2021 (S4), Chapitre 1 (n°93) : Conflit d’intérêt
Karl : A quel moment est-ce que tu comptes dire à ta soeur que son contrat ne couvre que les sept premières courses de la saison ?
Niki : De quoi tu parles ?
Karl : Me dis pas que t’es pas au courant…
Niki : Bien sûr que non je suis pas au courant, qui est au courant ?
Karl : Ben du coup, à part Sauber et moi, pas grand-monde… Ton mécène, peut-être. Je ne l’ai pas dit à Sophia quand elle a signé son contrat, je me suis arrangé pour cacher les lignes en question, mais il faudra lui dire, à un moment. Je pensais que t’étais au courant, moi. Mais je prend pas la responsabilité, si ça tenait qu’à moi elle aurait paisiblement pris son volant en Formule E sans faire de bruit…
Niki : Et qu’est-ce qu’on fait ?
Karl : Moi je fais plus rien, tu m’as dit d’aiguiller ton type, tu m’as dit de faire signer le contrat à Sophia, j’ai fini mon job. Je te passe le témoin et je te laisse faire.
Niki : Un ingrat et un lâche, voilà ce que t’es.
Karl : Tant que je ne suis pas aussi mafieux que toi... Allez, bon courage, un bon schnaps, tu attrapes ta paire et tu annonces la bonne nouvelle à la patronne. Vous pouvez disposer, soldat.
Vous pensez bien que je n’allais pas foncer tête baissée et avouer la combine à ma soeur, à la place j’ai plutôt décidé d’attaquer le problème à sa racine.
Sergueï : Aaahhhh, Niki. Comment allez-vous ?
Niki : Plutôt mal, à vrai dire. Je viens d’apprendre les clauses du contrat de ma soeur, il y a un léger problème.
Sergueï : Ah oui ?
Niki : Sept courses ? Dois-je vous rappeler qu’il y a trois fois plus de courses que ça dans la saison ? A quoi est-ce que vous jouez ?
Sergueï : Alors, c’est à dire que...l’accord demandé par l’équipe était trop contraignant, je n’étais pas prêt à investir une telle somme.
Niki : Cocasse pour quelqu’un qui voulait sponsoriser ma carrière…
Sergueï : Vous l’avez dit, Niki. Je veux sponsoriser votre carrière, alors je suis prêt à dépanner, mais ce n’est pas pour soutenir votre soeur que je suis venu vers vous. Alors pour ne pas vous fâcher, j’ai fait le job, vous m’avez demandé de lui trouver un volant, je lui en ai trouvé un, à elle de le garder, maintenant. A aucun moment il n’était question de lui financer un volant pour toute la saison, je me trompe ?
Niki : C’est pas comme ça que ça marche…
Sergueï : Au contraire, c’est exactement comme ça que ça marche, c’est ça le business. Je ne veux pas faire de jugement hâtif, mais vous manquez de préparation, vous êtes trop cru, trop innocent. Je vous ai fait confiance en plaçant mon argent à l’aveugle, alors maintenant faites-moi confiance, ça va bien se passer.
Niki : Et comment je suis censé annoncer ça à la principale intéressée ?
Sergueï : Ah ah ah, attendez, vous êtes en train de me dire qu’elle n’est pas au courant ? Vous avez vraiment un agent de qualité, pas de doute là-dessus.
Résumons donc : Karl m’a lâché, Sergueï s’est dédouané ; pas de doute, je me suis bien coincé le doigt dans la tapette à souris. J’avais déjà provoqué la colère de Sophia l’an dernier en lui disant que Mercedes ne lui proposerait rien - même si j’avais raison - et me voilà encore avec la mission de lui annoncer que sa carrière ne tient qu’à un fil. Vous avez dit boulette ?
Ca, c'est du Niki comme on les aime. Tatané à gauche, carpetté à droite, et en attente de se prendre l'uppercut final par sa sœur.
Elle va l'EN-CU-LER
7 courses c'est avant ou après l'Autriche ?
Avant bien évidemment
Le calendrier sera posté dans le courant de la semaine prochaine
Je m'attendais à un double épisode vu que c'était court... Ptin allez vivement plus de contenu !
Le 10 mars 2019 à 18:30:12 [-Monarch-] a écrit :
Je m'attendais à un double épisode vu que c'était court... Ptin allez vivement plus de contenu !
On commence en douceur, les deux premiers épisodes de la saison sont très courts, je le concède
Sergueï, ce gars sûr Un bon fouteur de merde comme on aime
Le 10 mars 2019 à 18:51:41 Elektronomia a écrit :
Le 10 mars 2019 à 18:30:12 [-Monarch-] a écrit :
Je m'attendais à un double épisode vu que c'était court... Ptin allez vivement plus de contenu !On commence en douceur, les deux premiers épisodes de la saison sont très courts, je le concède
On poste trois lignes et on sent écrivain
sweet j'ai besoin de ma dose de Niki qui fait de la merde
Suite dans une quinzaine de minutes (et il y aura pas réellement d'action, je préfère prévenir )
Lire les épisodes précédents
Saison 1 : https://docs.google.com/document/d/1i_D-M9wVeBDbcxO1Mb1jNnG_HmYg0BeSLdQC02PZj6Y/edit?usp=sharing
Saison 2 : https://docs.google.com/document/d/1Q3sSjYiScDXvGH4eGnqUzBddnYVnlC4NsLCSfZpwtTE/edit?usp=sharing
Saison 3 : https://docs.google.com/document/d/1ARHmZ-FSwjbF8vYO_3QHpJNdVE3yVrlAkhV3JgrUYxs/edit?usp=sharing
Saison 4 : https://docs.google.com/document/d/1UkaHTTpS-HaFoDXLYpjhGDuJf4MB7oOdhCOujINccuM/edit?usp=sharing
2021 (S4), Chapitre 2 (n°94) : Un heureux évènement
Samedi 23 janvier 2021, Hôpital Princesse Grace, Monaco
Ils arrivent ! Au réveil, vers neuf heures, alors que j’avais prévu un footing avec Charles Leclerc et un après-midi relax, tout a été foutu en l’air : Gabi a perdu les eaux, j’ai sauté dans la voiture et je l’ai amenée à la maternité. Après ça, c’est de l’attente, même s’il faut que je m’occupe de prévenir tout le monde. Après avoir appelé mes parents, Sophia, Karl et toute la smala, je me pose et me dis que, d’ordinaire, le futur père appelle les deux familles mais, moi, je n’ai personne à prévenir pour Gabriella. Je lui ai demandé si elle voulait que j’essaie de prévenir Carmen en bafouillant trois mots d’espagnol, mais elle m’a dit que non, qu’elle préférait lui annoncer elle-même.
Vers treize heures, je suis rejoint par Sophia, ce qui me soulage ; tout seul, pendant la matinée, je ne pouvais m’empêcher de repenser aux souvenirs douloureux d’avril dernier. En réalité, ça fait quelques jours que j’y pense puisque, hier, Anna aurait eu neuf mois et, neuf mois plus tard, deux nouveaux-nés sont sur le point de venir illuminer ma vie. Je vous l’accorde, je ne trouve pas particulièrement intéressant le fait de vous raconter cette journée, mais la nervosité relative à ce qui nous est arrivé au printemps dernier m’a presque obligé à mentionner l’épreuve que cette attente constitue.
Vers 16h40, on vient me chercher dans le couloir : le premier des deux jumeaux est là, c’est une petite fille, l’occasion pour moi de pousser un ouf de soulagement après tant d’attente. Si le moment où j’ai découpé le cordon ombilical n’est finalement pas si terrible, les instants qui suivent pèsent lourd sur moi : une infirmière s’est empressée de prendre la petite dans ses bras pour effectuer les tests nataux et le simple fait d’entendre ma fille pleurer a ramené ce traumatisme d’Anna, le fait de tenir dans ses bras un bébé qui ne pleure pas, quelque chose d’absolument horrible. Aujourd’hui, notre seconde fille semble en bonne santé, c’est une petite crevette étant donné qu’ils étaient deux à l’intérieur et qu’ils sont nés deux mois avant terme, mais elle est en bonne santé, j’en suis convaincu.
Finalement, c’est à 19h20 que le numéro deux a pointé le bout de son nez, je dis bien LE numéro deux : c’est un garçon. Même processus, encore une fois c’est une petite créature, plus petite que ce qu’on s’imagine, mais c’est normal.
Dans la soirée, alors que je suis dans la chambre en train de parler avec Sophia pendant que Gabi se repose, on nous apporte nos nouveaux-nés, qui sont en parfaite santé : respire, Niki.
Pour les prénoms, on avait déjà imaginé tous les cas de figure : deux filles, deux garçons, un de chaque, tout était prêt dans nos têtes. Ainsi, vous pouvez dire bonjour à Isabel et Adrian Kofler. Ca a été un sacré casse-tête de trouver des prénoms qui collent pour l’espagnol et pour l’allemand. En réalité, au début, je n’étais pas fan du prénom Isabel, je trouvais ça trop latin, je préférais Isabella, mais Gabi a su me convaincre - c’est le deuxième prénom de Shakira, vous vous rendez compte ? Il n’y a pas vraiment d’explication derrière nos choix, pas d’hommage, pas de référence étymologique forte même si mon père est particulièrement fier d’avoir une petite-fille dont le prénom est un clin d’oeil au Seigneur, ce qui se révèle être une pure coïncidence.
A propos de coïncidences, j’ai remarqué un autocollant “64” en rouge et blanc sur toutes les blouses des personnels de l’hôpital alors je me suis renseigné : il y a 64 ans jour pour jour, la princesse de Hanovre, Caroline Grimaldi, membre de la famille princière monégasque, voyait le jour dans ce même hôpital. Plutôt classe, j’avoue, surtout quand la mère des enfants a le même prénom que l’une des héritières au trône au Monaco.
Bien loin de ces rapprochements hâtifs - qui ne font pas de moi un prince, loin s'en faut - c'est donc comblé de bonheur que je m'apprête à aborder un nouveau stade de ma vie : père de famille et pilote dont on attend beaucoup de choses pour l'avenir. Je suis prêt.
Pour me rattraper de l'épisode un peu plat (que j'estimais quand même nécessaire), présentation de la saison 2021 vers 20h45 avec les noms des derniers pilotes qui compléteront la grille qui - je le rappelle - s'étend à douze écuries
Des pronos de dernière minute ?
Hors-série : Saison 2021 de Formule 1
Le calendrier
Le gros changement cette année, c’est le déplacement du Grand Prix du Canada. Longtemps décrié à cause des déplacements superflus engendrés et par la coupure que cela causait dans la saison européenne, le GP rejoint le bloc de la tournée nord-américaine. Ce déplacement, encouragé par Liberty Media, a aussi été aidé par le quarantième anniversaire, en septembre, du dernier Grand Prix national disputé par Gilles Villeneuve. Cela provoque un décalage d’une semaine pour trois des quatre derniers Grand Prix pour décongestionner la fin de saison.
En conséquence, le Grand Prix de France suivra Monaco, une décision discutable financièrement vu la proximité des circuits. Nous irons ensuite aux Pays-Bas, qui laissent leur créneau de juillet au Grand Prix d’Allemagne, tenu au Nürburgring pour la première fois depuis 2013. En fin de saison, les contrats bahreïniens et singapouriens expirent, leur présence en 2022 est très incertaine à cause de la politique pro-Europe adoptée par Liberty Media depuis quelques saisons.
28 mars : Grand Prix d’Australie
11 avril : Grand Prix de Chine
18 avril : Grand Prix de Bahreïn
2 mai : Grand Prix d'Azerbaïdjan
16 mai : Grand Prix d’Espagne
30 mai : Grand Prix de Monaco
13 juin : Grand Prix de France
20 juin : Grand Prix des Pays-Bas
4 juillet : Grand Prix d’Autriche
11 juillet : Grand Prix de Grande-Bretagne
25 juillet : Grand Prix d’Allemagne
1 août : Grand Prix de Hongrie
29 août : Grand Prix de Belgique
5 septembre : Grand Prix d’Italie
19 septembre : Grand Prix de Singapour
3 octobre : Grand Prix du Japon
17 octobre : Grand Prix du Canada
24 octobre : Grand Prix des Etats-Unis
7 novembre : Grand Prix du Mexique
21 novembre : Grand Prix du Brésil
5 décembre : Grand Prix des Emirats arabes unis
Le plateau
RED BULL RACING
Entre 2014 et 2020, avec le titre pilotes de l’année dernière comme seul sacre, les temps ont été difficiles pour Red Bull. Après sa domination du débuts des années 2010, le géant autrichien semble avoir eu du mal ; la nouvelle réglementation les plongera-t-elle à nouveau dans des difficultés difficilement surmontables ? Max Verstappen, champion sortant, sera épié dans ses moindres gestes, lui qui est devenu la superstar de la F1 l’an dernier, ce qui ne fait que renforcer la pression sur la marque au taureau.
SCUDERIA FERRARI
Ca n’aura duré qu’un an. Un seul titre pilotes pour Ferrari, en 2019, puis la Scuderia a été dépassée par Red Bull. Champions constructeurs sortants, les rouges se basent sur l’expérience et le prestige du duo Ricciardo/Vettel pour rester au top, mais la voiture qui leur sera donnée pourrait bien ne pas suffire à reconquérir les sommets...
MERCEDES AMG PETRONAS MOTORSPORT
La chute de l’Empire. Les années 2014 à 2018 ont été roses pour les gris mais, depuis deux saisons, c’est plus compliqué. Sur la fin de l’an dernier, Mercedes a même vu Renault revenir dans ses rétros. L’équipe de Brackley saura-t-elle inverser la tendance ou bien poursuivra-t-elle sa chute ?
RENAULT SPORT F1 TEAM
S’il y a bien une écurie qui attendait cette nouvelle réglementation, c’est Renault. Le constructeur français n’a cessé de progresser depuis son retour en 2016, obtenant son premier podium à Spielberg l’an dernier. Stoffel Vandoorne saura-t-il confirmer ? Valtteri Bottas sera-t-il une bonne addition à l’équipe ? La voiture sera-t-elle meilleure que sa prédécesseure ? Renault détient vraisemblablement la réponse aux questions posées à l’hiver par les suiveurs de la Formule 1.
MCLAREN RACING
A-t-on le droit oui ou non d’être une écurie couronnée de succès mais de n’avoir qu’un podium en six ans ? Grâce à Lando Norris au Brésil en novembre, McLaren a enfin goûté au champagne, mais l’écurie de Bruce McLaren ne ressemble en rien au mastodonte des années 80,90 et 2000. McLaren va mal et le passage surprise au moteur Prodrive ne devrait rien arranger.
SCUDERIA TORO ROSSO
Ca bouge là-dedans ! Si les pilotes sont restés les mêmes, deux gamins très doués en les personnes de Ticktum et Sette Câmara, le remaniement opéré chez la petite Scuderia à l’hiver lève des doutes. Guillaume Rocquelin, ancien ingénieur de course de Sebastian Vettel, va découvrir le métier de team manager chez Toro Rosso, accompagné par un personnel renouvelé. La prise de risque est importante alors que l’écurie a pourtant égalé son meilleur classement la saison dernière en terminant sixième du championnat...
SILANNA WILLIAMS TEAM
Williams-Renault est à nouveau de retour ! Après avoir touché le fond en 2018, Williams a repris, doucement mais sûrement, de l’élan. L’arrivée de Marcus Ericsson et son sponsor Silanna devraient donner un boost financier à l’écurie, tandis que la signature du rookie Jack Aitken a permis de nouer un partenariat avec Renault. Les deux pilotes sont pourtant pointés du doigt, n’étant supposément pas au niveau pour la F1 ; on a pourtant vu par le passé que le pilote ne faisait pas tout...
HAAS F1 TEAM
Si Toro Rosso a opté pour un remaniement interne, c’est en façade que Haas a connu une mue. Exit Grosjean après cinq saisons et exit Magnussen après quatre saisons : grâce à son lien étroit avec Ferrari, la structure américaine a hérité du prodige Charles Leclerc, “gros poisson dans un petit étang” chez Sauber qui cherche à poursuivre sa progression en vue d’obtenir un volant au sein de la Scuderia à l’avenir. Pour l’épauler, Arjun Maini, protégé de l’écurie depuis quelques années déjà, devra montrer que l’Inde n’est pas en F1 que grâce aux sponsors.
SAUBER F1 TEAM
Le pari de la jeunesse : les trois pilotes embauchés par Sauber n’ont jamais piloté en F1, hormis une séance d’essais à mettre à l’actif de Sophia Kofler. Attention cependant, ça ne veut pas dire qu’ils sont mauvais ; Luca Ghiotto, champion de F2, sera aligné aux côtés de sa première dauphine, Sophia Kofler, première femme en F1 depuis Lella Lombardi il y a 45 ans. Les deux ont démontré leurs qualités en formules de promotion, maintenant il s’agit de faire de même dans la discipline reine.
PRODRIVE ASTON MARTIN RACING
Anciennement Force India, l’écurie officielle Aston Martin part avec une base déjà existante. Les employés sont, à 90%, des anciens de l’écurie de Vijay Mallya, il ne semble donc pas y avoir d’inconnue là-dessus. Partagée entre Silverstone et Banbury, la gestion de l’écurie, dont les rênes ont été confiés à David Coulthard, ne semble pas faire débat. L’arrivée de Kevin Magnussen en rôle de taulier, épaulé du McLaren Boy Nyck de Vries, est un atout alors que beaucoup considèrent que le duo est de qualité. Le seul hic, c’est ce moteur Prodrive, peut-être construit à la va-vite dans un but mercantile : alors que la transition vers de nouveaux moteurs va s’opérer dans un ou deux ans, le coup tenté par Aston Martin pourrait bien être un coup dans l’eau.
AUDI SPORT F1
Autre écurie issue de l’Endurance, malgré son retrait il y a quelques années, Audi. On parle de l’arrivée de la marque aux anneaux en F1 depuis dix ou quinze ans, mais cette fois, c’est fait ; le projet dirigé par Nico Rosberg peut s’appuyer sur l’expérience de Nico Hulkenberg et le talent du jeune Niki Kofler pour commencer sur de bonnes bases, même si la qualité du personnel de l’usine de Cologne est questionnable au vu de l’absence de gros noms. Reste donc à savoir si le châssis sera suffisant pour faire une entrée fracassante dans le sport...
CHINA F1 RACING
Non, vous ne rêvez pas : les chinois ont enfin concrétisé leur idée de faire une écurie de Formule 1. Pendant longtemps, personne n’y a cru, mais la signature de Sergio Pérez annoncée en octobre, les multiples interviews et le rachat du Leafield Centre de Caterham ont rendu toute cette histoire crédible. La réputation de l’écurie ne lui fait pas honneur alors que deux pilotes payants ont été signés : Pérez est suivi par ses sponsors depuis le Mexique, tandis que Maximilian Gunther fait suivre BWT dans ses valises. Propulsé par un bloc Mercedes souvent pointé du doigt par les autres équipes et malgré cette étiquette d’écurie financière, China Racing saura-t-elle s’établir sur le long terme en F1 ?
Sympa ces présentations !
Maini et Aitken sont donc les fameux pilotes dont on se demande ce qu'ils font là.
Le 11 mars 2019 à 21:02:25 Barcelone97 a écrit :
Sympa ces présentations !Maini et Aitken sont donc les fameux pilotes dont on se demande ce qu'ils font là.
Gunther aussi
Parmi les quatre qui arrivent en F1, même en forçant le trait, c'est difficile d'imaginer Ghiotto en F1, les autres c'est encore plus surréaliste.
T'as pas envisagé un Mick Schumacher par exemple ? En soi il est beaucoup plus vraisemblable.
Le 11 mars 2019 à 21:27:39 Barcelone97 a écrit :
T'as pas envisagé un Mick Schumacher par exemple ? En soi il est beaucoup plus vraisemblable.
Certains ont dévié, j'ai choisi délibérément de faire diverger les cracks des formules de promotion actuelles, certains arriveront plus tard, d'autres jamais, il y en a qui ne marcheront jamais réellement comme on pourrait s'y attendre, c'est aussi ça le problème de faire quelque chose qui part d'un point de fixation réel mais qui s'en détache rapidement
Est ce que mon pilote islandais finira par arriver en F2 ou F1 ?
Patience, j'avais bien précisé que c'était pour les faire apparaître à partir de 2023 au plus tôt
Mais j'ai noté tous les noms, t'en fais pas, certains sont déjà en F2 même si j'en parle pas
Le 12 mars 2019 à 07:27:09 Elektronomia a écrit :
Patience, j'avais bien précisé que c'était pour les faire apparaître à partir de 2023 au plus tôtMais j'ai noté tous les noms, t'en fais pas, certains sont déjà en F2 même si j'en parle pas
Hate de voir ça
D'ailleurs si tu pouvais remettre le lien pour les propositions, j'ai eu 2 ou 3 idées pour des pilotes