Lizerand : Douleur cathémérale qui m'habite, puisse ton joug se tarir maintenant. Tous les Saints en soient témoins, je deviens aujourd'hui esclave de Dieu pour que cessent ces géhennes.
La Douleur, elle appairait sous la forme d'un spectre après être sortie du corps de Lizerand : Soit, mais à la moindre tentative de contourner ce nouveau joug sous lequel tu es désormais opprimé, je reviendrai encore plus fort. Ah ah ah !
Ici elle s'envole vers le ciel dans le temps qu'un nouveau spectre descend vers Lizerand.
La Beauté : Me voici, Lizerand, en l'apparence d'une femme. Ton nouveau Dieu est face à toi et tu l'aimes, tu l'adores et tantôt tu répondras à tous ses désirs. Bientôt tu échangeras ta vie contre un peu de son Amour, tu vendras ton honneur contre quelque baiser dessus ta main et s'éloignera ton âme de ton corps, Lizerand ; car te voilà adorateur de ce Dieu unique que je suis : tu m'aimes et jamais rien ne te fera oublier, ni quelque mouvement de tête, tentatives vaines de me fuir, mon visage sera gravé à jamais derrière tes yeux, dans l'image fantomatique que créé ton esprit malade de m'avoir un jour découvert.
Mais, Lizerand, tu peux encore choisir. La mort est une amie que tu peux appeler, encore.
Lizerand : Vous estes un monstre !
La Beauté : Oui, je suis le Pouvoir, l'Amour, le Diktat... je suis la Beauté
Lizerand : J'en appelle donc à mon amie la Mort, mon choix est fait Dame Beauté.
La Beauté s'envole vers le ciel ; en même temps, Lizerand s'écroule. Il meurt.