Il a intérêt a gagner parce que putain cette melonite aigu de Niki ça m'a fumé
Et mon côté sadique veut un bon petit choke des familles

Et encore un chapitre coupé en deux

SAISON 8 https://docs.google.com/document/d/1bPvF2aD5YsK_fK3k_Zg4C0gZm0by7p0CRLGPtagG5_4/edit?usp=sharing

2025 (S8), Chapitre 15 (n°326) : S.A.S. Niki

PARTIE 1

Dimanche 25 mai 2025, Circuit de Monaco, Monaco
L’agitation du paddock autour de moi n’est toujours pas redescendue. Tout le monde est euphorique après ce que les suiveurs de F1 qualifient comme l’un des meilleurs tours de l’Histoire. Quand j’ai retrouvé Lena hier, elle était épatée, presque émue, de me savoir en pole à Monaco avec un tour de la trempe de celui que j’ai réalisé.
De mon côté, je ne m’affole toujours pas. Je m’affolerai peut-être après ce week-end, quand j’aurai autre chose à l’esprit que la course qui m’attend. Pour paraphraser Charles Leclerc, “tout le monde peut faire un bon tour, la différence tu la fais quand tu sais en sortir plein” et c’est pour ça que je ne me dis pas que je suis une légende. Pas encore.

Ce matin, même certains journalistes que j’apprécie en temps normal ont fini par m’être détestables et le quasi-harcèlement autour de moi commence à peser à tel point que je doute de ma capacité à bien rentrer dans ma course et à ne pas en sortir. Même s’il n’y a pas de pluie prévue aujourd’hui, le tracé monégasque est déjà suffisamment difficile à appréhender et je sais comme n’importe quel connaisseur de la F1 que piloter pendant deux heures ici est une épreuve. Certains m’ont demandé comment j’étais “soudainement” devenu bon à Monaco, ce qui m’a doucement fait rire quand on regarde ce que j’ai été en mesure de faire ici par le passé, entre ma lutte avec Ricciardo et les Red Bull il y a deux ans - avant ce que vous savez - et mon podium de l’an dernier. Si l’on recule encore et qu’on revient à la F2, c’est ici que j’avais obtenu mon premier podium lors de ma rookie season et j’avais gagné en 2019, alors je ne crois pas que ce changement soit si soudain. Il est néanmoins temps de montrer que j’ai les tripes pour gagner la course des grands et ça me rend un peu nerveux, je l’avoue.

Pour autant, au moment de l’extinction des feux, je reste impérial aux commandes de la course. Charles a tenté de se porter à ma hauteur dans la montée de Beau Rivage mais a dû s’incliner en constatant que ma voiture était toujours devant alors que les mètres défilaient et que le virage de Massenet se rapprochait dangereusement. Cette première épreuve passée, le reste doit - normalement - se baser sur le contrôle. Faire attention à ne pas somnoler à la Rascasse, s’assurer de ne pas embrasser le rail sans son consentement, réussir la stratégie. Réussir la stratégie, justement, parlons-en : sur un circuit à faible dégradation et où la position en piste est si importante, il était inenvisageable pour nous de faire autre chose qu’une stratégie à un arrêt et il semblerait qu’un maximum d’écuries essaient de faire de même, quitte à passer les durs en fin de course. Ce pari tenté par mes adversaires aura au moins pour mérite de me permettre d’accroître l’écart facilement puisque ceux-ci auront des pneus peut-être moins rapides et de toute façon certainement plus usés que moi. Il faut toutefois que je m’assure de ressortir devant et pas derrière, car un mec en pneus durs devant moi ruinerait tout mon “master plan”.

Dans l’entame de course, je demande régulièrement à la radio ce qu’il en est de la situation de course, notamment pour savoir qui me suit, et la liste de mes chasseurs diminue progressivement. Au bout de douze tours, j’ai déjà quatre secondes d’avance sur Charles et personne, je dis bien personne, n’est en mesure de s’accrocher derrière moi. Le master plan est en route.

Il y a un réel paradoxe que l’on peut établir dans ma situation : je suis nerveux comme pas possible à l’idée de faire une erreur et de perdre un tel résultat mais, de l’autre côté, je suis certainement le pilote le plus serein du plateau car je semble dominer mon sujet et que personne ne se montre capable de m’avoir. Le risque qu’il y a, c’est si mes adversaires - Charles, pour résumer - parviennent à ressortir sans trafic devant eux après leur arrêt car, puisque je passerai des options aux mediums, je dois étirer un peu plus mon premier relais que ceux comme les Ferrari qui chausseront les primes en fin de course et qui s’arrêteront donc plus tôt. Si personne ne les gêne, il est très probable qu’ils me reprennent du temps pendant que je tire tout ce que je peux tirer de mes options et il faut que mon matelas soit suffisamment grand pour ne pas que je me fasse piéger.

Le temps passe extrêmement vite quand vous êtes au volant d’une voiture qui marche bien dans les rues de Monaco. Elle marche assez bien, disons plutôt qu’elle est très bien modelée à mon style de pilotage au vu des retours que j’ai donné l’an dernier et qui ont permis d’orienter le développement de cette RB21, et avoir une monoplace à votre convenance aide beaucoup sur les circuits urbains. L’écart a augmenté inexorablement, mieux encore il a augmenté de manière exponentielle quand Leclerc a franchi la fameuse “falaise” dans l’utilisation des pneus. A ce moment, il m’a lâché deux secondes par boucle pendant trois boucles, soyons donc clair : je n’ai plus rien à gagner dans cette course mais tout à perdre. Nous voilà rendus au tour 35, tour où j’effectue mon arrêt aux stands pour m’équiper des pneus mediums. Je ressors deuxième, derrière seulement Ticktum, équipé de pneus options qui ont déjà rendu leur dernier souffle. La stratégie de Renault est difficilement compréhensible mais soit. Quand je me pointe dans ses rétros à la fin de mon tour de sortie, Dan rentre aux stands pour changer de gomme, j’ai donc la voie libre et je reprend les commandes de la course.

Il ne se passera rien d’autre.
A la fin du soixante-dix-huitième tour, auteur d’une performance qui est la meilleure que j’ai jamais exécuté ici et probablement l’une des meilleures de ma carrière, je franchis la ligne pour m’imposer en Principauté.

Richard : Tu as piloté comme un roi, bravo Niki ! P1, incroyable performance de ta part !
Niki : ALLEEEZZ ! YES ! Très bon boulot de votre part les gars, tout était parfait pour ce week-end, je n’avais qu’à finir le travail. Super week-end, vous pouvez être fiers de vous.
Richard : Tu peux être fier de toi aussi, c’était une démonstration. Incroyable. Personne ne pouvait t’approcher, encore moins te battre, on dirait qu’on a un nouveau prince de Monaco !

Classement final du Grand Prix :
1 Kofler (Red Bull)
2 Leclerc (Ferrari)
3 Vandoorne (Renault)
4 de Vries (McLaren)
5 Gasly (Aston Martin)
6 Ráfaga (Audi)
7 Wighels (Sauber)
8 Sigthórsson (Haas)
9 Russell (McLaren)
10 Ocon (Ferrari)
…
16 Sette Câmara (Red Bull)

Championnat pilotes Championnat constructeurs

En me garant sur la grille de départ devant le panneau “1”, je prend quelques instants pour apprécier le moment. C’était une course intense et, même si je ne me suis pas battu directement contre un autre pilote pour l’emporter, j’ai mené une bataille contre moi-même tout au long de la course comme tous ceux qui ont franchi la ligne aujourd’hui. Je finis par m’extraire de ma Red Bull et, les poings levés vers le ciel, je savoure le moment avant de me jeter dans les bras des mécanos de l’équipe, massés sur l’asphalte monégasque dans ce parc fermé si particulier.

L’hymne autrichien ne résonne qu’une fois pour récompenser mon troisième succès au volant d’une Red Bull, au terme de ce qui s’apparente à une course qui écrit un peu plus mon histoire en F1. Voilà ma onzième victoire, ma première en Principauté et je peux vous assurer que je n’oublierai jamais cette première fois. Détenteur de ma première victoire de l’année sur l’un des circuits les plus prestigieux du calendrier, je ne suis pas le seul homme heureux lors du podium ; Charles Leclerc et Stoffel Vandoorne, qui m’accompagnent, tiennent là leur premier top 3 de l’année.

Première partie juste au-dessus

2025 (S8), Chapitre 15 (n°326) : S.A.S. Niki

PARTIE 2

Nico Rosberg : Niki, quelle course de ta part. Personne ne pouvait lutter face à toi, tu étais dans un autre monde ! Raconte-nous comment tu as vécu ça de l’intérieur.
Niki : Hum, bien...J’ai piloté au maximum de mes capacités comme je le fais à chaque fois mais, ce week-end, il semblerait que j’avais quelque chose en plus, un supplément d’âme qui m’a permis d’être réellement là où j’étais. De l’intérieur je ne ressentais pas tout ça mais j’imagine que, de l’extérieur, ça devait être assez ennuyant pour les spectateurs de voir toujours la même voiture devant (rires).
Nico : Justement, tu signes le premier Grand Chelem de ta carrière en ayant signé la pole, la victoire, le meilleur tour et en ayant franchi la ligne de chronométrage en tête à chaque tour...C’est plutôt spécial d’accomplir une telle performance ici, pas vrai ?
Niki : Ouais, je ne sais plus à quand remonte la dernière fois que j’étais aussi dominateur, je me sentais juste parfaitement au volant, je sentais que je pouvais y aller et qu’il ne pouvait pas m’arriver grand-chose, c’était...magique.

Une fois la cérémonie protocolaire terminée, je prend congé de Son Altesse le Prince Albert II, avec qui je suis resté quelques instants pour parler de la course, celui-ci m’ayant félicité presque solennellement. Je me dirige vers les stands où tout le monde m’interpelle pour me féliciter et, une fois arrivé dans le stand Red Bull, je donne une nouvelle accolade aux mécanos que j’avais déjà retrouvé dans le parc fermé et je pars rapidement au débriefing pour comprendre les raisons d’une telle performance. Alors que certains ingénieurs sont en retard, je discute avec Sérgio, qui n’a malheureusement pas réussi à décoller du fond de classement. En cause, des voitures plus lentes comme les China ou les Dallara qui ont mené la vie dure à ceux qui étaient coincé en fond de classement ; tout comme Norris et Zoranović, mon équipier a dû passer par les stands pour réparer des dégâts consécutifs à une collision avec l’un de ceux-là. La frustration est mélangée à des regrets, ceux d’avoir tapé ce rail hier en qualifications ; pendant qu’une Red Bull a volé sur l’eau à la première place, l’autre a lutté pour décoller de la dernière. Sérgio mérite clairement mieux que ce qui lui arrive actuellement…

Après le débriefing, je consacre un peu de temps à l’analyse des résultats : George Russell a sombré à cause d’un turbo défaillant et finit dans le bas des points, points que Max Verstappen n’a pas obtenu, lui qui a eu toutes les peines du monde à dépasser et qui a fini plombé par son overcut. Personne n’a réellement su dépasser, pas même les Ráfaga, Ocon ou Verstappen qu’on connaît pourtant pour cette capacité. J’imagine que je m’en tire bien, en ayant été aux avants-postes toute la journée.

Plus tard dans l’après-midi, après avoir secrètement rendu visite à Sergueï sur son yacht pour parler de dossiers secret défense, je me rend à l’Energy Station de Red Bull et, comme tout pilote Red Bull vainqueur en Principauté, je me dois de sauter dans l’eau, que ça soit dans la Méditerranée ou dans une des nombreuses piscines des alentours. J’ai opté pour la deuxième solution, accompagnant mon saut d’un fist pump rageur pour les caméras massées en face de moi. Toute l’actualité de l’écurie semble oubliée et l’on revient là aux images traditionnelles de Red Bull ; les yachts, les bimbos en robes légères, le champagne, les célébrations extravagantes. Ca fait du bien de revenir un peu à l’image que l’on attend de la marque au taureau et de contraster avec l’ambiance anxiogène de la semaine écoulée.

En début de soirée, le champagne coule à flots sur notre yacht. L’ambiance est légère et frivole, il fait bon sur la Principauté et nous avons fini par troquer l’uniforme d’équipe pour des tenues de soirée. C’est un impératif de Monaco ; vous devez toujours prévoir quelque chose de chic. Il y a évidemment le défilé caritatif de l’Amber Lounge le vendredi soir mais vous savez que, le dimanche, vous aurez droit à la rebelote. La soirée VIP de Monaco est l’une des plus “connues” du paddock, tous les pilotes et leurs conjoints y sont conviés et vous ferez la fête quoiqu’il arrive. Vous irez peut-être au casino, vous irez peut-être dans un bar plus intime avec quelques pilotes ou vous rentrerez peut-être vous coucher juste après mais la soirée officielle est un impératif. Juste avant de nous y rendre, Lena et moi passons du bon temps sur l’Energy Station de luxe. Certains invités de la marque sont là, des gens apparemment célèbres mais dont j’ignore pour la plupart le nom et la profession, et les membres de l’équipe sont également de la partie pour honorer ma victoire. Les festivités de l’an dernier étaient chouettes mais, cette année, c’est quelque chose d’encore plus grand au vu du résultat final. Lena m’a rejoint en milieu d’après-midi et nous ne nous sommes plus quittés depuis. C’est l’une des rares occasions où nous sommes tous les deux bien habillés alors autant rentabiliser ce temps, j’ai envie de dire, toujours est-il qu’elle n’a de cesse de me répéter que c’est une fête grandiose et je dois dire que je suis d’accord. Je crois que, dès que Red Bull l’emporte à Monaco, c’est comme ça que ça se passe, du moins ce sont les échos que j’avais eu des trois derniers vainqueurs de la maison - Ricciardo en 2018, Verstappen en 2019 et Ticktum en 2023. Alors que nous sommes en train de parler tous les deux, j’aperçois Dietrich à même pas deux mètres de moi, seul. Dietrich m’a félicité de façon officielle, devant tout le monde, mais je sais qu’il ne dira ses vraies pensées que s’il est seul.

Niki : Bonsoir Dietrich.
Dietrich : Voilà le bon cheval sur lequel j’ai misé ! Le héros de la soirée !
Niki : Encore des superlatifs à placer ?
Dietrich : Je me contenterai de ceux-là pour l’instant, n’abusons pas. Mais sincèrement, félicitations. Je ne me rappelle plus de tous les succès remportés par mes pilotes ici, mais celui-ci était spécial. Hormis Daniel en 2018, je pense qu’on ne fait pas mieux, mais il n’y a pas de quoi rougir. C’était purement impressionnant, Niki.
Niki : Merci.
Dietrich : De vous à moi, c’est pour ce genre de prestations qu’on vous a amené ici. Vous êtes l’un des rares pilotes de cette grille qui est capable de dominer autant son sujet quand les conditions sont réunies. Leclerc est l’un d’eux aussi, mais je crois que vous faites partie du gratin en la matière. Les Vettel et Hamilton des temps modernes, d’une certaine façon. Facilement en difficulté quand quelque chose cloche mais difficilement prenable sinon.
Niki : Je n’avais jamais vu les choses comme ça auparavant.
Dietrich : Dommage que ça ne commence à apparaître que maintenant ! On n’a pas pu en profiter avant et on ne sait pas si on pourra en profiter après.
Niki : Qui sait ?
Dietrich : Personne pour le moment.
Niki : Et est-ce que mon week-end a changé votre façon de penser sur la question ?
Dietrich : Absolument pas. C’est un bon début, c’est même un peu au-delà de ce que j’espérais voir, maintenant il s’agit de tenir sur la durée. Vous savez encore mieux que moi qu’on ne devient pas célèbre en une seule course. Il m’en faut plus.
Niki : Si ça ne vous suffit pas, je crois que rien ne vous suffira et que vous feriez mieux de baisser les armes maintenant.
Dietrich : Hors de question. Personne ne va baisser les armes ; pas vous, pas moi, personne. Votre week-end a été impeccable, force est de constater que vous avez merveilleusement bien réagi à la pression, maintenant ce n’est pas une seule course qui va me suffire. J’ai eu écho de vos échanges avec les membres de l’équipe ce week-end, j’apprécie la gnaque, mais il va falloir redescendre et continuer à travailler.
Niki : Comptez sur moi.
Dietrich : Je sais que je peux compter sur vous pour faire ça, oui, mais je tiens à vous le rappeler. Je vous fais confiance, je sais que vous êtes un pilote doué, c’est d’ailleurs pour ça que je veux m’assurer de vous avoir l’an prochain, mais je ne cèderai pas à tous vos caprices sous prétexte que vous avez gagné à Monaco.
Niki : De quoi est-ce que vous avez besoin ?
Dietrich : J’ai besoin de plus. Prouvez-moi que la F1 a besoin de Red Bull et que Red Bull a besoin de la F1.
Niki : Bien reçu. Si vous voulez un conseil, commencez déjà à rassembler les fonds pour l’an prochain car vous ne partirez pas de sitôt si ce sont vos conditions. Si ce sont des résultats que vous voulez, je ferai mon maximum pour aller les chercher et après ça on verra ce que vous en dites. Mais dans tous les cas, je vais vous pourrir la vie en attendant votre décision : soit vous comptez quitter la F1 et je vous forcerai à me libérer de mon contrat très rapidement, soit vous comptez rester et je vous forcerai à m’apporter des garanties très rapidement.
Dietrich : Il serait grand temps que vous compreniez que la décision ne me revient pas intégralement…
Niki : Je croyais qu’on parlait de vos deniers personnels mis en jeu pour prolonger l’aventure en cas de résultats satisfaisants ?
Dietrich : C’est bien plus compliqué que ça.
Niki : Et donc à qui revient-elle, si ce n’est pas seulement à vous ?
Dietrich : A une douzaine d’autres personnes qui n’ont aucunement envie de rester dans ce championnat. Je suis votre seul allié, Niki, il va falloir assimiler cela si vous voulez que nous soyons productifs.

On lui a dit à Niki qu'il y avait 20 autres grands prix dans la saison, et donc que cette dernière ne se résumait pas à Monaco ?
Ou il compte, année après année, faire 3 GP dans la saison et saboter son moteur pour faire genre "nan mais c'est pas moi c'est ma voiture" sur tous les autres ?

Le 19 avril 2020 à 17:34:09 dsmii a écrit :
On lui a dit à Niki qu'il y avait 20 autres grands prix dans la saison, et donc que cette dernière ne se résumait pas à Monaco ?
Ou il compte, année après année, faire 3 GP dans la saison et saboter son moteur pour faire genre "nan mais c'est pas moi c'est ma voiture" sur tous les autres ?

Quel est l'intérêt de venir faire le rabat-joie ici ?
Je vous pige pas du tout, sans rire

Un épisode bien complet ça faisait longtemps ! Et il est excellent

Bon par contre Dietrich c'est bon baisse le pantalon de Niki ça se voit que tu veux lui en tailler une

Le 19 avril 2020 à 17:39:08 Haryanto a écrit :

Le 19 avril 2020 à 17:34:09 dsmii a écrit :
On lui a dit à Niki qu'il y avait 20 autres grands prix dans la saison, et donc que cette dernière ne se résumait pas à Monaco ?
Ou il compte, année après année, faire 3 GP dans la saison et saboter son moteur pour faire genre "nan mais c'est pas moi c'est ma voiture" sur tous les autres ?

Quel est l'intérêt de venir faire le rabat-joie ici ?
Je vous pige pas du tout, sans rire

Ben, eh, on peut pas lui piquer son pognon, faut bien jalouser quelque chose.
Plus sérieusement, si le développement de la RB tient le coup malgré les problèmes financiers, le match à 4 (5 ? Enfin, je vois pas Nyck tenir la longueur malheureusement, malgré tout son talent) pour le titre va être dantesque.

Le 19 avril 2020 à 17:49:46 [-Monarch-] a écrit :
Un épisode bien complet ça faisait longtemps ! Et il est excellent

Cimer

Bon par contre Dietrich c'est bon baisse le pantalon de Niki ça se voit que tu veux lui en tailler une

C'est plus paradoxal que ça Disons qu'il a envie mais qu'il a la raison nécessaire pour le calmer un peu quand même Globalement je crois que j'ai bien exploité son personnage sur cette arche, vous me direz à la fin mais je suis assez satisfait

Le 19 avril 2020 à 19:54:59 dsmii a écrit :

Le 19 avril 2020 à 17:39:08 Haryanto a écrit :

Le 19 avril 2020 à 17:34:09 dsmii a écrit :
On lui a dit à Niki qu'il y avait 20 autres grands prix dans la saison, et donc que cette dernière ne se résumait pas à Monaco ?
Ou il compte, année après année, faire 3 GP dans la saison et saboter son moteur pour faire genre "nan mais c'est pas moi c'est ma voiture" sur tous les autres ?

Quel est l'intérêt de venir faire le rabat-joie ici ?
Je vous pige pas du tout, sans rire

Ben, eh, on peut pas lui piquer son pognon, faut bien jalouser quelque chose.

Veuillez nous suivre Monsieur

Plus sérieusement, si le développement de la RB tient le coup malgré les problèmes financiers, le match à 4 (5 ? Enfin, je vois pas Nyck tenir la longueur malheureusement, malgré tout son talent) pour le titre va être dantesque.

Faut pas oublier Daniel Tic...Ah pardon

Belle victoire, rien à dire Ce qui est un peu frustrant dans le cadre d'une story

George Russell a sombré à cause d’un turbo défaillant

El famoso problème pendant que Niki survole la course, juste pour mettre à mal mes dires d'hier, on dirait que je dérange

Le 20 avril 2020 à 00:25:48 DorotheaWierer a écrit :
Victoire légendaire, rien à dire Ce qui est un peu frustrant dans le cadre d'une story

J'ai corrigé quand même, un peu de respect voyons

George Russell a sombré à cause d’un turbo défaillant

El famoso problème pendant que Niki survole la course, juste pour mettre à mal mes dires d'hier, on dirait que je dérange

Reste à savoir ce qui est le plus surcoté entre Russell et la fiabilité de la McLaren

RDV demain à 17h pour un petit voyage dans la Sarthe

SAISON 8 https://docs.google.com/document/d/1bPvF2aD5YsK_fK3k_Zg4C0gZm0by7p0CRLGPtagG5_4/edit?usp=sharing

2025 (S8), Chapitre 16 (n°327) : En rodage

Dimanche 1 juin 2025, Circuit de la Sarthe, Le Mans
Nous y voilà. Mon premier test grandeur nature à bord d’un prototype. J’ai passé des dizaines d’heures dans le simulateur du Luc, j’ai étudié des onboards des années précédentes, eu accès aux données de SMP de l’an dernier, passé des journées entières à Villeneuve-la-Guyard pour en apprendre plus sur le côté technique. Ce fut intense de cumuler mon rôle en F1 et ces tâches mais je ne me voyais pas arriver au Mans sans expérience. J’ai beaucoup échangé avec Louis Delétraz, pas mal également avec Nico Hulkenberg, et mes deux équipiers sont confiants sur la suite des événements pour nous. Andy a également été là, malgré nos personnalités conflictuelles et nos discussions assez souvent houleuses, pour s’assurer que je ne passe pas à côté de mes débuts au Mans.

J’espère que vous ne m’en voudrez pas mais je ne vais pas vous présenter l’ensemble des soixante-deux équipages engagés de cette édition 2025 des 24 Heures, en revanche voici les 12 trios de compétiteurs en LMP1 :

Après l’échec de l’an dernier, Peugeot espère bien emmener la numéro 4 tout en haut du podium. Alors que des rumeurs insistantes sur un départ du lion de l’Endurance - seulement cinq ans après son retour - planent au-dessus de la Sarthe, le constructeur français aura à coeur de faire mieux que la tragique troisième place de l’an dernier, lorsque Hubert avait dû céder la tête de la course à seulement une heure de la fin de l’épreuve à cause d’un problème moteur. Tenante du titre, la Toyota numéro 7 fait cependant office de favorite avec un redoutable trio Buemi, Félix da Costa et Hartley, équipage phare du constructeur nippon qui part avec un léger avantage en rythme pur. Même si l’édition 2024 est un contre-exemple parfait de cela, Peugeot se révèle souvent plus fiable que Toyota et c’est la principale menace qui rôde autour des japonais.
Mercedes, qui revient au Mans pour la première fois depuis 1999, est toujours en rodage et les performances des équipages de Stuttgart laissent peu d’espoir alors que le mythique constructeur allemand cherchera avant tout à bien figurer avant de réellement se fixer des objectifs à partir de l’an prochain. M’est avis que les flèches d’argent seront à surveiller d’ici deux ou trois ans, quand on regarde le succès rapide de leur entreprise en F1.

Du côté de SMP, on lorgne secrètement sur un podium ; si les circonstances de course sont favorables, on pourrait atteindre cedit podium. Il apparaît clair que les deux blockbusters que sont Toyota et Peugeot font peur à tout le monde mais SMP monte en puissance grâce à ses idées révolutionnaires ; le centre d’entraînement du Luc est le premier au monde pour une écurie du WEC et ce n’est qu’un des exemples qui illustre les idées novatrices amenées par ART, qui gère l’exploitation de l’équipe. Le centre “pratique” de l’écurie est le même que celui de l’écurie de monoplaces pour laquelle j’ai piloté en 2019 en F2 mais cela reste un environnement globalement compétitif, bien qu’inférieur aux infrastructures gigantesques proposés par Peugeot et Toyota en la matière.

Pour en revenir à l’instant présent, le programme des journées test des 24 Heures est bien clair : quatre heures d’essais de neuf à treize puis quatre heures de quatorze à dix-huit. Huit heures de roulage sur ce tracé mythique pour prendre la mesure des choses, étudier le comportement de la voiture pour moi puisque je suis le seul néophyte du monde de l’Endurance à l’amorce de cette course, qui est la dernière de la saison 2024-25. Tout le monde autour de moi a un minimum d’expérience, même si certains terminent à peine leur première saison. C’est le cas pour Lundgaard, Lundqvist, Martins, Wehrlein et Yifei en LMP1, tandis que Pedro Piquet revient à peine dans la discipline - après un passage en LMP2 - pour pallier le départ de Daniil Kvyat, parti en Formule E à l’hiver. Le WEC procède ces dernières années à un renouvellement qui voit arriver pas mal de pilotes de moins de 25 ans boudés par la monoplace et qui viennent remplacer des trentenaires qui restent malgré tout timidement majoritaires pour le moment. D’ici à ce qu’un Verstappen vienne jouer en LMP1 à dix-sept ans, j’imagine qu’on a le temps de voir venir, malgré tout, mais voir des Marcus Armstrong ou Christian Lundgaard très proches du sommet de la pyramide de l’Endurance à 24 et 23 ans respectivement fait réaliser que la F1 est peut-être passée à côté de certains talents de la génération qui suit la mienne.

Il est huit heures cinquante-neuf, je suis installé et attaché à bord de la SMP bleu électrique numéro 16 et tous les voyants sont au vert. Quand le feu de la pitlane deviendra lui aussi vert, je découvrirai Le Mans. Après un signe du pouce de l'un des mécaniciens, je sors du garage ; c'est parti. Pour n'importe quel amateur de course automobile, la simple évocation du nom de certains de ces virages suffit à déclencher des frissons ; Dunlop, le Tertre Rouge, les Hunaudières, Mulsanne, Indianapolis, Arnage, Porsche, autant de noms de virages associés à l'un des tracés les plus connus dans le monde. Le circuit de la Sarthe est, avec le Speedway d'Indianapolis, Monaco et la Nordschleife, l'un des quatre circuits les plus connus au monde. Tout le monde rêve d'y piloter, certains en connaissent le tracé par coeur, d'autres ne manquent jamais les courses ici. Vous avez forcément déjà regardé quelque chose en lien avec les 24 Heures ; un documentaire, une caméra embarquée, la course en elle-même. Au pire des cas, vous avez piloté sur ce circuit sur la Playstation quand vous aviez quatorze ans mais ça va dans le même sens : vous connaissez forcément ce lieu mythique. Le type qui a eu l'idée de faire une course sur des routes publiques dans la campagne française était loin de s'en douter, pourtant il a créé une course et un événement légendaires et, aujourd'hui, je prend la mesure des choses ; dans deux semaines, je ferai partie de la grande Histoire du Mans.

Après la fascination et l'émerveillement à l'idée de parcourir les 13628 mètres de cette piste, il faut toutefois rapidement rentrer dans le bain. Il faut procéder à un crescendo, tour après tour, consistant à chercher les limites de la piste, de la machinerie et également du pilote. Suis-je doué pour les prototypes ? Ai-je les organes suffisants pour combattre ce tracé ? C'est pour cela que ces journées test sont là. Je suis en rodage et je dois composer avec un circuit que je connais globalement mal, sur une machine qui m'est complètement inconnue en ce qui est des sensations réels. Attention toutefois à ne pas chercher trop les limites ; au-delà de ma découverte de ce que représente le pilotage d’une P1 pour de vrai, le roulage est précieux pour toutes les équipes et le perdre à cause d'une erreur de pilotage serait tragique. Il faut accumuler les données, notamment en termes de consommation d’essence pour savoir quand ravitailler les bolides le jour J. La question des pneumatiques est également un élément clé de la gestion d’une course d’Endurance, au même titre que le solidité de l’équipement. Si vos freins cuisent en huit heures de test à allure moindre, n’allez pas imaginer que vous aurez le cul bordé de nouilles le jour J…C'est donc une répétition générale à laquelle je prend part et le théâtre de ces répétitions est un monument en la matière.

Les machines sont toutes équipées de la technologie hybride, si jamais vous vous posez la question, et l’EoT - “Equivalence of Technology” - est en place même si Rebellion et SMP sont très critiques à l'égard de ce système qui n'avantage pas suffisamment les protos privés tout en provoquant la colère des protos d'usine ; personne n'en est vraiment content et on parle fortement d’une révision en profondeur du système dans les années à venir. En GT, la BoP - “Balance of Performance” - est beaucoup mieux mise en oeuvre et elle permet d’équilibrer la compétition entre les Ferrari, les Porsche, les BMW et caetera, à tel point que ça se résume généralement à une lutte de pilotes et non de machines, ce qui est fascinant quand trois hommes se partagent une même voiture pendant vingt-quatre heures.

Pour les pilotes, cette journée est aussi l’occasion de se souvenir que se frayer un chemin dans le trafic est une réelle épreuve ici au Mans. Je me suis fait quelques frayeurs avec des GT, justement, mais fort heureusement je n’en suis pas venu jusqu’à me ridiculiser en en heurtant une au cours de la journée. Malgré quelques erreurs en début de test, qui ne sont pas réellement inquiétantes au vu de mon inexpérience sur ce tracé et avec cette machinerie, je crois avoir fait un job correct et, à l’issue de la journée, je retrouve mes deux équipiers pour débriefer de mon ressenti. Avec près de trois heures et demi passées au volant sur les deux séances - Louis et Nico ayant fait des concessions pour s’assurer que j’ai autant de roulage que possible - je crois avoir engrangé des bonnes informations et mon coup de volant a rapidement gagné en assurance. Je suis globalement satisfait, évidemment il y a quelques trucs à ajuster mais j’avais peur de faire face à une montagne de choses à corriger après les journées test et, finalement, ça va. Je pense que, désormais, je suis prêt à affronter cette épreuve mythique, qui représente presque le début d’une nouvelle carrière pour moi. Mais entre aujourd’hui et la semaine mancelle, je vais devoir m’envoler pour le Canada, où j’ai une double couronne à défendre.

Hubert est donc vivant dans cette fiction
Du coup Niki a intérêt à finir 2ème

Le 21 avril 2020 à 17:35:56 Pimpolofist a écrit :
Hubert est donc vivant dans cette fiction
Du coup Niki a intérêt à finir 2ème

Je te jure je me déteste, vraiment je me déteste
Partie 1 : j'écris la mort de Sophia, accident de Floersch le lendemain
Partie 2 : je prévois de publier la mort de Lauda, il meurt quelques jours plus tôt
Partie 3 : j'inclus Anthoine Hubert dans le lineup du Mans, 3 jours plus tard...

Je sais que j'ai un ultra chat noir avec cette fic, j'ai même eu un autre de ces moments y'a pas longtemps, mais pour Hubert j'avais même pas percuté, c'est en voyant ton message que je me suis demandé s'il était vivant au moment où j'ai écrit du coup j'ai regardé la date d'écriture du chapitre : 28 août 2019

Le 21 avril 2020 à 18:27:28 Haryanto a écrit :

Le 21 avril 2020 à 17:35:56 Pimpolofist a écrit :
Hubert est donc vivant dans cette fiction
Du coup Niki a intérêt à finir 2ème

Je te jure je me déteste, vraiment je me déteste
Partie 1 : j'écris la mort de Sophia, accident de Floersch le lendemain
Partie 2 : je prévois de publier la mort de Lauda, il meurt quelques jours plus tôt
Partie 3 : j'inclus Anthoine Hubert dans le lineup du Mans, 3 jours plus tard...

Je sais que j'ai un ultra chat noir avec cette fic, j'ai même eu un autre de ces moments y'a pas longtemps, mais pour Hubert j'avais même pas percuté, c'est en voyant ton message que je me suis demandé s'il était vivant au moment où j'ai écrit du coup j'ai regardé la date d'écriture du chapitre : 28 août 2019

On va arrêter ta fic par précaution

Episode très bien écrit, ça nous plonge bien dedans

L'équipage 4 Anthoine Si seulement le plateau de l'endurance avait une aussi belle gueule IRL

Le 21 avril 2020 à 18:27:28 Haryanto a écrit :

Le 21 avril 2020 à 17:35:56 Pimpolofist a écrit :
Hubert est donc vivant dans cette fiction
Du coup Niki a intérêt à finir 2ème

Je te jure je me déteste, vraiment je me déteste
Partie 1 : j'écris la mort de Sophia, accident de Floersch le lendemain
Partie 2 : je prévois de publier la mort de Lauda, il meurt quelques jours plus tôt
Partie 3 : j'inclus Anthoine Hubert dans le lineup du Mans, 3 jours plus tard...

Je sais que j'ai un ultra chat noir avec cette fic, j'ai même eu un autre de ces moments y'a pas longtemps, mais pour Hubert j'avais même pas percuté, c'est en voyant ton message que je me suis demandé s'il était vivant au moment où j'ai écrit du coup j'ai regardé la date d'écriture du chapitre : 28 août 2019

Par contre quand t'as décidé de faire partir Vettel à la retraite, il s'est rien passé

Le 21 avril 2020 à 18:46:17 Pimpolofist a écrit :

Le 21 avril 2020 à 18:27:28 Haryanto a écrit :

Le 21 avril 2020 à 17:35:56 Pimpolofist a écrit :
Hubert est donc vivant dans cette fiction
Du coup Niki a intérêt à finir 2ème

Je te jure je me déteste, vraiment je me déteste
Partie 1 : j'écris la mort de Sophia, accident de Floersch le lendemain
Partie 2 : je prévois de publier la mort de Lauda, il meurt quelques jours plus tôt
Partie 3 : j'inclus Anthoine Hubert dans le lineup du Mans, 3 jours plus tard...

Je sais que j'ai un ultra chat noir avec cette fic, j'ai même eu un autre de ces moments y'a pas longtemps, mais pour Hubert j'avais même pas percuté, c'est en voyant ton message que je me suis demandé s'il était vivant au moment où j'ai écrit du coup j'ai regardé la date d'écriture du chapitre : 28 août 2019

On va arrêter ta fic par précaution

Très sage décision

Le 21 avril 2020 à 19:49:02 DorotheaWierer a écrit :
Episode très bien écrit, ça nous plonge bien dedans

Obrigado

L'équipage 4 Anthoine Si seulement le plateau de l'endurance avait une aussi belle gueule IRL

J'avoue que je me suis fait un petit kif en calant tous les types de la génération 2000-2003 que j'ai pas calé en F1 (et c'est une erreur de ma part avec le recul ) et que du coup c'est pas ultra réaliste, mais au final comme tu dis ça a de la gueule
Par exemple Hubert je l'ai calé là parce que je me sentais coupable de l'avoir fait partir en endurance dès son titre en GP3 en 2018 (le seul dont j'avais vraiment mentionné le départ en Endu c'était lui, en fin de S1 ou début de S2 me semble), mais les gars comme Armstrong ou Lundgaard c'est un peu criminel de pas les avoir mis en F1 Même chose avec Robert Shwartzman, ni en F1 ni en LMP1, lui pour le coup je sais pas ce que j'ai pu en faire

Le 21 avril 2020 à 18:27:28 Haryanto a écrit :

Le 21 avril 2020 à 17:35:56 Pimpolofist a écrit :
Hubert est donc vivant dans cette fiction
Du coup Niki a intérêt à finir 2ème

Je te jure je me déteste, vraiment je me déteste
Partie 1 : j'écris la mort de Sophia, accident de Floersch le lendemain
Partie 2 : je prévois de publier la mort de Lauda, il meurt quelques jours plus tôt
Partie 3 : j'inclus Anthoine Hubert dans le lineup du Mans, 3 jours plus tard...

Je sais que j'ai un ultra chat noir avec cette fic, j'ai même eu un autre de ces moments y'a pas longtemps, mais pour Hubert j'avais même pas percuté, c'est en voyant ton message que je me suis demandé s'il était vivant au moment où j'ai écrit du coup j'ai regardé la date d'écriture du chapitre : 28 août 2019

Par contre quand t'as décidé de faire partir Vettel à la retraite, il s'est rien passé

Même chose quand Hulkenberg a terminé sur le pod...Ah oui non pardon, bizarrement c'est l'année suivante qu'Audi a commencé à en obtenir

mais les gars comme Armstrong ou Lundgaard c'est un peu criminel de pas les avoir mis en F1 Même chose avec Robert Shwartzman, ni en F1 ni en LMP1, lui pour le coup je sais pas ce que j'ai pu en faire

Et à la place on a Sven Sigthorsson

Le 21 avril 2020 à 21:57:36 DorotheaWierer a écrit :

mais les gars comme Armstrong ou Lundgaard c'est un peu criminel de pas les avoir mis en F1 Même chose avec Robert Shwartzman, ni en F1 ni en LMP1, lui pour le coup je sais pas ce que j'ai pu en faire

Et à la place on a Sven Sigthorsson

Y'a pire après
Genre 100 fois pire