à chaque course. Ici, à Spa, l’objectif renouvelé est d’être devant les deux équipages McLaren, en attendant de voir comment les six Toyota-Peugeot-Mercedes résisteront mécaniquement.

Vendredi 4 mai 2029, Circuit de Spa-Francorchamps, Francorchamps
Ce circuit en jette, bon sang. Je n’arrête pas de le dire depuis hier, mais ce circuit en jette. La pureté des F1 m’avait presque fait oublier la magie de Spa, la possibilité de gravir le Raidillon sans lever le pied étant l’une des raisons derrière cela, mais je peux vous dire que les prototypes sont dans une toute autre ambiance. Gérer des virages comme l’Eau Rouge, le Pouhon ou Blanchimont, ça ajoute une sacrée part de challenge au pilotage autour de ce tracé mythique et, si je devais choisir à l’instant T, je préférerais y piloter tous les ans en WEC plutôt qu’en F1. L’aperçu que j’ai pu avoir des nouvelles F1 pourrait me faire changer d’avis car elles sont moins collées à la piste, mais le grip délirant des F1 utilisées entre 2022 et l’an dernier ne fait certainement pas le poids face à la 1046 d'un point de vue adrénaline.

Aujourd’hui, c’est la traditionnelle qualif et je ne serais à nouveau pas de la partie. Toujours pas de frustration, mais une légère déception car je pensais que ma bonne connaissance du circuit m’aiderait à me rapprocher des chronos de mes équipiers voire même à faire mieux ; je n’ai fait que me rapprocher pour l’instant mais, sur les simulations, je semble encore légèrement derrière James et Marcus : la data a parlé, c’est comme ça. La victoire n’en sera que plus belle quand je serais finalement choisi pour une qualification.

Dans le rôle d’observateur, il n’y a pas grand-chose que je peux faire pour aider l’équipe alors je me contente de scruter l’écran installé dans le garage pour voir comment mes deux compères se débrouillent. Pas la peine d'instiguer un faux suspense : ce n’est que le neuvième temps, la McLaren n°1 nous permettant d’éviter d’être derniers de cet effort chronométré. Petite déception en soi, même s’il n’y a évidemment rien d’insurmontable. L’autre McLaren n’est que quinze millièmes devant, c’est dommage, mais l’élément le plus décevant est que les collègues sur l’autre proto de l’équipe ont décroché un invraisemblable cinquième chrono, devançant les deux Mercedes sans qu’on ne sache trop comment. Giacomo Altoè et surtout Jüri Vips ont assuré pour coller une seconde pleine à Marcus et James, tout comme Christian Lundgaard et surtout Ralf Aron ont assuré pour la Peugeot n°5, qui signe la pole à la surprise générale pour huit centièmes devant leurs camarades de la 4. Drôle de qualification, peut-être signe d’une drôle de course à venir. Après une sorte de mini fête nationale estonienne aujourd'hui, il ne me reste qu'à espérer une fête nationale autrichienne demain.

Grille de départ - 6 Heures de Spa-Francorchamps
1- #5 Peugeot (Aron/Lundgaard/Martins)
2- #4 Peugeot (Albon/Hubert/Laurent)
3- #8 Toyota (Boccolacci/Menezes/Vaxiviere)
4- #7 Toyota (Buemi/DaCosta/Hartley)
5- #9 Ferrari (Altoè/Blomqvist/Vips)
6- #18 Mercedes (Auer/Rowland/Wehrlein)
7- #19 Mercedes (Dillmann/Hülkenberg/Vesti)
8- #2 McLaren (Crawford/Hanson/Spratt)
9- #10 Ferrari (Armstrong/Calado/Kofler)
10- #1 McLaren (Barnicoat/Evans/Magnussen)

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
06 août 2021 à 21:55:38

PARTIE 2

Samedi 5 mai 2029, Circuit de Spa-Francorchamps, Francorchamps
“Niki, tu dois être tellement déçu de ne pas avoir pris part à la qualification…”
Bonjour, non.
Il n’y a pas que des choix cornéliens et des mauvaises nouvelles au sein des équipages en Endurance ; si vous êtes laissé de côté à un moment, vous serez plébiscité à un autre. Pas de qualification hier mais, aujourd’hui, le droit à quasiment la moitié de la course derrière le volant, avec le départ et aussi l’arrivée. Place de choix, si vous voulez mon avis. Marcus et James se partageront les trois heures et demie du milieu de course, j’aurais quant à moi la lourde responsabilité d’assurer la bonne entame et le bon finish de cette course.

13h30 - Départ
Drapeau vert et la course est lancée. L’adrénaline d’un départ, voilà un nouveau sentiment que je redécouvre à l’instant et ça m’avait malgré tout manqué. C’est anxiogène, il y a des voitures à surveiller partout, mais c’est amusant du moment que vous ne percutez rien ni personne. Et fort heureusement, ici, c’est mon cas. J’ai même réussi à passer devant Jak Crawford pour prendre la huitième place, comme quoi je ne suis peut-être pas si rouillé que ça.

14h03 - reste 05h27
Marc: Rear brakes are too hot Niki, try to adjust the balance please.
Niki: It’s already towards the front, by alot. I don’t think I can change it much more.
Marc: Then try to be smoother with it. We really need the temperatures to go down.

Le début des emmerdes. Ça n'aura pas tardé. Trente-trois minutes de course et déjà un problème de surchauffe de freins, à l’arrière ; si on termine cette course sans aucun pépin technique, je m’appelle Helmut. C’est embêtant car j’avais réussi à garder l’avantage sur les deux McLaren et que j’étais encore dans la lutte pour faire mieux que cela, mais visiblement le bon travail abattu jusqu’ici ne va pas porter ses fruits.

14h28 - reste 05h02
Niki: Brake pedal is getting quite loose right now. I think it’s starting to go.
Marc: Copy. We box this lap. Don’t take any risks, bring it to the pits safely.
Niki: Ah, s***.

L’espoir n’aura été que de courte durée ; une vingtaine de minutes à perdre deux secondes par tour pour ménager les freins, avant que ceux-ci ne finissent par rendre l’âme. Moins d’une heure de course et on va devoir rentrer la voiture dans le garage et changer ces freins, ou au moins trouver un moyen de résoudre le problème.
Deux minutes plus tard, après avoir roulé à un train de sénateur de Bruxelles - le virage, pas la ville, heureusement - jusqu’aux stands, je ramène la voiture au garage et j’en descend pour laisser ma place à James, du moins quand la voiture sera remise en état.

14h32 - reste 04h58
Voiture de sécurité ici à Spa et pour les mauvaises raisons ; sortie d’une violence inouïe à l’instant pour le leader de la course, Victor Martins, dans l’Eau Rouge. Le français est indemne, Dieu merci, mais sa Peugeot a étrangement tiré tout droit dans la montée et est allée se fracasser dans les pneus. Le crash que je viens de voir sur l’écran m’a fait froid dans le dos, c’est certain. Maintenant, s’il s’agit d’être opportuniste...C’est un gain de temps, pour nous.

14h36 - reste 04h54
Dans la défaite, il existe des petites victoires ; nous avons probablement perdu tout espoir de faire un très bon résultat dans cette course, mais l’espoir de faire un bon résultat existe toujours. Nos gars ont assuré pour renvoyer la numéro 10 en piste après seulement six minutes d’immobilisation et c’est un très grosse perf, sincèrement. Nous voilà ressortis à un tour de la tête de course, juste derrière le peloton de LMP2. Chè grande lavoro.

Classement à 15h30 :
1. #8 | 2. #4 | 3. #7 | 4. #18 | 5. #9 | 6. #19 | 7. #2 (+1L) | 8. #1 (+1L) | 9. #10 (+2L) | 35. #5 (+26L)

16h15 - reste 03h15
Un nouveau joueur entre en scène ; prise de service de Marcus à l’instant, après un peu plus de deux heures de travail de James. Nous menons une course bien solitaire, dans le no man’s land de la neuvième place ; ça n’est pas ma journée de travail la plus passionnante, mais soit. Je serais de retour dans la voiture dans deux heures au plus tard, alors je dois rester concentré peu importe les enjeux qui subsistent à ce stade.

Classement à 17h30 :
1. #8 | 2. #4 | 3. #7 | 4. #18 (+1L) | 5. #19 (+1L) | 6. #9 (+1L) | 7. #2 (+2L) | 8. #1 (+2L) | 9. #10 (+4L) | 35. #5 (+83L)

17h30 - reste 02h00
De vous à moi, je crois que les clichés sur le manque d’action en Endurance risquent de subsister un bon moment si les courses comme celle d’aujourd’hui s’enchaînent ; très peu d’action à recenser jusqu'ici même si, à l’instant et alors que l’on atteint le cap des quatre heures de course, la Mercedes numéro 18 est au ralenti. Grosse déception pour Pascal Wehrlein, actuellement derrière le volant du bolide qui était quatrième, et une opportunité pour la numéro 9 de reprendre place dans le top 5. Et s’ils prenaient notre suite ? Ca serait certainement encourageant, alors qu’on en attendait pas tant et qu’on ne s’attendait surtout pas à ce qu’une des deux voitures lutte avec les Mercedes lors des deux premières courses. C’était nous à Sebring, c’est l’autre voiture aujourd’hui, la roue tourne.

18h03 - reste 01h27
L’enjeu est déjà parti, vous le savez aussi bien que moi, mais il reste le dernier quart de cette course à disputer et c’est moi qui vais m’en charger. 1h44 pour James, 1h49 pour Marcus, le reste pour moi. Nous voilà désormais huitièmes puisque la Mercedes #18 a passé quasiment vingt minutes au garage et qu’elle ne nous rattrapera pas : le tout est de garder la voiture en un morceau pour - pourquoi pas - profiter d’éventuels déboires des sept premiers protos.

18h38 - reste 00h52
Quand je parlais de déboires de protos devant moi, je ne parlais pas des collègues...Me voilà désormais officiellement septième, puisque je viens de franchir la ligne à l’instant pour commencer le même tour que la numéro 9, coincée aux stands depuis plusieurs minutes avec vraisemblablement un problème de freins à son tour. Les gars s’affairent dessus et j’espère qu’ils seront aussi rapides que pour l’intervention sur notre voiture, pour éviter que des LMP2 ne leur passent devant et leur grignotent des points.

19h31
C’en est fini de cette course ; notre espoir d’un résultat compétitif a disparu au bout d’une heure mais, par la suite, on a réussi à faire une course mature. Septième et huitième pour l’équipe - sans bataille entre les deux voitures car la 9 est repartie avec un tour de retard sur moi et qu’elle n’a évidemment pas eu le temps de le regagner - et une certaine amertume d’avoir eu deux protos défaillants, quand seulement trois LMP1 ont sérieusement déraillé aujourd’hui. C’est particulièrement frustrant pour Giacomo, Jüri et Tom dans l’autre voiture car ils auraient pu obtenir un podium inespéré après un léger pépin électronique subi par la Toyota numéro 8, ce qui a offert le podium à la 19 contre qui il se battaient. Mais après une course bénie à Sebring, il semblerait que notre équipage ait subi un léger retour de karma et que l’autre équipage ait subi un dégât collatéral des cieux.

Classement - 6 Heures de Spa-Francorchamps
1- #4 Peugeot (Albon/Hubert/Laurent)
2- #7 Toyota (Buemi/DaCosta/Hartley)
3- #19 Mercedes (Dillmann/Hülkenberg/Vesti)
4- #8 Toyota (Boccolacci/Menezes/Vaxiviere)
5- #2 McLaren (Crawford/Hanson/Spratt)
6- #1 McLaren (Barnicoat/Evans/Magnussen)
7- #10 Ferrari (Armstrong/Calado/Kofler)
8- #9 Ferrari (Altoè/Blomqvist/Vips)
13- #18 Mercedes (Auer/Rowland/Wehrlein)
DNF- #5 Peugeot (Aron/Lundgaard/Martins)

Classement du championnat https://image.noelshack.com/fichiers/2021/31/5/1628279366-wec-02-spa-classement.png

J’ai beau jouer la carte de l’ennui, de mon point de vue, il n’y a pas de quoi se plaindre du manque d’action de notre côté. Après une première heure dans l’adrénaline de la course en peloton, j’ai eu droit à l’inverse total lors du dernier quart de course, avec une situation où je ne me battais contre personne. Il s’agissait un peu d’une forme de séance d’essais grandeur nature et j’en ai profité pour continuer à me chercher. Je ne dis pas que j’ai pu jouer aux cartes dans la dernière heure et demie, mais j’ai simplement pu piloter tranquillement en conditions de course et que ça m’a globalement été bénéfique, je pense. Il n’y avait pas la même pression que lors d’un départ ou lors de mon retour catastrophique en F1 et ça, c’était une bonne chose.
Désormais, la prochaine étape est dans quatre semaines, au Mans, pour les journées test des 24 Heures : c’est là qu’il faudra être fin prêt sur tous les plans, pour affronter LA course de l’année. La dernière fois que j’y ai participé, j’ai gagné, alors même si l’objectif ne sera pas de signer le "doublé", bien figurer sera un minimum syndical. D’ici là, je vais avoir un peu de temps pour peaufiner ma préparation pour cet événement, pour recharger les batteries et pour vérifier qu’aucun autre de mes amis ne se fait mettre à la porte par son équipe en F1. Car, mine de rien, le risque existe...

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
06 août 2021 à 21:56:33

Nous ronpichâment https://image.noelshack.com/fichiers/2019/43/6/1572090174-marquez-sleep.png
Mais le Masterplan fait déjà ses preuves :cimer: https://image.noelshack.com/fichiers/2017/08/1488107426-ferrari-eco.png

Ants_Go_Up Ants_Go_Up
MP
Niveau 16
06 août 2021 à 22:27:51

Je ronpichame + post avant forfait Kofler au Mans pour X ou Y raison

edit: + crackito en carton le nouvel autrichien, pour être un vrai crack, faut être champion dès sa rookie season en F2, c'est comme ca que font les vrais https://image.noelshack.com/fichiers/2019/45/3/1573041041-lec1.png

Message édité le 06 août 2021 à 22:28:48 par Ants_Go_Up
Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
07 août 2021 à 12:09:09

Le 06 août 2021 à 22:27:51 Ants_Go_Up a écrit :
Je ronpichame + post avant forfait Kofler au Mans pour X ou Y raison

edit: + crackito en carton le nouvel autrichien, pour être un vrai crack, faut être champion dès sa rookie season en F2, c'est comme ca que font les vrais https://image.noelshack.com/fichiers/2019/45/3/1573041041-lec1.png

Ticktum l'a fait, quel crackito lui aussi https://image.noelshack.com/fichiers/2017/11/1489872984-ikeo.png

[-Monarch-] [-Monarch-]
MP
Niveau 10
10 août 2021 à 14:33:23

Nyck qui vire violemment du casting :noel:
Le Krainer je vais pas le rater quand il va décevoir :oui:

et pour vérifier qu’aucun autre de mes amis ne se fait mettre à la porte par son équipe en F1. Car, mine de rien, le risque existe...

RIP Luca https://image.noelshack.com/fichiers/2017/49/4/1512602518-salutmonpote2.png

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
11 août 2021 à 22:58:35

Le 10 août 2021 à 14:33:23 :

et pour vérifier qu’aucun autre de mes amis ne se fait mettre à la porte par son équipe en F1. Car, mine de rien, le risque existe...

RIP Luca https://image.noelshack.com/fichiers/2017/49/4/1512602518-salutmonpote2.png

SO VIELLEICHT https://image.noelshack.com/fichiers/2018/07/6/1518872591-patrick-montel.png

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
13 août 2021 à 16:26:58

L'intégrale - https://cutt.ly/Vhr42rp

:mac: S12E10 (n°479) : Grandes manoeuvres :mac:

Samedi 26 mai 2029, Circuit de Monaco, Monaco
Le sport automobile est un monde de sacrifices ; Rahal Letterman Racing voulait m’inviter en VIP pour les 500 miles d’Indianapolis mais je n’ai pas pu refuser l’invitation de Ferrari, mon employeur, au Grand Prix de Monaco. Je rêve sincèrement d’un monde où les deux courses n’ont pas lieu le même week-end et, si la discussion s’est intensifiée il y a quelques années quand mes deux participations en Amérique ont fait des émules, rien ne laisse penser qu’un changement interviendra prochainement. J’ai donc dû suivre mon équipe en Principauté, même si je sais que le spectacle sera - sauf cataclysme - bien meilleur dans l’Indiana.

Le climat en F1 est explosif, avec plusieurs écuries qui commencent à annoncer des grandes manœuvres, voire même à les amorcer. Audi a restructuré son organigramme derrière Andreas Seidl, Renault se pose de sérieuses questions et certains pilotes au bail expirant sont en pleine réflexion pour l’avenir. Et évidemment, chez Ferrari, on n’échappe pas à ça. L’écurie est à la dérive, avec pour meilleur résultat une septième place sur les sept premières courses. Les améliorations apportées au Portugal au début du mois n’ont eu aucun effet sur les performances en piste, ce qui est inquiétant pour ceux comme moi qui en voyaient les bienfaits dans le simulateur. Il y a un clair problème avec l’équipe cette année, voire même plusieurs, et les échos sont bruyants en coulisses. Nous sommes désormais au tiers de la saison et chaque GP est l’occasion pour une part de plus en plus importante de la fanbase de réclamer mon retour à la place de Luca, qui semble déjà complètement condamné à cause d’un manque de progrès dans le classement. Toujours aucun point, une dix-septième place lors de la première course comme meilleur résultat, des erreurs à la pelle : moi ou un autre, les médias veulent voir quelqu’un à la place de Luca. A vrai dire, si on en croit certains médias transalpins particulièrement véhéments, il n’y a que Charles qui mériterait de conserver sa place à Maranello...Un peu radical, si vous voulez mon avis.

Aujourd’hui, c’est la course qualificative, puisque vous connaissez aussi bien que moi l’importance capitale de la séance chronométrée ici. Et dès le deuxième segment de la séance, ça s’anime : alors qu’on attendait Krainer, Colapinto ou les China au fond du classement pour occuper les places 19 à 22 de la grille demain, les deux premiers cités se sentent pousser des ailes et éliminent deux hommes : Ocon est vingtième, Ghiotto vingt-deuxième. Déception pour Audi au sens global et...déception malheureusement habituelle pour Luca. C’est dur de le voir en pleine noyade de la sorte, en tant qu’ami.
Pour les dix minutes qui suivent, à nouveau, Krainer et Colapinto sont pointés du doigt comme étant les “maillons faibles”, alors qu’une élimination des Renault, de Jokinen ou des Williams est également envisageable. Les minutes passent et la feuille des temps est serrée, du moins si on exclut des Honda qui ont l’air imprenables ici. Deux minutes avant la fin, on retrouve Jokinen, Colapinto, Sigthórsson et Krainer dans la zone rouge. L’islandais est attendu plus haut mais il semble en délicatesse dans ce segment de la qualif, alors qu’on recense des noms comme Vandoorne ou Leclerc à proximité de la zone rouge. Pas de trace des Renault qui siègent dans le top 5 pour l’instant, à la surprise générale, et peut-être de quoi enfin démarrer la saison à Enstone.
Dans le money time de ce segment, les améliorations s’enchaînent ; Jokinen, puis Sigthórsson, puis Pöpfer, puis Sainz, puis Vandoorne, puis Colapinto : six pilotes de rang qui améliorent, avec un Colapinto épatant qui se hisse au neuvième rang. La série est interrompue par un homme qui est en danger : Charles Leclerc, incapable d’améliorer à la surprise générale. Quatorzième place pour le régional de l’étape, qui pourrait être éliminé par Wighels ou par Krainer, sait-on jamais.

Et à la surprise générale, c’est ce dernier qui est l’auteur du coup fatal. Onzième temps pour le gamin de Graz, la sensation est totale pour lui puisqu’il s’agit de très loin de la meilleure qualif de la saison pour BWT et qu’elle est l’œuvre du pilote arrivé il y a seulement trois semaines. Chapeau bas.

Comme lorsque la titularisation de Krainer avait été annoncée, c’est mi-figue mi-raisin pour moi ; bourreau indirect de Nyck de Vries il y a un mois, bourreau direct de Charles Leclerc aujourd’hui, mon jeune compatriote n'en finit pas de nuire à mes amis. Chez Ferrari, c’est la débandade et les visages sont grimaçants, car il est difficile d’envisager un bon résultat demain avec une telle qualif.

Finalement, l’enfant prodige s’arrêtera au treizième rang, en attirant au passage la lumière des projecteurs ; malgré les six poles en huit courses pour Lando Norris, la première première ligne de l’année pour George Russell ou le double top 10 des Renault, rien à faire : la star est autrichienne, aujourd’hui.

Grille de départ :
1 Norris (HON) 2 Russell (MCL)
3 Offenberg (HON) 4 Gasly (AMR)
5 Vandoorne (MCL) 6 Zoranovic (AMR)
7 Pöpfer (SAU) 8 Ticktum (REN)
9 Voletti (SAU) 10 Pourchaire (REN)
11 Sainz (WIL) 12 Ráfaga (DAL)
13 Krainer (BWT) 14 Colapinto (MUM)
15 Leclerc (FER) 16 Jokinen (AUD)
17 Wighels (WIL) 18 Sigthórsson (DAL)
19 Sette Câmara (CHR) 20 Ocon (AUD)
21 Zhou (CHR) 22 Ghiotto (FER)
23 Shwartzman (SMP) 24 Burrows (MUM)
25 Arfield (SMP) 26 Antonelli (BWT)

Dimanche 27 mai 2029, Circuit de Monaco, Monaco
Ai-je le droit de concéder que j’apprécie plutôt ce rôle de troisième pilote, à regarder le Grand Prix depuis le garage ? Le rouge me va plutôt bien mais ça ne change pas par rapport à mon accoutrement quand je suis engagé en WEC, ce que j’apprécie c’est d’avoir l’atmosphère du Grand Prix et le plaisir du spectateur. Peut-être que c’est le fait d’observer mes coéquipiers en piste lors des courses de cette année qui m’aide à accepter de n’avoir aucun rôle à jouer lors des GP ici. Comme lors de ma première “astreinte” à Sepang, une caméra est à proximité pour qu’on me montre à l’écran lors de l’une des nombreuses phases ennuyantes de la course mais, hormis cela, j’arrive à slalomer entre les apparitions médiatiques et ça n’est pas plus mal. “Quand allez-vous remplacer Luca Ghiotto ?”, “Pensez-vous être capable de faire mieux que lui ?”, “L’équipe vous a-t-elle parlé d’un éventuel échange entre vous ?”, "Y'a-t-il un autre scénario, selon vous ?” : ce genre de questions me sont posées assez souvent alors, si j’arrive à les éviter de temps à autre, ce n’est pas plus mal. Surtout, je commence à arriver à court de réponses, car je ne sais pas quoi dire d’autre que “L’équipe ne me parle pas de piloter la voiture, car Luca et Charles ont besoin du maximum de roulage possible” ; cette affirmation est vraie car, depuis Sepang, aucun écho d’une nouvelle séance d’essais. Peut-être est-ce une conséquence de ma sortie en Malaisie, toujours est-il qu’avant de remplacer Luca pour de bon, je devrais passer par la case séances d’essais, pour pouvoir être jaugé.

Installé dans le stand Ferrari pour le départ, j’ai l’occasion d’assister à un dépassement - vrai privilège en soi à Monaco - et à un splendide qui plus est. Vous saviez qu’on pouvait faire l’extérieur au Portier ? Esteban Ocon a réussi à le faire sur Sérgio Sette Câmara, qui s’est laissé endormir par Sigthórsson devant lui et qui n’a rien vu venir. Impeccable de la part du français, dommage que cela soit pour la dix-huitième place.

Comme le veut la malheureuse coutume depuis bien des années, Monaco rime avec dodo et le Grand Prix n’est pas un classique...Jusqu’à ce que Ferrari fasse des siennes. Tour 23, moteur en vrac, c’est terminé pour Charles Leclerc et pour les espoirs de points de l’équipe. Charles était déjà remonté au douzième rang, mais il n’ira pas plus loin dans cette course. Encore un zéro à inscrire dans la case Ferrari au championnat, même si Luca est encore en course, car il ne parvient même pas à rentrer dans le top 20 pour l’instant. La pression monte en interne et elle ne risque pas de redescendre après ce nouveau couac.

Le restart après la voiture de sécurité permet de redonner un peu de suspense pendant quelques tours, même si Norris et Offenberg se forgent un nouvel écart convaincant sur la troisième place de George Russell. Et on reprend une part de sieste, malheureusement. D’un point de vue pilote, on se moque du manque de spectacle car Monaco reste un challenge, mais d’un point de vue spectateur il faut être malhonnête pour dire que c’est une course intéressante. L’édition 2029 ne déroge pas à la règle et, dans la deuxième moitié de course, c’est encore sur Ferrari qu’il faut compter pour le divertissement : tour 55, drapeau jaune, Ferrari dans les barrières. Luca est allé taper à Massenet, tout seul. Le garage est dégoûté, le muret des stands dépité et, à cet instant précis, tous ceux qui ont un cheval cabré sur leur tenue ont le sang chaud. Nouveau fiasco pour la Scuderia, cette fois sur le circuit le plus prestigieux de tous, et une sensation que le vase est à deux doigts de déborder à chaque tsunami.

Dès son retour aux stands, je cueille Luca pour essayer de lui parler. Les médias me pensent opportuniste et imaginent que je veux à tout prix prendre le volant de cette numéro 2, sauf que la vérité est que j’ai une profonde peine de voir l’un de mes meilleurs amis vivre un cauchemar. Être intronisé en tant que pilote titulaire de la Scuderia, en tant qu’italien, était un honneur pour lui et un rêve devenu réalité, aujourd’hui rien de tout ça ne subsiste tellement Luca galère cette année. Sa position en interne est précaire, il le sait, il se met la pression, il fait des erreurs, et ce cercle à quatre points remarquables s’auto-alimente. L’enfer sur Terre.
Malgré l’estime qu’a mon ami vénète pour moi, il m’est impossible de vraiment pouvoir l’aider aujourd’hui, car je crois que personne n’est en mesure de le faire. Quand on est sous pression et qu’on est à Monaco, la mission principale est de ne pas faire d’erreur, pourtant c’est la tâche la plus difficile qui soit.

Assez peu intéressé par la fin du Grand Prix, je regarde malgré tous les derniers tours, où aucune surprise de taille ne se distingue par rapport à la physionomie du week-end. Même s’ils avaient été entraperçus hier, quelques résultats remarquables ressortent : le premier podium de George Russell, le meilleur résultat - huitième - de Dan Ticktum, la nouvelle prestation épatante de Franco Colapinto et la révélation du phénomène Eduard Krainer sont les principaux. Dans la Principauté, célèbre pour son casino, ces quatre noms ont empoché le jackpot et d’autres ont fait banqueroute. Parmi ceux-là, les deux pilotes Ferrari, seuls abandons du jour. Aïe.

Classement de la course :
1 Norris (Honda)
2 Offenberg (Honda)
3 Russell (McLaren)
4 Gasly (Aston Martin)
5 Pöpfer (Sauber)
6 Zoranovic (Aston Martin)
7 Vandoorne (McLaren)
8 Ticktum (Renault)
9 Sainz (Williams)
10 Voletti (Sauber)

Championnat pilotes https://image.noelshack.com/fichiers/2021/32/5/1628864604-f1-08-monaco-drivers.png Championnat constructeurs https://image.noelshack.com/fichiers/2021/32/5/1628864614-f1-08-monaco-teams.png

Je suis arrivé à Monaco avec mes lunettes de soleil et mon sourire, je repars sous la pluie et complètement blasé après un nouveau fiasco made in Ferrari. La presse italienne se régalera certainement demain et je sais que tout le monde va parler de cette course pendant longtemps.

Lundi 28 mai 2029, Maranello
Grand jour à Maranello ? Certainement pas. Tout le monde fait la gueule, l’ambiance est délétère, c’est dur de venir bosser dans ces conditions. Je sors à l’instant du dernier débriefing en lien avec le calamiteux week-end monégasque et la situation est de plus en plus critique. Les têtes sont mises à prix à tous les étages dans la presse mais, au final, la seule rumeur qui n’a toujours pas intégré l’usine, c’est celle du remplacement de Luca Ghiotto. Statu quo pour l’instant, l’écurie n’est toujours pas prête à me confier une nouvelle séance d’essais et aucune n’est prévue pour le moment. Avant Sepang, il y avait des échos pour le mois de juillet, avec un espoir qu’il s’agisse de Spielberg, mais alors qu’on approche de juillet, toujours rien qui va en ce sens. Est-ce que j’ai vraiment jeté ma chance à la poubelle sur un crash débile ?

Pour essayer de tourner la page et de parler d’autre chose, les grands décideurs de la branche F1 de l’écurie travaillent en ce moment, en sous-marin, sur un nouveau partenariat moteur. Ferrari a perdu, depuis l’émancipation de Dallara, la possibilité de placer un pilote en F1 si elle en a envie. Et aujourd’hui, elle en a un peu envie compte tenu de la situation de la seconde voiture. A l’heure actuelle, c’est le flou car ni la petite Scuderia ni SMP ne souhaitent prendre un pilote Ferrari. Le plan est donc simple : se rapprocher de Sauber dans cet objectif. Je ne comprendrais jamais pourquoi Sauber bouleverse tout dès que ça va bien, car l’écurie est aujourd’hui dans une posture inédite avec un moteur Mercedes. Certes, le bloc Ferrari semble être le meilleur du plateau et ça pourrait en théorie leur permettre d’aller encore plus haut, mais une intégration ratée signifierait une catastrophe à Hinwil.
En tout cas, après avoir joué la carte du mutisme ce dernier mois au sujet d’un éventuel nouveau test dans une Ferrari, Jacopo me parle enfin de F1, par cette piste sortie de nulle part. Il existe trois pistes pour Ferrari pour obtenir un baquet de plus ; China, Mumtalakat et Sauber, l’équipe suisse étant de loin l’option idéale. Et puisque tout le monde sait que l’argent est toujours un problème avec Sauber, le deal pourrait être d’acheter un baquet en l’échange d’un bon de réduction sur la fourniture du meilleur moteur existant à l’instant T. L’offre est alléchante et je l’accepterais si j’étais décisionnaire chez Sauber, même si je concède que ce biais vient probablement de la perspective que cela constitue pour moi de me retrouver à nouveau en F1...Et si, finalement, Sauber était bel et bien l'écurie de mon retour en discipline reine ?

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
13 août 2021 à 16:27:55

VAS-Y MON PETIT https://image.noelshack.com/fichiers/2018/20/6/1526737005-t-gilardi.png
 
Bon, sinon, les tifosi, ça va ? L'assistance respiratoire fonctionne correctement ? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/22/1496373187-asthma.jpg https://image.noelshack.com/fichiers/2020/51/3/1608148276-pere-fernand-ecran.png

Ants_Go_Up Ants_Go_Up
MP
Niveau 16
13 août 2021 à 18:21:05

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/36/7/1536480425-kermitassistancerespiratoire.jpg

[-Monarch-] [-Monarch-]
MP
Niveau 10
14 août 2021 à 23:10:12

Davide Benzoni doit être tellement mort de rire dans son clic-clac de chômeur https://image.noelshack.com/fichiers/2016/29/1469283523-sddsddqsq.png

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
16 août 2021 à 23:05:11

Le 14 août 2021 à 23:10:12 :
Davide Benzoni doit être tellement mort de rire dans son clic-clac de chômeur https://image.noelshack.com/fichiers/2016/29/1469283523-sddsddqsq.png

Il rigole tellement fort qu'il en fait tomber son paquet de chips de gros porc je suis sûr

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
20 août 2021 à 19:15:52

L'intégrale - https://cutt.ly/Vhr42rp

:mac: S12E11 (n°480) : Retour en terrain connu :mac:

Dimanche 3 juin 2029, Circuit des 24 Heures, Le Mans
Le Théâtre des Rêves du monde de l’Endurance. Quasiment trois semaines après le début des festivités à Indianapolis et dix jours après celles à Monaco, c’est à notre tour de commencer notre période sainte. Les 24 Heures du Mans se tiennent devant nous et l’ambiance va monter crescendo à partir d’aujourd’hui, quand la journée test sera terminée.
A deux semaines de la grande échéance, ce premier roulage a une forte valeur symbolique, car il marque le coup d’envoi de la course la plus importante du calendrier. Bien sûr, les fans ne sont pas aussi nombreux qu’ils ne le seront les 16 et 17 juin prochain, mais beaucoup d’entre eux suivront cette journée d’aujourd’hui pour avoir un ordre d’idée de ce à quoi il faut s’attendre pour la course.

A titre personnel, j’effectue mon retour dans la Sarthe ce week-end, deux ans après l’improbable victoire face à la Toyota numéro 7. Je n’ai jamais véritablement eu l’occasion de fêter ce succès car, une semaine plus tard, j’étais de retour en Indycar pour deux courses d’affilée, la deuxième ayant eu lieu dans l’Iowa avec le contre-temps qu’on connaît. Alors au final, malgré le retard, il s’agit un peu de ma lune de miel. Quand on y repense, gagner Le Mans est déjà un accomplissement en soi, le faire pour sa deuxième participation n’est pas mal du tout non plus, mais alors gagner Le Mans pour sa deuxième participation et le faire dans un proto client, c’est...Wow. Pendant ma période sur la touche, j’ai eu l’occasion de reparcourir certains moments de ma carrière, un peu comme une sorte de thérapie, et celle du Mans avait vraiment un caractère tout particulier.
J’ai remporté Monaco en 2025 en étant absolument dominateur et en faisant oublier que d’autres voitures étaient en piste et, deux ans après, c’est presque tout l’inverse qui s’est produit au Mans. Pas mal de chance, une fiabilité impeccable et la nécessité de faire craquer le leader Brendon Hartley dans les dernières heures. Le scénario était diamétralement opposé et, même si je reste convaincu que Monaco 2025 est l’une des deux ou trois meilleures prestations que j’ai pu livrer au volant d’une voiture de course dans ma vie, je crois que mon succès ici est presque plus beau dans sa narration. Cette semaine, j’ai d'ailleurs été rejoint par mes deux équipiers de cette formidable épopée, pour que nous déposions nos empreintes sur le “Walk of Fame” manceau, l’occasion de se remémorer les phases clé de cette course si spéciale.

Mais après la joie du souvenir, place à l’extase de l’avenir : que nous réserve cette édition ? Car, grâce aux données des deux premières courses de la saison, les officiels sont ravis d’annoncer le retour de l’Equivalence of Technology, qui va - paraît-il - resserrer la bataille entre les cinq constructeurs. Personne ne sait vraiment ce que ça va donner, certains sont sceptiques car ils estiment que le système ne peut pas être bien huilé après seulement deux courses, sur des circuits bien différents du Mans qui plus est. Pour ma part je ne dis rien avant de prendre la piste, par peur d’être complètement à côté de la plaque.

A cet égard, je vais bientôt pouvoir prendre la parole, car les huit heures de roulage d’aujourd’hui devraient donner une indication sur le rythme de chacun des cinq protos actuellement construits pour le LMP1.
C’est à moi que revient l’honneur de faire débuter cette 1046 sur le circuit de la Sarthe, cinquante-six ans après la dernière participation de Ferrari à cette course. Le vrai retour en course n’interviendra que dans treize jours, mais ce 3 juin est malgré tout symbolique dans l’histoire commune de la Scuderia et du Mans. Jacky Ickx, Arturo Merzario, Carlos Pace, Brian Redman, Carlos Reutemann et Tim Schenken - quelques jolis noms donc - étaient les six derniers hommes missionnés par le Commendatore pour piloter les trois 312PB de l’époque, aujourd’hui la relève est là et Tom Blomqvist et moi-même sommes les deux hommes chargés de "couper le ruban Ferrari", ruban fictif dans ce cas précis mais qui n'a jamais aussi bien porté son nom.

J’éprouve un certain plaisir à étrenner cette voiture rouge, blanche et orange sur le circuit des 24 Heures, car cela ramène instantanément les souvenirs d’il y a deux ans. Ma deuxième branche de la couronne suprême, la victoire la plus iconique de ma carrière de pilote, employez le qualificatif que vous souhaitez mais il s’agissait d’une sacrée épopée. Et comme si je n’étais pas un assez gros loser, le jour où je remporte l’une des courses les plus prestigieuses au monde, je n’ai même pas vraiment le temps de célébrer ma victoire. Je crois que ça me définit malheureusement très bien.

États d’âme balayés, je lance rapidement le programme prévu par l’équipe pour étudier tout ce qui peut l’être en vue de la grande échéance : rythme pur, gestion du carburant, état mécanique de la voiture, gestion du trafic, étude de l’usure pneumatique. Il y a tout un tas d’items à étudier et le meilleur moyen de les étudier est de rouler sans cesse. Les journées test ne sont ni plus ni moins que des essais libres et il faut s’en servir en tant que tel car, hormis huit heures de roulage le mercredi précédant la course, il n’y aura pas d’autre opportunité de se préparer avant les qualifications du mercredi soir. Huit heures aujourd’hui, huit heures dans dix jours, pas besoin d’un doctorat de mathématiques pour saisir l’enjeu ; les données récoltées aujourd’hui iront directement à Maranello et seront potassées par les gars restés à l’usine, pour qu’on établisse les scénarios pour la course.

Aucun roulage de nuit n’est prévu avant la grande échéance, mais les conditions de piste sont bien différentes entre neuf heures du matin et dix-huit heures alors je ne reste qu’une petite heure au volant, afin que James et Marcus puissent eux aussi se tester en conditions matinales. L’heure de coupure du midi est réservée à des premiers débriefings informels autour d’un repas, repas mangé sur le pouce pour avoir le temps d’analyser des caméras embarquées et des graphiques. Et le schéma se répète, cette fois avec un ordre mélangé. Marcus est le premier à embarquer à quatorze heures avant de me laisser la place pour un peu plus d’une heure. Un plan de roulage est toujours difficile à mettre à exécution en raison des problèmes de fiabilité qui peuvent venir le perturber mais, ici, on peut s’estimer heureux que ça ne soit pas le cas. Le constat ne peut pas être appliqué à McLaren, dont les deux voitures ont passé - à vue d’œil - la moitié de leur temps au garage. A la régulière, les deux protos orange seraient nos principaux adversaires, alors les savoir en difficulté à un côté réjouissant...Mais pourquoi parler de “régulière” sur la base de Sebring et de Spa alors que l’EoT vient rebattre les cartes ?

Comme toujours, les pincettes sont sorties à la fin des journées d’essais car il est impossible de connaître les conditions de roulage des autres équipages, mais il semblerait que nos Ferrari aient été un peu avantagées par l’EoT. Nos chronos sont proches des Mercedes, parfois même meilleurs que les Peugeot, alors il y a des raisons d’espérer quelque chose de joli si les astres s’alignent. Imaginez un retour de Ferrari et un retour de Niki Kofler au Mans, le tout ponctué par une victoire improbable. Non, je rigole...Mais imaginez quand même.

Mercredi 6 juin 2029, Bennau
“Pas de deal possible avec Sauber, il y a eu une offre soumise pour le rachat de l’écurie alors aucune décision stratégique n'est prise. Stand-by pour le moment. J’embarque pour Montréal, on s’appelle demain, mais on va te donner une nouvelle séance dans la Ferrari à défaut d’avoir une piste chez Sauber.”

Signé Jacopo Canella.
La climatisation a cessé de fonctionner chez moi, du moins en apparence : oubliée, la température glaciale au sortir de mon erreur à Sepang, c’est l’heure de la rédemption. Canella semble de nouveau me faire confiance au point de m’annoncer clairement que je reprendrais bientôt le volant de la SF100. La version simulateur est amusante en un certain sens mais clairement pas autant que la vraie, alors je suis bien évidemment ravi de la nouvelle. Certes, le focus est placé sur Le Mans pour moi depuis quelques semaines et pendant encore dix jours, mais après ça, on pourra à nouveau parler de discipline reine. Mine de rien, j’apprécie de jongler d’une discipline à l’autre, car ça me permet de ratisser large ; je peux me tester au volant d’un proto et j’espère que je pourrais me tester un peu plus régulièrement au volant d’une monoplace dans les mois à venir.
Ce week-end, la F1 fait escale à Montréal, mon jardin canadien où je n’ai plus été battu depuis 2022 - facile étant donné que ma dernière participation était il y a quatre ans. Mais le week-end suivant, quand je défendrais mes chances au Mans, le paddock de la discipline reine sera en pause avant d’aller en Turquie puis de disputer un triple-header composé de l’Angleterre, l’Autriche et la Hongrie. Si la piste d’une séance à Istanbul est hautement improbable car je pense que Ferrari me laissera décompresser après Le Mans - malgré les trois mois qui séparent les 24 Heures de la course suivante -, je regarde évidemment en direction de la date suivante : le 12 juillet, jour des premiers essais libres du Grand Prix d’Autriche. Et si ?

Difficile de savoir si j’en ai vraiment envie, en réalité. Bien sûr, rouler à Spielberg devant mon public serait une chose fantastique et, qui sait, il s’agit peut-être là d’une opportunité unique. Mais la pression de mes compatriotes serait-elle vraiment saine pour mon deuxième roulage avec la Scuderia, quand on connaît le résultat du premier ? Ne vaut-il mieux pas faire l’impasse sur cette manche si particulière et m’aligner à Silverstone ou à Mogyorod pour me mettre dans des conditions plus facilement supportables mentalement ? Le dilemme existe pour moi et je pense qu’il existe aussi pour l’équipe, qui a conscience de ce qu’une séance d’essais en Styrie signifierait pour moi. En fin de compte, ils seront probablement les seuls décisionnaires, alors j’imagine qu’il ne vaut mieux pas trop que je me torture l’esprit à ce sujet. Ce qu’il faut retenir c’est que, alors que les prestations de Luca Ghiotto ne s’améliorent pas, la Scuderia veut tenter d’élaborer à nouveau la piste Niki Kofler pour voir si j’ai ce qu’il faut pour tenter de résoudre le problème de la “numéro 2 maudite”.

Jeudi 7 juin 2029, Bennau
Peut-on parler de conseil stratégique ? Un peu. Au travers du message de Jacopo, je pensais qu’il me passerait un coup de fil pour qu’on discute d’une potentielle séance d’essais planifiée le mois prochain. Sauf qu’au moment de répondre à l’appel, ce n’est pas un mais cinq interlocuteurs qui s’affichent sur mon écran : Jacopo, team manager de l’équipe, est accompagné par le chef des opérations en piste, Gianluca, ainsi que par le directeur sportif, Fabricio. Vous avez là les trois principaux hommes de la structure F1 de la marque. Jacopo prend les décisions sur le terrain, Gianluca le seconde sur la partie ingénierie et Fabricio complète son rôle d’un point de vue politique. Un plus un plus un n’a jamais fait cinq, mais les deux autres personnes dans la conversation n’ont rien à voir avec l’écurie puisqu’ils font partie de mon management : ce brave Sergueï Semigradov et celui qui reprend peu à peu le flambeau de ses affaires du paddock, son fils Anatoliy. Le vieil homme prend peu à peu du retrait, sentant l’âge le rattraper, et je suis le premier de ses protégés à bénéficier du travail d’Anatoliy, en attendant que Sergueï ne lui laisse la main sur le gros dossier Vojislav Zoranović. Anatoliy n’est pas quelqu’un que je connais très bien, du moins pas autant que son père...Et pourtant, je connais tellement mal ledit père que j’ignore si la relation père/fils qui les unit est biologique ou non. Je pense qu’Anatloiy est simplement son protégé et non son fils au sens premier du terme, mais ni l’un ni l’autre ne sont très bavards sur le sujet alors je me contente de parler affaires avec eux. Et s’ils sont là, c’est qu’un truc de grande ampleur se trame.
J’avais “négocié” les différents aspects de mon premier roulage seul, car il n’y avait pas de grandes implications ; il s’agissait uniquement de parler de logistique et de me briefer sur ma mission en Malaisie. Pas grand-chose à voir avec les droits à l’image, rien à voir avec le pécunier, autrement dit pas besoin d’être managé par Flavio Briatore pour pouvoir aborder la chose. Mais alors si le tandem russe est de la partie, c’est qu’il est question d’autre chose. Plutôt “Miam” ou plutôt “Aïe” ?

Niki : Dites-donc, sacré appel ! C’est un conseil de défense ?
Fabricio : Conseil de défense ou conseil de guerre, comme tu veux (rires) !
Niki : Je m’attendais à avoir un coup de fil de Jacopo, pas à me retrouver face à trois membres de la Scuderia et les deux types qui gèrent mes affaires...Si j’avais su, j’aurais mis un pantalon plutôt qu’un short...Qu’est-ce qui se trame ?
Fabricio : On vient de parler pendant un bon moment avec ton management, on voulait leur exposer le plan et en négocier certains aspects avant de t’en parler. On ne va pas tourner autour du pot, comme Jacopo te l’a annoncé, tu vas bientôt faire ton retour au volant de la voiture. Mais il y a une petite spécificité…
Jacopo : Pour le moment, on hésite encore entre Silverstone et la Hongrie pour ce roulage, mais la certitude c’est que tu y remplaceras Charles, pas Luca. C’est inutile de vous comparer dans le simulateur ou sur l’ancienne génération de voitures, alors on va vous confronter de manière directe pour vous évaluer. Un seul round, la voiture de cette année, une séance d’essais libres ; le plus convaincant aura son baquet installé dans la seconde voiture dès le retour de la trêve estivale.

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
20 août 2021 à 19:19:20

La petite vibe du Mans qui tombe bien vu qu'il y a la course IRL ce week-end :bave:
Et dans 2 semaines les 24h ici, ça fait un peu mood JO/Paralympiques, ça correspond bien au profil de Niki l'handic-Wait
Pas si handicapé que ça vu que Ferrari va le tester pour le baquet :hap: IS LUCA'S CAREER OVER????

Message édité le 20 août 2021 à 19:19:39 par Haryanto
Mouf67 Mouf67
MP
Niveau 17
23 août 2021 à 00:24:58

Bon je suis un enculé, j'ai toujours pas lu le dernier épisode, mais je vais au moins réagir aux deux derniers :p)

De vous à moi

https://youtu.be/6HVw7yTAKBM?t=140
Même si c'est vous à la place du tu, je peux pas m'empêcher de penser à ça :hap:
Et puis c'est une des seules choses que j'ai à dire sur l'épisode 478. Parce que course rompichâme, même si le format de course reste assez agréable à lire :oui:

Est-ce que j’ai vraiment jeté ma chance à la poubelle sur un crash débile ?

Ferrari toujours plus des enculés, ça ignore Niki pour un crash insignifiant alors que dans le même temps Luca repeint les murs de Maranello en marron https://image.noelshack.com/fichiers/2020/40/7/1601840318-20200828-234406-removebg-preview.png

Et si, finalement, Sauber était bel et bien l'écurie de mon retour en discipline reine ?

#Sauber2071

PapY_MoLoToV PapY_MoLoToV
MP
Niveau 59
23 août 2021 à 15:05:39

Sauber 2142 :hap:

J'ai franchement très peur de ce que ça va donner ces essais :peur:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
25 août 2021 à 20:05:59

Le 23 août 2021 à 00:24:58 :
Bon je suis un enculé, j'ai toujours pas lu le dernier épisode, mais je vais au moins réagir aux deux derniers :p)

Et là ? :( :hap:

Est-ce que j’ai vraiment jeté ma chance à la poubelle sur un crash débile ?

Ferrari toujours plus des enculés, ça ignore Niki pour un crash insignifiant alors que dans le même temps Luca repeint les murs de Maranello en marron https://image.noelshack.com/fichiers/2020/40/7/1601840318-20200828-234406-removebg-preview.png

By Ferraring

Et si, finalement, Sauber était bel et bien l'écurie de mon retour en discipline reine ?

#Sauber2071

Le spin-off qui suit les aventures du fils d'Adrian :oui: :bave:

Le 23 août 2021 à 15:05:39 :
Sauber 2142 :hap:

J'ai franchement très peur de ce que ça va donner ces essais :peur:

Aucune raison d'avoir peur voyons :( :hap: :hap: :hap:

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