CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Etoile Abonnement RSS
F1 2021
Forum
  • Accueil
  • Actus
  • Tests
  • Vidéos
  • Images
  • Soluces
  • Forum

Sujet : [Story] Phœnix

DébutPage précedente
1234567891011  ... 23»
Page suivanteFin
Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
11 mai 2021 à 22:44:21

:d) Épisode en page précédente

Arnalo Arnalo
MP
Niveau 14
11 mai 2021 à 22:49:26

Le championnat sur une Ferrari 312t @1,25

Niki qui lance KofAirlines @1,90

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
11 mai 2021 à 22:56:57

Le 11 mai 2021 à 22:49:26 Arnalo a écrit :
Le championnat sur une Ferrari 312t @1,25

Niki qui lance KofAirlines @1,90

Arnalo qui lit tous les épisodes en entier et qui maîtrise son sujet @501.00

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
13 mai 2021 à 12:57:16

Uppent

Ants_Go_Up Ants_Go_Up
MP
Niveau 16
13 mai 2021 à 13:17:27

Reste à savoir si le cliffhanger se situera pas sur un contournement du projet Ferrari en WEC pour un retour ailleurs :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
15 mai 2021 à 11:53:18

L'intégrale - https://cutt.ly/Vhr42rp

:mac: S11E14 (n°466) : Faucon pèlerin :mac:

Dimanche 16 juillet 2028, Österreichring, Spielberg
Qui aurait pu croire qu’un bip de badgeuse pourrait avoir un côté si satisfaisant ? Pour la première fois depuis près de deux ans, me voici de nouveau dans le paddock d’un circuit de Formule 1. C’est un sentiment étrange, je ne vais pas vous mentir, mais c’est aussi un sentiment plaisant. Et autant dire que l’endroit y est pour quelque chose : Spielberg, la Terre Sainte, dans le pays de tous les pays.

Je ne savais pas si j’avais vraiment envie de revenir à cet endroit précis, pourtant, en raison de tous les souvenirs qui sont liés à cet endroit. Je ne voulais pas vraiment revenir de cette façon, je privilégiais un scénario dans lequel mon retour s’effectuerait en qualité de pilote et non d’ex-pilote dans la discipline reine. Mais la proposition de la F1, qui m’a proposé de redevenir journaliste de luxe ce week-end comme ce fut le cas il y a deux ans, cumulée à l’évolution de ma situation, fait que j’ai accepté de venir cette année. Car oui, en l’espace de quelques semaines, les choses ont beaucoup changé, encore plus depuis que j’ai annoncé publiquement ma volonté de revenir à la compétition en 2029. Mais contrairement à ce que je pensais, ça n’a pas vraiment donné un coup de pied dans la fourmilière mais plutôt confirmé les pressentiments. Oui, certains médias ont annoncé mon nom au sein de nombreuses écuries, de Ferrari à SMP en passant par Dallara, McLaren ou Sauber, en bref chez toutes les équipes dont un pilote est en difficulté, mais rien de sérieux n’a vraiment été abordé. A vrai dire, aucune de ces écuries ne m’a contacté de manière sérieuse pour quelque chose qui aurait un lien avec un baquet de titulaire en F1. Quelques échanges ont eu lieu avec McLaren, quelques autres avec Sauber et Ferrari, mais les trois équipes ne mentionnent qu’un rôle de pilote de réserve et de développement. La voie semble donc véritablement pavée pour un retour à la compétition en avril prochain à Silverstone, au volant d’un proto Ferrari. Les discussions se poursuivent, à tel point qu’il est désormais question pour la Scuderia de garder un pilote sous le coude au cas où je ne serais pas apte, mais de me confirmer au sein de l’équipage si jamais le feu vert m’est donné.

Je suis plutôt enthousiaste à l’idée de ce déroulement, car le côté historique du retour du cheval cabré en catégorie principale au Mans me donne envie de rejoindre l’aventure, mais surtout car la situation se déchiffre peu à peu et que, désormais, j’ai le nom de mes deux futurs équipiers si mon arrivée en Italie se matérialise véritablement. En effet, l’équipage envisagé serait composé de James Calado, Luca Ghiotto et moi-même. Parce que je lui ai confessé mes contacts avec la Scuderia pour un volant en Endurance et parce qu’il est troisième pilote de l’écurie en F1, Luca a rapidement fait le rapprochement sur l’identité du type qui est pressenti pour le troisième baquet dans cette Ferrari “hypercar”. L’autre équipage est complet - mais j’en ignore la composition - alors ce baquet vacant et mes contacts persistants à Maranello ne laissent que peu de place au doute à Luca, qui n’a de cesse d’essayer de me convaincre à accepter.
Il est vrai que la perspective d’être associé à l’un de mes meilleurs amis dans le milieu du sport automobile m’intéresse beaucoup, mais je ne veux pas me précipiter dans une issue sans laisser le temps aux autres issues de se présenter. Difficile de vraiment donner un point dans le temps où je me résoudrais à accepter cette offre du WEC mais, pour l’instant j’ai laissé la proposition en suspens, même si elle existe pour de vrai, désormais.

L’heure n’est toutefois pas aux courses d’Endurance, puisque le contexte du jour implique de parler de Formule 1. Les vingt-six combattants sortent d’un back-to-back à l’heure américaine au Canada et à Miami, mais back-to-back régi par l’Islande, qui tient son premier vainqueur en Formule 1. Difficile pour Sven Sigthórsson d’avoir un prédécesseur en la matière puisqu’il est le premier ressortissant islandais à piloter en Grand Prix, mais quitte à établir une référence pour tous ses jeunes fans à Reykjavik et aux alentours, le pilote Renault s’est imposé deux fois en sept jours. Je ne suis pas maître des livres d’Histoire, mais un type qui gagne ses deux premiers GP à la suite, ça n’a pas dû arriver si souvent et ça illustre la jolie perf de cette grosse cote. Après avoir tardé à confirmer son potentiel affiché chez les juniors, le voilà provisoirement sur le toit du monde à vingt-cinq ans.

Pour autant, si Sigthórsson a pu tirer son épingle du jeu, c’est parce que les cadors ont fait du surplace de l’autre côté de l’Atlantique. Leclerc, Zoranovic, Gasly, Russell et Ocon, les cinq hommes forts de cette première partie de saison, ont tous déçu sur ces deux courses et la deuxième place de Zoranovic à Montréal était même le seul podium de ce quintet sur les deux courses américaines.
J’ai failli faire de Miami ma première visite sur un circuit du calendrier de F1 depuis mon accident mais je me suis ravisé au moment d’officialiser ma venue ici ; avec le recul, je regrette, car le Grand Prix de Miami n’avait ni queue ni tête. La quasi-canicule a fait fondre les pneus, la voiture de sécurité est sortie pile quand ça n’arrangeait pas les favoris, et au final c’est un top 5 complètement ridicule qui a émergé : derrière Sigthórsson, on retrouvait Sette Câmara et de Vries, Sette Câmara décrochant le meilleur résultat de l'Histoire de China et Nyck signant là le premier podium de l’histoire de BWT. Je pourrais m’arrêter là et avoir malgré tout la certitude que vous ne me croirez pas, mais on peut aussi relever la sixième place de Colapinto, la huitième de Voletti devant Zhou et Wighels : hormis Gasly cinquième et Leclerc septième, rien ne faisait sens dans le top 10. Une course complètement hallucinante, que j’ai donc vécu depuis mon canapé parce que j’étais persuadé que le spectacle à Miami ne justifierait pas d’encaisser le jetlag. Grave erreur.

Classement pilotes en F1 (12/23) https://image.noelshack.com/fichiers/2021/19/6/1621071842-f1-12-etats-unis-est-drivers.png Classement constructeurs en F1 (12/23) https://image.noelshack.com/fichiers/2021/19/6/1621071853-f1-12-etats-unis-est-teams.png

Au moment de pénétrer dans le paddock de Spielberg ce dimanche, c’est la première remarque à laquelle j’ai le droit : “comment as-tu pu manquer le moment le plus incroyable de l’Histoire du sport automobile, Niki ?”. Inutile de préciser que c’est à Nyck de Vries qu’on doit cette question, lui qui n’a de cesse de me vanner depuis que j’ai confessé avoir délibérément refusé d’assister au Grand Prix de Miami en personne en anticipant une sieste. Bien sûr, si on m’avait dit que j’y verrais un ami signer son premier podium et le premier de sa nouvelle écurie, j’y serais allé à la nage, mais je ne lis malheureusement pas dans l’avenir. Pas encore.
Passée la plaisanterie, me revoir aussi près de F1 fait plaisir à Nyck et à beaucoup de gens dans ce paddock, autant de gens avec qui je prends le temps de discuter dès lors qu’ils ont le temps pour. De mes anciens adversaires à mes anciens collègues en passant par des gens que je ne connais que de vue, beaucoup y vont de leur salutation. Comme quoi, la F1 n’est pas toujours un bassin de requins.

Pour encore plus me donner tort de ne pas être allé à Miami, cette course autrichienne aura été franchement décevante. Il aura fallu attendre le cinquante-troisième tour et un accrochage entre Zoranovic et Ocon, accrochage causé par le serbe, pour avoir un premier vrai highlight dans cette course. La voiture de sécurité est sortie et a remis les écarts à zéro, l’occasion d’assister à quelques petites batailles par-ci par-là. Pour autant, Charles Leclerc n’a pas tremblé et a converti sa pole en une victoire simple, dont il avait bien besoin après avoir été secoué à quelques occasions ces dernières semaines. Certains émettaient l’hypothèse qu’une Aston Martin ne prenne le dessus sur le monégasque au championnat ce week-end, mais ça n’est pas arrivé. Gasly n’a pas franchement réussi sa fin de course et a perdu trois places en quinze tours, ce qui permet à Charles de reprendre un peu d’air.

La contre-performance d’Aston Martin est positive pour Charles, alors que les verts sont désormais ses seuls vrais adversaires. Ocon enchaîne en effet un quatrième week-end vierge, ce qui le fait passer derrière Sigthórsson au championnat mais qui l’élimine surtout de la liste des vrais prétendants au titre. Presque quatre-vingt-dix points de retard, à dix courses de la fin, ça n’arrivera probablement pas. On peut encore croire à une révolte de George Russell, à cinquante-six points, mais on se dirige vraisemblablement vers une lutte à trois, voire moins en fonction de la capacité de Charles Leclerc à encore fermer des bouches.

Classement pilotes en F1 (13/23) https://image.noelshack.com/fichiers/2021/19/6/1621072113-f1-13-autriche-drivers.png Classement constructeurs en F1 (13/23) https://image.noelshack.com/fichiers/2021/19/6/1621072121-f1-13-autriche-teams.png

Finalement, on dirait presque que le moment fort de la course est le podium, où je suis acclamé par le public comme si j’avais remporté le Grand Prix, alors que je ne viens que pour remettre le trophée de vainqueur et interviewer Leclerc, Russell et Sigthórsson sur la boîte.
Je pense que je suis le type qui a le plus fait vibrer Spielberg aujourd’hui et c’est dommage, car le Grand Prix est traditionnellement plutôt spectaculaire ici, mais aussi car mon jeune compatriote Eduard Krainer aurait pu faire mieux que moi si on l’avait laissé aller au bout de la course sprint en F2 ; deux petits points hier en course principale, en manquant la pole d’une place pour la course sprint, qu’il a abandonné sur un ennui mécanique dès les premières boucles. Dommage. J’imagine que voir un autrichien malchanceux ici, c’est quelque chose que mes compatriotes connaissent.

Une fois le cérémonial terminé, je reste à “zoner” dans le paddock en compagnie de mon père, heureux comme un prince de me voir à nouveau ici. Bien évidemment, une grande partie des photographes du paddock sont dans les parages, prêts à fournir des photos pour des articles spéculatifs qui seront publiés dès demain ; discuter avec Gil de Ferran fera automatiquement de moi un sérieux prétendant au baquet de Stoffel Vandoorne et le même parallèle peut être appliqué pour n’importe quel team manager avec lequel je parle. Mais je ne vais pas m’interdire de parler aux gens à qui j’ai envie de parler alors, quand j’arrive devant les hospitalités Ferrari et que je croise Manfredi Ravetto, m’arrêter est une évidence.

Manfredi : Alors, Niki...Cette course ?
Niki : Pas la meilleure chose que l’Autriche a produit…
Manfredi : Je croyais que tu allais essayer de me faire croire que c’était une bonne course !
Niki : Non, il y a des limites à la subjectivité (rires).
Johann : Il y a des choses qui sont irrattrapables !
Manfredi : Vous regrettez d’être venus ?
Johann : Moi presque (rires).
Manfredi : Et toi, Niki ?
Niki : Non, pour moi ça allait. C’était juste un week-end en famille et entre amis, une sorte de retour aux sources !
Manfredi : Retour dans ton monde !
Niki : En attendant le vrai…
Manfredi : Sur cet aspect, je te laisse bloquer la date.
Niki : Bien sûr. Tu peux compter sur moi.

Les caméras étaient sur mon dos au moment où je discutais avec Manfredi Ravetto, pensant qu’il était question pour moi de remplacer Davide Benzoni l’an prochain alors que ce n’est pas le cas, mais le fait que je prenne le temps de discuter avec des team managers avec qui la presse ne m’attribue aucun lien pour 2029 comme Guillaume Rocquelin chez Williams ou Alan Permane chez Renault brouille les pistes. J’adore vraiment ce petit jeu auquel je joue avec les médias depuis quelques mois et je me délecte déjà de voir un article évoquant mon nom dans une Renault l'an prochain.
Même si je suis conscient que ça ne mènera vraisemblablement à rien - je crois l’avoir compris au cours de mes différents échanges au long du week-end - ça continue de m’amuser et ça montre surtout que je sais attirer l’attention médiatique pour faire courir le bruit d’un retour. Ça n'a pas tout à fait fonctionné cette année, mais j’ai bon espoir que ça fonctionne dans les années suivantes, pourquoi pas pour envisager un retour à mon championnat de cœur à l’horizon 2030 par exemple.

Au moment où je quitte le circuit en compagnie de mon père, je suis content d’avoir revu tant de visages que je croisais de manière hebdomadaire - voire même multi-hebdomadaire par le passé. Et en arrivant sur le parking, c’est un certain suisse que je croise.

Arturo : Vous, ici ?
Niki : Oh non, pas lui (rires) ! Je l’ai évité toute la journée et il faut que je tombe sur lui sur le parking, la poisse…
Arturo : Ce n’est pas ton jour de chance...Ca va, quand même ?
Niki : Moins bien qu’il y a cinq minutes !
Arturo : Tu nous quittes déjà ?
Niki : Effectivement.
Arturo : Bon...On s’appelle, de toute façon. A moins que tu ne reviennes m’embêter sur mon lieu de travail prochainement, peut-être ?
Niki : Je ne sais pas...Si tu peux m’avoir des places VIP tous frais compris, ça pourrait arriver rapidement !
Arturo : Qu’est-ce que tu appelles une place VIP ? Car tu as une définition du luxe différente de la mienne (rires).
Niki : Une petite place cosy dans les loges au dernier étage du bâtiment des stands, corbeille de fruits à portée de main et rafraîchissements à volonté. Un billet “Jules César”, au final.
Arturo : Je croyais que “VIP” pour toi, c’était “assis dans une des voitures”...
Niki : Ah...C’est aussi une forme de VIP, c’est vrai.
Arturo : Tu en es où, sur ce plan ?
Niki : Un peu nulle part ! Je crois que les tickets seront bientôt en rupture de stock, en plus.
Arturo : Ah...Mais tu sais s’il en reste ?
Niki : Oh oui, certainement. Mais j’ai pris contact ailleurs.
Arturo : Un bon projet ?
Niki : Ah oui, tout à fait. Pas mal du tout, crois-moi.
Arturo : Tu as donné ta parole ?
Niki : Non, pas encore. Ça ne saurait tarder.
Arturo : Donc tu peux encore changer d’avis si une occasion se présente.
Niki : Oui. Mais j’en suis à un stade où ça m’étonnerait beaucoup d’avoir une proposition.
Arturo : Qu’est-ce que tu en sais ?
Niki : Simple pressentiment.
Arturo : Mais pressentiment erroné...Ton nom circule, Niki.
Niki : Tu me fais marcher, comme la dernière fois...
Arturo : Ah non, pas du tout. Tu as ma parole !
Niki : Chez qui ?
Arturo : Chez nous !

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
15 mai 2021 à 11:55:05

Papy retrouvé sans vie chez lui, il paraît que son cerveau a été privé de sang pendant trop longtemps https://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/6/1615069246-vasseur-risitas.png
Double victoire de Sigthórsson avant l'épisode + podium dans la course décrite + lapidage de Ticktum au championnat + Niki qui revient dans le match pour la F1, Molotov s'est transformé en Gaggum je suis sûr https://image.noelshack.com/fichiers/2017/11/1489872984-ikeo.png

Ants_Go_Up Ants_Go_Up
MP
Niveau 16
15 mai 2021 à 13:32:49

Ce bon vieux Arturo fidèle destrier de Niki, sah quel plaisir, go faire monter la sauce sur tos le paddock pour que Ferrari se mouille, un lineup Lecler/Kofler :bave:

PapY_MoLoToV PapY_MoLoToV
MP
Niveau 59
16 mai 2021 à 10:48:40

SIGTHORSSON MVP FUTUR CHAMPION DU MONDE :fou:

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/48/2/1511895621-download7fe7b8e-res-2fimage-20editor-2f1511274901720-4-2-2-2-2-2-2-2-2-2-2-2-2-2-2-4-4-4-5-2-2-2-2-2-2-2.png

Champagne :fete: :fete: :fete:

Prend ça dans les dents Ticktum :hap:

Attend par contre Arturo il bosse dans quelle écurie déjà ? c'est SMP c'est ça non ? concrètement je pense que ça peut être le bon choix pour lui :oui:

[-Monarch-] [-Monarch-]
MP
Niveau 10
16 mai 2021 à 11:22:43

Jpp de Sven :rire:

Arturo-Niki en train de se confirmer, Mouf va pas pouvoir se contenir longtemps :noel:

PapY_MoLoToV PapY_MoLoToV
MP
Niveau 59
16 mai 2021 à 14:29:11

Le 16 mai 2021 à 11:22:43 :
Jpp de Sven :rire:

Arturo-Niki en train de se confirmer, Mouf va pas pouvoir se contenir longtemps :noel:

Jaloux de Svenounet ? :coeur: :noel:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
20 mai 2021 à 19:29:34

A-T-ON LE DROIT OUI OU NON D'OUBLIER L'EXISTENCE DE SA PROPRE FIC ?

Visiblement y'aurait dû y avoir un épisode hier :rire:
Je le posterais en début de soirée, attachez les ceintures c'est un banger :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
20 mai 2021 à 21:00:52

L'intégrale - https://cutt.ly/Vhr42rp

:mac: S11E15 (n°467) : La surprise du chef :mac:

PARTIE 1/2

Lundi 21 août 2028, Hinwil
“OFFICIEL : Niki Kofler rejoint Sauber”.
Les frissons. Les foutus frissons. Presque dix ans après mes débuts en F1, quand j’annonçais niaisement comme tous les autres que c’était la réalisation d’un rêve, j’ai l’impression de traverser le même processus. Dix ans de plus font que je n’irais pas dire publiquement que c’est un rêve qui se réalise, mais disons qu’on s’en rapproche.

L’ironie veut d’ailleurs que, à dix ans d’intervalle, je passe par le même stade, celui de me servir de Sauber comme d’une porte d’entrée en F1. Fred Vasseur m’y avait permis de faire mes débuts en essais libres à Spa en 2019 et j’avais débarqué à Hinwil peu de temps avant pour sauter dans le simulateur, ici c’est presque le même scénario, puisque j’arrive dans la bourgade suisse peu de temps avant le Grand Prix de Belgique. Le hic, c’est que je ne piloterais pas en essais ce week-end.

Il faut y aller doucement, bien évidemment, mais c’est quelque chose que je ne connais pas et, à vrai dire, je pense que peu de gens se souviendront de cette expression quand la nouvelle se sera propagée. Oui, Niki Kofler est de nouveau officiellement lié par un contrat à une entité qui engage des voitures en Formule 1. Alors certes, les fans les plus ardus de la discipline auraient aimé qu’on parle d’un vrai retour, mais aujourd’hui je pense que plus d’un sera ravi d’apprendre que je suis désormais pilote de simulateur de la petite équipe habillée de orange depuis cette année.
Les choses sont allées très vite, la faute à un Arturo Tosetti qui a joué à la fois le rôle de l’allumette, de la flamme, du baril d’essence, de la mèche et de l’explosif. Tout a commencé au détour d’une discussion parfaitement anodine sur un parking au Grand Prix d’Autriche et, en moins de deux semaines, les contours de ma signature pour Sauber étaient déjà bien dessinés. Je parlais à Arturo du manque d’intérêt que je suscitais en F1 et, très rapidement, il m’a expliqué l’intérêt qui existait pour l’écurie à me faire venir chez eux. J’ai dû en parler à Ferrari, pour être sûr que ça ne les froisse pas en vue de notre accord probable pour la saison prochaine en Endurance, mais les italiens ont à vrai dire accueilli cela d’un bon œil car me savoir dans un simulateur, quel qu’il soit, leur signifie que je suis physiquement capable d’y retourner. Ce n’est pas encore la piste, la vraie, et les contraintes sur le corps humain sont bien moindres dans un simulateur, mais c’est déjà quelque chose. Si je commence à me poser face à l’écran au cours du mois de septembre, on pourra imaginer qu’un retour dans un vrai bolide aux alentours de la nouvelle année sera envisageable. Le combat n’est pas gagné, les salauds en blouse blanche n’ont de cesse de me répéter que rien ne garantit que je pourrais un jour reprendre ma carrière...Mais de vous à moi, je viens de leur mettre ma chaussure au fond de la gorge. Les checkups que j’ai dû effectuer pour pouvoir effectivement signer mon contrat ont été une formalité, alors même que mon chirurgien me disait qu’il n’y avait que peu de chances que je les réussisse : il ne m’aura fallu que quatorze mois pour que je reprenne un rôle dans une écurie de course, quand on pensait que je n’y arriverais probablement jamais. Beau pied de nez à cette chienne de vie, qui m’a - je dois le concéder - fait douter par moments.

Le processus mental a été éprouvant, avec cette longue période de doutes, cette crainte de ne plus jamais pouvoir exercer ce métier si particulier, et le pessimisme autour de moi a fini par s’ancrer dans ma tête. J’ai eu mes moments où je pensais que ça n’arriverait jamais, c’est même le scénario que j’ai le plus souvent privilégié dans mon imaginaire, mais aujourd’hui j’ai un premier élément de contradiction. La carrière de Niki Kofler n’est peut-être pas si morte que ça.

Bien évidemment, ça ne s’arrête pas là et la route sera encore terriblement longue avant que je puisse envisager un vrai retour en discipline reine, même s’il est encore parfaitement possible que ce retour n’arrive jamais. Aujourd’hui, toutefois, je remets un pied dans ce milieu et, désormais, on va parler de moi.

Je me rappelle encore du bruit assourdissant autour du retour de Robert Kubica, alors que je grimpais les échelons en monoplace. Sa signature chez Renault en 2017 et son test au Hungaroring avaient attiré tous les regards et je sais que je vais susciter le même intérêt. Les gens ont pensé que j’étais mort, puis que je ne reprendrais jamais une vie normale, puis que je ne parviendrais jamais à piloter une voiture de course à nouveau : aujourd’hui, ils ont la preuve du contraire pour deux des trois éléments et le troisième n’est plus si acquis que ça. Je salive à la simple pensée de la frénétique excitation qui va se manifester sur les réseaux sociaux dans les prochaines minutes, les prochaines heures et les prochains jours, alors que Sauber vient tout juste d’annoncer officiellement que je rejoignais ses rangs.

Maintenant, lorsqu’il s’agit de définir mon rôle exact, disons que je ne suis pas en mesure de délivrer de la performance sportive à qui que ce soit hormis à mon kiné et mon physio, alors je ne serais pas l’homme qui apportera à Sauber huit championnats. Du moins, pas tout de suite. Mais mon expérience dans le sport a toujours été plébiscitée, comme lorsque cette même écurie voulait que je devienne pilote de réserve pour eux en 2026 quand je suis arrivé en Indycar. J’avais refusé pour des questions d’emploi du temps mais déjà à l’époque, on voulait mon expérience pour aider cette équipe : aujourd’hui, l’emploi du temps est tout sauf chargé et je vois cette opportunité comme une vraie chance. Dès lors que j’en serais capable, je sauterais donc dans la réplique virtuelle de la voiture de l’écurie pour donner mon avis. Le nouveau règlement de 2029 approche à grands pas et un avis comme le mien est le bienvenu. Je ne sais pas si elle est légitime, mais j’ai une réputation de fin metteur au point et de bon développeur et c’est exactement de ça que toutes les équipes ont besoin pour cette première voiture conçue à cent pourcents sous le joug des capes budgétaires. Finie la course à l’armement à coup de dizaines de millions, il faut désormais avoir le nez fin avec une trésorerie limitée et tous les atouts sont les bienvenus dans cette entreprise. Je suis vraisemblablement considéré comme un atout. Je trouve ça plutôt cool.

Maintenant, ce qui a failli me pousser à refuser l’offre, c’est la crainte que je plane comme une menace au-dessus des titulaires. Je mentionnais Kubica et, si vous suiviez le sport à l’époque, vous n’êtes pas sans savoir que tout le monde voyait déjà RobKub remplacer un Jolyon Palmer en délicatesse au volant de la Renault, alors même que le polonais n’avait pas encore repris la piste. Ici, je sais pertinemment que le même scénario va se produire avec Martin Voletti, le jeune pilote suisse de l’écurie, qui est à mi-chemin entre la nage et la noyade. C’est comme si, dans ma saison rookie, Wiliams avait fait signer Hamilton ou Alonso en pilote de réserve. Bien loin de moi l’envie de me comparer à ces deux grands champions, l’écart de palmarès et de réputation entre Martin et moi peut mettre la pression au garçon et je pense qu’il n’a pas besoin de ça. Tout le monde parle déjà de sa potentielle - probable ? - éviction et ça ne va faire qu’empirer avec l’annonce de mon arrivée en réserve. Peu de gens connaissent ma vraie situation, personne ne connait mon rythme post-accident, mais les spéculations existeront tout le temps que je suis présent.
J’ai évoqué cette crainte à Arturo, qui m’a dit de ne pas y faire attention et qui m’a même dit d’essayer de mentorer le jeune suisse. Heinrich Pöpfer n’est pas le meilleur des mentors qui soit, ça apparaît logique quand on connaît l'épreuve que représente la formation d'une phrase pour lui, alors j’imagine que je vais aussi devoir jouer les formateurs pour ce gamin pourtant talentueux, si vous voulez mon avis.

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
20 mai 2021 à 21:01:16

:mac: S11E15 (n°467) : La surprise du chef :mac:

PARTIE 2/2

Dimanche 3 septembre 2028, Autodromo Nazionale di Monza, Monza
Cataclysme à Monza et je peux dire que j’y étais ; surfant sur la vague d’excitation suite à l’annonce de mon embauche chez Sauber, j’ai décidé d’apparaître dans le paddock pour le Grand Prix d’Italie ce week-end et, visiblement, j’ai bien fait. Contrairement au Grand Prix de Miami, je suis là pour l'action ; comme tous les spectateurs présents dans les tribunes aujourd’hui, j’ai pu assister à la scène ubuesque qui vient de se produire : une Ferrari a failli tuer quelqu’un.

Bien évidemment, j’exagère un peu, mais Davide Benzoni vient de se rendre coupable d’une manœuvre très vilaine dans le premier tour de ce Grand Prix d’Italie. Un peu comme l’avait fait Romain Grosjean à Spa, Benzoni a tassé Franco Colapinto au départ et les deux voitures sont devenues de véritables projectiles qui ont atteint Ráfaga, Voletti et Jokinen, partis plus haut sur la grille. Pas de blessé sérieux dans l’affaire, même si Jokinen, percuté de plein fouet par la voiture rouge, semble sonné voire même sous le choc de ce qui vient de se produire. Déjà très en difficulté en raison de ses performances décevantes au volant de la Ferrari, Benzoni vient d’ajouter le fichier “danger” à son dossier. Harcelé par la pression des médias et des tifosi, le malheureux a choisi le pire endroit pour se rendre coupable d’un geste aussi involontaire que calamiteux.

Affublé du sobriquet “Nonbenzoni”, contraction de son nom de famille et de “Non bene” - “Pas bien” - depuis quelque temps, le gamin se fait carrément huer au moment de descendre de sa voiture. De toute ma vie, je n’avais jamais vu un circuit autant conspuer un pilote, pas même lorsque les rivaux de Ferrari venaient gagner ici même. Et savoir que l’un des pilotes de la Scuderia serait la raison de cette fureur qui descend des tribunes, c’était complètement impensable il y a encore dix minutes. Je vais vous le dire, ce garçon me fait réellement beaucoup de peine. Je ne cautionne évidemment pas sa manœuvre, mais je cautionne encore moins le bashing dont il est la victime, bashing qui atteint des sommets jusque-là inédits.

A peine le malheureux a-t-il le temps de comprendre que ces sifflets sont pour lui que Franco Colapinto court en sa direction pour dire à son bourreau ce qu’il pense de l’affaire. Je pense que vous ne trouverez pas un seul défenseur du lombard en ce moment et, quand il traverse la pitlane, les images diffusées en direct font mal. Sur fond de huées, l’homme vêtu de rouge garde la visière de son casque vert fermement baissée et, si vous voulez mon avis, c’est parce que des larmes se cachent derrière. Je n’en tiendrais certainement pas rigueur à Davide Benzoni de pleurer ici, car je sais pertinemment que je serais dans le même état si j’étais à sa place. Il me semble impossible, même pour le meilleur pilote au monde en matière de serrage de dents, de résister dans cette situation.

Le Grand Prix ayant complètement été relégué au second plan par cet incident dont tout le monde parle, j’essaie malgré tout d’essayer de suivre ; les trois pilotes percutés par les voitures de Benzoni et Colapinto avaient leur carte à jouer en partant assez haut sur la grille et leur abandon enlève une part de suspense à la course. L’attention se concentre sur Esteban Ocon, parti des stands à cause d’une pénalité moteur, qui effectue une remontée vertigineuse : quand la voiture de sécurité sort à quinze tours du but après l’abandon de Logan Sargeant, le français se retrouve en position de chasseur et passe de la huitième à la deuxième place dans le quart de course qui compte vraiment. Performance exceptionnelle, presque écœurante, et qui a bien failli rentrer dans l’Histoire. John Watson et moi avons eu chaud, car notre record de gagner en partant vingt-deuxième a été mis à mal. Nous devons notre salut au poleman du jour, Dan Ticktum, auteur de l’une de ces performances dont il a le secret et qu’il devrait réaliser plus souvent s’il voulait vraiment qu’on oublie qu’il est un type complètement inutile dans la société moderne. Ici, je lui dois une fière chandelle, comme quoi il est capable de servir à quelque chose quand il l’a décidé.

Classement pilotes en F1 (17/23) https://image.noelshack.com/fichiers/2021/20/4/1621536423-f1-17-italie-drivers.png Classement constructeurs en F1 (17/23) https://image.noelshack.com/fichiers/2021/20/4/1621536412-f1-17-italie-teams.png

Après la course et contre toute attente, la FIA rend son verdict : Davide Benzoni ne sera pas suspendu. L’italien a toutefois subi un sérieux remontage de bretelles, j’imagine, mais il sera bien de la partie en Russie dans deux semaines.
Et si vous pensez que cette journée hallucinante s’arrête là, détrompez-vous car le plus violent est à venir : de passage en zone mixte, Manfredi Ravetto commence à tirer à boulets rouges sur son pilote. Jusque-là tolérant avec le jeune poulain de la maison, premier pilote italien de la Scuderia depuis Fisichella il y a vingt ans et premier titulaire depuis Larini il y a presque quatre décennies, Ravetto n’hésite pas à rappeler qu’il ne connaît pas la langue de bois. Interrogé sur l’avenir commun de Benzoni et de la Scuderia, le team manager déboulonne et se fend d’un “Quel avenir ?” glaçant.
Il n’y avait pas eu de traditionnelle annonce à la maison pour l’écurie au cheval cabré alors beaucoup - dont moi - étaient partis du principe que le duo serait inchangé l’an prochain malgré la déception de cette seconde voiture, mais désormais on sait que ce n’est pas comme ça que ça va se passer.

Ayant pris congé auprès de mes nouveaux collègues du Sauber F1 Team, déçus de l’opportunité arrachée des mains de Martin mais malgré tout satisfaits de la bonne septième place d’Heinrich, je rallie l’hôtel en compagnie de Karl et Johanna, qui sont les petits veinards qui ont fait le voyage avec moi ce week-end. La grosse demi-heure de route séparant le parc de Monza de notre hôtel a suffi à faire bondir les réseaux sociaux. La nouvelle du remplacement de Benzoni, lâchée par son boss, permet aux spécialistes de dégainer les premières rumeurs. Ferrari a besoin d’un pilote, vraisemblablement quelqu’un d’expérience pour essayer de faire oublier la mauvaise expérience Benzoni, quelqu’un qui ne coûterait pas trop cher et qui, dans l’idéal, n’embêterait pas trop Leclerc. Les noms sont lancés pour trouver un pompier avec de la bouteille et cinq noms ressortent ; Nyck de Vries, Luca Ghiotto, Carlos Sainz, Robert Shwartzman et bien évidemment Niki Kofler. Quand je vous disais que la spéculation serait incontrôlable avant même que je ne retrouve la piste…

Lundi 4 septembre 2028, Maranello
Luca : Là, tu as le département moteur. Classé secret défense, évidemment, mais rien de surprenant quand tu sais à quoi ressemble le département moteur d’un constructeur d’usine. Tu as déjà piloté pour un motoriste, non ?
Niki : Non, jamais.
Luca : Ah ouais ?
Niki : Ah, si. Renault. Mais on ne peut pas appeler ça “piloter”, j’étais le babysitter de Ticktum (rires).
Luca : Hé hé !
Manfredi : Salut, Niki.
Niki : Salut Manfredi. On m’a dit de ne pas te demander comment ça va alors je ne te demande pas (rires).
Manfredi : C’est préférable...La visite se passe bien ?
Niki : Le guide est chiant à mourir, mais sinon ça va.
Manfredi : Sois un peu plus gentil avec lui, on n’a que lui sous la main et il fait de son mieux-
Luca : Un pilote Ferrari comme les autres, après tout...(rires)
Manfredi : Tu vas avoir des problèmes, toi !
Luca : J’étais obligé, tu m’as tendu la perche…
Niki : Je ne me serais pas permis mais j’ai pensé à la même chose.
Manfredi : Dis-moi Niki, quand tu auras fini ta visite tu pourras demander à ce qu’on t’indique mon bureau ? J’aimerais bien qu’on parle rapidement.
Niki : Bien sûr. De toute façon je suis venu pour parler avec vous tous.
Manfredi : Oui, bien sûr. Mais là c’est...Un sujet différent. On va dire ça comme ça.

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
20 mai 2021 à 21:01:30

VAS-Y MON PETIT https://image.noelshack.com/fichiers/2018/20/6/1526737005-t-gilardi.png
LE PREMIER BUT DE BENZONI, AVEC L'ÉQUIPE DE TANCHES https://image.noelshack.com/fichiers/2018/20/6/1526737005-t-gilardi.png
 
Bon, on débriefe par où en premier ?
La signature chez Sauber from outta nowhere ? Ocon qui manque d'effacer le simplet Kofler des livres d'Histoire ? Le Swanton Bomb de "Nonbenzoni" (pas peu fier de la trouvaille) à Monza ? Le skud de Ravetto ? Les rumeurs qui font passer Kofler dans la Ferrari ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
 
Ah et débat du soir : Vaut-il mieux être un plot comme Nagase ou dégommer les plots comme Benzoni ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png
Un italien créé par Mouf, ça devait forcément finir en beauté. L'industrie du porno tient son nouveau crack par l'intermédiaire de ce chauve au crâne luisant :cimer:

[-Monarch-] [-Monarch-]
MP
Niveau 10
21 mai 2021 à 16:30:05

Bon bah #NikiSauber2028 confirmed... Pas mal je dois avouer :oui:

Benzoni bordel cette archétype du chauve frustré qui torpille tout le monde dans le premier virage en multi sur F1 :rire:
Mais wallah le shitstorm est violent j'ai failli le mettre dans le top 2 des moments les plus tristes de la story :oui: (c'est faux... Le tir direct de Ravetto sah quel plaisir :rire: ) et Nolan confirme que Benzoni est chauve je suis refait.

Juste la fin... Il visite Maranello pour l'Hypercar ou pour remplacer cet ersatz italien de Stéphane Ruffier ? :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
21 mai 2021 à 16:42:58

Benzoni bordel cette archétype du chauve frustré qui torpille tout le monde dans le premier virage en multi sur F1 :rire:
Mais wallah le shitstorm est violent j'ai failli le mettre dans le top 2 des moments les plus tristes de la story :oui: (c'est faux... Le tir direct de Ravetto sah quel plaisir :rire: ) et Nolan confirme que Benzoni est chauve je suis refait.

J'ai rien confirmé du tout, j'en ai parlé en tant qu'humain, pas en tant qu'auteur. J'en sais rien s'il est chauve ou chevelu, même si chauve à 24 piges c'est triste :hap:

Juste la fin... Il visite Maranello pour l'Hypercar ou pour remplacer cet ersatz italien de Stéphane Ruffier ? :hap:

Monarch à deux doigts d'inventer le cliffhanger

Ants_Go_Up Ants_Go_Up
MP
Niveau 16
21 mai 2021 à 17:15:21

Putain la clim que j'ai pris au début en lisant Sauber, puis pilote d'essai, j'étais parti dans l'idée que ca serait Kofler Titulaire 2029 à la lecture de la première ligne
Mais au final y'a encore mieux qui se profile,
ON LE TIENT LE DUO KOFLER-LECLERC
IL EST PRESQUE LA
ACCELERE
ACCELERE
NE LACHE RIEN
LA SIGGGGGNATURE DE KOFLER A LA SCUDERIA F1
IL L'A FAIT
7 ANS APRES LA MORT DE SOPHIA ET SA POSSIBLE SIGNATURE
NIKI KOFLER REDEVIENT PILOTE DE F1 ET POUR FERRARI https://image.noelshack.com/fichiers/2020/37/1/1599503079-febreauhurle.png

edit: en tout cas en effet, épisode à https://image.noelshack.com/fichiers/2016/43/1477351272-jesusterrorista.png la pub était pas mensongère

Message édité le 21 mai 2021 à 17:19:51 par Ants_Go_Up
PapY_MoLoToV PapY_MoLoToV
MP
Niveau 59
21 mai 2021 à 19:03:55

ça sent la contre proposition pour le 2eme volant chez Ferrari ça :hap:

Mouf67 Mouf67
MP
Niveau 17
22 mai 2021 à 19:35:47

Bien évidemment, j’exagère un peu, mais Davide Benzoni vient de se rendre coupable d’une manœuvre très vilaine dans le premier tour de ce Grand Prix d’Italie

https://youtu.be/FfmRUyU0D2c?t=66

:hap:

Affublé du sobriquet “Nonbenzoni”, contraction de son nom de famille et de “Non bene” - “Pas bien” - depuis quelque temps, le gamin se fait carrément huer au moment de descendre de sa voiture

:-(

La nouvelle du remplacement de Benzoni, lâchée par son boss

:snif:

Bon niveau prono je vais aller à contre-courant, Niki va pas remplacer Benzoni en vrai vu la tournure de la discussion, je pense que Niki va signer, mais tu nous prends à contre-pied tout le temps et j'ai du mal à le voir revenir là tout de suite alors que Sauber est même pas prêt à le signer en titu pour 2029, donc c'est un peu contradictoire :(

DébutPage précedente
Page suivanteFin
Répondre
Prévisu
?
Victime de harcèlement en ligne : comment réagir ?
Meilleures offres
PS5 17.99€ PS5 19.99€ PS4 35.95€
Marchand
Supports
Prix
La vidéo du moment