Bonjour,
Qui dit création du topic en hiver dit cyclocross avec dernièrement la somptueuse victoire de Lars Van der Haar devant la meute belge aux championnat d'Europe, succédant ainsi à Eli Iserbyt. On attend désormais avec impatience la suite du SuperPrestige et de la CDM avec les rentrés des 3 cadors Van der Poel, Van Aert et Pidcock.
Et quoi de mieux pour commencer le topic que le bilan Out of Context de la saison écoulée.
https://twitter.com/OutOfCycling/status/1458147616680812545
Enjoy
Mark Padun va quitter Bahrein et rejoindrait Ineos
https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Mark-padun-n-evoluera-pas-chez-bahrain-victorious-en-2022/1298985
Le 15 novembre 2021 à 16:11:03 :
Mark Padun va quitter Bahrein et rejoindrait Ineoshttps://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Mark-padun-n-evoluera-pas-chez-bahrain-victorious-en-2022/1298985
On a notre futur vainqueur de tour de France
Non finalement annoncé chez EF.
Est-ce que EF va l'autoriser à rouler avec un vélo Cannondale avant le 1er janvier ?
Le forumeur qui avait partagé la vidéo de Virtupro, ca donne quoi finalement?
Pas mal le cyclocross sur la neige, très technique
Je suis pas sûr que le coureurs et coureuses kiffent par contre
Iserbyt qui choke dès qu'il y a VdP et Van Aert au départ c'est magnifique
Il en a rien à foutre, il a déjà le classement CDM dans la poche
Bien badante l'ITW de Pinot dans Ouest France
Pas de lien désolé.
https://www.ouest-france.fr/sport/cyclisme/thibaut-pinot/exclusif-thibaut-pinot-je-suis-en-marge-de-ce-milieu-et-meme-de-la-societe-je-crois-e59f168c-61a6-11ec-a426-309c1cc5037a
Il mérite tellement de revenir en forme cette année
EXCLUSIF. Thibaut Pinot : « Je suis en marge de ce milieu, et même de la société je crois »
Thibaut Pinot a reçu Prolongation à Calpe, en décembre dernier, pour un grand entretien. Vous allez le lire ici plein de frustration et de nostalgie, de doutes, de désirs et de vie. Vous allez le lire vrai. L’aventure se poursuivra puisque le chouchou des Français a accepté d’être notre chroniqueur exclusif tout le mois de janvier. Ça commencera dès vendredi.
C’était un samedi soir de décembre dans la tiédeur ibère. L’arrière-salle d’un hall d’hôtel façon backstage foutraque, des câbles au sol, des bidons inanimés, des gaines, une baie vitrée et la mer juste là. Deux chaises pliantes noires. Thibaut Pinot assis sur une, jogging remonté au-dessus des mollets, sweat à capuche. Bien, pas bien, triste, drôle, nostalgique, sensitif, instinctif.
On vous le dit : ce grand entretien est le point de départ d’une nouvelle aventure pour Prolongation. Thibaut Pinot a accepté d’être notre chroniqueur exclusif tout ce mois de janvier, un an après Arnaud Démare. Ce sera chaque vendredi, il aura carte blanche.
Juillet dernier. Vous vouliez absolument aller à Tignes, rejoindre l’équipe en stage. « J’avais envie de retrouver mes coéquipiers », disiez-vous. Quoi, à travers eux ?
Retrouver qui je suis, finalement… (silence)… Retrouver le coureur cycliste que j’avais perdu depuis quelques mois. Les trois mois où j’ai été éloigné de tout ça, c’était trois mois interminables. Surtout quand tu n’es pas en retraite ou que tu n’as pas arrêté. En retraite, c’est différent je pense, mais tant que tu es coureur, tu es toujours dans l’objectif de performer. Et tu n’as qu’une envie c’est ça. Performer. Rien d’autre.
On est cycliste parce qu’on a des rituels, des coéquipiers, un calendrier ?
Oui, c’est ça. Et encore au-delà. Coureur cycliste, c’est toute la journée. Ce n’est pas comme un boulot où tu fais 8h-12h puis 14h-18h. Cycliste, tu te lèves le matin tu es déjà « vélo ». Tu te couches le soir, t’es toujours « vélo ». C’est toute la journée, coureur. Quand tu dis que tu as fait deux heures de vélo dans ta journée, on peut te répondre « Ah bah c’est cool, ta journée a été tranquille ». Sauf que t’as pensé vélo dix heures. Tout ce que tu fais est centré là-dessus. Tu sais, quand tu vas faire les magasins, que tu vas avoir mal aux pattes le lendemain. Tu veux aller boire une bière, tu sais que le lendemain, elle t’a peut-être plus fait de mal que de bien. Sur le coup, elle t’a fait du bien, mais malgré tout avec cette arrière-pensée, cette petite voix qui te dit que ce n’est pas top. C’est pareil pour ce que tu manges, pour le repos, la récupération, le sommeil. L’énergie que tu dépenses à droite à gauche, ça peut être néfaste pour le lendemain.
Sept jours sur sept.
C’est du H24. Et puis tu stresses aussi de bien dormir parce que le lendemain tu as une séance de cinq ou six heures à faire et que tu dois être là. Comme tu dois être là sur une course. Même à l’entraînement, je me mets une certaine pression à être bien le lendemain.
Vous avez des échappatoires durant lesquels, mentalement, vous pourriez couper complètement ?
J’ai la chance d’avoir une vie à côté du vélo qui est très riche et plutôt très prenante avec ma ferme. Je pense que certains coureurs seraient choqués de voir ma vie hors vélo. Certains font cinq heures de vélo, se mettent ensuite dans le canapé ou sous la couette et attendent le repas du soir. Moi non. J’enlève du fumier, je nourris mes bêtes, ça me prend deux ou trois heures par jour. J’y pense parfois, je me dis que ce n’est pas bien de faire ça, mais ça me fait du bien.
On vous sait hyperactif depuis toujours de toute façon.
Oui, je suis hyperactif, peut-être trop justement. C’est un défaut dans le sport de haut niveau. L’énergie que tu ne mets pas sur le vélo, tu la mets ailleurs. Des fois, je m’entraîne et ce que je fais l’après-midi auprès de mes bestioles ça me bouffe autant d’énergie que le matin. Et c’est en plus.
Les trois mois dont vous parliez ont été « interminables » dites-vous. On parle là de souffrance.
Mentale, oui. Surtout que pour moi, c’était la période du Giro, Giro que j’avais envie de faire et qui était prévu, à la base, dans mon programme. Il y avait des courses tous les jours… Quoi que tu fasses, tout te ramène à ta condition dans ces moments-là. Tu allumes Twitter, la télé, n’importe quoi, tu fais toujours face à une info de vélo. Même les gens te le rappellent. Quand tu vas faire tes courses, quand tu vas à la boulangerie. Surtout dans mon petit village. Il n’y a pas une journée où on ne te parle pas de vélo. On me ramène toujours à ça. Tout le monde me parlait de la Vuelta. C’était des : « On espère te voir à la Vuelta ». Et moi, je répondais « oui » tout en sachant que ce ne serait pas possible. Même en mai je savais que ce ne serait pas possible. Mais je ne pouvais pas le leur dire, je ne voulais pas les décevoir.
« Je n’ai pas souvent pensé à moi dans ma carrière, au final. J’ai beaucoup pensé à l’équipe »
Vous avez toujours ce souci de ne pas décevoir ?
Ouais j’ai toujours le souci de ne pas décevoir. J’ai toujours envie de donner des émotions aux gens qui me soutiennent, surtout dans cette période là où j’ai été énormément soutenu. Ces gens-là, j’ai envie de leur donner du plaisir les prochaines années. Surtout cette année.
C’est une façon de garder votre souffrance pour vous, aussi.
Oui, c’est sûr. Je n’ai pas souvent pensé à moi dans ma carrière, au final. J’ai beaucoup pensé à l’équipe. J’ai toujours eu peur de décevoir l’équipe, sur le Tour notamment. On m’a mis leader et je voulais toujours assumer ce rôle, même à l’entraînement, montrer que j’étais le patron, être sur toutes les courses à 100 % pour l’équipe. J’en ai aussi perdu ce besoin de faire du vélo pour moi-même. C’est ce que j’aimerais faire durant les années qui me restent : faire un peu plus de vélo pour moi.
L’instinct est toujours là, mais ces mois de difficulté ont-ils changé l’homme ?
Pas spécialement. Je suis toujours assez impatient, assez nerveux. Toujours aussi chiant. Il n’y a pas eu de grands changements là-dessus malheureusement. J’ai du mal à prendre sur moi aussi. Par exemple, ce stage d’équipe à Calpe (entre le 12 et 21 décembre) a été assez pénible.
Pourquoi ?
Parce que l’entraînement n’était plus au centre de ce stage. Le vélo a changé et il faut que je m’y fasse. Ça prend un peu de temps, je pense. Il y a beaucoup plus de choses dans le vélo d’aujourd’hui qu’il y a dix ans. Beaucoup d’à-côtés, de réseaux sociaux, de sollicitations. Quand j’ai commencé en 2010, le vélo était plus sympa et plus rigolo.
C’est ce vélo-là qui vous manque ?
Oui, c’est sûr que ça me manque énormément. J’ai beaucoup plus de souvenirs sur mes trois ou quatre premières années que sur mes quatre dernières. J’ai perdu pas mal de mes copains qui sont à la retraite. J’ai perdu des repères. Je m’entraîne tout seul alors qu’avant je le faisais avec Arthur (Vichot). Tous les copains, Jérémy (Roy), William (Bonnet), Cédric (Pineau) sont partis un par un. Je me retrouve presque tout seul au milieu de l’équipe et c’est un changement assez dur depuis ces deux dernières années. Je trouve. Ce n’est pas anodin. La vie passe très vite. La carrière passe très vite. Les deux derniers qui me restent de mes débuts, c’est Anthony Roux et Matthieu Ladagnous. Ils peuvent partir l’an prochain et moi me retrouver seul… Je me rends compte que je suis le troisième si on compte en ancienneté dans l’équipe.
Ils vous manquent ?
Beaucoup. Ce n’est plus du tout la même ambiance. Ça a tellement changé dans les équipes… On a toujours été sérieux à l’entraînement, mais on rigolait énormément à côté. Aujourd’hui, l’entraînement est encore plus sérieux et on rigole beaucoup moins.
On attend quoi d’une reprise à 31 ans et quand on s’appelle Thibaut Pinot ?
On attend surtout de pouvoir refaire mal aux autres. J’ai pas mal de frustration en moi par rapport à tout ça, au fait de ne pas avoir pu exploiter ce que j’avais sous le capot ces deux dernières années. J’espère pouvoir être enfin libéré.
Et faire mal.
Oui, faire mal et puis lever les bras.
Jeune, vous les abordiez comment ces stages de préparation ?
Comme un fou. L’hiver 2009, on était encore à Paris à faire du cyclo-cross (sourire)…. On était à Moussy. On faisait des soirées tous les soirs. Plein de choses ont disparu. J’ai l’impression de parler comme un vieux.
C’est le cas.
(sourire) Non mais j’ai 31 ans et c’est ma 13e année pro. Treize ans, c’est pas mal déjà.
Votre rapport au temps a changé ces derniers mois ?
Le passage de la trentaine a été difficile on va dire… Le fait d’avoir 32 ans l’an prochain, oui, je me dis que ça passe trop vite. J’ai l’impression que plus tu vieillis, plus ça passe vite (sourire).
Vous rêvez toujours ? Vous rêvez toujours de bagarre ?
Oui, je rêve encore. Mais après… Quand je suis passé pro, je m’étais fait une liste d’objectifs. Je les ai presque tous remplis, au final.
« Le maillot jaune du Tour de France a toujours été, pour moi, quelque chose de trop grand »
Elle traîne toujours au fond d’une poche cette liste ?
Elle est dans ma tête. J’avais coché ceci : être champion de France un jour, gagner sur les trois grands tours, gagner le Lombardie, et… porter le maillot rose sur le Giro. C’est le seul truc qui me manque, c’est le dernier truc qui me manque. Parce que pour moi, le maillot jaune, c’est comment dire… Je reste dans le réel, en fait. Le maillot jaune du Tour de France a toujours été, pour moi gamin, quelque chose de trop grand. Donc j’ai toujours rêvé de porter le maillot rose du Giro.
La suite
Vous en êtes où avec votre corps, là ? Les appréhensions quotidiennes ont-elles disparu ?
J’ai toujours des appréhensions, et il en faut je pense. J’ai toujours des doutes, oui. Je suis sur une selle de vélo depuis l’âge de six ans. Forcément, je sens le poids des années. Les coupures sont de plus en plus dures. Je sens que le corps lâche un peu de partout. Je passe tous les jours chez l’ostéo ou chez le kiné, alors qu’avant… Je crois que jusqu’à l’âge de 25 ans je n’avais pas vu un ostéo. J’étais l’un des seuls, j’étais un peu en marge de tout ça, je ne comprenais pas trop comment on pouvait y aller si souvent. Maintenant, je comprends (sourire).
Pourquoi vous dites que les coupures sont plus dures ?
Les reprises sont plus dures physiquement, pour remettre en route. On est un peu plus rouillé et j’ai l’impression qu’on perd beaucoup plus vite une fois la trentaine passée. T’as le dos qui tire quand tu mets la chaussette le matin (sourire).
Votre programme, c’est devenu une singularité ? Il faut faire en fonction de quoi ? De vos envies, de votre santé, ou a contrario en fonction d’objectifs toujours très élevés ?
La base, déjà, c’est qu’un programme se fait en fonction des grands tours et de ce que l’on t’impose. Si on me dit que 2022 c’est le Tour de France, à partir de là il faudra construire autour, choisir des points de passage sensés. Et qui me plaisent. Ça peut être un Tirreno à la place d’un Paris-Nice, un Tour de Suisse à la place d’un Dauphiné… Un programme doit dans tous les cas être cohérent.
Vous avez dit tout à l’heure que vous étiez toujours aussi chiant.
(rires) Ça c’est sûr ! Être un leader français, d’une équipe française, qui ne veut pas courir en France, les sponsors peuvent ne pas comprendre.
C’est pour quand le premier pic de forme ?
D’entrée, pour la première course. J’espère en tout cas être opérationnel dès le début même si on me prévient d’y aller mollo, de ne pas me mettre de pression en début de saison. J’espère être tout de suite dans l’action.
C’est encore une montagne pour vous d’atteindre un pic de forme ?
Non, parce que je repars de moins loin. Quand j’ai repris le 1er juillet dernier à l’entraînement, il y avait du boulot. C’était compliqué. Je finissais mes entraînements dans un état pas possible, je me disais que je n’allais jamais y arriver. Ma copine m’avait pris en photo lors de mon premier entraînement à la montagne, mi-juillet. Je finissais par un col de quinze kilomètres. Elle était déjà en haut. Je suis arrivé dans la chambre. Je me suis écroulé. Je ne pouvais plus. Ce n’était pas du cinoche. J’étais mort. Mais j’y retourne. Il faut en passer par là. Je n’ai pas le choix.
Vous avez envie de vous bagarrer avec qui ?
Je m’en fous complètement du moment que je lève les bras. Même si, bien sûr, la bataille est plus belle avec les cadors.
Un ancien confrère : « Je crois que Pinot se sent un peu perdu dans ce cyclisme-là. Ce n’est pas un monde pour lui. Pinot est un puriste. »
(long silence) Oui… (il réfléchit)… Je suis en marge de ce milieu. Et même de la société, je crois. Le jour où je serai en retraite, j’éclaterai mon téléphone contre un mur (il mime le geste, sans rire). Répondre à un message, pour moi, c’est une corvée. Appeler quelqu’un, écrire un message, j’ai toujours détesté.
Même pour les potes.
Oui, moi ce qui compte c’est de les voir. Ils savent de toute façon que je peux ne pas répondre pendant plusieurs jours. Ils me connaissent. Jamais je ne vais les appeler. Quand ils appellent et qu’ils tombent sur moi du premier coup, ils se demandent ce qu’il se passe.
Vous mènerez une vie de Robinson après.
J’espère, oui. Vraiment. J’espère me retrouver avec mes animaux, le projet que je veux monter… et aller m’amuser, chanter le plus souvent possible dans le virage Auteuil au Parc des Princes. C’est curieux, moi qui suis très sauvage, je n’arrive pas à savoir pourquoi je me sens si bien dans cette tribune. J’oublie tout, je suis un autre homme, je kiffe. J’aimerais voyager, aussi. L’Asie m’attire. Le Vietnam, le Cambodge, la Thaïlande, le Laos. Leur gastronomie. Leur patrimoine. Et les gens, très accueillants je pense.
Quel est ce projet que vous voulez « monter » ?
J’aimerais faire une ferme pédagogique et des chambres d’hôtes au milieu. Faire du miel, de la confiture. J’ai déjà ramené pas mal d’arbres fruitiers. C’est mon truc. Coupé du monde. Et surtout fabriquer des choses.
Le monde ne vous intéresse pas beaucoup en fait.
Si, quand même un peu.
Le monde des hommes alors.
Ouais, peut-être. Disons que si, mais à petites doses.
C’est grave d’être différent ?
Non, je le vis très bien… Mais je suis contre-nature tout le temps. Je me force, je n’ai pas le choix. Sinon, je ne serais pas là devant vous. En fait, ça dépend des jours, de mes entraînements. Parfois, je peux être nickel. D’autres fois non. Par exemple, après un Nouvel an, si j’ai reçu cinquante messages c’est comme d’habitude : j’ai peur du téléphone et je n’y touche pas, je ne réponds pas pendant plusieurs jours. Les cinquante messages restent en attente. Et puis, un beau matin, j’y réponds, je prends une heure, mais c’est une vraie corvée.
Il se passe quoi l’hiver à la ferme ?
C’est une période importante l’hiver. Il faut rentrer tout le monde dans le bâtiment, faire les échographies pour savoir qui va faire des petits. Surveillance, surveillance. Se lever la nuit quand il faut, deux trois fois si nécessaire. Jusqu’à il y a quelques jours, je n’avais pas la caméra dans la maison. Une année, ma chèvre préférée devait mettre bas. Je m’étais levé trois fois, la dernière à 5 h du matin. Elle avait fait ses petits à 7 h. Je m’étais réveillé à 7h30, le petit était mort. Il avait dû s’étouffer. Je m’en étais voulu…
Vous pensez à eux tous les jours.
Oui. Il faut dire que c’est du souci, aussi.
Donc après la carrière, ce sera ferme pédagogique, arbres fruitiers et miel.
Et la pêche. Et qu’on me laisse tranquille.
Cimer.
Thibaut
Au milieu de toute cette nostalgie il veut quand même foutre le peloton en miette et ça c'est l'essentiel
https://twitter.com/GroupamaFDJ/status/1480837308265943042
j'aurais aimé une équipe axée autour Demare histoire de décharger un peu Tibo
Après le fiasco l'année dernière sur le Tour, vaut mieux tenter autre chose qu'une équipe autour de Démare
Le 11 janvier 2022 à 11:22:29 :
https://twitter.com/GroupamaFDJ/status/1480837308265943042j'aurais aimé une équipe axée autour Demare histoire de décharger un peu Tibo
Bernal qui tombe a l'entrainement, fracture du femur 😳
Accident avec un bus, franchement il s'en sort bien non?
Même si c'est une sale blessure.
Ça manque le tour down under