Des charges amusantes réalisées avec la cavalerie :

_Face à deux régiments de quinze dromadaires :

Seuls de soldats romains y laissent la vie.

_Face à deux régiments de quinze éléphants :

Pas un seul éléphant ne tombe.

_Préparation :

Voilà la stratégie que j'ai mise au point pour effectuer ces combats facilement :

Les plazas servent de repères, il s'agit de la limite de portée des balistes. Il faut détruire les ponts avant que les fantassins les atteignent. Puis les reconstruire quand plus aucun ennemi n'est dans cette zone (la zone non-constructible en cas d'attaque est la même que celle des balistes). Et enfin les redétruire avant que les auxiliaires atteignent les plazas. Une fois l'infanterie détruite ou mise en fuite, il n'y a plus que les auxiliaires. Il ne reste plus qu'à raser la ville, placer la cavalerie, reconstruire les ponts, construire un leurre pour faire avancer l'ennemi et le charger.

_Face au dos des éléphants :

Et...

Toujours aucune perte carthaginoise !

_Face à six régiments de seize cavaliers goths :

Les deux tiers des Romains y laissent la mais l'ennemi est en fuite.

_Face à deux régiments de seize chars :

En deux temps :

Mais rien n'y fait, seuls cinq chars sont détruits.

Compte tenu de la vitesse de ces unités, j'utilise une technique différente de celle des balistes pour séparer fantassins et auxiliaires. Il s'agit d'observer la formation ennemie puis de créer les compartiments adéquats :

_Face au dos des chars :

La bataille est spectaculaire ! Le dernier char finit par se retrouver en duel avec le dernier cavalier, le tue puis prend la fuite (comme le point d'invasion n'est plus accessible, il disparaît).

_Face à neuf régiments de cavaliers huns :

Soixante morts "seulement" en manœuvrant plusieurs fois.

_Quarante-huit cavaliers romains contre autant d'Egyptiens sur dromadaires :

Dix Romains tués avant de mettre le reste de l'ennemi en fuite.

_Fantassins grecs pris en tenaille : la première ligne combat son homologue romaine, la seconde ligne se fait charger à deux contre un et de dos par la cavalerie !

Ils emportent tout de même un légionnaire et quatre cavaliers dans la tombe !

_Quatre-vingt-seize cavaliers dévalant la colline mettent en fuite une armée de deux cent soixante-seize soldats de Pergamum !

_Face à cent vingt-huit fantassins légers de Pergamum :

_Face à autant de fantassins légers séleucides :

_Face à cent vingt-huit lanciers numides :

Mise en place fastidieuse combinant plusieurs techniques développées récemment pour ordonner les régiments adverses tout en empêchant les tireurs de participer au combat.

La défaite est fréquente pour Rome. Et dans les meilleurs scénarios, c'est une poignée de survivants qui met en fuite l'armée ennemie !

_Même configuration face à Pergamum. Afin d'illustrer la différence entre les armées lentes et ordonnées et celles rapides et désorganisées :

Il n'y a pas photo, le combat est ici bien plus facile et la victoire assurée. Bien qu'individuellement tous les fantassins légers se valent, la vitesse supérieure et le comportement imprévisible des armées numides, goths, wisigoths, huns ou barbares les rendent plus dangereuses que les armées séleucides, ibères, judéennes, égyptiennes ou de Pergamum.

Au temps pour moi, même individuellement, les fantassins légers rapides sont légèrement plus puissants que leurs homologues ordonnés :

Il faut douze coups à un cavalier chargeant pour vaincre un fantassin lent, et treize pour un rapide. Dans les deux cas par contre sa santé à la fin est faible (ce qui explique que je n'avais pas remarqué cette subtile différence plus tôt !).