Rando'

je joue depuis la sortie du jeu, j'en suis encore qu'a la fin de tous les braquages

Effectivement on pourrait en faire une série... sur 10 saisons minimum.

Le 10 octobre 2016 à 18:35:21 Randocan a écrit :
Effectivement on pourrait en faire une série... sur 10 saisons minimum.

Je valide cette idée, va falloir que tu te mettes à bosser par contre /

Et IRL ta bio c'est : il joue devant un écran et se branle sur ponhub

fin

Bawé, devant un écran pas derrière

Il y a de l'idée

On arrive accosté par Lamar, on galère pour la thune, quand un jour des grands criminels avec des milliards de dollars de prime arrivent a Los Santos en masse, résultat notre perso le traque et vit une vie de milliardaire, achète tout jusqu'à se faire cambrioler tout son argent mais les voleurs ont laissé 500k en guise de message.
Plus tard, le bruit tourne que certaines prostituées magiciennes font multiplier les voitures, un genre de magie noire, du coup beaucoup de gens font appel à leur service, on redevient millionaire.
Mais notre perso, ce gros rat, en veut toujours plus donc il se met à braquer tout et n'importe quoi, même une prison... Il nage dans l'argent et d'un coup il veut passer au niveau supérieur et se crée une vie de milliardaire avec yacht, bureau de PDG, clubhouse, villa, entrepots... il se retrouve ruiné et fait de l'achat revent de faggio dont la cote a grandement augmentée..

Quelque temps plus tard, il se lança dans la revente de véhicules volés. Une aubaine pour lui qui en avait marre de vendre de la drogue souvent sous couvert de fourgons de la poste qui n'avançaient pas. Il mettait tout son cœur à l'ouvrage, puisqu'il allait lui-même les voler et les revendre. Bien que rentable, ce business le lassa un peu (bien que SecuroServ le recruta pour effectuer quelques missions en lui mettant à dispositions des véhicules pour le moins particuliers), mais il reçut un appel de l'Agent 14, qu'il avait connu à l'époque où il faisait des braquages. Celui-ci le convainc d'acheter un ancien bunker et de se lancer dans un business encore plus juteux : le trafic d'armes.

A la tête de son équipe de production, notre ami enchaînait les ventes à destination de milices et autres acheteurs. Bientôt, il eut même les moyens de s'acheter un camion spécial, véritable centre d'opérations mobile, où il pouvait modifier de nouveaux véhicules armés que 14 lui avait fait connaître en l'engageant pour quelques services impliquant ces véhicules : VAB amphibie, batterie SAM montée sur remorque, grosse cylindrée surarmée et même une moto dotées d'ailes lui permettant de planer ! Mais a force de réapprovisionner son bunker par lui-même, notre protagoniste fut un jour confronté à un événement étrange : une scène de chaos, dans une ambiance mystérieuse, au centre duquel trônait un œuf. Des aliens surgirent, mais flambaient dès qu'il les visaient. Notre ami ramena l’œuf au bunker, quelque peu interrogé par ce singulier événement.

Encore plus tard, il reçut un appel de Ron, l'ami de Trévor qu'il avait déjà croisé à l'époque des braquages. Celui-ci lui demanda d'acheter un hangar pour faire de la contrebande aérienne. Embêté d'être toujours dépendant de Pegasus, il s'acheta un hangar à Fort Zancudo, et du même coup d'un laissez-passez lui permettant de circuler librement dans la base. Il entreposa ses quelques anciens appareils aériens et en acheta de nouveaux, mettant ainsi à profit ses talents de pilote.

Mais tout cela était encore trop terre à terre pour notre ami, qui continuait à s'ennuyer face à cette routine lucrative. C'est alors que Lester le recontacta, lui demandant d'acheter un ancien complexe gouvernemental. Explorant dans cette nouvelle installation qui ressemblait à une base de méchant de James Bond, il trouva Lester dans une salle ronde dont la moitié du mur était occupée par un écran géant. Il n'était pas seul : un homme avec un sac sur la tête était assis non loin. Lester le libéra et l'individu se présenta : il s'agit d'Avon Hertz, un milliardaire génie de l’informatique, qui avait amené avec lui sa meilleure création : Clifford, une puissante IA pas avare de compliments à l'égard de son créateur. Notre perso, et les quelques amis qu'il avait amené avec lui, furent informés de leur mission : sauver le monde d'une menace inconnu. Ils durent d'abord récupérer des informations que Clifford analyserait, utilisant des outils de pointe tels qu'une voiture volante armée et un hélicoptère furtif, affrontant Merryweather et le NOOSE. Après traitement, Clifford en déduit que l'ennemi était Bogdan, un commandant russe dont le SNLE était stationné au large de Paleto Bay.

Notre protagoniste, avec ses coéquipiers, prépara son assaut sur le sous-marin, volant un avion convertible, sauvant un informateur retenu dans une fonderie, récupérant des disques durs jetés au feu par ces mêmes qui retenaient l'informateur, qui par ailleurs étaient beaucoup plus résistants que ce que le protagoniste avait affronté jusque là. Finalement, il aborda le sous-marin au moyen d'une voiture pouvant se transformer en submersible, et finit par confronter Bogdan, qui lui révéla que lui et son équipage étaient des renégats, sans lien avec la Russie et qu'il connaissait l'identité de la véritable menace, selon lui Clifford. C'est alors qu'Avon Hertz prit la parole et confirma les dires du commandant russe, tandis que Clifford, que notre perso avait branché au systèmes au sous marin, initia son autodestruction. Le protagoniste parvint à s'enfuir, et alla rejoindre son ami qui depuis son entrée dans la sous marin repoussait les hélicoptères au moyen des tourelles de l'avion convertible. Retournant en ville, ils furent accueillis au hangar par un Lester furieux qui s'en voulait d'avoir été berné. 14 et Rackman, agente de l'IAA, étaient désemparés.

Mais Bogdan avait réussi à s'échapper, et ses informations furent précieuses. Après avoir notamment arraché l'agent 14 des griffes des mercenaires de Clifford accompagnés de robots mastodontes, couvert la fuite de leur informateur sauvé dans la fonderie avec un camion lance missiles et volé un tank futuriste, le protagoniste et ses coéquipiers allèrent vers leur destin : détruire Clifford, qui avait pris le contrôle d'un vieux silo à missile caché dans le Mont Chiliad, afin de déclencher une apocalypse nucléaire. Au terme d'un long et difficile combat, notre perso et ses amis parvinrent à empêcher le lancement du missile, détruire les restes physiques de Clifford au canon orbital et à tuer Avon Hertz au terme d'une poursuite en jetpack. Le monde était sauvé.

Mais notre héros, loin de goûter à la vie simple d'un citoyen honnête, reprit ses activités habituelles. Bientôt, le réputé Tony Prince arriva de Liberty City et rencontra notre perso, qui sur ses conseils acheta une boite de nuit pour couvrir un autre business secret, les techniciens se servant des compétences de ses autres lieux de productions pour produire de nouvelles marchandises, sans apport préalable. La pirate Paige Harris lui proposa un camion high-tech de sa conception permettant de gérer ses réapprovisionnement depuis n'importe où, mais aussi de stocker et de modifier la dernière-née de Pegassi : l'Oppressor Mk2, une moto volantes aux capacités offensives hors-normes, qui devint le véhicule favori de notre protagoniste, car très utile pour optimiser ses activités et ses déplacements. Mais une nuit, alors que notre ami s'était pris une énorme cuite suite à un whisky trop fort, il se réveilla sur le Mont Chiliad, et eut juste le temps d'apercevoir une soucoupe volante filer au loin. En prenant sa douche, il remarqua un bien étrange tatouage dans son dos, qui ressemblait à la fresque qu'il avait aperçu sur un mur de la gare téléphérique du Mont Chiliad.

Quelques mois plus tard, il se rendit sur demande d'une certaine Bryony à la Maze Bank Arena, où il avait sur ses conseils acheté un atelier. Elle l’accueillit et lui présenta Alan Jérôme, animateur de télévision persuadé que la guerre d'arène motorisée serait le plus grand divertissement télévisuel de l'avenir. Après un premier match, Jérôme vit le potentiel de notre ami, qui bien qu'achetant un ou deux véhicules d'arène, se désintéressa vite de l'activité trop peu rentable et utilisa les garages de l'atelier pour y stocker une partie de ses véhicules armés.

Il y eut du changement à Los Santos : l'ancien casino fut rasé et remplacé par un autre, beaucoup plus grand et luxueux, le Diamond Casino and Resort. Intéressé, notre ami alla miser ses sous sur quelques jeux et essaya la roue de la fortune, qui lui fut plutôt chanceuse, car il gagnait à chaque fois le véhicule du podium : il faut dire que les employés d'entretien, en nettoyant la roue, la remettaient tous les jours à la même place, il suffisait de venir tôt et de la lancer toujours de la même façon. Il acheta également une luxueuse suite, ce qui attira l'attention de la directrice du casino, qui l'impliqua vite dans une histoire de tensions entre les propriétaires chinois du casinos et leurs rivaux texans. Au terme de plusieurs confrontations et coups bas, le casino se fit racheter par les américains, mais tout le monde garda son poste, excepté le chef de la sécurité.

Georgina Cheng, membre de la famille anciennement propriétaire du casino, alla trouver Lester (elle devait le connaître de réputation), lui demandant d'engager une équipe pour braquer le casino afin de se venger de la famille rivale. Lester se tourna naturellement vers notre perso, dont les compétences n'étaient plus à prouver. Plusieurs manières de faire étaient possibles, mais notre ami choisit la méthode rusée : déguisés en convoyeurs de fond, lui et ses coéquipiers se virent ouvrir gentiment la porte de la chambre forte par le gardien, qui remercièrent d'une patate dans la glotte, pillèrent son contenu et ressortirent avant que l'alarme ne se déclenche. Ils ressortirent ensuite du casino sous un autre déguisement, et bien que le NOOSE se soit déployé entre temps, parvinrent à s'échapper en hélicoptère (repéré par hasard lors d'un survol) et à remettre leur butin aux acheteurs, qui les payèrent grassement. Alors que notre perso et ses amis retrouvèrent Lester pour fêter leur coup, Georgina arriva et leur demanda de braquer le casino dès qu'ils le pourraient et autant de fois que possible, dans le but de faire s'effondrer la prime d'assurance de la famille texane. Nos amis acquiescèrent silencieusement, et laissèrent Lester et Georgina, qui éprouvaient mine de rien quelques sentiments l'un envers l'autre.

Quelques mois plus tard, alors que notre ami partageait son temps entre les braquages de casino, les ventes les courses de voitures (notamment monoplaces) et les fêtes privées dans sa suite de casino, le capitaine de son yacht l'appela, et lui demanda de l'aide pour contrer une bande de malfrats qui avaient volé les jet skis du yacht. Mais cela alla ensuite plus loin, car notre ami dut sauver le capitaine et la barmaid d'une prise d'otage, contrer une attaque générale sur son yacht privé d'électricité et ballotté par les vagues pour finalement tuer le chef de la bande en abordant son propre yacht par la voie sous-marine. Reconnaissant, le capitaine baissa le prix qu'il demandait habituellement pour déplacer le yacht, et remit à notre protagoniste une belle tenue de capitaine.

Notre perso était décidément heureux à Los Santos : ses business et surtout les braquages régulièrement menés contre le casino lui assuraient une bonne source de revenus, si bien qu'il avait tous les véhicules qu'il voulait, exposés dans de nombreux garages. Notre héros, alors accoudé à la rambarde de son yacht, regardant la ville sous couvert de soleil couchant, se surprit l'espace d'un instant à penser à ce que pouvait bien lui réserver l'avenir...

Super post qui complète parfaitement le premier du topic!

Ça en fait une vie pleine d'aventures

Peut être trop rythmée même certains ne tiennent pas le coup et décident d'en finir, on a eut une vague de suicides (reset) dernièrement

Oups, c'était pas censé être un pavé désolé

Ça change de "Qélle et la voiture la pu rapide"

Le 08 septembre 2020 à 23:15:07 Lepetitcondu78 a écrit :
Super post qui complète parfaitement le premier du topic!

C'était le but en même temps

j'ai tout lu, 9/9/20 à 16:14

Voilà six mois que nous avons laissé notre protagoniste : braquer le Diamond Casino était certes rentable, mais la sécurité ne renouvelait pas beaucoup ses tactiques, et notre ami commença à s'en lasser. Il n'avait également plus rien de nouveau à acheter, entassant des millions sur son compte en banque sans les dépenser.

Un jour, alors qu'il dormait paisiblement dans sa suite au casino, il fut réveillé en sursaut par de forts bruits de travaux, résonnant jusque dans sa chambre. Il alla se plaindre à Tom Connors, qui lui informa que ces travaux étaient ceux d'un nouvel établissement, situé sous le casino, et dont l'ouverture était prochaine. Un peu plus tard, l'on sut la nature de cet établissement : une grande discothèque nommée The Music Locker, qui finit par ouvrir ses portes, accueillant à ses platines des DJ de renom comme Moodymaan ou Palm Thrax.

C'est donc tout naturellement que notre personnage s'y rendit, curieux notamment de voir à quelle point cette boîte de nuit était plus grande que la sienne, et elle l'était. Comme il possédait une suite au casino, il se rendit au carré VIP, où il rencontra Miguel Madrazo, le fils de Martin Madrazo, celui qui peu après son arrivée à Los Santos lui avait fourni quelques petits boulots. Il retrouva aussi Dave l'Anglais, qui tenait des propos toujours aussi incohérents que du temps où il l'avait rencontré en même temps que Tony Prince. Miguel demanda l'aide de notre ami, car il avait besoin de récupérer des informations compromettantes, détenues par le fournisseur de son père, un certain El Rubio. Ce dernier ne vit pas à Los Santos, il fallait donc aller récupérer ces preuves chez lui, à Cayo Perico : une île colombienne privée hautement militarisée qui, sous couvert de lieu de fête prisée par la jet-set, abritait des lieux de productions de matières illégales.

Pour mener à bien cette complexe opération, Miguel demanda à notre protagoniste de se procurer un sous-marin nucléaire d'attaque : notre personnage n'en crut pas ses oreilles, et un peu plus tard ses yeux quand il vit le sous-marin en question, le Kosatka, en vente sur son site de vente militaire préféré. Ayant de l'argent à dépenser, il l'acheta, avec bien entendu toutes les options, et se rendit à la position indiquée, un peu au large de la côte est. Alors qu'il approchait, il vit le sous-marin émerger des vagues dans un bouillonnement, accompagné d'une sonnerie caractéristique. Notre ami aborda son bâtiment, et rentra par la porte blindée du kiosque.

Arrivé à l'intérieur, il se rendit vite compte que le sous-marin lui avait été vendu avec son homme à tout faire : Pavel, véritable vestige de la fin de l'ère soviétique, qui visiblement n'avait pas vu la lumière du jour depuis bien longtemps. L'homme se présenta, expliquant qu'à l'effondrement de l'URSS, il avait sauvé ce bâtiment de la ruine, et modifié pour qu'il puisse fonctionner en équipage réduit, ce qui expliquait l'absence d'autres hommes d'équipage.

Il fit ensuite à notre protagoniste le tour du propriétaire : d'abord le poste de commandement, où se trouvaient le périscope, le poste de pilotage, une grande table centrale et deux postes de lancement de missiles à guidage manuel, d'une portée effective de quatre kilomètres. Ensuite, le puits de plongée, où se trouvait un hélicoptère miniature posé sur une plateforme élévatrice, et à l'étage du dessous un sous-marin d'exploration, mais aussi un autre achat compulsif : la Toreador, véritable Stromberg Mk2, beaucoup pus performante que le véhicule que notre ami avait jadis utilisé pour aborder le Reimus, sous-marin du commandant Bogdan : plus rapide et maniable, elle était également pourvue d'un court mais intense boost ainsi que d'un sonar, mais aussi d'une ligne plus élancée et de fenêtres panoramiques. Avec mitraillettes et torpilles de série, bien entendu.

Mais notre ami allait tester ses nouveaux jouets plus tard, car Pavel l'entraîna vers la table centrale du poste de commandement, qui intégrait un grand écran tactile où s'afficha la carte de l'île de Cayo Perico. Car il fallait désormais faire une reconnaissance des lieux, pour se familiariser avec l'endroit, jauger la sécurité et surtout localiser les fameuses preuves. Le protagoniste, à l'aide de l'hélicoptère du Kosatka, se rendit à l'aéroport de Los Santos, où Dave l'Anglais l'attendait. Au courant du futur braquage, il allai fournir à notre ami une couverture parfaite : il serait le co-manager des DJ du groupe berlinois Keinemusik, qui doivent se rendre à Cayo Perico pour animer la fête locale. S'envolant avec eux dans leur jet privé, notre héros eut un pincement au cœur en voyant Los Santos s'éloigner dans le hublot, ville qu'il n'avait plus quitté depuis qu'il s'y était installé, il y a sept ans.

Après quelques heures de voyage, le jet se posa sur la piste de Cayo Perico, et Dave, Keinemusik et nore perso en descendirent. Ils furent accueillis par le maître des lieux, El Rubio, qui les guida vers la fête, bientôt rythmée par les accords du groupe. Mais notre perso, qui depuis son arrivée admirait un peu béatement le paysage, fut ramené à la réalité par Pavel, qui lui parlait depuis une oreillette dissimulée, et le guidait au moyen de l'émetteur GPS tout aussi dissimulé : il était temps de se mettre au travail. Notre ami prit discrètement la tangente pour explorer l'île. Il essaya de passer le checkpoint, lourdement gardé, mais se fit repérer par les gardes. Un coup de crosse dans le sternum plus tard, il fut reconduit sans ménagement à la fête, d'où il repartit immédiatement.

Observant attentivement les allées et venues régulières des gardes, il passa cette fois le checkpoint sans se faire voir, et continua sa route jusqu'à la haute antenne de radio située plus loin. Arrivé là, il pirata l'antenne via le boîtier électrique pour voir sur son téléphone les vues des caméras de la propriété de El Rubio, qui venait justement de servir à sa panthère l'un de ses hommes de main qui avait oublié de la nourrir, justement. Passant d'une caméra à l'autre, notre perso tomba sur celle de la cave secrète, et vit un coffre fort avec à l'intérieur les fameuses preuves. Tel était son objectif principal. Il passa en revue l'intérieur des réserves annexes qui contenaient des tas d'or ou de billets, ainsi que les différents points d'entrée dans la base, que Pavel de son côté consignait sur l'écran de planification.

Notre ami descendit de l'antenne, et sur les indications de Pavel se rendit aux quatre coins de l'île pour prendre en photo des points d'entrées, de sortie, mais aussi des lieux de stockage de drogue grillagés et d'autres éléments utiles, comme des pinces coupantes, des grappins ou des tenues de garde attendant leur lessive, avant de les envoyer à Pavel. Il trouva également un tunnel sous-marin fermé d'une grille, en contrebas de la villa, potentiel point d'entrée. Son repérage terminé, il retourna à l'aéroport, où il retrouva Dave, qui lui informe qu'il veut rester sur cette île pour toujours, car la drogue y coule à flots. Une minute plus tard, notre ami repartait pour LosSantos.

Revenu à son sous-marin, il s'attela à la préparation de son plan. Il avait besoin de plusieurs choses : un véhicule pour débarquer sur l'île, le code du coffre où étaient stockées les preuves, qu'il alla chercher sur le cadavre d'un associé de El Rubio dans la suite privée de ce dernier, un duplicateur d'empreintes pour ouvrir la porte dérobée de la cave, accessible depuis le bureau d'El Rubio, qu'il récupéra dans un entrepôt, et un chalumeau miniaturisé, plus pratique qu'une pince coupante pour ouvrir les grilles, qu'il trouva sur un chantier. Il fallut aussi se procurer un arsenal : notre ami jeta son dévolu sur l'ensemble « fine gâchette », composé d'un pistolet perforant, d'un fusil sniper (efficace pour tuer les gardes sur les miradors), d'un couteau et de quelques cocktails Molotov, dont il espérait qu'il n'aurait pas à s'en servir. Il acheta également des silencieux, obligatoires pour mener l'opération en toute discrétion.

Ne restait plus que le véhicule à choisir. Notre ami avait le choix entre son propre sous-marin, un largage en parachute depuis un bombardier de haute altitude, un avion civil de trafiquant, une descente en rappel depuis un hélicoptère furtif, ou une approche par la mer, depuis un bateau de plaisance où un bateau armé. Il choisit la première approche, selon lui la plus simple, d'autant plus que le chalumeau qu'il avait récupéré lui permettrait d'ouvrir la grille fermant le tunnel sous-marin. Après avoir récupéré un module anti-sonar dans un sous-marin de Merryweather, qui ressemblait d'ailleurs beaucoup au Reimus, notre protagoniste était prêt. De plus, la configuration du braquage était telle qu'il n'avait pas besoin de s'encombrer d'un ou plusieurs coéquipiers. Il sera donc seul, seul contre El Rubio et toute son armée.

Une nuit, un peu au large de Cayo Perico, le Kosatka approchait en silence, secouant doucement l'eau par la discrète cavitation de ses hélices. Notre ami abandonna Pavel, qui le guiderait depuis le sous-marin, et sortit en scaphandre de ce dernier, se frayant un chemin au milieu des nombreuses mines sous-marines qui gardaient la côte. Il arriva bientôt à la grille, qu'il découpa prudemment au chalumeau, avant de s'engager dans le tunnel, et d'arriver dans la cour de la propriété. Quelques gardes évités (ainsi qu'un mastodonte) et assommés plus tard, notre perso arriva dans le bureau privé de El Rubio, élégamment décoré.

Une fois les quelques billets et munitions du petit coffre dissimulé dans le mur saisis, le protagoniste se dirigea vers le bureau, et sortit une petite clé, accrochée à une petite chaînette autour de son cou. Cette clé avait été récupérée sur un garde endormi, à Paleto Bay, non loin de la dernière antenne de radio que notre ami avait réactivé pour rendre service à l'animateur d'une nouvelle radio pirate, et lui permettre ainsi d'émettre plus loin que son quartier, dans tout Los Santos et Blaine County. Notre protagoniste depuis la gardait tout le temps sur lui, pensant qu'elle lui servirait sans doute un jour. Il inséra la clé dans la serrure du tiroir du bureau, qui s'ouvrit : se trouvait à l'intérieur un magnifique pistolet monocoup, fait en grande partie d'or massif, pièce unique qui correspondait bien à l'arrogante opulence du chef de cartel.

Notre ami rangea l'arme dans son sac étanche, et en sortit le duplicateur d'empreintes pour pirater la porte dissimulée dans une fausse cheminée, qui le mènerait à la cave et au coffre contenant les preuves. Il s'affaira en silence, un silence seulement troublé par les bips de l'appareil et les messages que El Rubio scandait régulièrement à ses hommes par haut-parleur. Bientôt, les trois empreintes digitales demandées par le systèmes furent reproduites, et la porte s'ouvrit, révélant un petit ascenseur dans lequel notre perso s'engouffra, pour finalement arriver au sous-sol. Encore une grille à ouvrir, et il se retrouva devant le coffre fort, dont Pavel lui indiqua la combinaison à six chiffres.

Moins d'une minute plus tard, la porte du coffre s'ouvrit, révélant les précieux documents que notre perso rangea soigneusement dans une pochette de son sac, avant de sortir du sous-sol par une autre grille, qu'il ouvra grâce au trousseau de clés récupéré sur l'un des gardes assommés, et sortit du souterrain près de la grande porte principale, près de laquelle deux gardes patrouillaient. Une fois ces derniers tués d'une balle dans la tête selon un timing précis, pour que l'un comme l'autre ne se rendent compte de rien, notre ami sortit, non sans une petite difficulté, puisqu'il n'avait pas vu tout de suite le bouton d'ouverture de la porte.

Dehors, notre protagoniste prit une moto, en ayant préalablement tué le garde qui se trouvait à côté, puis sortit de la propriété, éliminant discrètement les gardes se trouvant sur sa route. Il était temps, car El Rubio s'était rendu compte du méfait, et avait décollé en personne dans son hélicoptère, aboyant par radio à ses gardes de retrouver le voleur. Notre ami se rendit au quai principal, évitant le plus possible les routes. Arrivé à proximité, il abandonna sa moto, trop bruyante, pour continuer discrètement à pied. Il restait encore beaucoup de place dans son sac, qu'il comptait bien exploiter à son avantage. Il se dirigea donc vers un petit entrepôt qu'il savait remplit de cocaïne, devant lequel se trouvait un garde et une caméra. Une fois ces deux problèmes éliminés, il s'empressa d'ouvrir la grille, avant de remplir son sac des deux tas de coke qui se trouvaient sur les tables. Il y en avait d'autres à l’aérodrome, mais le sac était plein, et il était temps de partir. Notre personnage, après avoir éliminé les gardes susceptibles de le voir, prit donc un Dinghy armé et sortit du port avant de s'éloigner de l'île, où Pavel le récupéra avec le Kosatka. Mission accomplie.

Quelques jours plus tard, notre protagoniste retrouva Los Santos, ainsi que Miguel Madrazo, content de voir ces fameuses preuves hors de portée de El Rubio. Après les avoir consultées, il les jeta au feu, l'air très gêné, et remercia chaleureusement notre ami, blanchissant la coke qu'il avait ramené de Cayo Perico, et lui versant l'intégralité des bénéfices, en plus du paiement pour le service rendu. Tout cela représentait une coquette somme, pour une seule personne, légèrement supérieure à celle rapportée habituellement par le braquage du casino, mais avec une préparation mine de rien moins longue, et une phase finale plus libre et moins répétitive.

Pavel, sentant la bonne affaire, proposa à notre ami d'aller plumer El Rubio une nouvelle fois, car son île regorgeait toujours de richesses. Miguel Madrazo, reconnaissant, s'occuperait de blanchir le butin, ne prélèvant qu'un petit pourcentage du butin total. Pour le repérage, Keinemusik étant parti se produire au Music Locker, il dut le faire sous la couverture d'un trafiquant, partant cette fois de l'aéroport. Il y avait mille façons de mettre à sac cette île, aussi notre ami essaya tous les véhicules d'approche, entrant sur l'île par des endroits différents, avec des armes différentes, et trouvant dans le sous-sol d'autres butins : souvent de simples bons au porteur dans le coffre, mais parfois des pièces exceptionnelles, comme un bouteille de Tequila incrustée de pierres précieuses, un énorme rubis rose et même une magnifique statue de panthère faite d'or incrustée de saphirs, qui se trouvaient cette fois dans une vitrine que notre ami découpait proprement à la découpeuse plasma. Pour ces braquages, notre perso y retourna avec des coéquipiers, afin de transporter plus de butin dans leurs sacs, et pour prendre les lingots d'or des réserves annexes, accessibles seulement par le passage simultané de deux cartes.

Notre perso était donc heureux de régulièrement quitter la grisaille hivernale de Los Santos pour la chaleur et les palmiers de Cayo Perico, ravi de faire un braquage à la pleine hauteur de ses attentes, qui était plus rentable et plus diversifié que tout ce qu'il avait fait jusqu'à maintenant. Il avait également la possibilité de retourner sur l'île en tant que simple fêtard, pour danser sur la plage au son des platines du DJ. Un soir, il s'assit sur le sable, à l'écart de la fête, et en regardant le soleil se coucher se surprit à se poser à lui-même cette question : pendant sept ans il était resté à Los Santos, et voilà que maintenant il avait eu l'opportunité de quitter, le temps d'un braquage, cette ville qui lui avait tant donné. Cayo Perico n'était-elle qu'une simple extension de cette chance, où était-elle annonciatrice de nouveaux horizons ?

Tu as oublié de dire "toujours et encore sans dire un mot"

Pas besoin, c'est un détail tellement évident et permanent

Et le DLC fin du monde on le zape

Tout ça sans dire un seul mot. Balaise

Le 31 décembre 2020 à 23:31:47 Zodiaque2 a écrit :
Et le DLC fin du monde on le zape

Regarde plus haut, à mon précédent pavay