venez récupérer vos points popo

cc g chié ce matain jpeut avoir un poing popo ?

première question à 10 points popo

quelle est la couleur du popo enr ègle générale

moi perso ver kk

désoler cest faux tu as un malus popo

CLASSEMENT

1. Christophe 0 point + 1 gage

ton gage est de péter et chier ^^

non!!!!

le blabla de popo n est pas pictural

bah jpen c quil fallai une preuves

Question à 3 points popo : qu'ai-je envie de faire après avoir pété ?? (verbe en 5 lettres qui commence pareil qu'un célèbre animal de compagnie)

ba apré ta envi dchié ta la merdoku kan ta pété xd

Le 29 juin 2020 à 23:05:22 Chancla2006 a écrit :
ba apré ta envi dchié ta la merdoku kan ta pété xd

bravo 3 points

Classement

1. Chancla 2 points (1 malus car bienséance roulée dans la merde (ou le popo XD))

lol g chié

g pa mal proutaient today

yo sa proute ? lol

je viens tout juste de proutez..

Je ai 25 ans, j'ai été propre très jeune, mais je ne sais pour quelles raisons, adolescente, je commençais à être fascinée par les fonctions fécales et mictionnelles. J'examinais et mangeais ma propre merde. Très vite, je pris plaisir à déféquer toute habillée, en remplissant mes culottes et jeans avec de gros étrons, et Je manipulais ma merde qui était sur mon anus avec mes doigts, puis les essuyaient sur les vêtements fraîchement lavés et les uniformes scolaires. Je prends des lavements, j'aime me retenir et puis tout expulser dans une variété de positions et d'emplacements différents. Je parfois je me mets des suppositoires ou autres laxatifs quand je sens que je sais que je suis pleine puis je sors et je chie quand je n'en peux plus à l'endroit où je me trouve.
Dans le dortoir de mon collège je cherche souvent les culottes sales de ma très jolie camarade de chambre, celles-ci sont souvent striée de traces brunes au niveau de son cul (elle est très négligée et insouciante!) Je frotte le tissu sale contre ma chatte que je me masturbe jusqu'à l'orgasme. J'écoute toujours les filles déféquer à côté de moi quand je suis dans les wc , je fais de mon mieux pour laisser de gros étrons dans la cuvette qu'elles peuvent entend tomber dans la cuvette. Enfin, dans ma deuxième année de licence à 20ans. Je fis la connaissance d'une camarade de classe qui partageait mes intérêts très particuliers. Ce fut une explosion du plaisir partagé pour la défécation, nous avons passé de longs week-ends au chalet de sa tante nous donnant des lavements, chiant l'une sur l'autre, dans nos culottes, nous aimions nous salir au cout de longues promenades dans les bois, nous tenant par la main. Ensuite, nous nous nettoyions l'une l'autre.
Parfois, nous nous comportions comme des petites filles, plutôt que comme des jeunes femmes, nous nous accroupissions sur le sol pour chier, faisant de grands monticules, puis ramassant la merde à pleine main, nous nous lancions la merde sur les vêtements en riant, nous salissant terriblement puis nous nous doigtions l'une l'autre avec les doigts graisseux de merde. Il était très douillet, nous étions comme deux punaises dans un tapis Le lendemain matin, nous avions toutes les deux une forte envie de pisser et de chier, nous sommes restés là , à l'intérieur du sac, nous serrant étroitement l'une contre l'autre et nous avons rempli le sac de couchage avec nos besoins. J'ai jeté ce sac de couchage de suite, mais maintenant, je regrette de l'avoir fait car, j'aurais maintenant un souvenir de notre pisse et notre merde incrustée dans le sac.
Après un moment, ma camarade de chambre Lisa soupçonna que je prenais ses sous-vêtements pour les examiner. Et une fois, elle m'a effectivement attrapée alors que je fouillais dans son tiroir de sous-vêtements quand elle entra dans notre chambre. Elle devina que je les prenais pour les tache de merde, et après celles-ci devinrent plus fréquentes. Il ne semblait que toutes ses culottes dans son tiroir à présent portaient des traces de merde (Lisa portait presque toujours des culottes blanches, de sorte de les traces étaient particulièrement visibles). Puis, un jour, je remarquais qu'il y avait plus que de simples traces laissées laissés en raison après d'un essuyage négligente ou incomplet. Non, ce n'était pas seulement des taches, mais parfois des petites mouchetures de merde. Et l'entrejambe était presque toujours jaunâtre comme si elle avait lâché quelques gouttes d'urine dans sa culotte.
Je savais maintenant que Lisa essuyait son cul avec le fond de sa culotte après avoir chier, et pas seulement par négligence. Et l'odeur de la merde sur sa culotte était encore plus vive. En fait, chaque fois que j'ouvrais son tiroir de sous-vêtements les odeurs de pise et de merde étaient incomparables.
Je dois admettre que je suis une salope, je me couche sans me laver, le corps profondément souillée entre mes draps chaque nuit. J'étais particulièrement sale, une la nuit ou Lisa se réveilla tôt, ayant un grand besoin d'utiliser les toilettes. La nuit précédente j'étais allée dans un bar de lesbiennes vraiment cru et torride. C'était un mois de Juillet chaud et humide. Je ne n'avais pas pris la peine de prendre une douche pendant toute une semaine, donc c'était vraiment génial, chaque jour une couche de sueur s'ajouter à l'odeur musquée. De plus, étant excitée en permanence ma chatte était toujours humide. Me masturber constamment la rendait encore plus moite. Et je ne prendrais pas la peine de m'essuyer après avoir uriné. Donc, celle-ci était détrempée comme un torchon de cuisine bien-utilisé.
Cette nuit fut pour moi plus que jamais délicieusement sale. Dans l'arrière-salle sombre du bar de nombreuses langues affamées avaient glissé le long de ma chatte poisseuse. Elles ont aimé l'odeur forte comme me l'ont dit plusieurs filles. Puis, avant de quitter le club, je suis allée aux toilettes, aucun cabinet n'avait de porte. Je m'en fichais. J'ai juste baissé mon cul nu, lâché un long jet de pisse et sorti une grosse merde, ma merde sortait de mon cul lorsque des lesbiennes sont entrées et ont eu un bels aperçu de ma miction et défécation. Je suis complètement effrontée et impudique, vous le savez. Le dernier étron, que j'avais lâché, s'était rompu, laissant un petit morceau de merde contre mon anus, dans les plis de mes fesses. Bien sûr, il n'y avait pas de papier toilette dans les cabines. Je n'aurais pas pris la peine de l'utiliser, même si il y en avait. Donc, je remontais ma très sale culotte trempée de sueur, mon jeans et rentrais à la maison. Avec le petit morceau de merde coincé en bas, je pouvais sentir le frottement à chaque pas.
Quand je suis finalement arrivée dans ma chambre, je me glissais dans le lit, nu et sale (comme toujours), je pouvais entendre ma camarade de chambre Lisa, à moitié éveillée, marmonner, "Quelle est cette odeur? Je soumis en moi-même, l'odeur de corps de femme non lavé et de sa chatte poisseuse (une chatte très poilu, je pourrais ajouter que je ne l'avais jamais rasé ici); Si peu normale, je suis « une fille naturelle » Les odeurs particulièrement orgasmiques m'excite beaucoup et bien sûr, l'urine et la merde. Un- pot-pourri adorable.
Alors maintenant, je suis dans mon lit, il est très tôt le matin. J'entends Lisa agiter, de sortir de son lit. Je lui murmure, «où vas-tu?"
«Je dois utiliser les toilettes," répond-elle. Je repousse le couvre lit et malicieusement d'un mouvement du majeur, je l'invite à venir.
«Ni vas pas, Viens avec moi »Elle se glisse dans mon lit, contre mon corps nu et chaud. Nous n'avons jamais été intimes avant. Elle a tendance à faire froid la nuit, donc elle porte une chemise et une culotte en dessous, pendant que je dors sans vêtements.
« Que ça pue ici ». Tu sentes une forte et agréable odeur, Denise ». J'ai bien pensé que cela venait de toi, quand tu es rentrée hier." Je gloussais
"Merci pour le compliment, Lisa." « Détrempée par une nuit de masturbation et bien-sûr pas lavée ,je suis une chienne puante »Elle se blottit plus près maintenant, en dépit, ou peut-être en raison de la forte odeur que je rependais au large et murmure.
"Mais je dois vraiment y aller." Le regard dans ses yeux est inestimable et elle mord sa lèvre inférieure.
"Fait ici," lui dis-je, "fait dans mon lit, à côté de moi."
"B-b-b-mais, le faire ici, c'est si sale!" répond-elle.
"Je m'en fout ", lui dis-je, "fait ce que tu dois faire. Ca sent l'odeur des toilettes ici de toute façon, de sorte que tu peux vraiment faire ça sans problème." Je pensais à l'époque ou moi et mon amante dès les premières heures du matin remplissions notre sac de couchage avec notre pisse et notre merde, faisant du sac une toilette commune.
Maintenant Lisa souriait.
"Tu aimes ce qui est sale, Denise?" Je hoche la tête "Je t'ai ai pris à renifler le fond de ma culotte. Je me sentais tellement gêné d'abord parce que je sais que je peux être très mal soignée." Je hochais la tête à nouveau. " Alors, je vis qu'elle était vraiment allumée. Donc, après avoir chié, j'ai essuyais mon cul avec ma culotte et remisse dans le tiroir où l'on pouvait la trouver. «Dit-elle ».
«Je sais», je réponds dit je avec un sourire, «comment je le sais bien!" "Et je sais que vos culottes sont toujours sales et souillés," ajoute-t-elle avec un sourire malicieux. Je ne savais pas qu'elle avait été vérifié les miennes comme je l'avais été vérifié les siennes
«Je suis tellement pleine", soupira-t-elle, "je vraiment, vraiment besoin d'y aller."
“Chie où pisser. »Demandai-je
"Les deux," dit-elle, «Je dois uriner et déféquer. Dit-elle.
“vas y » Lui dis-je, en serrant son corps contre le mien, mes lèvres sur les siennes, " Fait-le ici, juste à côté de moi, dans mon lit! Faire de mon lit ton chiotte, Lisa!"
Elle se mord les lèvres, se demande si elle pourrait aller aussi loin. Donc, je l'attire mes jambes et creuse les reins avançant ma chatte détrempée, emmenant mon doigts à son nez pour qu'elle prenne un bouffée.
Wow, qu'il sent fort! ", Dit-elle, émerveillée.
Puis je reviens sur mes fesses où ce petit morceau de merde de la veille est transformé en une argile de type purée brune, collant entre mes fesses en sueur. Je dirige mon doigt autour de la crevasse putride, impur et sans essuyage et applique ce doigt à son nez pour qu'elle prenne une autre bouffée «Ouah!" elle dit-elle comme une petite fille avec des étincelles dans les yeux, respirant l'odeur de merde. Peut-être que cela va l'encourager Alors maintenant, Je mette mes bras autour d'elle et appuie son corps contre le mien, fusion de nos lèvres pour un baiser qui lui coupe le souffle. Ensuite, j'entends un bruit léger quand elle commence à uriner. Immédiatement, je sens la chaleur humide de sa pisse qui sort de son urètre, trempant sa culotte, sa chemise de nuit, et mouillant le lit et ma peau. L'urine arrive par l'entrejambe de sa culotte, trempés, bien sûr, à travers le mince le coton
Ça y est, Lisa, pisse! Pisse! Pisse dans mon lit». Et elle continuait à pisser. La pisse du matin est toujours plus forte et plus longue. Elle s'était réveillée tôt avec une grande envie pisser, donc je ne fus pas surprise que sa vessie soit aussi pleine. Et vidée maintenant, elle se blottit contre moi et urine librement, en pissant comme je le fais, ces mictions sont particulièrement libératrice. Voilà quand tu pisses et que tu baises partout chaque fois que tu en as envie toute discrétion et bienséance sont jetées aux vents. Je portais mes doigts dans ma bouche pour les goûter, déguster son urine. Puis lui fit goûter. Elle hésite un instant, puis avec enthousiasme goûte mes doigts, curieuse et soudainement dévergondée.
"Mmmmmmmh," elle roucoule heureuse, soulagée. "Et maintenant, je dois chier!"
Di-elle.la faible lumière du matin filtrait dans la chambre, je pouvais voir son visage rougir, alors qu'elle était sur le point de vider ses entrailles.

"Euh --- nnnnnh!" elle grogne, un léger grognement qui accompagne son rougissement. Je mets ma main derrière elle, sous sa culotte (je avais soulevé sa chemise de nuit) je l'ai immédiatement senti ce bomber lorsque Lisa laissa échapper toute sa merde à la fois, il me semble. Le renflement énorme chaud et humide se tasse contre ma main. Mais il devient encore plus massif sous les efforts de Lisa (la douce se serrant encore plus contre moi) elle pousse encore plus sa merde, le renflement maintenant étonnamment grand, comme un melon piégé dans sa culotte, la culotte incapable de le contenir, je sens maintenant la merde chaude suinter sous l'élastique. L'arôme, bien sûr, est vif et sans équivoque. "Quelle est cette odeur?" Avait dit Lisa lors de mon entrée sur première pointe des pieds dans la chambre, lorsque je m'étais glissée dans mon lit, en sueur, sale, non lavés et sans l'essuyage de mon cul. Mais cette odeur était faible par rapport à la puanteur franchement âcre imprégnant notre chambre maintenant que Lisa vidait entièrement et complètement son rectum tranquillement à côté de moi dans mon lit, des seaux de pisse et de merde ayant quittés son jeune corps élégant.
"Mon Dieu!" elle gémit, "je ne savais pas que je pourrais être si sale! Tu me fais faire saletés, renifler mes culottes sales et de telles choses." Je souris en l'embrasse tendrement.
"Peut-être que je l'ai fait, mais tu as le vice de la saleté au fond de toi, tu sais."
Nous sommes restées une heure couchées l'une à côté de l'autre comme ça, mon lit transformait en toilette extravagante pour les besoins matinaux de Lisa. J'ai ramassé une grosses poigné de merde de la culotte de Lisa, qui était humidifiée avec son urine bien sûr, et puis je l'ai barbouillée partout avec cette épaisse boue brune, sur sa chemise de nuit, puis, sur son corps. J'ai plaqué mon entrejambe contre la sienne, couvrant nos vulves d'une épaisse couche de merde. J'ai barbouillé son visage et le mien, et j'ai passé mains pleine de merde dans ses cheveux et les miens. Une fois finie nous ressemblions à deux jeunes collégiennes en forme étrons géants, couchées l'une à côté de l'autre.
Puis nous nous sommes embrassées profondément avec bonheur, d'un baiser des plus passionné. Un baiser a coupé le souffle. Nos lèvres collantes de merde, se pressaient. J'ai léché merde sur son visage puis l'embrassant à nouveau, nous avons partagé l'essence sublime de sa merde. Le regard sur le visage de Lisa était inestimable. Elle était transportée vers une extase profonde et intime profondément dépravé d'un bonheur tabou. Nous étions au 7ieme ciel de la merde.
"Je pense que je vais avoir besoin d'un nouveau matelas," dis-je finalement après des heures d'ébats fécales, en riant toutes les deux comme une paire d'écolières coquines ...
Denise