Le 11 mai 2020 à 14:54:28 Abyss_Calibur a écrit :
Si c'est sur toute l'histoire de la Formule 1, j'en vois déjà un, que j'ai déjà exposé à de nombreuses reprises :
- Le titre de Nico Rosberg est une arnaque, acquis seulement grâce aux problèmes de Lewis Hamilton. C'était certes sa déjà deuxième tentative après 2014, mais il avait déjà justement profité des problèmes de son coéquipier cette saison-là pour être titrable en entamant le dernier Grand Prix, mais tout comme en 2016, il n'aurait pas dû l'être.
Bon j'ai relu le topic et j'ai envie de faire une rectification.
Certes Rosberg fut chanceux, mais il a eu le mérite d'être là dès qu'il le fallait, car on voit bien ce que ça donne aujourd'hui avec Bottas (en lisant mot pour mot ce que j'ai écrit, on peut avoir l'impression que leur niveau face à Hamilton était équivalent, c'est-à-dire qu'ils furent inexistants, sauf que ce ne fut pas le cas, Rosberg a quand même été meilleur voire bien meilleur).
Ça se répondait quand même souvent entre Lewis et Nico sur leur trois saisons à lutter pour le titre. Là, avec Casper, quelle réponse y a-t-il eu à quoi en trois saisons de cohabitation ?
Et je sais que du coup, on pourrait appliquer ça à ce que j'avais dit sur Alonso en 2012, car il a lui aussi été d'une constance remarquable, mais je maintiens qu'il a eu beaucoup trop de trucs tombés du ciel (cf. la liste que j'avais faite), bien plus que Rosberg en 2016.
Ça pourrait s'appliquer aussi pour Piquet face à Mansell en 1987, également un titre chanceux pour moi, mais il y a eu, là aussi, trop de trucs tombés du ciel. Le nombre de problèmes connus par Mansell cette saison-là doit être équivalent à celui de Lewis en 2016, mais ce qui me gêne surtout dans le cas du duel interne de Williams-Honda, c'est que la plupart sont arrivés en course, là où les points se jouent, au contraire du duel Mercedes, où c'était surtout en qualifs, là où il était encore possible de compenser en course (ça n'empêche cependant pas que ses problèmes l'ont totalement privé de pouvoir se battre avec son coéquipier, mais quand même).