J'hesite vraiment avec Unity mais je dirais Assassin's Creed 2 et Brotherhood, je suis entrain de me faire la Ezio Collection et je me rend compte que la série a vraiment perdu quelque chose avec le temps, cette aspect de parcours, de se mêler à la foule, le fait de pouvoir avoir deux lames secrètes, de désarmer son ennemi et utiliser son arme, jeter des lances ou des haches, la gestion d'un domaine et les différents revenus, les ambiances, les musiques, ce côté très mystique/ mystérieux dans les tombeaux sans jamais passer dans l'exagération !!!
Assassin's Creed Odyssey n'est pas un Assassin's creed mais un rpg se déroulant dans la Grèce Antique, ça avait déjà commencé avec Origins, beaucoup trop porté sur le mythologique à mon goût. Unity par exemple avait des combats très réaliste, et assez dure, qui poussait à l'infiltration, les animation était juste super fluide, et super chorégraphié , c'était un régale de parcourir les toits de Paris. 
Depuis que la série est passé en RPG il n'y a plus de parcours, sans déconner comparez les déplacements et les animations de Unity et Odyssée, on a carrément régressé.
Alors ok ce ne sont plus que des villes, il y a de vastes plaines, et les bâtiments sont moins haut, mais bon faut pas exagérer non plus, même Assassin's Creed 3 a de bien meilleurs animations de parcours, et se déroule une bonne partie dans des décors naturels.
L'infiltration ne sers plus à rien à partir du moment ou tu ne peux plus tuer ton ennemi du premier coup, il n'y a pas d'assassin, pas de lame secrète, mais un paquet de mécanique certes sympathique pour un rpg mais qui ne correspondent aucunement à un Assassin's Creed. 
Quand je pense qu'à l'époque du premier assassin's creed, Altair avait une arbalète dans le trailer, et ont dus l'enlever en jeu car ce n'était historiquement pas correct
... Aujourd'hui on se bat contre des Cyclopes, des Minotaures, ont a des épées en feu que le hero a allumé avec son cul, des haches qui font 3 fois ta taillel
... On est a des années lumière de ce qu'est Assassin's Creed, et je ne parlerais pas du présent... 