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Sujet : arty=skill

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LordKaizer LordKaizer
MP
Niveau 6
03 octobre 2015 à 21:13:09

oué c'est ce que je disais plus haut ,c'est ultra dur je trouve de prévoir les déplacements surtout ceux des scout!

ILoveLesNouille ILoveLesNouille
MP
Niveau 10
03 octobre 2015 à 21:14:38

Et faudrait que les arty tournent plus vite, c'est op les lights qui peuvent nous circle

tyrex-daniel tyrex-daniel
MP
Niveau 10
03 octobre 2015 à 21:15:36

[Intro : Niska]
Sapés comme jamain, sapés comme jamain de jamain
Sapés comme jamain, jamain
Sapés comme jamain, sapés comme jamain de jamain
Sapés comme jamain, jamain

[Couplet 1 : Maître Gims]
On casse ta porte, c'est la Gestapo
J'vais t'retrouver, Meugui Columbo
Ça veut vendre des tonnes à la Gustavo
Un café sans sucre, j'en ai plein sur l'dos
Hé ouais, ma puce, la thune rend beau
Ça va faire six ans qu'on met des combos
Je manie les mélos, Waraoui, Warano
Tu te demandes si c'est pas un complot

[Pont : Maître Gims]
Haut les mains, haut les mains
Sauf les mecs sapés en Balmain
Balmain, Balmain
Sarouel façon Aladdin
Haut les mains, haut les mains
Sauf les mecs sapés en Balmain
Balmain, Balmain
Sarouel façon Aladdin

[Pré-refrain : Maître Gims]
Passe avant minuit (Passe avant minuit)
Je vais t'faire vivre un dream (Je vais t'faire vivre un dream)
Avance sur la piste, les yeux sont rivés sur toi
Les habits qui brillent tels Les Mille Et Une Nuits
Paris est vraiment ma-ma-ma-magique

[Refrain : Maitre Gims]
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais
Loulou' et 'Boutin (bando)
Loulou' et 'Boutin ('Boutin na 'Boutin)
Coco na Chanel (Coco)
Coco na Chanel (Coco Chanel)

[Couplet 2 : Niska]
Niama na ngwaku des ngwaku
J'contrôle la ne-zo, apprécie mon parcours
Handek à ta go, sale petit coquin, t'es cocu
Quand elle m'a vu, elle t'a plaqué
Ferregamo, peau de croco sur la chaussure
J'suis Congolais, tu vois j'veux dire ?
Hein hein, Norbatisé
Maître Gims m'a convoitisé
Charlie Delta localisé
Les mbilas sont focalisés
Sapés comme jaja, jamain
Dorénavant, j'fais des jaloux
J'avoue, je vis que pour la victoire, imbécile
La concurrence à ma vessie
Loubou', Zano' et Hermès
Louis, vide ton sac, j'veux la recette
(Bando na bando)

[Pré-refrain : Maître Gims]
Passe avant minuit (Passe avant minuit)
Je vais t'faire vivre un dream (Je vais t'faire vivre un dream)
Avance sur la piste, les yeux sont rivés sur toi
Les habits qui brillent tels Les Mille Et Une Nuits
Paris est vraiment ma-ma-ma-magique

[Refrain : Maitre Gims]
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais
Loulou' et 'Boutin (bando)
Loulou' et 'Boutin ('Boutin na 'Boutin)
Coco na Chanel (Coco)
Coco na Chanel (Coco Chanel)

[Outro : Maître Gims]
Kinshasa na Brazza (God bless)
Libreville, Abidjan (God bless)
Yaoundé na Douala (God bless)
Bamako na Dakar (God bless)
Dany Synthé oh (God bless)
Bedjik na Darcy hé (God bless)
Bilou na Dem-dem (God bless)
Djuna Djanana hé (God bless)

[Refrain : Maitre Gims]
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais (jamais)
Sapés comme jamais
Loulou' et 'Boutin (bando)
Loulou' et 'Boutin ('Boutin na 'Boutin)
Coco na Chanel (Coco)
Coco na Chanel (Coco Chanel)

LordKaizer LordKaizer
MP
Niveau 6
03 octobre 2015 à 21:18:10

C'est le chant de l'équipage de l'arty? :)

tyrex-daniel tyrex-daniel
MP
Niveau 10
03 octobre 2015 à 21:19:06

https://www.youtube.com/watch?v=AnYw3LFSOoY

-LeChasseur- -LeChasseur-
MP
Niveau 11
03 octobre 2015 à 21:20:16

Anulingus

Femmes pratiquant l'anulingus.

Anulingus entre femmes : sous la langue, on aperçoit la vulve de la partenaire passive.

Anulingus
L'anulingus ou anilinctus voire anilingus (en anglais « rimming » ou « rimjob »), ou encore « feuille de rose1 » en langage populaire, est une pratique sexuelle consistant en l'excitation buccale de l'anus ou du périnée2.

Sommaire [masquer]
1 Pratiques
1.1 Utilisation comme lubrification
2 Risques
2.1 Prévention
2.1.1 Digue dentaire
2.1.2 Lavement
2.2 Cas des parasites intestinaux
3 Orthographe et désignations
4 Dans la littérature
5 Notes et références
6 Annexes
6.1 Articles connexes
6.2 Liens externes
Pratiques[modifier | modifier le code]
La région anale est une des zones érogènes du corps. Mais l'anus n'est pas aussi spontanément érogène que les organes génitaux3, et il faut parfois répéter régulièrement les stimulations pour éveiller la sensibilité érogène de la région anale. Chez un tiers des personnes qui pratiquent régulièrement les stimulations anales, surtout internes (stimulations digitales, sodomie), ces stimulations peuvent déclencher l'orgasme4.

Article connexe : Comportement érotique.
Une variante, appelée « le colibri », consiste à enfoncer sa langue le plus profondément possible dans l'anus de son ou sa partenaire. Cette pratique fait allusion au colibri, un oiseau introduisant sa langue dans les fleurs afin d'en collecter le nectar.

Pour la personne utilisant sa bouche, on parle d'un anulingus actif. En revanche, pour la personne dont l'anus est léché, il s'agit d'un anulingus passif.

Utilisation comme lubrification[modifier | modifier le code]
L'anulingus peut aussi être pratiqué comme une préparation à la sodomie. En effet la salive possède des propriétés lubrifiantes. Cependant, cette pratique ne constitue pas une lubrification cohérente avec l'usage du préservatif, l'anulingus présentant en lui-même des risques de transmission pour certaines MST, IST.

Risques[modifier | modifier le code]
Cette pratique sexuelle est considérée comme pratique sexuelle à risque car elle comporte non seulement des risques de transmission de maladies sexuellement transmissibles : virus (dont surtout hépatite5, herpès6), mais aussi des parasites intestinaux et bactéries fécales ou non fécales pathogènes7,8,9,10.

Le risque de transmission des hépatites est particulièrement élevé pour l'Hépatite A, fort heureusement beaucoup moins dangereuse que les autres car réversible et peu grave pour un adulte sans fragilité particulière. Le risque de transmission des hépatites B et C (et potentiellement d'autres) est inférieur car celles-ci se transmettent par le sang; la contamination nécessite donc une fragilité particulière des muqueuses et une mise en continuité des compartiments sanguins de chaque personne. Ce risque n'est cependant pas exclu. Hors blessure et saignement, cette pratique comporte peu de risques de transmission du VIH.

Prévention[modifier | modifier le code]
Outre une toilette minutieuse à l'eau et au savon, seule la digue dentaire permet de prévenir les risques de transmissions des MST.

Digue dentaire[modifier | modifier le code]
L'utilisation d'une barrière en latex offre la même protection qu'un préservatif. Cet accessoire est le même que celui recommandé pour la pratique du cunnilingus. Il est cependant difficile à se procurer en dehors des fournisseurs spécialisés en articles médicaux ou des sex shops. Cependant, il est tout à fait possible de s'en fabriquer une en découpant un préservatif dans le sens de la longueur.

Lavement[modifier | modifier le code]
Les inconvénients dus aux reliquats de matières fécales peuvent être réduits par la pratique du lavement avant l'acte, dans le cas d'un anulingus perforant qui s'apparente à une sodomie, mais également pour un anulingus plus classique où la proximité du contenu de l'ampoule rectale se fait sentir. Cependant, le lavement ne constitue pas une réduction du risque de maladies infectieuses, les germes ou les œufs les induisant ne sont pour la plupart pas situés dans les fèces. Les virus et bactéries les plus virulents sont situés dans la paroi intestinale ou dans le sang, et les œufs de parasites sont souvent déposés sur la marge de l'anus, dans les replis de celui-ci, attendant d'être transmis par voie manuportée.

Le lavement, par la contrainte importante qu'elle fait subir à la partie inférieure du tube digestif, ou de la mauvaise utilisation de la canule, ainsi que de ses bords potentiellement coupants, pourrait même induire des microlésions et augmenter les risques infectieux.

Le lavement peut être aussi pratiqué par plaisir : il s'agit alors de clystérophilie.

Cas des parasites intestinaux[modifier | modifier le code]
Le cycle de transmission oro-fécal de certains parasites intestinaux est habituellement engendré par une mauvaise hygiène des mains après défécation ou par grattage de l'anus à cause du prurit induit par les parasites, ce qui est source d'autocontamination et de réinfestation.

Dans le cas de l'anulingus, cette contamination est extrêmement probable, voire systématique. Il peut s'ensuivre un cycle de réinfestations perpétuelles pour un couple dont les deux membres ont recours à cette pratique. Cette pratique n'est pas toujours prise en compte dans les risques potentiels de contamination oro-fécale.

Cas du ténia : ce ver nécessite habituellement un hôte intermédiaire qui est le plus souvent un bovin ou un porc, chez qui la larve se développe et qui est consommé ensuite par l'être humain. Dans le cas de contamination par ingestion d'œufs de ténia, l'homme peut alors servir d'hôte intermédiaire de substitution. Il se développe alors une maladie correspondant au développement de l'œuf appelé cysticercose, autrement plus dangereuse que la Tæniasis, infection classique due à l'absorption d'aliments trop peu cuits. Cette maladie provoque des atteintes très graves des muscles voire du cerveau.

Il est donc recommandé de ne pas pratiquer l'anulingus sur une personne souffrant de tæniasis sans une protection par digue buccale. Toutefois la contamination est moins probable en raison de la taille des proglottis, visibles à l'œil nu.

Orthographe et désignations[modifier | modifier le code]
Le mot semble avoir été créé de toutes pièces à l'époque moderne. De nombreuses orthographes ont été utilisées de manière plus ou moins abusive, sans que l'une d'entre elles se soit aujourd'hui imposée. On recense ainsi les variantes : anulingus (la plus commune en français, sa relation avec le mot anus étant évocatrice, et la racine lingus se retrouvant dans cunnilingus), anilinctus, analingus (ces deux versions seraient inspirées de l'anglais), anilingus, anulinctus, analinctus. De manière générale, toutes les combinaisons des préfixes ana-, ani-, anu- et des suffixes -lingus, -linctus ont été utilisées. Les préfixes anna- ou annu- sont toutefois impropres.

Un certain nombre de mots anglais sont utilisés, souvent dans le cadre de la pornographie ; le plus connu est rimming.

En français, on utilise les expressions « rapport bucco-anal » ou « rapport oro-anal ». Celle retenue dans la Wikipédia en anglais est « anal-oral contact »11.

La connotation plus poétique de certaines périphrases permet d'atténuer l'image du terme. Comme toute expression argotique, c'est aussi un code permettant de ne pas dévoiler la vraie nature de l'acte. Il est même possible que ces termes soient antérieurs aux précédents, plus médicaux :

feuille de rose : cette expression se réfère à l'aspect de l'anus. Les pétales froissés d'une fleur fermée et leur défroissement lors de l'ouverture du bouton de la rose est dans ce contexte très représentatif de la dilatation de l'anus.
fleur de rose : cette appellation moins fréquente représente plus le fait que l'on associe l'anus aux pétales.
ass licking : expression anglo-saxonne pour nommer l'anulingus.

Sidipoc Sidipoc
MP
Niveau 7
03 octobre 2015 à 21:21:21

Demande de demande de DDB pour troll -lechasseur- :)

ILoveLesNouille ILoveLesNouille
MP
Niveau 10
03 octobre 2015 à 21:21:33

Topinambour Helianthus tuberosus.

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir artichaut (homonymie) et poire de terre.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2013).
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références » (modifier l'article, comment ajouter mes sources ?).
Helianthus tuberosus.
Description de cette image, également commentée ci-après

Helianthus tuberosus
Classification de Cronquist (1981) Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Asteridae
Ordre Asterales
Famille Asteraceae
Genre Helianthus

Nom binominal

Helianthus tuberosus.
L., 1753

Classification APG II (2003)
Classification APG II (2003) Ordre Asterales
Famille Asteraceae

Le topinambour (Helianthus tuberosus L., 1753), aussi appelé artichaut de Jérusalem, truffe du Canada ou soleil vivace, est une espèce de plante vivace de la famille des astéracées, cultivée comme légume pour ses tubercules riches en inuline.

C'est une espèce voisine du tournesol (Helianthus annuus) qui appartient au même genre.

L'appellation anglaise « artichaut de Jérusalem » (Jerusalem artichoke) vient de la déformation du terme italien girasole (« tournesol »). L'appellation « cul d’artichaut » en langage populaire provient de son goût proche de l'artichaut. Les qualités gustatives de ce tubercule s'approchent du navet avec une pointe de noisette.

Le nom de « topinambour » – il était auparavant appelé « truffe du Canada » – résulte de la francisation du nom d'une tribu du Brésil, les Topinamboux (Tupinambas)1, dont plusieurs membres furent amenés comme curiosité à Paris en 1613, ce qui conduira Carl von Linné à croire à l'origine brésilienne de la plante, introduite en France à peu près à la même époque.

Sommaire

1 Description
2 Origine et distribution
3 Culture
3.1 Variétés
4 Utilisation
5 Calendrier républicain
6 Références
7 Bibliographie
8 Liens externes

Description
Le topinambour peut atteindre jusqu'à 3 m de haut.
Fleurs de topinambour.

C'est une plante vivace très rustique, résistante au froid, qui peut devenir envahissante à cause de ses rhizomes tubérisés. Elle peut atteindre jusqu'à 2,5 m de haut, avec de fortes tiges, très robustes. Son cycle est annuel.

Ses feuilles, alternes, sont de forme ovale, à pointe aiguë, rudes au toucher.

Ses inflorescences sont des capitules entièrement jaunes groupés en panicule terminal, apparaissant de septembre à octobre. Les variétés cultivées ne fleurissent généralement pas.

Ses tubercules, qui sont des rhizomes tubérisés, ont une forme mamelonnée, très irrégulière, arrondie ou ovale, toujours plus amincie à la base. Ils sont recouverts d’écailles brunes rosées entre lesquelles apparaissent des nœuds. Sa couleur varie du jaune au rouge.

La substance de réserve n'est pas l'amidon comme pour la pomme de terre, mais un glucide qui en est proche, l'inuline, qui est un polymère du fructose. Ce glucide non assimilable n'influence pas la glycémie des personnes présentant un diabète sucré, contrairement à l'amidon. Elle est par contre métabolisée par certaines bactéries intestinales et peut donc provoquer des flatulences.
Origine et distribution

Le topinambour est originaire d'Amérique du Nord (États-Unis et Canada), où il était cultivé par des tribus amérindiennes avant l'arrivée des Européens. L'explorateur anglais Walter Raleigh le découvre en 1585 en Virginie, et Samuel de Champlain l'observe au Cap Cod en 1605. L'avocat et voyageur Marc Lescarbot, qui embarque en 1606 à La Rochelle avec son ami Jean de Poutrincourt, atteint la première colonie française, Port-Royal, où Champlain lui fait découvrir le tubercule. Lescarbot en rapporte en France sous le nom de « canada » lors de son retour en 16072.

Sa diffusion en Europe se développe rapidement grâce à sa culture facile, sa rusticité et sa forte multiplication végétative, même dans des sols pauvres. Il est appelé poire de terre dans le Traité des aliments de Louis Lémery en 17023.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, sa consommation en tant que légume de rationnement, souvent mal cuit et cuisiné sans matière grasse, a laissé dans certains pays d'Europe de mauvais souvenirs. En effet, le topinambour, tout comme le rutabaga (Brassica napus subsp. rapifera), a vu sa consommation augmenter, car il n'était pas, comme la pomme de terre, réquisitionné4 au titre des indemnités de guerre versées à l'Allemagne.
Culture

C'est une plante rustique, facile à cultiver, même dans les sols les plus pauvres. Elle est peu sensible aux maladies, hormis l'oïdium, et aux prédateurs, tels que lapins ou chevreuils5, mais les limaces peuvent décimer les jeunes plants et les tubercules. Les topinambours ne craignent pas le froid tant qu'ils sont en terre.

La multiplication se fait par plantation de tubercules en lignes, en février ou mars, selon les régions. Il convient de butter les plants dès qu'ils ont atteint un certain développement. On peut aussi bouturer la plante en juin en prélevant vers le haut du plant une bouture d'une vingtaine de centimètres et en la plantant en milieu humide et chaud à mi-ombre.

La récolte peut se faire environ sept mois après la plantation, à partir de septembre et jusqu'en mars, toujours selon les régions, et en fonction des besoins. En effet, les tubercules déterrés ne se conservent pas et le tubercule arraché craint le gel. C'est généralement vers la mi-octobre que les producteurs commencent à avoir un rendement convenable mais, plus l'automne avance, plus le goût du topinambour s'améliore.

Si on souhaite arrêter la culture, il est important de bien récolter tous les tubercules, car même un fragment peut repousser l'année suivante. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les cultivateurs plantaient une épluchure de ce légume et à la fin de l'année, ils avaient de nouveaux plants à consommer l'hiver.
Variétés

Il existe différents cultivars de topinambours tels que :

Patate : bulbes arrondis faciles à éplucher, peau rougeâtre, chair blanche, d’une finesse remarquable, très productif ;
Violet de Rennes : tubercules en forme de massue à peau violet clair, ancienne variété française de bonne qualité culinaire ;
Sakhalinski rouge : tubercules en forme de massue, violet clair ;
Rouge du Limousin, ou Fuseau : plus petits tubercules allongés rosés et sucrés.

Utilisation
Tubercules de topinambour.

Les tubercules se consomment cuits de diverses manières : en salade, chauds en accompagnement, frits, en purée, sautés au beurre, etc. On peut aussi les consommer crus, râpés ou coupés en lamelles, comme des crudités dans de la vinaigrette. Leur saveur se rapproche de celle des fonds d'artichaut ou des salsifis.

Il contient de nombreuses vitamines, notamment A, C et B3, des sels minéraux, comme le potassium, et des glucides, essentiellement sous forme d'inuline, ce qui en fait un aliment assez pauvre en calories. L'inuline n'étant pas assimilée par l'organisme, elle est métabolisée par certaines bactéries intestinales et peut donc provoquer des flatulences. Celles ci sont intensifiées par la cuisson à l'eau, sauf si on ajoute à l'eau de cuisson du bicarbonate de soude ou une branche de céleri6.

En alimentation animale, le tubercule peut être donné aux bovins, aux porcins et aux lapins. La plante entière peut être utilisée comme fourrage7. Selon certaines sources, les feuilles séchées auraient servi de succédané au tabac à fumer, comme d'autres plantes telles que les barbes de maïs, la menthe et la jusquiame8,9.
Calendrier républicain

Dans le calendrier républicain, le topinambour était le nom attribué au 13e jour du mois de brumaire10.
Références

http://www.amap-terresdecisse.fr/recettes/topinambours.html [archive]
↑ (fr) Michel Pitrat, Claude Foury, Histoires de légumes : des origines à l'orée du XXIe siècle, Éditions Quae,‎ 2003, 410 p. (ISBN 9782738010667).
↑ « Le topinambour » [archive], dans Fureur des vivres, n° 1, janvier 2008 : « Les légumes oubliés ».
↑ Anne-Sophie Luguet-Saboulard, Cuisiner les légumes oubliés, c'est malin, Leduc.S, 2013, p.8.
↑ G. S. Thomas, Perennial Garden Plants, Londres, J. M. Dent & Sons, 1990.
↑ H. Vindgangur, « Inuline desorption process by Apium graveolens L. enzymatic activity : 1- Preliminary in vitro results », dans Isl. J. Gastroent., 19(6), 2003, p. 112-123.
↑ Alexandre-Henri Tessier, André Thouin, Auguste-Denis Fougeroux de Bondaroy, Encyclopédie méthodique. Agriculture [archive], Paris, Panckoucke, 1816, t. 6, p. 492-495.
↑ Éric Godeau, Le Tabac en France de 1940 à nos jours. Histoire d'un marché [archive], Paris, Presses de l'Université Paris-Sorbonne, 2008, p. 26 (ISBN 978-2-84050-561-7).
↑ « Le Jardin de mon père » : « Tabac ». [archive]
↑ Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine, Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française [archive], p. 20.

Bibliographie

Françoise Ladrier, « Note sur l'introduction de la culture du Topinambour à Saint-Léger », dans Annales de l'Institut archéologique du Luxembourg, 1964, p. 121-125

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Topinambour, sur Wikimedia Commons

Références Pl@ntUse : Helianthus tuberosus (fr)
Référence Flora of North America : Helianthus tuberosus (en)
Référence Flora of Missouri : Helianthus tuberosus (en)
Référence Catalogue of Life : Helianthus tuberosus L. (en)
Référence Tela Botanica (France métro) : Helianthus tuberosus L., 1753 (fr)
Référence Tela Botanica (Antilles) : Helianthus tuberosus L. (fr)
Référence ITIS : Helianthus tuberosus L. (fr) (+ version anglaise (en))
Référence NCBI : Helianthus tuberosus (en)
Référence GRIN : espèce Helianthus tuberosus L. (en)

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v · m
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LordKaizer LordKaizer
MP
Niveau 6
03 octobre 2015 à 21:21:42

je boost :)

Mafeking Mafeking
MP
Niveau 10
04 octobre 2015 à 11:29:56

Un cancer (ou tumeur maligne) est une maladie caractérisée par une prolifération cellulaire (tumeur) anormalement importante au sein d'un tissu normal de l'organisme, de telle manière que la survie de ce dernier est menacée. Ces cellules dérivent toutes d'un même clone, cellule initiatrice du cancer qui a acquis certaines caractéristiques lui permettant de se diviser indéfiniment. Au cours de l'évolution de la maladie, certaines cellules peuvent migrer de leur lieu de production et former des métastases. Pour ces deux raisons, le dépistage du cancer doit être le plus précoce possible.

« Cancer » est un terme général désignant une maladie pour lesquelles certaines cellules d'un organisme adoptent un comportement anormal caractérisé par1,2,3,4 :

une indépendance vis-à-vis des signaux qui stimulent normalement la multiplication des cellules ;
une insensibilité aux signaux et mécanismes anti-prolifératifs ;
une capacité proliférative qui n'est plus limitée (croissance à l'infini) ;
la disparition du phénomène d'apoptose ;
une capacité anormale à susciter l'angiogenèse ;
et l'acquisition d'un pouvoir invasif et de production de métastases.
Les nouvelles cellules résultantes, dites « cancéreuses » ou « tumorales » peuvent former une tumeur maligne (un néoplasme) ou se propager à travers le corps.

Les facteurs de risques sont internes (génome, mutation5, etc.), induction par un agent infectieux, etc. et/ou externes (alimentation, exposition à des substances cancérigènes ou à des conditions telles que l'irradiation, etc.). Le nombre de multiplication des cellules d'un tissu donné au cours de la vie est fortement corrélé au risque de cancer, d'après une étude publiée dans Science6 et portant sur 31 localisations possibles du cancer les 2/3 de la variation du risque (et non pas les 2/3 des cas de cancers comme l'ont souvent rapportée les médias7) entre ces localisations s'expliqueraient par des mutations aléatoires, le reste se partageant entre facteurs environnementaux et génétiques.

Des facteurs hormonaux, et épigénétiques sont possibles. Des études scientifiques concluent que seul 5 à 10 % des cas de cancer sont uniquement attribués à des facteurs génétiques contre 25 à 30 % au tabagisme, 30 à 35 % aux régimes alimentaires (dont l'alcool), 15 à 20 % aux infections, et 10 à 25 % aux autres facteurs (rayons ionisants, stress, activité physique insuffisante, pollution de l'environnement)8. Ces chiffres sont en réalité trompeurs : comme toute pathologie le cancer est le résultat d'une interaction complexe entre l'environnement et l'individu9, or les recherches actuelles ont du mal à identifier des facteurs de risques génétiques uniquement lié à un facteur environnemental ou comportemental10. Certaines études mettent par exemple en relief certaines prédispositions génétiques du cancer qui ne favoriseraient l'apparition de la maladie qu'en cas de facteur externe : les obèses diabétiques ne seraient pas tous égaux face au risque de cancer selon leurs gènes11. Des études futures vont sans doute permettre de mieux comprendre l’interaction entre l'environnement et la génétique12.

Durant la dernière décennie, plusieurs types de cancers semblent en augmentation, si dans certains cas cette progression est facilement liée à des facteurs de risque identifiés (tabac, alcool, polluants industriels reconnus cancérigènes, obésité, sédentarité, exposition au soleil) dans certains cas il est difficile d'attribuer à des facteurs précis l'augmentation observée. L'amélioration des outils de diagnostic13 et le vieillissement de la population14 expliquent une part importante de la progression de l'incidence de certains cancers. À l'inverse une étude de l'Institut de veille sanitaire montre que les cancers de l'estomac, de l’œsophage (chez l'homme), du col de l'utérus et le lymphome hodgkinien ont régressé entre 1980 et 200015

Jay-explosay Jay-explosay
MP
Niveau 9
05 octobre 2015 à 12:09:08

Le 03 octobre 2015 à 21:12:04 MrPoneyRoseFluo a écrit :
Le temps de vol de l'obus est trop long aussi

Oui need un Obus qui tombe instant sur les gens, avec guidage laser et splash renforcé par des éclat de métal russe :oui:

BlablaPaige BlablaPaige
MP
Niveau 12
05 octobre 2015 à 12:45:03

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