Le 21 mars 2021 à 10:43:35 Jyggalag-da-Gr8 a écrit :
MJ - CREVASSE

L'un des prisonniers, se sentant d'une humeur plus ardente que ses camarades, osa se lever d'un air dédaigneux. Son expression dégoulinait du mépris de la sauvagerie et de la barbarie, celui d'un être idolâtrant les lumières de la civilisation.

« Vous n'êtes pas mieux qu'une bande d'animaux enragés qui nous mordent la cheville, s'indigna le soldat, vous croyez sincèrement qu'on vous dira quoique ce soit sur l'Empire ? Dagon vous emporte ! »

Ses frères d'armes, enorgueillis par ses exclamations, élevèrent leurs protestations à leur tour et firent clamer leur ire.

CREVASSAIS: Clan Marche-Tempête

Le grand Crevassais resta impassible face à l'impertinence des soldats de l'Empire, il n'entendait rien d'eux, n'avait aucune considération pour ses chiens de l'Empire.

Stral: Tchh, je vous aurez eu une chance de vous en sortir indemne mais bon je n'entendais rien de pion comme vous.

Alors qu'il allait continuer sa tirade Fangeombre, une des Harfreuses arrivait d'un pas lent dans les geôles. Elle balayait alors tour à tour les Hommes présents dans la pièces finissant par les scribes et Stral.

Fangeombre: Continue Stral, ne t'occupe pas de moi. J'interviendrai quand il le faudra, annonça-elle tout en se frottant ses mains griffues.

Le chef hocha la tête se doutant que leurs plierait l'esprit comme pour ses corbeaux une fois les tortures commencées. Il fit un signe aux scribes puis tira l'impertinent ainsi qu'un de ses camarades dans la pièce contiguë. Il plaqua dans deux soldats sur des chaises ( toujours solidement attachées ) puis commença à poser des questions, à chaque fois qu'il n'obtenait des réponses de celui qu'il interrogeait. Stral mutilait, lentement et précieusement son camarade de sorte à le forcer à parler. Une fois qu'il en avait fini un duo, il recommence l'opération avec deux nouveaux soldats.

Le 21 mars 2021 à 15:47:55 Gelebor a écrit :

Le 17 mars 2021 à 23:09:19 Artesien_Deter a écrit :
EMPIRE DE CYRODIIL

Les princes, dont l’ambassade fut acceptée par le puissant seigneur d’Alinor, partent avec empressement pour le lieu de rencontre fixé dans la Capitale du domaine Aldmeri.

➤ 4 E 201 – Domaine Aldmeri, Royaume d'Alinor

Au port, la délégation impériale est sobrement accueillie à la capitale du Royaume des Hauts-Elfes vers six heures de la mâtinée. Les premiers contacts avec les forces de l'ordre venues la réceptionner sont d'ailleurs froids et formels, comme on pouvait l'anticiper ; le groupe de diplomates impériaux atteignit un hôtel de ville aménagé à l'occasion pour accueillir une réception officielle. Il leur fallut néanmoins patienter deux heures avant d'être guidés vers la salle où se déroulera l'entrevue diplomatique.

Le Roi d'Alinor, assis à l'extrémité d'une table rectangulaire, au milieu d'une cohorte d'émissaires aldmers, salua les représentants de l'Empereur de Cyrodiil, ces derniers étant invités à s'installer prestement face à leurs homologues.

« Salutations distinguées, veuillez vous asseoir. L'entrevue peut commencer », annonça Isendil sans guère plus d'ambages.

EMPIRE DE CYRODIIL

-Salutations votre majesté Isendil Aesoniath Aldmeri, tout puissant souverain d'Alinor, commença l'aîné des diplomates impériaux, avant de s'assoir, suivi par le jeune, presque adolescent, diplomate, Je suis le prince impérial Kastav Mede, comte d'Anvil par alliance et frère de Titus Mede II de Cyrodiil et voici mon neveu, Thranduis, second fils de l'empereur. Voyez-vous, un conflit couve avec le Royaume de Martelfell. Si nous avons été mandatés pour vous rencontrer, c'est dans le but d'établir la position diplomatique du domaine dans ledit conflit, nous voudrions simplement nous assurer de la neutralité du Domaine. Nous ne souhaitons rien présumer mais le Domaine pourrait tirer des avantages à ne pas intervenir, tels que l'application du traité de l'or Blanc sur le territoire du Royaume ou bien éviter la menace que représenterait sur les frontières du Domaine une défaite impériale face aux forces rougegardes surtout si les rougegardes s'emparent de terres en Cyrodiil et s'allient aux sombrages. Sans compter la menace qui pèse sur les dirennis, ce qui signifierait une menace sur des nobles représentants du peuple altmer. Le Domaine tirerait très peu d'avantages à favoriser Martelfell...

➤ 4 E 201 – Domaine Aldmeri, Royaume d'Alinor

« L'application du Traité de l'Or blanc par les autorités impériales est l'une des raisons pour lesquelles le Domaine construit avec Cyrodiil divers partenariats sous l'égide de la paix. Le Traité de Stros M'kai, quant à lui, stipule que nous reconnaissons la souveraineté rougegarde sur l'ensemble du territoire de Martelfell. Vous avez approché le Domaine afin de sonder son positionnement, et voici sa réponse : Nous estimons que, pour aplanir ce conflit, supprimer les revendications qui en découlent et apaiser la Baie d'Iliaque, la légitimité de la souveraineté brétonne sur l'île de Brétonie doit être réaffirmée. Ainsi, dans le cas où l'Empire de Cyrodiil et le Royaume de Lenclume s'engagent dans un conflit armé, le Domaine Aldmeri restera strictement neutre pour autant que, si l'Empire de Cyrodiil venait à occuper Martelfell, il prenne des mesures favorisant le retour à un régime modéré. Une colonisation ou une vassalisation de Martelfell par l'Empire serait intolérable. »

Rébellion Sombrage

Le 21 mars 2021 à 13:48:34 Gelebor a écrit :
➤ 4 E 201 – Académie des mages de Fortdhiver

« Tout naturellement, Jarl Ulfric. Nous ne vous ferons jamais un tel affront », rétorqua l'Archimage en affichant un sourire goguenard, avant d'arquer un sourcil, indiquant ainsi à ses subalternes de s'écarter pour que la délégation menée par le dirigeant nordique puisse franchir l'entrée de l'Académie.

On communiqua au chef indépendantiste l'emplacement de ses quartiers provisoires dans le Pavillon de la Prestance, avant de le guider jusqu'au bureau de Deniel Loncemar, celui-ci se distinguant par son étonnante sobriété en matière d'ameublement et par son grand jardin alchimique, héritage de son prédecesseur.

« Vous avez toute mon attention. »

L'Archimage s'assied face à son bureau, indiquant à son interlocuteur une chaise prévue à cet effet pour que débute enfin cet entretien.

➤ 4 E 201 – Académie des mages de Fortdhiver

Aux mots de l'Archimage, Ulfric s'assit, il prit rapidement une posture décontractée, en faisant mine, parfois, d'admirer la beauté du jardin alchimique au centre de la pièce.

« Archimage, je n'irai pas par quatre chemins. J'imagine qu'en tant que membre de l'Académie et mage accompli, vous avez déjà constaté la frilosité de mon peuple à l'égard de la magie, et force est de constater que, en vue des événements récents, celle-ci n'a pu qu'augmenter, bien que je crois sincèrement en votre innocence quant à toutes ces accusations.

Mais je connais l'histoire de Bordeciel au même titre que vous et, malgré la réticence actuelle de mon peuple à l'égard de la pratique magique, cette terre a vu naître nombre de grands mages, et je pense que nous avons plus que jamais besoin de ce profil en ces temps troubles.

J'imagine bien à tel point vous allier officiellement à moi vous causerait du tort, et que vous vous fichez éperdument de ma cause. Rassurez-vous, je ne vous demanderai pas de telles choses. Mais je sais que vous avez tout intérêt à la dédiabolisation de la magie en Bordeciel, et je peux vous y aider.

J'ai plusieurs propositions à vous faire.

Premièrement, je compte bientôt investir à Forthiver pour débuter la reconstruction de la ville, et vous vous doutez bien que les conditions de travail, même pour les plus robustes des Nordiques, seront extrêmement difficiles en vue du climat. Je pense que certains de vos mages, notamment dans l'école de la guérison et de l'altération, auraient le pouvoir d'apaiser ces conditions afin que les chantiers avancent au mieux. Evidemment, ces mages seront grassement payés. Je pense que cela pourrait augmenter la réputation des vôtres parmi les locaux, qui verront que la magie n'est pas uniquement la force de destruction massive qu'ils croient connaître.

De plus, la reconstruction de Forthiver apporterait de nouvelles populations ici, ce qui pourrait assurément augmenter le nombre de vos apprentis, et ainsi multiplier vos chances de développer de bons éléments et d'augmenter le prestige de votre école.»

Le 21 mars 2021 à 18:48:52 Gelebor a écrit :
➤ 4 E 201 – Domaine Aldmeri, Royaume d'Alinor

« L'application du Traité de l'Or blanc par les autorités impériales est l'une des raisons pour lesquelles le Domaine construit avec Cyrodiil divers partenariats sous l'égide de la paix. Le Traité de Stros M'kai, quant à lui, stipule que nous reconnaissons la souveraineté rougegarde sur l'ensemble du territoire de Martelfell. Vous avez approché le Domaine afin de sonder son positionnement, et voici sa réponse : Nous estimons que, pour aplanir ce conflit, supprimer les revendications qui en découlent et apaiser la Baie d'Iliaque, la légitimité de la souveraineté brétonne sur l'île de Brétonie doit être réaffirmée. Ainsi, dans le cas où l'Empire de Cyrodiil et le Royaume de Lenclume s'engagent dans un conflit armé, le Domaine Aldmeri restera strictement neutre pour autant que, si l'Empire de Cyrodiil venait à occuper Martelfell, il prenne des mesures favorisant le retour à un régime modéré. Une colonisation ou une vassalisation de Martelfell par l'Empire serait intolérable. »

EMPIRE DE CYRODIIL

le jeune prince Thranduis prit alors la parole, alors que son oncle lui faisait signe de se taire :

-Si je comprends bien vous nous suggérez de retourner aux frontières d'avant guerre en cas de victoire impériale dans une probable guerre entre Martelfell et l'Empire ?

➤ 4 E 201 – Domaine Aldmeri, Royaume d'Alinor

« Avant de répondre à votre question, permettez-moi de vous en poser une : Quels changements territoriaux désiriez-vous initialement ? » demanda le Roi d'Alinor.

EMPIRE DE CYRODIIL

cette fois, ce fut le prince Kastav qui répondit au roi altmer :

-Au mieux, nous espérions Rihad et Stirk, éventuellement Taneth et surtout le retour obligatoire de Brétonie en Hauteroche. Nous aurions également soutenu toute prétention d'agrandissement du fier peuple orsimer voire des prétentions brétonnes sur des territoires de la Baie d'Illiaque si tel était le cas.

MJ - ➤ 4E 201 - Tentative d'espionnage menée par les Sombrages (Opération à risques)

Comme prévues par les têtes dirigeantes Sombrages les opérations sont une réussite. Usant habilement de leurs réseaux dans la cité marchande du centre de Bordeciel, les Sombrages obtiennent des informations relatives aux défenses de la ville.

La cité est comme le sait Ulfric nichée aux cœur d’une épaisse forêt limitant grandement l’utilisation d'armes de siège. En plus de cela, au vu des troubles dans le pays, les murs semblent avoir connu une rénovation partielle. Bâtis avec le bois environnant un certain nombre de Scorpions trônent sur les remparts, prêts à abattre tout intrus arrivant par les routes menant à la ville. Enfin, des troupes armées maniant l’arc, l’épée ou la masse sont observées dans les terrains d'entraînement.

Les marchands et contacts des Sombrages ne peuvent néanmoins s’assurer du nombre exact d’hommes que possède la ville sans prendre de risques trop importants.

➤ 4 E 201 – Domaine Aldmeri, Royaume d'Alinor

« Vous souhaitez contrer l'expansionnisme rougegarde en accordant blanc-seing aux revendications de vos vassaux, lesquelles proviennent d'un passé lointain et, par ailleurs, invérifiable. À notre avis, cette position engendrera d'autres conflits dans la Baie d'Iliaque, plongeant cette région dans une débauche de violences et de chaos. Mauvais augure pour le commerce dans cette partie de Tamriel, donc. Cependant, nous serions peut-être prêts à approuver une extension d'Orsinium dans des limites définies par un comité d'historiens cyro-aldmers, suivant des lignes de démarcation ethniques, et une atomisation du paysage politique rougegarde en multiples principautés organisées sous la forme d'une confédération nobiliaire dirigée par un monarque élu, mais capables de mener chacune une diplomatie indépendante tant que celle-ci ne se dirige guère contre leur roi. »

EMPIRE DE CYRODIIL

-Je vous le concède, une expansion brétonne n’était qu’une hypothèse et je ferai part de votre désapprobation à mon frère, vous m’avez convaincu. De plus, je considère votre proposition d’un comité cyro aldmer pour orsinium. Néanmoins, malgré que votre plan est effectivement très intéressant pour l’Empire, si nous le mettons en place, nous aurions davantage de bienfaits économiques entre nos 3 patries, je pense notamment à une installation de comptoirs commerciaux de la Compagnie de l’Empire Orientale dans toutes les grandes villes côtières du pays et peut-être à terme toutes les grandes villes tout court. Ces installations pourraient à la fois développer les terres rougegardes, et faire profiter les autres nations dont la vôtre des produits de Martelfell.

➤ 4 E 201 – Domaine Aldmeri, Royaume d'Alinor

« Naturellement, une politique d'expansion commerciale d'une envergure pareille devra tenir compte des intérêts du Domaine dans la région. En temps et en heure, la définition des zones d'influence cyro-aldmers en Martelfell sera l'axe central d'un autre sommet diplomatique. Dans l'immédiat, nous avons reçus des rapports en provenance de l'Ambassade du Thalmor à la Cité Impériale, signalant un mécontentement croissant parmi les nobles coloviens au sujet de la brutale cessation du versement des subsides impériaux. C'est inquiétant. »

Le 20 mars 2021 à 11:35:32 Artesien_Deter a écrit :
EMPIRE DE CYRODIIL

le prince s'approcha doucement du bréton, tout en restant sur ses gardes et s'adressa à lui

-Bonjour, comment allez-vous ? Pardonnez moi si je vous ai fait mal, le poids de l'armure vous savez... Pourquoi avoir tenté de tuer cette jeune femme ? Elle était probablement juste de passage et totalement inoffensive vous savez. C'était pour une rançon ? Faire peur à ses proches ?

➤ 4E 201 – Argent et à sang.

Le Bréton ne jeta qu'un regard haineux au Prince, serrant les dents tel un loup dont une menace aurait pénétré le territoire. Crispant ses poings terreux, ses sourcils ne pouvaient être plus froncés.

« Parce que vous vous attendez à ce que je vous réponde, aboya-t-il ? Je préfère encore mourir que d'aider les chiens d'usurpateurs de ces terres que vous êtes ! »

Sur ces mots, le prisonnier recula, de nouveau silencieux.

➤ 4 E 201 – Grande guerre de la Baie d’Iliaque

L’année deux-cent un de la quatrième ère sera marquée par la naissance d’un conflit armé de grande envergure dans la Baie d’Iliaque, opposant l’Empire de Cyrodiil, suivi de ses vassaux, les Royaumes d’Orsinium et d’Hauteroche, à l’orgueilleuse monarchie martelfellienne, laquelle revendique la possession de l’île de Brétonie, véritable pomme de discorde et – surtout – élément déclencheur dudit conflit.

La décision du Roi Crésès de militariser sa population en développant la propagande d’une « Voie de l’Epée » et en accordant une grande liberté de manœuvre aux milices locales afin de constituer des forces armées autonomes se traduit par le rétablissement ou la création d’ordres militaires puissants, mais rétifs à une autorité centrale « castratrice ». Pour bon nombre de seigneurs de guerre rougegardes, le décret du Roi visant à libérer les énergies combattantes de la nation est très bien accueilli et même encensé ! D’autres serviteurs de Sa Majesté craignent que ces nouvelles institutions guerrières empiètent à moyen terme sur l’autorité royale en de nombreux domaines.

Dans le désert d’Alik’r, les tribus guerrières raga se rassemblent sous la coupe d’un vétéran de la Grande Guerre et de la résistance contre le Domaine Aldmeri durant les cinq années consécutives à la signature du Traité de l’Or blanc, qui se nomme Haaban Yasin, Raʾīs de la nouvelle confédération tribale Alik'r.

Son armée, forte de dix mille cavaliers montés, mobilise ses connaissances du terrain ainsi que des tactiques asymétriques face à l’adversaire bréton, refusant systématiquement le contact direct avec ses opposants, se cantonnant à des escarmouches, des embuscades ou des attaques nocturnes, ou se réfugiant derrière la ceinture de forts pensée par le Vizir de Sa Majesté.

Cette approche indirecte de la guerre suscite la colère des ordres de chevalerie d’Hauteroche, puis leur mépris. La conquête des premiers villages rougegarde au nord de la cité de Skaven se déroule dans des conditions pénibles pour la soldatesque brétonne, qui n’hésite pas à recourir à des moyens de rétorsion extrêmes pour endiguer les activités de guerilla menées par les guerriers d’Haaban Yasin.

Aux grands maux, aux grands remèdes : tortures, v-iols, et corruptions sont autant d’instruments d’occupation employés par l’Ost dirigé par le connétable Thibaut d’Andrieux pour venir à bout de l’esprit de résistance des populations civiles. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, les dignitaires locaux sont contraints à collaborer avec les Brétons et leurs livrer des otages pour présenter des gages de leur bonne conduite. Les ripostes rougegardes ne se font pas attendre : plusieurs soldats sont ainsi mystérieusement égorgés dans certains pavés de rue, et leurs corps profanés, alors que l’insurrection guette. Au mépris et à la colère des Brétons s’ajoutent désormais le dégoût et le désir d’écraser ce peuple de traitres.

« Qui désire la fin justifie les moyens, n’est-ce pas ? Un vieil adage bréton. À mes yeux, les populations qui refusent d’accepter les conditions clémentes de l’occupation mériteraient de subir notre courroux. Il faudrait tuer tous les jeunes hommes dépassant les quinze ans, capturer les femmes et les enfants, puis les soumettre aux travaux forcés. Bref, anéantir tous ceux qui ne ploient pas le genou devant nos troupes », aurait affirmé le connétable. Si l’humanité de quelques officiers les pousse à faire preuve de clémence, certains capitaines brétons n’hésitent guère à emmurer vivant « assassins et saboteurs » ou asphyxier les tribus rougegardes récalcitrantes en pratiquant des enfumades ; la brutalité de l’Ost du Roy Hadrian suscite néanmoins une controverse au sein de l’aristocratie et des instances dirigeantes d’Hauteroche, dont certains membres dénoncent « ces meurtres prémédités sur des ennemis sans défense » et invitent le servant de Sa Majesté à recourir à des moyens « plus moraux » pour mener cette guerre. Ce dernier répondra laconiquement : « La guerre n’est que cruauté, et vous souhaitez l’adoucir ? J’assume la responsabilité des actes de mes hommes, laissez-moi accomplir mon devoir ».

Si l’avancée des armées royales brétonnes semble temporairement entravée, et bien que la détermination des résistants rougegardes de Bangkorai se radicalise, l’Ost de Thibaut d’Andrieux débute le siège d’Etoile du Dragon, espérant porter ainsi un coup fatal aux mouvements de révolte des Raga en occupant le panthéon des héros où seraient inhumés Frandar Hunding, son fils Divad ainsi que Makela Leki, et en faisant la jonction avec les troupes cyro-orsimers.

À l’Est, l’annonce du déploiement de troupes orsimers convergeant vers Elinhir provoque l’émoi au sein de l’opinion publique rougegarde ; les rancunes ancestrales à l’égard des Orques et des Impériaux fortifient l’unité nationale et alimentent les passions patriotiques ! Hélas, devant la tournure des évènements, les unités rougegardes prennent la poudre d’escampette à l’issue des premiers combats contre l’armée cyro-orsimer, plus mobile, mieux armée et bénéficiant de tous les atouts de la logistique impériale. Elinhir, livrée à elle-même, subit un siège. Dans le même temps, les hommes du Roi orsimer, Urul gro-Shugarz, anéantissent une armée venue de Rihad, forte de sept mille épéistes. Livrée à elle-même, l’armée royale souffre dans ce théâtre d’un moral au plus bas. Elle manque de munitions, essentiellement de flèches, pour répondre aux tirs ennemis, de chariots pour transporter les troupes, et surtout de vivres. Les villes de Raidelorn tombent progressivement les unes après les autres ; à défaut de résister, on préfère évacuer les troupes. Cerné au nord, à l’est, et au sud, Elinhir est dénuée des moyens de se défendre…

Les premiers casques orsimers sont aperçus le dix Sombreciel, près de la porte principale. Les habitants ont beau dresser des barricades, celles-ci ne font pas long feu face à l’artillerie lourde balistique des Orques. C’est un bain de sang. Deux jours plus tard, le douze Sombreciel, près de sept mille orsimers et quatre mille impériaux défilent en ville. Les drapeaux des coalisés claquent au vent. Pour marquer son désaccord, la population élinhiroise ignore la cérémonie.

Urag gro-Shugarz savoure son triomphe. Le lendemain, il déclare qu’Elinhir fait désormais partie intégrante d’Orsinium ! Témoignage symbolique de ce changement de temps, l’ancienne cité royale est rebaptisée « Shugarzium » en l’honneur de son conquérant.

À Sentinelle, le gouvernement de Crésès ne peut cacher son amertume ; la colère est cependant plus forte que la tristesse. Si la bataille d’Elinhir est perdue, la guerre est très loin d’être terminée. Sans compter les énormes réserves humaines dont dispose le Royaume, Martelfell peut encore mobiliser son armée de métier. Hors de question de se plier aux conditions impériales ! L’armistice est inenvisageable. Qui plus est, les nouvelles du front de l’île de Brétonie sont bonnes : les troupes rougegardes occupent désormais les lieux, bien qu’elles doivent composer avec une forte résistance intérieure.

En outre, une vétérane de la guerre contre les Elfes, Amara Al-Jaffer, Dame de l'Ordre de Sainte-Léki, annonce son intention de marcher vers Raidelorn pour reconquérir Elinhir. Elle possède une armée de douze mille guerriers, composée de soixante-dix unités d’épéistes, vingt-cinq unités d’archers, quinze unités de sarissiers et dix unités de cavaliers lourds.

La première phase de la guerre s’achève ainsi sur une victoire en demi-teinte des coalisés impériaux, nuancée par la relance de la ferveur patriotique rougegarde.

Pertes :

- 4500 soldats brétons, 1500 blessés.
- 3000 soldats impériaux, 500 blessés.
- 1600 soldats orsimers, 900 blessés.
- 6500 soldats rougegardes, 35 000 civils, 2000 blessés.

Carte géostratégique :

- La couleur rose désigne les territoires sous l'occupation brétonne.
- La couleur rouge foncée désigne les territoires sous l'occupation cyro-orsimer.

Le 21 mars 2021 à 17:07:52 Lord_henryk a écrit :

Le 21 mars 2021 à 10:43:35 Jyggalag-da-Gr8 a écrit :
MJ - CREVASSE

L'un des prisonniers, se sentant d'une humeur plus ardente que ses camarades, osa se lever d'un air dédaigneux. Son expression dégoulinait du mépris de la sauvagerie et de la barbarie, celui d'un être idolâtrant les lumières de la civilisation.

« Vous n'êtes pas mieux qu'une bande d'animaux enragés qui nous mordent la cheville, s'indigna le soldat, vous croyez sincèrement qu'on vous dira quoique ce soit sur l'Empire ? Dagon vous emporte ! »

Ses frères d'armes, enorgueillis par ses exclamations, élevèrent leurs protestations à leur tour et firent clamer leur ire.

CREVASSAIS: Clan Marche-Tempête

Le grand Crevassais resta impassible face à l'impertinence des soldats de l'Empire, il n'entendait rien d'eux, n'avait aucune considération pour ses chiens de l'Empire.

Stral: Tchh, je vous aurez eu une chance de vous en sortir indemne mais bon je n'entendais rien de pion comme vous.

Alors qu'il allait continuer sa tirade Fangeombre, une des Harfreuses arrivait d'un pas lent dans les geôles. Elle balayait alors tour à tour les Hommes présents dans la pièces finissant par les scribes et Stral.

Fangeombre: Continue Stral, ne t'occupe pas de moi. J'interviendrai quand il le faudra, annonça-elle tout en se frottant ses mains griffues.

Le chef hocha la tête se doutant que leurs plierait l'esprit comme pour ses corbeaux une fois les tortures commencées. Il fit un signe aux scribes puis tira l'impertinent ainsi qu'un de ses camarades dans la pièce contiguë. Il plaqua dans deux soldats sur des chaises ( toujours solidement attachées ) puis commença à poser des questions, à chaque fois qu'il n'obtenait des réponses de celui qu'il interrogeait. Stral mutilait, lentement et précieusement son camarade de sorte à le forcer à parler. Une fois qu'il en avait fini un duo, il recommence l'opération avec deux nouveaux soldats.

MJ - CREVASSE

Les soldats n'avaient pas réalisé l'algie qu'ils allaient devoir souffrir dans les moments qui suivirent. Les râles et cris de douleur impériaux emplirent la froide antichambre crevassaise d'échos fantomatiques. Certains soldats, trop loyaux à leur Empereur - ne comprenant cependant qu'un seul brave - ou trop faibles de corps, périrent suite aux mutilations intensives infligées par Stral.

En clair, la soldatesque n'était guère très informée des projets impériaux dans la Crevasse. Ils affirmèrent avoir été en route vers Fort Gardesol en tant que garnison de relève, et avouèrent également qu'ils n'étaient qu'un des convois envoyés vers le fort, et que les officiers locaux viendront certainement à se poser des questions.

De plus - bien que l'information varie de la bouche ensanglantée d'un soldat à celle d'un autre - le fort serait armé d'entre 100 et 400 soldats, mais aucun des Impériaux n'a pu indiquer sa position par manque de repères en ce lieu, ni même une seule information supplémentaire. Après tout, ils n'étaient que simples soldats, et seule leur foi armée envers l'Empire les motivaient à se battre pour la Légion.

➤ 4 E 201 – Académie des mages de Fortdhiver

« Sachez, Jarl Ulfric, que je ne suis guère indifférent aux enjeux du conflit qui se trame en Bordeciel, mais que ma position d'Archimage implique de tenir une position neutre et de ne favoriser directement aucun camp. Je vais cependant donner suite aux projets que vous mentionnez et ajouter une contre-offre : nous souhaiterions que les mages de Fortdhiver bénéficient de logements préférentiels dans les cités où s'exerce votre autorité afin d'établir des infrastructures gérées par notre personnel : des écoles, des commerces peu taxés et des associations promouvant la réconciliation entre le peuple de Bordeciel et leurs mages. Nous aimerions aussi obtenir le droit de prospecter librement dans vos états afin de repérer des éléments prometteurs pour notre Académie. »

Rébellion Sombrage

Le 22 mars 2021 à 23:07:23 Gelebor a écrit :
➤ 4 E 201 – Académie des mages de Fortdhiver

« Sachez, Jarl Ulfric, que je ne suis guère indifférent aux enjeux du conflit qui se trame en Bordeciel, mais que ma position d'Archimage implique de tenir une position neutre et de ne favoriser directement aucun camp. Je vais cependant donner suite aux projets que vous mentionnez et ajouter une contre-offre : nous souhaiterions que les mages de Fortdhiver bénéficient de logements préférentiels dans les cités où s'exerce votre autorité afin d'établir des infrastructures gérées par notre personnel : des écoles, des commerces peu taxés et des associations promouvant la réconciliation entre le peuple de Bordeciel et leurs mages. Nous aimerions aussi obtenir le droit de prospecter librement dans vos états afin de repérer des éléments prometteurs pour notre Académie. »

➤ 4 E 201 – Académie des mages de Fortdhiver

« Votre proposition serait alléchante si je pouvais me permettre de vous faire totalement confiance. mais comprenez que ce n'est actuellement pas le cas. Il est connu que votre prédécesseur ne se gênait pas pour accueillir des agents venant d'Etats hostiles à mon égard, comme le domaine Aldmeri ou l'Empire, et je ne voudrais pas que votre académie devienne un nid d'espions. Sachez que je compte accepter la majorité de vos propositions, mais j'ai mes propres conditions à cela. Premièrement, j'aimerais que vous fassiez preuve de transparence quant aux ambassades étrangères que cous comptez accueillir : si je ne peux vous interdire d'accueillir qui que ce soit, sachez que cela pourrait avoir des répercutions sur notre collaboration. Secondement, je souhaite avoir un droit de regard sur les propos que vous tiendrez dans les écoles et les associations dont vous parlez. Si je ne souhaite évidemment pas que vous me fassiez de la propagande, il est hors de question que je laisse de telles institutions tenir des propos qui vont à l'encontre de la cause que je défends. »

➤ 4E 201 – Guerre civile de Bordeciel

MUSIQUE D'AMBIANCE : SpoilAfficherMasquerhttps://www.youtube.com/watch?v=eNAGbLN0KGM
(côté Impérial) SpoilAfficherMasquerhttps://www.youtube.com/watch?v=nG7D3TNP5G4 (côté Sombrage)

Le soleil trônait fièrement au sommet de la voûte d’azur quand les cohortes de l’Empire vinrent piétiner sur les plaines de la châtellerie d’Epervine. Les premières avancées de la fière Légion Impériale se fit sans trop de troubles, étant donné que les défenses Sombrages d’Helgen attendaient le moment où ils pourraient cibler efficacement les opposants du sud, cela étant une fois que ces derniers se seraient suffisamment approchés des remparts de pierre neuve couvrant la ville jadis impériale.

Lorsque les lueurs de Magnus, sur les casques d’acier cyrodiiliens reflétées, parvinrent à la vue des Sombrages, on fit sonner le cor du sang, le cor de la guerre. Furent ainsi lâchés les loups, qui se ruèrent dans une rage instinctive vers les troupes lourdes de l’Empire. Cependant, l’infériorité numérique des bêtes vint sonner le glas de ces dernières, car les archers, veillant à ne pas exposer leurs âmes à la lame de cet âge sombre, décochèrent les flèches qui transpercèrent les futures carcasses canines.

Au reflet de cette première volée des flèches impériales s’abattit celle des fils d’Ulfric, qui inonda de ses flammes les soldats les plus proches. Les minotaures embrassèrent leur soudaine furie, et si trois se mirent à lacérer leurs confrères Men dans leur frénésie, les deux restants forgèrent leur volonté dans ce mur de flammes, et se ruèrent alors vers les murs d’Helgen.

Les mages de guerre montés profitèrent de leur mobilité relative pour contrôler les minotaures. Si l’un d’eux fut apaisé et repris sa marche dans une confusion certaine, les deux autres durent périr dans les flammes sœurs de celles qui avait embrasée leur ire aliénée, au coût de nombreuses âmes. Les minotaures guidés par la fureur divine s’attaquèrent aux remparts de la cité Sombrage, et bien qu’ils finirent par tomber sous les flèches et aux côtés des lances, ils emportèrent avec eux la solidité de la façade avant des murs, qui était devenue vulnérable de part en part.

Les catapultes impériales firent feu et les pierres frappèrent les pierres dans l’ardeur de cette rixe démesurée, celle des fils de Bordeciel, celle des fils de l’Empire. Les murs à l’avant tombèrent alors, et dans la poussière des décombres surgit la cavalerie légère des Sombrages, qui exploitèrent l’agilité de leurs manœuvres pour tourmenter les fantassins de Cyrodiil.

Ceux-ci, surpris, furent amochés par la contre-attaque, bien que les archers et les mages de guerre montés se liguèrent pour protéger les catapultes en arrière. La magie impériale se mesurait à la vivacité Sombrage, et dans les éclairs de la Terre-Mère, les fils montés de celle-ci tombèrent, tout comme les armes de siège cyrodiiliennes.

Les épéistes et guerriers au fléau pénétrèrent dans Helgen, essuyant cependant le feu enflammé des archers Sombrages. Le dernier minotaure, resté plus tôt en retrait, vint tourmenter les lanciers restant, mais finit face contre terre sous les haches nordiques.

Quelques flèches pleuvant de stupeur suffirent à mitrailler la catapulte Sombrage, et les archers d’Ulfric se replièrent dans leurs meurtrières, faisant pleuvoir leurs braises sur les chevaux ennemis. Ceux-ci, agrippés par la froideur de la mort par l’ardeur des flèches, devinrent incontrôlables, et ce n’est que par le fléau impérial qu’Helgen tomba. Galmar Rudepoing fut fait prisonnier.

Pendant ce temps, loin dans les glaces du nord de Bordeciel, au pied du Clos s’avancèrent les forces de Rikke. Marchant lentement mais sûrement la neige figée de la châtellerie, les légionnaires virent soudainement un de leurs compagnons trébucher, et ne pas se relever. Puis un autre, et encore un autre. La guérilla Sombrage avait commencé.

Harcelés par l’épée et l’arc de la cavalerie Sombrage, la Légion Impériale fit appel à ses mages pour lever une barrière autour des soldats affublés. L’ennemi, en ses propres terres, tenta alors une percée que vinrent parer les masses de l’Empire. Les archers de Cyrod, enhardis par la mort hurlant sans la moindre cesse, firent pleuvoir l’acier et cette dernière sur les chevaux des soldats d’Ulfric.

Ceux-ci optèrent alors pour le repli en s’engouffrant dans la tempête du Clos, tandis que les mages cessèrent leur barrière. Les soldats de Titus, de Tullius et de Rikke virent leur moral choir sous les effets de cet estoc imprévisible.

Ce fut sous les clameurs de la fière légat que les impériaux poursuivirent leur marche vers Fort Dunstad. Là-bas, le regard des Sombrages perça l’avancée ennemie à l’horizon, et fit pleuvoir la pierre sur les fantassins de l’Empire, qui ne pouvaient guère avancer presto, guère plus vite que la musique.

Sous les saccades d’acier et de fer venues des cieux, il ne restait qu’une soldatesque désemparée qui, alors dans l’espoir d’une retraite, se fit cueillir par les restes de la cavalerie Sombrage de tantôt. Rikke, défaite, fut faite prisonnière.

Si les officiers Sombrages se rassurent de leur victoire dans le Clos malgré la reprise totale d’Epervine par les Impériaux, certains s’inquiètent de voir le conflit stagner, ainsi que de l’augmentation des points de l’augmentation des points d’appuis des futures invasions Impériales. Cependant, la population d’Aubétoile chérit la victoire des Sombrages, et le moral se fait haut.
En revanche, tous sont sous l’inquiétude palpable due à la capture du renommé Galmar Rudepoing. La perte d’un tel officier pourrait peser fortement sur les stratégies futures d’Ulfric, en plus d’énerver l’aristocratie Sombrage et d’amenuiser le moral du peuple.

De son côté, l’Etat-major impérial grince des dents quant à la capture de Rikke, malgré la prise d’Helgen. Le bras droit de Tullius disposait de connaissances et d’une expérience vitale pour la guerre en Bordeciel, et les prochaines avancées pourraient s’avérer bien plus ardues sans le savoir de cette officière.

Néanmoins, la prise d’Epervine apaise quelque peu certaines des tensions persistant à Bruma, là où le peuple pensait la présence Sombrage repoussée et sa menace éloignée. Selon les officiers de l’Empire, Blancherive aura fait savoir son mécontentement quant à la bataille si proche de ses frontières, alors que sa neutralité avait été avérée et maintenue maintes et maintes fois.

Pertes :

- 900 soldats Impériaux morts, 400 blessés
- 700 soldats Sombrages morts, 100 blessés

Les possessions de l’Empire et des Sombrages à l’échelle des châtelleries ne changent pas.

Rébellion Sombrage

Face aux nouvelles en mi teinte venues du Clos et d'Epervine, Ulfric Sombrage s'empresse de réagir et écrit une lettre à son adversaire.

Lettre au général Tullius

Mon ennemi général Tullius, il semble que les derniers combats aient mené à une situation des plus ironiques dont nous connaissons tous les deux la nature. Mon ami Galmar Rudepoing et votre légat Rikke ont, je pense, une valeur semblable pour nos armées respectives. C'est pour ceci que, conformément aux mœurs de Bordeciel, qui veulent que les prisonniers de noble ascendance soient traités avec honneur, je vous propose solennellement un échange de prisonniers. Il serait malvenu pour vous de refuser cette proposition, qui montrerait votre mépris pour l'aristocratie qui vous soutient, ainsi que des valeureux guerriers nordiques qui meurent pour vous.

Le 22 mars 2021 à 00:38:13 Jyggalag-da-Gr8 a écrit :

Le 20 mars 2021 à 11:35:32 Artesien_Deter a écrit :
EMPIRE DE CYRODIIL

le prince s'approcha doucement du bréton, tout en restant sur ses gardes et s'adressa à lui

-Bonjour, comment allez-vous ? Pardonnez moi si je vous ai fait mal, le poids de l'armure vous savez... Pourquoi avoir tenté de tuer cette jeune femme ? Elle était probablement juste de passage et totalement inoffensive vous savez. C'était pour une rançon ? Faire peur à ses proches ?

➤ 4E 201 – Argent et à sang.

Le Bréton ne jeta qu'un regard haineux au Prince, serrant les dents tel un loup dont une menace aurait pénétré le territoire. Crispant ses poings terreux, ses sourcils ne pouvaient être plus froncés.

« Parce que vous vous attendez à ce que je vous réponde, aboya-t-il ? Je préfère encore mourir que d'aider les chiens d'usurpateurs de ces terres que vous êtes ! »

Sur ces mots, le prisonnier recula, de nouveau silencieux.

EMPIRE DE CYRODIIL

le prince éclata d'un rire très clair et répondit en reprenant son sérieux :

-Si je suis un usurpateur, qui est votre souverain ?

Le 23 mars 2021 à 13:47:21 Artesien_Deter a écrit :

Le 22 mars 2021 à 00:38:13 Jyggalag-da-Gr8 a écrit :

Le 20 mars 2021 à 11:35:32 Artesien_Deter a écrit :
EMPIRE DE CYRODIIL

le prince s'approcha doucement du bréton, tout en restant sur ses gardes et s'adressa à lui

-Bonjour, comment allez-vous ? Pardonnez moi si je vous ai fait mal, le poids de l'armure vous savez... Pourquoi avoir tenté de tuer cette jeune femme ? Elle était probablement juste de passage et totalement inoffensive vous savez. C'était pour une rançon ? Faire peur à ses proches ?

➤ 4E 201 – Argent et à sang.

Le Bréton ne jeta qu'un regard haineux au Prince, serrant les dents tel un loup dont une menace aurait pénétré le territoire. Crispant ses poings terreux, ses sourcils ne pouvaient être plus froncés.

« Parce que vous vous attendez à ce que je vous réponde, aboya-t-il ? Je préfère encore mourir que d'aider les chiens d'usurpateurs de ces terres que vous êtes ! »

Sur ces mots, le prisonnier recula, de nouveau silencieux.

EMPIRE DE CYRODIIL

le prince éclata d'un rire très clair et répondit en reprenant son sérieux :

-Si je suis un usurpateur, qui est votre souverain ?

➤ 4E 201 – Argent et à sang.

L'homme de l'autre côté des barreaux ne daigna pas répondre, ignorant tout simplement la question posée par le Prince Cephorus. La méthode d'approche de l'héritier impérial semblait sans nul doute infructueuse.