Un bon résumé de la partie de Bigrat que je viens de trouver
https://i.redd.it/9fal2l7ztb631.jpg

Mince je suis arrivé trop tard.
Pas grave, je vais suivre la DC avec attention.

Bon je suis mort, je vais commencer à écrire tout ça ce soir

Je uppe pour vous donner de la force. C'est incroyable, comment vous faites pour passer de comté à Empire en si peu de temps? Il me faut v'là les générations
Aussi demander une revendication auprès du pape c'est quel dlc?

Le 25 juin 2019 à 00:17:48 Baltic-Wind a écrit :
Je uppe pour vous donner de la force. C'est incroyable, comment vous faites pour passer de comté à Empire en si peu de temps? Il me faut v'là les générations
Aussi demander une revendication auprès du pape c'est quel dlc?

Demander une revendication au pape c'est arrivé avec Sons of Abraham il me semble
Après pour les ascensions fulgurantes, ça vient avec l'expérience, et toujours une part de chance

En plus il a été élu Kaiser, c'est assez différent de conquérir ou former un Empire. Mais ça reste impressionnant pour le fils d'un gars qu'était inconnu quelques décennies avant.

Le 24 juin 2019 à 19:32:18 HommeRecent a écrit :

Je clôt les inscriptions ici, même si Ozakoz ne vient pas sur le sujet, on sera assez nombreux et je pense que ça cafouillera pas comme la dernière DC à la fin

Oui d'accord merci !
C'est mon premier DC

Moi aussi ! J'essaierai de foutre un max de boxon pour ta première alors

PtitJv, ce qu'on peut faire, vu qu'Ozakoz s'est pas pointé sur le forum, tu peux prendre sa place si t'es motivé

La vie de l’Infame Archiduc Magnus le reclus (règne : 31 mai 987 – 20 mars 998)
Maréchal Franz Chatenois

Celui qui creuse une fosse y tombera et celui qui démolit un mur sera mordu par un serpent. Celui qui remue des pierres sera blessé par elles et celui qui fend du bois s'expose au danger : s'il a usé la hache et ne l'a pas aiguisée, il devra redoubler de force. La sagesse a l'avantage de donner le succès. (Ecclésiaste 10.8)
Ces saintes paroles de l’évangile résument bien le règne de Magnus II, que j’ai servit du début jusqu’à la fin malgré les tourments de son règne. Avant même qu’il ne prenne la succession du bienheureux Jakob, les défauts de Magnus étaient connus de tous : c’était un homme fou, qui faisait passer sa parole avant la loi, et pire que tout était d’une ambition insatiable. Il est d’ailleurs fort probable que si sa majesté Jakob eut préféré diviser son domaine, c’est bien par crainte des accès de folies de son fils. Un mauvais regard pouvait amener un paysan sur l’échafaud, une parole de trop et le bourreau faisait son office, tous craignaient son accession au trône. Pourtant Magnus était loin d’être un idiot, il avait été élevé pour être un grand prince, et sur le champ de bataille il savait mener les hommes, ce pourquoi personne n’avait jamais osé douter de sa capacité à régner… Malgré ses problèmes de « santé ».

Mon récit commence en l’an de grâce 987, le 31 mai. La mort de sa majesté était encore toute récente, et avec la perte du trône impériale et de Vienne il fallait au nouveau souverain un conseil. Magnus me fit convoquer dans la salle du trône, je me rappelle encore sa façon de parler faussement amical, ou l’on sentait que la moindre parole de travers pouvait couter cher. « - La loyauté est toujours récompensé, et la traitrise punie tout autant », me dit-il depuis son trône, tenant encore la couronne impériale entres ses mains. Je n’oublierai jamais ses mots, car si une chose est sure, c’est que Magnus garda ce motto jusqu’à sa mort. Du fait de ma loyauté à la maison Ravensburg, l’Archiduc me nomma Maréchal, me faisant promettre à nouveau de le servir fidèlement et de rester à ses cotés quoiqu’il en coute. Peu lui importait les compétences, Magnus cherchait des pions fidèles, et heureusement pour moi, j’étais à la fois compétent dans mon domaine et un serviteur de confiance. Le conseil restreint fut alors choisi par le prince : Dame Caterina, la mère de l’archiduc, du duc de steiermark et du comte de Freistadt, fut nommé maitre-espionne. Elle avait toujours fermé les yeux sur les problèmes de son fils, mais pouvait-elle se douter de ce qui allait arriver ? Le poste de chapelain de la cour fut octroyé au prince-évêque de Salzburg, Dietmar von plain, l’homme le plus puissant d’Autriche après le prince. La chancellerie fut offerte à Vratislav, prince de Bohème, afin de raffermir nos liens avec la couronne voisine. Enfin, le bourgmestre de Chremis, Baldewin, fut nommé intendant. Les premiers mois du règne de Magnus II se déroulèrent sans heurt, nous commençâmes même à espérer que sa folie n’était qu’une crise de jeunesse qui passa avec la mort de son père.

Vint alors le couronnement de l’Archiduc, une fête somptueuse organisé qui marqua l’apogée de son règne. Des seigneurs de toutes l’Europe chrétienne vinrent célébrer une transition de pouvoirs qui s’annonçait radieuse. La seule ombre au tableau fut le discours prononcé par Magnus peu avant son couronnement par le prince-évêque, citant lui aussi l’Evangile il ouvrit son discours sur ses mots « Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant ! ». Bien sûr, les accusations d’impiétés contre les enfants rois sont monnaies courantes et n’ont rien d’extraordinaire… Cependant dans le cas d’un prince dont tous les frères étaient mineurs et couronnés les choses étaient bien différentes. L’allocution jeta un froid sur l’assemblée.

Mais les envies de guerres fratricides de Magnus furent vite éclipsées par les évènements de la fin de l’été 987 : afin de mettre fin à la papauté de Reims, le Kaiser partit en campagne contre le puissant état de Francie Occidentale. La guerre s’annonçait terrible entres ces deux grandes puissances. Etonnamment, mon prince se réjouit de la nouvelle lorsqu’il l’apprit. Surement espérait-il en profiter pour réclamer Vienne à l’Empereur, mais il n’en fit jamais rien.

Malgré tout, c’est aussi sous le règne de Magnus que son père fut béatifié, le 7 février 988, et sanctifié 2 ans plus tard. Jakob le grand patriarche devint Saint Jakob le Vertueux, dont l’on dit qu’il organisait de grandes cérémonies d’exorcismes lors des quelle il chassait lui-même les démons. Jamais on avait un Homme, qui plus est un laïc, être sanctifié si peu de temps après sa mort ! La mémoire de Saint Jakob offrit à la maisonnée un regain de légitimité dont elle avait bien besoin, après tous nombre de ses membres étaient des enfants et des batards aux règnes peu solides et le patriarche de la famille était loin de la stature de son paternel.

Peu après la béatification du bienheureux Jakob, je du escorter le prince Vrastislav jusqu’à la capitale bohémienne. Notre mission était de reforger l’alliance entres les maisons d’Autriche et de Bohème, au nom du mariage entres l’Archiduc et dame Biagota, fille du roi de Bohème. Malgré que le roi fût alors affairer à l’éradication d’une révolte d’hérétiques hongrois, il prit le temps de recevoir notre délégation et accepta avec plaisir l’amitié renoué entres nos deux couronnes… Cependant à notre retour l’alliance vola bien vite en éclats.

La reine était tombée enceinte, cependant ses nombreux mois sur le front avaient rendu le roi suspicieux de cette grossesse. Il me fit alors convoquer, accompagné de dame Caterina, il voulait que des espions soit engagés pour s’assurer de la paternité de l’enfant qui allait naitre… Il apprit bien vite que dame Biagota s’était entiché du comte d’Ulm. Tout le monde à la cour s’attendait au pire à ce que le roi fasse répudier sa femme, pour ne pas entacher outre mesure les relations avec la Bohème. Cependant, le roi fit convoquer une grande assemblée sur la place publique de Chremis pour « juger » sa femme. Le roi décida que dame Biagota, encore enceinte, serait pendue. La pauvre femme eut à peine le temps de réaliser ce qui lui arrivait que des gardes l’attrapèrent violemment, l’assommèrent, et l’escortèrent en direction de l’arbre le plus proche… Il s’en fallut de peu que le prince Vrastislav n’y passe pas lui aussi. La pauvre Biagota fut pendu, et sa dépouille fut exhibé ainsi pendant près d’un mois, Magnus refusant de lui offrir la moindre sépulture et interdisant formellement de toucher à son cadavre. Inutile de dire que les relations avec la Bohème furent rompues à la suite de cet évènement, et l’archiduchesse ne put obtenir une sépulture convenable qu’après de nombreuses supplications des habitants de Chremis, qui n’en pouvait plus de cette situation.

D’ailleurs, Magnus ne s’arreta pas dans ces sacrilèges. A peine trois mois après la mort de sa femme, il se maria en janvier 989 avec une « princesse » musulmane venu de l’est. Nombreux à la cour considérait cette femme comme une sorcière, qui aurait corrompu l’esprit déjà malade du prince. Bien sur tout cela restait des messes basses car nul n’osait s’opposer à ce souverain sanguinaire. Seul Gautselin Ravenbergs, duc de Steiermark et frère le plus proche du roi, osa s’opposer au roi fou, tentant de réunir des sympathisants pour mettre fin à ses jours. Hélas, il eut le malheur de prévenir dame Caterina qui, ne pouvant soutenir l’assassinat de son fils pour un autre de ses enfants, avertit le prince tout en lui implorant de se montrer clément envers son jeune frère. Malheureusement pour elle, l’Archiduc entra dans une fureur noire, son propre frère l’avait trahi, « lui qui était du même sang et pas un vulgaire batard était prêt à le défier ? », telle était les idées qui traversait l’esprit malade de Magnus. Il m’envoya alors emprisonner le prince Gautselin, qui ne se défendit pas, espérant que son frère n’oserait pas porter la main sur un membre de sa propre famille, d’autant qu’il avait de nombreux alliés à la cour qui s’opposait à ce que l’on fasse le moindre mal au prince. Mais c’était bien mal connaitre le prince Magnus.

A peine Gautselin arrivé au château, celui-ci fut jeté à même le sol et roué de coups par Magnus. Après de longues minutes qui parurent des heures, l’archiduc fit emmener son frère au billot, et le décapita lui-même de son épée sous les regards terrifiés de toute la cour, la pauvre dame Caterina perdit connaissances face à ce spectacle effroyable. Magnus était maintenant connu comme un monstre prêt à tuer son propre sang pour ses ambitions. Et il ne se gêna pas pour récupérer les terres de son frère décédé à la fin du mois d’avril 989, alors que le corps de son frère était encore chaud.

A partir de là, Magnus devint bien vite la bête noire de la famille. Herkul de Bavière, un de ses frères batards, conspirait à son tour pour tuer Magnus. Heureusement, le prince n’était pas un simple vassal de Magnus, il ne pouvait pas simplement envoyer des gardes le capturer. Magnus décida donc de prendre son mal en patience… Et fit torturer les espions que son frère avait placé à sa cour avant de renvoyer leurs têtes à la cour de Bavière.

En l’an 991, par une douce après-midi d’avril un nouvel évènement vint écorcher le peu de sanité qu’il restait à Magnus. Le prince se rendait à Salzburg pour fêter paque auprès de notre bienheureux prince-évêque, et comme à l’habitude je menais l’escorte à cheval du prince. Cependant, alors que nous traversions une route de foret un groupe de bandit à cheval, surement des hongrois, attaquât le convoi. Je survécu miraculeusement à l’attaque avec quelques-uns de mes hommes et nous pûmes repousser l’attaque, mais la perte de nos chevaux nous empêcha de les poursuivre. D’autant plus que le carrosse royal était criblé de flèches, je me précipitai alors à l’intérieur, et par miracle Magnus avait survécu sans la moindre égratignure. Connaissant les évènements futurs, je ne saurai dire s’il n’aurait pas mieux valu que l’Archiduc meurt ce jour-là dans son carrosse, car cet attentat le rendit encore plus cruel et tyrannique.

Cependant, après cet incident le règne de Magnus était affaibli. De plus en plus de vassaux pensaient qu’il était temps pour le prince de leurs donner plus de pouvoir au conseil, et de cesser d’imposer son pouvoir personnel. A la tete de cette faction, on trouvait le comte Wolfram de Eppenstein (frère batard du roi jamais légitimé) et le comte Theodorich de Freistadt (frère légitime du roi). Du fait de leurs liens de sang avec l’Archiduc, et leurs santé mentale bien moins préoccupante, ils se hissèrent sans problème à la tête de centaines de soldats, prêt à destituer le despote s’il le fallait. C’est le 4 mars 993 qu’ils décidèrent d’envoyer un ultimatum au roi, pensant alors avoir ce qu’il fallait pour défier le roi. Bien sur comme à son habitude Magnus fut intransigeant, et la guerre civile débuta.

Fort heureusement pour les rebelles, Magnus du laisser le commandement des troupes autrichiennes à ses commandants. En effet, celui-ci avait été appelé par le Kaiser pour diriger les troupes impériales dans les conflits contre les vénitiens et les païens nordiques. En mars 993, la bataille de Linz offre une première victoire aux rebelles, grâce à l’arrivée in extremis de renforts, les troupes loyalistes se retrouvant alors dispersés dans tout le sud de la Bavière. Le mois suivant, les troupes autrichiennes, appuyés par des mercenaires italiens, se lancèrent à nouveau à l’assaut des rebelles lors de la bataille de Steyer… Quelle ne fut pas ma surprise d’apprendre que cette bataille fut une catastrophe car les trois quarts des commandants autrichiens avaient trop bus la veille et étaient incapable de se lever pour mener la bataille !

Heureusement pour nous, le prince, alors auprès du Kaiser, ne sut jamais les réelles causes de cette défaite. Deux ans plus tard, en décembre 995, les troupes autrichiennes tentèrent une dernière sortie contre les rebelles à la bataille de Sankt Polten, et elles connurent à nouveau un terrible échec. L’archiduc dut alors « céder la victoire » aux rebelles, en augmentant les prérogatives du conseil.

Je me souviens encore de la grande fete qui fut organisés au château pour fêter la fin de la guerre, en juin 996. Tous les vassaux et leurs bannerets (qu’ils furent loyaux ou révoltés) étaient présents. L’alcool et la bonne viande coulaient à flot dans le palais de l’Archiduc. Et ce dernier se montrait comme un hôte des plus généreux. Pourtant, je savais déjà à l’époque que quelque chose clochait. Pourquoi tout d’un coup ce revirement ? Magnus n’était pourtant pas homme à laisser passer ce genre de choses… Les réponses à mes questions arrivèrent bien vite sous la forme d’une centaine d’hommes en armes qui firent irruption dans la salle de banquet. Les bannerets des sieurs Wolfram et Théodoric tentèrent bien de les protéger, mais ce fut en vain et ils furent exécutés uns à uns. Le roi ne prit la peine que de laisser en vie les trois comtes rebelles. « Messieurs, il me fend le cœur de vous rappeler que la loyauté est toujours récompensée, et la traitrise punie tout autant », tels furent les mots du prince face à ses frères encore sous le choc face à ce qui venait de se passer. Le simple comte qui avait soutenu les frères rebelles fut exécutés sommairement juste après le « banquet », Théodoric fut pour sa part brulés vif sur un bucher et pour ce qui est de Wolfram… Le prince se « contenta » de le torturer pendant des jours avant de le relâcher dans la nature, il mourut peu de temps après des suites de ses blessures.

Cet évènement marqua le dernier tournant dans le règne de Magnus, le roi fou avait dépassé les bornes et sa folie furieuse ne faisait que s’intensifier de jours en jours. Chaque mois de nouveaux « traitres » étaient trouvés et connaissaient un sort funeste, le conseil était impuissant face à lui… Pendant près de deux ans il mit l’Autriche à feu et à sang. Puis un jour, la punition divine s’abattit finalement sur notre Archiduc. Lui et les ordures qui lui servaient alors de « gardes royaux » moururent dans une énorme explosion dans la taverne qu’ils venaient de réquisitionner. Nul ne sut jamais qui avait commandité cet assassinat, la seule chose sure, c’est que personne ne pleurerait Magnus II le reclus.

Mon seul espoir pour l’avenir est que le jeune prince Lothaire, née au milieu de la guerre civile, se révèle un plus grand homme que son père. Malgré tout le mal que son père a fait, je resterai jusqu’au bout fidèle aux vœux que j’ai juré à sa maisonnée.

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Carte du monde:

et la save: http://www.mediafire.com/file/5c5y2ipgmwi83uc/DC+Ravensberg+DeathLawlie.ck2

Voilà, cette fois j'ai joué une grosse raclure, ça change de d'habitude

Tu as trop regardé Game of Thrones toi .

En tout cas c' est encore bien partie en vrille .

Toutes les dynasties ont besoin d'un Sas le Faucheur. Ça fait du souvenir.
D'ailleurs avec l'attentat à moitié raté contre lui, ton Magnus fait un peu penser à Aerys II.

Bon bah j'espère que ce bordel ne laissera pas un trop mauvais souvenir aux vassaux... Courage au suivant.

Le 25 juin 2019 à 14:19:25 TheCody a écrit :
Toutes les dynasties ont besoin d'un Sas le Faucheur. Ça fait du souvenir.
D'ailleurs avec l'attentat à moitié raté contre lui, ton Magnus fait un peu penser à Aerys II.

Bon bah j'espère que ce bordel ne laissera pas un trop mauvais souvenir aux vassaux... Courage au suivant.

tousse -90 d'opinion du prédécesseur tousse J'ai laissé une petite "marque" chez les gens. Et oui pour les inspirations de mon perso, y'avait un peu du Aerys, avec Franz en Barristan Selmy

Le 25 juin 2019 à 14:12:14 Darkxehanort94 a écrit :
Tu as trop regardé Game of Thrones toi .

*lu

Ah ah, le Magnus II qui fout trop la merde, bien joué

Au suivant, en espérant qu'il ne se fasse pas assassiner au bout de deux mois

- SergentF4N1 - 1 tour
- Bigrat (confirmé) - 1 tour
- DeathLawli (confirmé) - en cours
- nerxi (confirmé)
- Etoile de Jai/TheCody (confirmé)
- Ozakoz (attente de confirmation)
- Rominger/LiquigAstana
- Darkxehanort94
- Drakim
- LeNainCapable
- Varanakh
- -Aerouant-
- HommeRecent

Nerxi, c'est à toi

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Moi il m' as plutôt fait penser à Joffrey .

Joffrey n'était pas fou contrairement à Aerys II
Joffrey c'était un ptit con cruel et trop gâté

Allons Joffrey n'étais qu'un jeune garçon incompris... Si on écoute sa mère

Le 25 juin 2019 à 14:36:41 DeathLawli a écrit :

Le 25 juin 2019 à 14:19:25 TheCody a écrit :
Toutes les dynasties ont besoin d'un Sas le Faucheur. Ça fait du souvenir.
D'ailleurs avec l'attentat à moitié raté contre lui, ton Magnus fait un peu penser à Aerys II.

Bon bah j'espère que ce bordel ne laissera pas un trop mauvais souvenir aux vassaux... Courage au suivant.

tousse -90 d'opinion du prédécesseur tousse J'ai laissé une petite "marque" chez les gens. Et oui pour les inspirations de mon perso, y'avait un peu du Aerys, avec Franz en Barristan Selmy

Quel cadeau

Avec une régence en plus, ça va être dur !

Je rappelle que le tour se termine à la mort du perso, quoiqu'il arrive

Le 25 juin 2019 à 16:53:02 -Aerouant- a écrit :

Le 25 juin 2019 à 14:36:41 DeathLawli a écrit :

Le 25 juin 2019 à 14:19:25 TheCody a écrit :
Toutes les dynasties ont besoin d'un Sas le Faucheur. Ça fait du souvenir.
D'ailleurs avec l'attentat à moitié raté contre lui, ton Magnus fait un peu penser à Aerys II.

Bon bah j'espère que ce bordel ne laissera pas un trop mauvais souvenir aux vassaux... Courage au suivant.

tousse -90 d'opinion du prédécesseur tousse J'ai laissé une petite "marque" chez les gens. Et oui pour les inspirations de mon perso, y'avait un peu du Aerys, avec Franz en Barristan Selmy

Quel cadeau

Avec une régence en plus, ça va être dur !

Si t’arrive à survivre jusqu'à 1020 ça disparaitra... Bon entres temps tu vas peut etre avoir "quelques" problèmes