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Sujet : [SPOIL] Félicitations Square Enix

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supertrunks13 supertrunks13
MP
Niveau 13
13 avril 2020 à 23:17:33

Final Fantasy VII Remake, où comment les héros d’antan affrontent courageusement le passé et rappellent le leitmotiv essentiel de la série : le changement et l’innovation. Le fait d’aller de l’avant, de se diriger vers l’inconnu, d’embrasser le champ infini des possibles, de préparer l’avenir à travers l’épisode le plus « adulé » des fans, voilà de quoi il est question. Comme FFIX, FFXV et bien d’autres FF, cette expérience est une ode à la vie, un combat entre des êtres qui se partagent un même espace, un même monde qu’ils chérissent tous autant, bien que différemment. Plus encore dorénavant, ce premier Remake est un rappel à l’ordre, un message de liberté qui prépare le public au futur, au changement, et donc à FFXVI.

Tout au long du jeu, les idoles des fans sont suivies, et surveillées par les fileurs, des figures étranges qui protègent les fils du destin : ils sont l’incarnation du regard des fans vis-à-vis de l’expérience vidéoludique qu’ils honorent depuis maintenant plus de 20 ans. Ces derniers font tout pour la protéger, et pour ça, ils n’hésitent pas à tourmenter les personnages, et à les blesser. Wedge est littéralement en train de subir une tentative de meurtre dans le chapitre 17. Le pauvre bougre qui ne devrait pas être là, subit le courroux des fans au point d’être expulsé des quartiers de la Shinra. Ce qu’il advient de lui ? la première partie de ce Remake n’en dit pas plus, mais l’essentiel est là, le personnage veut vivre, il veut s’émanciper du passé, il tient à aider ses amis, à se rendre utile ; mais rien n’y fait, il faut s’en tenir au script !

Métaphoriquement, ce jeu fait un usage brillant d’un concept commercial usé jusqu’à la moelle : jamais un Remake vidéoludique n’avait osé transformer ses fans en fantômes assoiffés de conservatisme. La fin du jeu n’en est pas moins époustouflante, les fileurs sauvent Barret de la mort, rien que ça, et pire encore, ils font tout pour empêcher la réunion inéluctable entre Cloud et Sephiroth, il est trop tôt, il faut attendre la prochaine partie du jeu !

Les développeurs en ont heureusement décidé autrement, la réunion aura bien lieu après un combat dantesque contre l’incarnation suprême des fans, où les joueurs participent inconsciemment manette en main à l’émancipation de leurs personnages. En affrontant les fileurs pendant de longues minutes, les chaînes du destin sont rompues, les attentes sont déjouées, et par la même occasion les joueurs pulvérisent l’autoroute comme figure du chemin à suivre à tout prix, ce fait résonne d’ailleurs avec la première partie de ce FFVIIR très linéaire et dirigiste qui s’achève sur la peur de la liberté, et la transition vers un supposé open world, le monde ouvert est une évolution métaphysique comparable à l’éveil de sa conscience. Après avoir abrité tel un rat pendant des heures un monde de débris cloisonné, Aerith fait preuve d’une grande lucidité quand elle parle de la liberté comme d’une chose terrifiante et comparable à inquiétant ciel sans fin, d’autant plus qu’une fois libérée de Midgar elle dit : le ciel d’acier me manque. La voilà à peine sortie de son précédent monde qu’elle regrette le changement. Comme l’expliquait Platon, la transition entre les états est toujours très difficile.
La seconde partie de FFVIIR constitue un défi, le passage vers le monde ouvert, un défi décrié par une partie des fans au travers d’un projet chaotique : FFXV.
Enfin libérés des whisperers, un combat époustouflant, d’une générosité, et d’une réalisation incroyable se déroule contre Sephiroth qui balaye à plusieurs reprises nonchalamment les fans d’un mouvement de son sabre. Je décide du destin, je suis mon propre maître, je protégerai la Terre à ma façon, ce personnage qui a oublié les plaisirs simples de la vie n’en demeure pas moins un bienfaiteur à l’iconographie pertinente. Cet ange noir, à la fois protecteur et meurtrier ne veut que le bien-être de la vie, quand bien même il a oublié ce que signifiait vivre…

Revenons à présent sur un moment fondamental, l’affrontement contre les tisseurs qui est un feu d’artifice visuel absolument exemplaire ; il s’agit d’un combat avant tout métaphorique, une allégorie de la lutte contre un destin déjà écrit, en témoigne plusieurs détails visuels significatifs : d’une part, nos assaillants ne sont ni plus ni moins que des miroirs de nos protagonistes (chacun adoptant le style de combat de nos héros). Cela offre une lecture meta extrêmement pertinente puisque pour changer le destin, il faut avant tout s’affronter soi-même, ses peurs, ses convictions, et ses préjugés. Le combat se déroule sur une autoroute, ce qui n’est pas une première dans la compilation FF7 (cf combat Sephiroth/Cloud dans AC, les nombreux combats en moto). Nomura a su exploiter ce détail récurrent de la série pour filer une métaphore évidente : l’autoroute symbolise le destin lui-même, une route qui semble toute tracée, qui s’étend à perte de vue et dont il est difficile de bifurquer.
Ce n’est donc pas anodin que notre affrontement se déroule dans ce cadre singulier, celui d’une autoroute qui se détruit petit à petit à mesure que nous défions nos assaillants. Il n’est pas simplement question de laisser le joueur sur une autoroute inachevée comme le montre les artworks promotionnels du jeu : l’avenir n’est pas écrit, et aucune route n’est tracée. An unknown journey.
Lors de cette épreuve insurmontable, nous avons des illustrations littérales des obstacles que le destin dresse face à chacun d’entre nous : ce sont donc contre les « foudres du destin » et son « torrent» qu’il faut survivre; pour lutter, seule l’entraide constituera un bouclier suffisant, en témoigne les interventions multiples de nos alliés pendant le combat, sans lesquels nous aurions été démuni (cf. Tifa et Barret hissant Cloud au dessus du vide). La caméra se veut parfois lointaine, comme omnipotente, offrant une distance symbolique avec les événements qui se déroulent sous nos yeux. Le joueur n’est pas un simple témoin du combat contre le conservatisme mais acteur de ce processus, il le précipite et rend le projet de remake possible.

Entreprendre un remake d’un jeu comme FF7, après la décriée sortie de FFXV auprès des puristes, constituait sur le papier un réel retour en arrière. Mais l’audace de ce nouvel horizon permet à Square Enix de faire un pas de géant en avant.
Concernant le jeu en général, certes, certains chapitres sont lourds, il ne s’agit que de suivre des couloirs, et taper des monstres ( ce qui était déjà le cas de tous les anciens FF…) ; mais la majorité du jeu est excellente, les environnements ont beaucoup de charme pour la plupart d’entre eux, les pnj ont beaucoup de choses à dire, les quelques quêtes annexes sont intéressantes : on est loin de subir des quêtes ennuyantes, et inutilement trop nombreuses.

Le gros point fort du jeu, un élément que je salue avant tout, et qui a toujours été le point faible des FF pour moi : la réalisation des combats. Grâce à Unreal Engine 4, un moteur ancien, libre de droit, et maîtrisé par tous les professionnels, Square Enix a su donner vie à un nombre énorme de scènes d’action époustouflantes, et il y en a pour tous les boss du jeu, et dans tous les chapitres ; je n’ai jamais vu une telle générosité dans un jeu vidéo. Uncharted, God of War, ces jeux populaires en action/aventure peuvent se rhabiller, car contrairement à eux dans FFVIIR, les animations sont dingues, les chorégraphies sont folles, la caméra est extrêmement dynamique, et on ne parle pas ici de combats qui durent 5 à 10 minutes comme le dernier GOW ; mais de combats très longs, le chapitre 18 offre à lui seul beaucoup plus de spectacle et de scènes brillantes que tout le dernier GOW. J’ai terminé le jeu en 47h (je n’imaginais absolument pas un tel contenu), et le chapitre 18 représente 1h de combats sans temps mort, c’est une explosion d’effets visuels saisissants d’intensité.

Même si le jeu est visuellement grossier à certains niveaux, ce qui fait un peu tâche pour un projet ambitieux de 6 ans, il faut admettre que l’on tient le jeu qui mêle au sein d’un même moteur, gameplay en temps réel, et séquences d’action excellentes sans transition à la perfection. Encore une fois, la réalisation des affrontements est excellente, en dehors de MG Rising, ou Asura’s Wrath, je n’avais pas vu ça, et je suis heureux de connaître enfin une œuvre qui les surpasse sur cet aspect. On tient là un blockbuster qui restera à jamais dans ma mémoire.

Finalement, ce supposé projet commercial se sert du passé pour inaugurer un changement nécessaire, contre lequel il est inutile de lutter, d’autant plus qu’Avalanche et les joueurs luttent eux aussi pour le changement tout au long du jeu…à suivre…
M & B

clemphy clemphy
MP
Niveau 11
13 avril 2020 à 23:23:22

. Je décide du destin, je suis mon propre maître, je protégerai la Terre à ma façon, ce personnage qui a oublié les plaisirs simples de la vie n’en demeure pas moins un bienfaiteur à l’iconographie pertinente. Cet ange noir, à la fois protecteur et meurtrier ne veut que le bien-être de la vie, quand bien même il a oublié ce que signifiait vivre…

Autant ton interprétation me semble la plupart du temps juste, autant cette partie sur Sephiroth me semble être à côté de la plaque.

DadouMod DadouMod
MP
Niveau 34
13 avril 2020 à 23:30:17

Le 13 avril 2020 à 23:17:33 supertrunks13 a écrit :
Final Fantasy VII Remake, où comment les héros d’antan affrontent courageusement le passé et rappellent le leitmotiv essentiel de la série : le changement et l’innovation. Le fait d’aller de l’avant, de se diriger vers l’inconnu, d’embrasser le champ infini des possibles, de préparer l’avenir à travers l’épisode le plus « adulé » des fans, voilà de quoi il est question. Comme FFIX, FFXV et bien d’autres FF, cette expérience est une ode à la vie, un combat entre des êtres qui se partagent un même espace, un même monde qu’ils chérissent tous autant, bien que différemment. Plus encore dorénavant, ce premier Remake est un rappel à l’ordre, un message de liberté qui prépare le public au futur, au changement, et donc à FFXVI.

Tout au long du jeu, les idoles des fans sont suivies, et surveillées par les fileurs, des figures étranges qui protègent les fils du destin : ils sont l’incarnation du regard des fans vis-à-vis de l’expérience vidéoludique qu’ils honorent depuis maintenant plus de 20 ans. Ces derniers font tout pour la protéger, et pour ça, ils n’hésitent pas à tourmenter les personnages, et à les blesser. Wedge est littéralement en train de subir une tentative de meurtre dans le chapitre 17. Le pauvre bougre qui ne devrait pas être là, subit le courroux des fans au point d’être expulsé des quartiers de la Shinra. Ce qu’il advient de lui ? la première partie de ce Remake n’en dit pas plus, mais l’essentiel est là, le personnage veut vivre, il veut s’émanciper du passé, il tient à aider ses amis, à se rendre utile ; mais rien n’y fait, il faut s’en tenir au script !

Métaphoriquement, ce jeu fait un usage brillant d’un concept commercial usé jusqu’à la moelle : jamais un Remake vidéoludique n’avait osé transformer ses fans en fantômes assoiffés de conservatisme. La fin du jeu n’en est pas moins époustouflante, les fileurs sauvent Barret de la mort, rien que ça, et pire encore, ils font tout pour empêcher la réunion inéluctable entre Cloud et Sephiroth, il est trop tôt, il faut attendre la prochaine partie du jeu !

Les développeurs en ont heureusement décidé autrement, la réunion aura bien lieu après un combat dantesque contre l’incarnation suprême des fans, où les joueurs participent inconsciemment manette en main à l’émancipation de leurs personnages. En affrontant les fileurs pendant de longues minutes, les chaînes du destin sont rompues, les attentes sont déjouées, et par la même occasion les joueurs pulvérisent l’autoroute comme figure du chemin à suivre à tout prix, ce fait résonne d’ailleurs avec la première partie de ce FFVIIR très linéaire et dirigiste qui s’achève sur la peur de la liberté, et la transition vers un supposé open world, le monde ouvert est une évolution métaphysique comparable à l’éveil de sa conscience. Après avoir abrité tel un rat pendant des heures un monde de débris cloisonné, Aerith fait preuve d’une grande lucidité quand elle parle de la liberté comme d’une chose terrifiante et comparable à inquiétant ciel sans fin, d’autant plus qu’une fois libérée de Midgar elle dit : le ciel d’acier me manque. La voilà à peine sortie de son précédent monde qu’elle regrette le changement. Comme l’expliquait Platon, la transition entre les états est toujours très difficile.
La seconde partie de FFVIIR constitue un défi, le passage vers le monde ouvert, un défi décrié par une partie des fans au travers d’un projet chaotique : FFXV.
Enfin libérés des whisperers, un combat époustouflant, d’une générosité, et d’une réalisation incroyable se déroule contre Sephiroth qui balaye à plusieurs reprises nonchalamment les fans d’un mouvement de son sabre. Je décide du destin, je suis mon propre maître, je protégerai la Terre à ma façon, ce personnage qui a oublié les plaisirs simples de la vie n’en demeure pas moins un bienfaiteur à l’iconographie pertinente. Cet ange noir, à la fois protecteur et meurtrier ne veut que le bien-être de la vie, quand bien même il a oublié ce que signifiait vivre…

Revenons à présent sur un moment fondamental, l’affrontement contre les tisseurs qui est un feu d’artifice visuel absolument exemplaire ; il s’agit d’un combat avant tout métaphorique, une allégorie de la lutte contre un destin déjà écrit, en témoigne plusieurs détails visuels significatifs : d’une part, nos assaillants ne sont ni plus ni moins que des miroirs de nos protagonistes (chacun adoptant le style de combat de nos héros). Cela offre une lecture meta extrêmement pertinente puisque pour changer le destin, il faut avant tout s’affronter soi-même, ses peurs, ses convictions, et ses préjugés. Le combat se déroule sur une autoroute, ce qui n’est pas une première dans la compilation FF7 (cf combat Sephiroth/Cloud dans AC, les nombreux combats en moto). Nomura a su exploiter ce détail récurrent de la série pour filer une métaphore évidente : l’autoroute symbolise le destin lui-même, une route qui semble toute tracée, qui s’étend à perte de vue et dont il est difficile de bifurquer.
Ce n’est donc pas anodin que notre affrontement se déroule dans ce cadre singulier, celui d’une autoroute qui se détruit petit à petit à mesure que nous défions nos assaillants. Il n’est pas simplement question de laisser le joueur sur une autoroute inachevée comme le montre les artworks promotionnels du jeu : l’avenir n’est pas écrit, et aucune route n’est tracée. An unknown journey.
Lors de cette épreuve insurmontable, nous avons des illustrations littérales des obstacles que le destin dresse face à chacun d’entre nous : ce sont donc contre les « foudres du destin » et son « torrent» qu’il faut survivre; pour lutter, seule l’entraide constituera un bouclier suffisant, en témoigne les interventions multiples de nos alliés pendant le combat, sans lesquels nous aurions été démuni (cf. Tifa et Barret hissant Cloud au dessus du vide). La caméra se veut parfois lointaine, comme omnipotente, offrant une distance symbolique avec les événements qui se déroulent sous nos yeux. Le joueur n’est pas un simple témoin du combat contre le conservatisme mais acteur de ce processus, il le précipite et rend le projet de remake possible.

Entreprendre un remake d’un jeu comme FF7, après la décriée sortie de FFXV auprès des puristes, constituait sur le papier un réel retour en arrière. Mais l’audace de ce nouvel horizon permet à Square Enix de faire un pas de géant en avant.
Concernant le jeu en général, certes, certains chapitres sont lourds, il ne s’agit que de suivre des couloirs, et taper des monstres ( ce qui était déjà le cas de tous les anciens FF…) ; mais la majorité du jeu est excellente, les environnements ont beaucoup de charme pour la plupart d’entre eux, les pnj ont beaucoup de choses à dire, les quelques quêtes annexes sont intéressantes : on est loin de subir des quêtes ennuyantes, et inutilement trop nombreuses.

Le gros point fort du jeu, un élément que je salue avant tout, et qui a toujours été le point faible des FF pour moi : la réalisation des combats. Grâce à Unreal Engine 4, un moteur ancien, libre de droit, et maîtrisé par tous les professionnels, Square Enix a su donner vie à un nombre énorme de scènes d’action époustouflantes, et il y en a pour tous les boss du jeu, et dans tous les chapitres ; je n’ai jamais vu une telle générosité dans un jeu vidéo. Uncharted, God of War, ces jeux populaires en action/aventure peuvent se rhabiller, car contrairement à eux dans FFVIIR, les animations sont dingues, les chorégraphies sont folles, la caméra est extrêmement dynamique, et on ne parle pas ici de combats qui durent 5 à 10 minutes comme le dernier GOW ; mais de combats très longs, le chapitre 18 offre à lui seul beaucoup plus de spectacle et de scènes brillantes que tout le dernier GOW. J’ai terminé le jeu en 47h (je n’imaginais absolument pas un tel contenu), et le chapitre 18 représente 1h de combats sans temps mort, c’est une explosion d’effets visuels saisissants d’intensité.

Même si le jeu est visuellement grossier à certains niveaux, ce qui fait un peu tâche pour un projet ambitieux de 6 ans, il faut admettre que l’on tient le jeu qui mêle au sein d’un même moteur, gameplay en temps réel, et séquences d’action excellentes sans transition à la perfection. Encore une fois, la réalisation des affrontements est excellente, en dehors de MG Rising, ou Asura’s Wrath, je n’avais pas vu ça, et je suis heureux de connaître enfin une œuvre qui les surpasse sur cet aspect. On tient là un blockbuster qui restera à jamais dans ma mémoire.

Finalement, ce supposé projet commercial se sert du passé pour inaugurer un changement nécessaire, contre lequel il est inutile de lutter, d’autant plus qu’Avalanche et les joueurs luttent eux aussi pour le changement tout au long du jeu…à suivre…
M & B

FionDeInes FionDeInes
MP
Niveau 10
13 avril 2020 à 23:31:50

très bien dit :noel: content de pas être le seul à trouver la fin extrêmement brillante
Même si ça manque de stickers https://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484173541-cc-risitas596.png

FionDeInes FionDeInes
MP
Niveau 10
13 avril 2020 à 23:34:28

Le 13 avril 2020 à 23:23:22 clemphy a écrit :

. Je décide du destin, je suis mon propre maître, je protégerai la Terre à ma façon, ce personnage qui a oublié les plaisirs simples de la vie n’en demeure pas moins un bienfaiteur à l’iconographie pertinente. Cet ange noir, à la fois protecteur et meurtrier ne veut que le bien-être de la vie, quand bien même il a oublié ce que signifiait vivre…

Autant ton interprétation me semble la plupart du temps juste, autant cette partie sur Sephiroth me semble être à côté de la plaque.

C'est juste. Il parle vaguement d'empêcher la fin du monde, et on dirait bien qu'il souhaite tester Cloud avant de lui demander de l'aide, mais c'est bien trop flou pour affirmer quelles sont ses réelles intentions. Et Aerith, qui peut lire les âmes avec l'aide des fileurs sent bien qu'il est maléfique.

Seneoga-75 Seneoga-75
MP
Niveau 17
14 avril 2020 à 00:06:40

Ton analyse n'est pas inintéressante, supertrunks13.

Pas sûr que tu sois dans le vrai complètement, mais il y a des choses possibles.

Pour ma part je trouve nuisible cette façon d'étirer et de complexifier un récit où il faudrait éventuellement des références pour le comprendre.

C'est un parti pris assez nombriliste et c''est dommage qu'avec tant de moyens on ne raconte pas généreusement, au plus grand nombre, cette aventure épique.

C'est dommage car jusqu'au dernier chapitre je voulais croire que ce n’était pas de la branlette philosophique de bas étage. Je me suis trompé..

La masturbation, ça doit rester quelque chose d'intime, M. Nomura .... :honte:

Heureusement qu'on en prend plein les yeux, les oreilles et que les combats soient si jouissifs.... Sinon j'aurais été bien moins tendre :sarcastic:

alluren alluren
MP
Niveau 52
14 avril 2020 à 00:07:40

Voilà un avis constructif et intelligent.
Mais bon ici la plupart des gens déçus par le jeu se limite à trois lignes de "agneugneu couloirs c plu ff7 ket aneks nul ya 2 textur mosh pa 2 aind game square enix les méchan ! "

Message édité le 14 avril 2020 à 00:07:57 par alluren
1oeil 1oeil
MP
Niveau 4
14 avril 2020 à 00:14:34

Le 14 avril 2020 à 00:13:20 Net_ a écrit :
Les serpillères qui représentent les fans :pacg: :rire:
Faut arrêter la drogue les enfants ...

ils se prennent pour des intello a adorer un jeu de merde qui a dénaturé l'original pff

Message édité le 14 avril 2020 à 00:15:03 par 1oeil
alluren alluren
MP
Niveau 52
14 avril 2020 à 00:16:47

Le 14 avril 2020 à 00:13:20 Net_ a écrit :
Les serpillères qui représentent les fans :pacg: :rire:
Faut arrêter la drogue les enfants ...

c'est pas comme si on avais jamais vu des oeuvres (en tout genre, film, manga, jeu video, tout ce que tu veux) faire ce genre de procédé si ce n'est pire.
Casser le 4e mur c'est même pas si rare que ça dans les jeux.

Message édité le 14 avril 2020 à 00:16:59 par alluren
Nobanjamais Nobanjamais
MP
Niveau 6
14 avril 2020 à 00:24:47

Ils peuvent prendre le chemin qu'ils veulent au nom du combat contre le conservatisme... Ils n'auront pas mon argent quant à la partie 2. Et ça crois moi bro, ça les importe plus que tout.

Anthragg Anthragg
MP
Niveau 46
14 avril 2020 à 00:26:07

La métaphore des fans est ce qu'elle est. Par contre, si jamais c'est vraiment le cas, ce serait presque du fouage de gueule.

"Vous voulez ça les fans? Bah non, on vous fera autre chose" :noel:

Même si l'explication a du sens, les fileurs représentent seulement le scénar' de FF7. Et pas forcément l'attente des fans.

alluren alluren
MP
Niveau 52
14 avril 2020 à 00:27:43

Le 14 avril 2020 à 00:24:47 Nobanjamais a écrit :
Ils peuvent prendre le chemin qu'ils veulent au nom du combat contre le conservatisme... Ils n'auront pas mon argent quant à la partie 2. Et ça crois moi bro, ça les importe plus que tout.

c'est leur oeuvre. ils font ce qu'ils veulent du scénario. Nous on est libre d'acheter ou pas.
Ca va pas plus loin que ça.

VIIVIIIIX14 VIIVIIIIX14
MP
Niveau 6
14 avril 2020 à 00:28:08

Bordel l'auteur https://image.noelshack.com/fichiers/2019/41/6/1570833275-6818711d-b347-42ed-b638-426fc1942843.png

C'est confirmé cette histoire de filers ? Parce-que faut arrêter de taper sur les fans à un moment, les mecs ont voulu faire un remake du 7, eh bien on attendait un remake du 7, c'est tout https://image.noelshack.com/fichiers/2019/41/6/1570833275-6818711d-b347-42ed-b638-426fc1942843.png

Nyx_lux Nyx_lux
MP
Niveau 47
14 avril 2020 à 00:32:45

Le fait est que vendre un "REMAKE" pour au final vendre la liberter c'est contradictoire :hap:

Après c'est sur qu'il va marqué les mémoires avec la tournure du jeu et les décision prisent, je dirais même qu'il va infligé un traumatisme :noel:

Edit : Je comprend et je suis d'avis que fileurs = fans.
Nomura est certainement le plus touché par les critiques de celles ci, il n'est pas impossible que cette métaphore savére vrai :noel:

Très jolie pavé sinon mais super long et trop peu de smiley/stickers :hap:

Message édité le 14 avril 2020 à 00:36:07 par Nyx_lux
Nobanjamais Nobanjamais
MP
Niveau 6
14 avril 2020 à 00:34:35

Le 14 avril 2020 à 00:32:45 Nyx_lux a écrit :
Le fait est que vendre un "REMAKE" pour au final vendre la liberter c'est contradictoire :hap:

Après c'est sur qu'il va marqué les mémoires avec la tournure du jeu et les décision prisent, je dirais même qu'il va infligé un traumatisme :noel:

Je trouvais pas le mot en fait mais... Bien vu.

Trauma :hap:

FionDeInes FionDeInes
MP
Niveau 10
14 avril 2020 à 00:38:41

Le 14 avril 2020 à 00:13:20 Net_ a écrit :
Les serpillères qui représentent les fans :pacg: :rire:
Faut arrêter la drogue les enfants ...

Ce genre d'allégorie est ultra fréquent. Et pas forcément dans un truc ultra pointu, perché ou "intellectuel". Kylo Ren qui a une admiration maladive pour Dark Vador c'est un peu la même idée.

VIIVIIIIX14 VIIVIIIIX14
MP
Niveau 6
14 avril 2020 à 00:41:43

Les fans n'étaient pas contre un nouveau jeu, il aurait juste fallut l'appeler différemment, la c'est d’avantage une excuse en mode "on voulait faire autre chose mais vous nous en empêchez regardez" pour justifier de leur manque de couilles https://image.noelshack.com/fichiers/2019/41/6/1570833275-6818711d-b347-42ed-b638-426fc1942843.png

FionDeInes FionDeInes
MP
Niveau 10
14 avril 2020 à 00:46:38

Le 14 avril 2020 à 00:32:45 Nyx_lux a écrit :
Le fait est que vendre un "REMAKE" pour au final vendre la liberter c'est contradictoire :hap:

C'est un des trucs que je trouve brillant, même si je comprends tout à fait ta remarque.

ça suit relativement bien le fil directeur jusqu'au chapitre 17

attentat 1 :d) taudis :d) attentat 2 :d) église d'Aerith et taudis encore :d) retour secteur 7 en passant par wall market puis Corneo en travelo puis égoûts puis cimetière des trains :d) effondrement + Aerith capturée :d) escalade tour Shinra :d) sauvetage Aerith et rencontre Rouge 13 :d) on part de Midgar sur l'autoroute

On est tous d'accord pour dire que le chapitre 18 efface tout, réécrit tout, et en 30 minutes à la fin c'est plus du tout le même jeu, donc on est loin d'un "remake" de l'oeuvre.

Mais justement, dans la diégèse, quelqu'un ou quelque chose décide de réécrire le passé, de le refaire, de le rebâtir... de le "remake". D'ailleurs quand ça se termine ils "remakent" le secteur 7.

Sylvain2205 Sylvain2205
MP
Niveau 10
14 avril 2020 à 01:19:48

Le chapitre 18 est la uniquement pour que le jeu ai une fin, histoire de pas decevoir les joueurs. Et cest reussi.

Elle nest pas a prendre en compte pour la partie 2.

alluren alluren
MP
Niveau 52
14 avril 2020 à 01:22:25

Le 14 avril 2020 à 00:46:38 FionDeInes a écrit :

Le 14 avril 2020 à 00:32:45 Nyx_lux a écrit :
Le fait est que vendre un "REMAKE" pour au final vendre la liberter c'est contradictoire :hap:

C'est un des trucs que je trouve brillant, même si je comprends tout à fait ta remarque.

ça suit relativement bien le fil directeur jusqu'au chapitre 17

attentat 1 :d) taudis :d) attentat 2 :d) église d'Aerith et taudis encore :d) retour secteur 7 en passant par wall market puis Corneo en travelo puis égoûts puis cimetière des trains :d) effondrement + Aerith capturée :d) escalade tour Shinra :d) sauvetage Aerith et rencontre Rouge 13 :d) on part de Midgar sur l'autoroute

On est tous d'accord pour dire que le chapitre 18 efface tout, réécrit tout, et en 30 minutes à la fin c'est plus du tout le même jeu, donc on est loin d'un "remake" de l'oeuvre.

Mais justement, dans la diégèse, quelqu'un ou quelque chose décide de réécrire le passé, de le refaire, de le rebâtir... de le "remake". D'ailleurs quand ça se termine ils "remakent" le secteur 7.

pas si la trame retombe sur ses pattes à la fin.
On peut pas vraiment savoir avec exactitude ce qu'ils vont faire par la suite. J'ai eu un peu peur pendant le chapitre 18 en voyant tout partir en live absolue. J'avais l'impression qu'on passait à un tout autre FF7.
Sauf qu'au final : Midgard va bien, les filleurs ont disparus, notre groupe de héros (le meme que dans le jeu d'origine) est hors Midgard et part ... à la recherche de Sephiroth pour le traquer.
Comme dans le jeu d'origine.
Ca laisse présager quand même que le prochain opus sera du même acabit que le remake : on suivra le même cheminement que dans le jeu d'origine (Kalm => ferme chocobo => Midgard Zolom etc) mais avec des modifications plus ou moins importante du scénario.
Un FF7 alternatif.
Donc un remake.

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