Vouloir que tous pensent pareil provoque une généralisation de la pensée qui nie le caractère toujours individuel de la pensée, et est donc une aberration du point de vue de la philoosphie et de l'amour de la sagesse.
Le « non » : La généralisation de la pensée
Le « oui » : Une pensée est toujours individuelle

Vouloir qu'il n'y ait qu'une seule façon de penser est une divination du savoir qui nie que le savoir est toujours collectif et que cette collectivité est plurielle. Il ne faut pas être contre cette pluralité, car elle existe et que cette existence trouve l'entièreté de son sens dans la vie, non dans le pouvoir de la pensée.
Le « non » : La divination du savoir
Le « oui » : Un savoir est toujours collectif

Etc.

Les « oui »
- Une pensée est toujours individuelle
- Un savoir est toujours collectif
- La survie d'un individu ne dépend pas systématiquement des autres.
- Le travail est nécessaire.
- L'intelligence est importante.
- L'instinct prime sur les convictions.
- La croyance est toujours subjective.
- La peur n'apporte rien.
- Le développement dépend de la paix.
- L'amour est le seul absolu.

Les « non »
- La généralisation de la pensée
- La divination du savoir
- L'annihilation de l'autonomie
- La collectivisation de l'oligarchie
- La banalisation de l'intelligence
- La robotisation du coeur
- L'immortalisation du corps
- La cultivation de la peur
- La glorification de la guerre
- La mécanisation de l'amour

Cela dénote quoi ? Qu'il y a deux écoles : une bonne et une mauvaise.

La mauvaise est que l'utopie est un pouvoir de la pensée.

La bonne est que l'utopie est une vie dégagée de la mauvaise école.

Cela dénote quoi ?

Qu'il y aura toujours des méchants ? Absurde !

Voilà donc la question du sujet : jusque dans quelle dimension temporelle de la société y aura-t-il des « méchants » ?

Personnellement, je pense qu'il y aura des méchants jusqu'à la parfaite assise de la gratuité mondiale. Voici ce que je pense de la gratuité :

Le gratuité est commémorative du travail d'autrui et du travail hérité du nôtre par une conséquentialité du temps. Pour faire simple, la gratuité, c'est ce que nous avons de mieux à léguer à nos descendants. Il existe donc deux forces mondiales : la richesse exclusive à la petite communauté de riches et la richesse syndicale et institutionnalisée des faits gouvernementaux pris en un combat pour le bien du plus grand nombre. Est-ce être fou que de dire que cette deuxième force N'EST PAS supérieure à la première ? Personnellement, je pense que oui, certainement même, car le riche n'est pas le seul propriétaire de son travail, car il y a des gens qui travaillent pour lui. Donc, la gratuité est non-seulement juste, éthique, mais aussi, gravement nécessaire au sentiment d'acceptation non-anarchique qui permet à l'économie de rouler. C'est donc la gratuité ou l'arnarchie. Le règne purement olygarchique doit donc être combattue.

Voici ce que je pense de la gratuité idéale :

1. Les pommes et l'eau potable doivent être gratuits.
2. Les hôpitaux et les écoles doivent être gratuits

C'est tout.

• oligarchique, d'oligos, peu en grec, comme dans les oligo-éléments

L'eau potable est gratuite dans la nature ou les fontaines, à Rome toutes les rues ont une fontaine d'eau potable en forme de pompe qui coule en permanence, beaucoup de villes françaises ont des robinets publics etc.

L'eau est gratuite, ce que tu payes est son acheminement chez toi, et le fonctionnement des stations d'épuration, qui ajoutent du calcium à l'eau du robinet.

Les fruits poussent dans la nature et sont donc eux aussi gratuits, ce que tu payes en les achetant, c'est leur mise-en-place dans un magasin qui les achète à des producteurs, qui font pousser ces fruits pour toi.

L'hôpital et l'école sont gratuits.