Soutiens possibles

Kyle/Colm
Kyle/Ephraim
Kyle/Forde
Kyle/Lute
Kyle/Syrene

Kyle/Colm

Soutien C

Colm : Kyle, tu as une minute ?
Kyle : Que se passe-t-il, Colm ?
Colm : Eh bien… C’est à propos d’Eirika.
Kyle : Lui serait il arrivé quelque chose ?
Colm : C’est arrivé un soir, alors qu’elle allait se coucher. Elle était …
Kyle : Que s’est-il passé lorsqu’elle s’est retirée dans sa tente ? Colm, cesse de tourner autour du pot et dis moi ce que tu sais!
Colm : La princesse semblait avoir des difficultés à trouver le sommeil. Elle faisait les cent pas.
Kyle : La princesse ne dort pas ?
Colm : Oui.
Kyle : C’est très fâcheux. Il est important que la princesse se repose suffisamment pendant cette marche laborieuse. Cette guerre s’est avérée très difficile pour le prince Ephraim et la princesse Eirika. Il est normal qu’elle passe une nuit ou deux à s’inquiéter, mais …
Colm : Et je viens de me rappeler que j’ai ce remède secret de ma mère. Ca a l’aspect d’une crème brunâtre, mais c’est très efficace contre l’insomnie.
Kyle : Vraiment ? C’est une bonne idée. Je suis sûr que le prince Ephraim et la princesse Eirika seraient ravis d’obtenir un tel remède.
Colm : Dans ce cas, je le donnerais à la princesse la prochaine fois que je la verrais. Je t’informerai des résultats.
Kyle : Entendu, Colm.

Soutien B

Colm : Kyle, il y a du nouveau !
Kyle : Qu'y a-t-il, cette fois, Colm ?
Colm : C'est au sujet du prince Ephraim.
Kyle : Comment ? Que lui est-il arrivé ?
Colm : Il est exactement comme moi !
Kyle : Dans quel sens ?
Colm : Lui aussi, il déteste l'école !
Kyle : Et ? Je ne trouve pas cette nouvelle aussi sensationnelle que ça.
Colm : Pourtant, elle l'est ! L'avenir de Renais sera peu prospère s'il déteste étudier autant que moi.
Kyle : Ne t'en fais pas pour ça. Certes, il n'aime pas l'école, mais personne n'est aussi mauvais élève que toi. Et si tu dis ça pour le discréditer, tu risques de t'attirer de sérieux problèmes.
Colm : Là n'était pas mon intention ! Je me faisais juste du souci pour le prince Ephraim et la princesse Eirika.
Kyle : Je vois. Mais cette information ne présente aucun intérêt. A l'avenir, tâche de ne m'apporter que des nouvelles pertinentes.

Soutien A

Colm : Kyle, j'ai une nouvelle pertinente !
Kyle : Enfin ! Et quelle est-elle ?
Colm : Hi hi hi... eh bien, c'est un secret qui te concerne.
Kyle : Un secret sur moi ? Je t'écoute !
Colm : Tu as une petite amie ! Elle s'appelle Meriella ! Tu lui écris tous les jours !
Kyle : Oh, ça. Je voulais te parler d'elle.
Colm : Ça me fait vraiment plaisir de t'entendre dire ça, Kyle. Si tu as besoin de te confier à quelqu'un, viens me voir. Les relations à distance ne sont pas toujours simples. Je n'arrive pas à y croire ! Le vieux Kyle est amoureux !
Kyle : Amoureux ? Moi ? Tu mélanges tout. Meriella n'est pas ma petite amie. C'est juste une coéquipière.
Colm : Tu allies donc plaisir et travail ? N'en dis pas plus. J'ai compris.
Kyle : Tais-toi et écoute-moi ! Meriella est le pseudonyme que nous utilisons pour les chevaliers de Renais qui sont en mission secrète.
Colm : Un pseudonyme ? Une sorte de code secret ?
Kyle : Exactement. Nous envoyons tous nos rapports à Meriella, que seuls les chevaliers de Renais connaissent. Le contenu est toujours le même : nous l'informons que le prince Ephraim et la princesse Eirika sont indemnes. Tout est écrit en langage codé. C'est le genre de lettre que j'envoie.
Colm : Même si nous sommes en guerre, faut-il vraiment que ce soit aussi compliqué ?
Kyle : Oui. Deux précautions valent mieux qu'une.
Colm : Je vois. Veux-tu que j'aille livrer cette lettre ?
Kyle : Non. Chaque soldat joue un rôle essentiel dans cette guerre. Nous avons besoin de toi ici.
Colm : Vraiment ? Mes services ont autant de valeur ? Super !
Kyle : Hum... oui. Bien que tes potins m'agacent parfois, ton aide s'est avérée très précieuse.
Colm : Génial ! C'est très motivant ! Jusqu'à récemment, je pensais que je n'avais pas d'affinité avec les chevaliers. Tout est différent maintenant. Désormais, je considère tous ceux qui sont impliqués dans cette guerre comme des amis, et en particulier les chevaliers de ta trempe. Je me battrai toujours pour mes amis !
Kyle : Je te remercie, Colm. Citoyens et chevaliers, ensemble, nous ramènerons la paix à Renais.

Kyle/Ephraim

Soutien C

Kyle : Sieur Ephraim!
Ephraim : Kyle, qu’y a-t-il ?
Kyle : Sieur Ephraim… Vous avez combattu l’ennemi de front alors que vous étiez blessé, n’est-ce pas ?
Ephraim : Bah, ce n’était rien. Ne vous en faites pas pour ça.
K : Ce n’est pas votre blessure qui me préoccupe. Vous ne devez pas faire ce genre de choses !
Ephraim : Si je me retire à la moindre égratignure, il n’y aura plus personne pour vous guider.
Kyle : Monsieur, vous êtes l’avenir de Renais ainsi que le commandant de cette armée. Si quelque venait à vous arriver, notre moral en perdrait un sacré coup. Nous perdrions alors cette guerre. Et puis ce serait votre fierté mal placée la cause de cette tragédie.
Ephraim : Très bien, Kyle. Je vais reculer et laisser mes chevaliers mener la charge. Mais je n’ai pas le temps de m’étendre sur le sujet maintenant. Je m’en vais.
Kyle : Il dit qu’il va être plus prudent, mais je le connais trop bien. Je dois l’arrêter avant qu’il ne coure à sa perte…

Soutien B

Kyle : Vous souvenez-vous de notre discussion, sieur Ephraim ?
Ephraim : Le commandant doit rester à l'arrière et laisser les soldats se battre. Et s'il cherche à regagner la ligne de front, toute l'unité, peu importe son rang, est autorisée à l'arrêter.
Kyle : Oui, exactement. Vous n'avez donc pas oublié.
Ephraim : Comment pourrais-je l'oublier ?! Dès que j'essaie de prendre la tête de la charge, mes propres hommes m'en empêchent ! Ils se préoccupent de ma sécurité, alors qu'ils risquent eux-mêmes leur vie. Ecoutez, j'ai adhéré à votre plan, mais avec du recul, je me rends compte qu'il est ridicule. Je vais annuler cet ordre.
Kyle : Non, monsieur ! Je sais que je vous l'ai déjà dit, mais vous devez vous rappeler que vous êtes l'avenir de Renais.
Ephraim : Et si nous échouons parce que je ne peux pas participer au combat, nous n'aurons plus d'avenir ! Je sais toutes les responsabilités qui pèsent sur moi, mais je dois annuler cet ordre.
Kyle : Je suis désolé, sieur Ephraim, mais je ne peux pas vous laisser faire ça. Je retourne me battre et je veux que vous restiez en retrait.
Ephraim : Quel enquiquineur, ce Kyle ! Je sais qu'il cherche juste à me protéger. D'ailleurs, il a toujours été du genre protecteur. Je n'ai pas mémoire d'une époque où il ne se faisait pas de souci pour moi. Mais cet ordre doit impérativement être révisé.

Soutien A

Kyle : Votre Altesse... Je vous dois des excuses.
Ephraim : Et pourquoi, Kyle ? Pourquoi voulez-vous vous excuser ?
Kyle : L'autre jour, j'étais blessé sur le champ de bataille. Vous êtes accouru vers moi, sans hésiter une seule seconde. Inconscient, je vous ai entendu dire une chose que je n'oublierai pas. “Cet homme est comme un frère pour moi. Je dois l'aider coûte que coûte.”
Ephraim : Et vous voulez vous excuser pour ça ?!?
Kyle : C'est moi qui aurais dû courir à votre secours, monsieur ! Et quand je pense que vous me considérez comme un frère, moi, un chevalier de basse naissance ! Toutes ces années, je croyais être un simple sujet fidèle et loyal. Je n'avais pas compris que notre lien était plus profond.
Ephraim : Depuis ma plus tendre enfance, vous m'apprenez à combattre. Un prince est contraint à la distance pour mieux gouverner son peuple. Je ne pouvais pas avoir de l'affection pour qui que ce soit. Juste pour Seth, Forde et pour vous, Kyle. Vous étiez les seuls. Tant de choses nous séparent, mais vous êtes ma famille. Bien que... vous vous inquiétez trop pour moi.
Kyle : Sieur Ephraim, alors que j'étais blessé l'autre jour, j'ai pris conscience d'une chose. J'avais tort. La décision que je vous ai fait accepter n'était pas juste. Votre place est sur la ligne de front. C'est là la place de tous les grands guerriers de Renais. C'est bon pour le moral de nos hommes que vous vous battiez à leurs côtés. Dorénavant, battez-vous comme l'exige votre rang ! Je ne serai jamais loin de vous, toujours prêt à vous protéger.
Ephraim : Merci, Kyle. Je faisais si attention que je me battais très mal. Mais je suis prêt à vous faire une concession. Je ne serai plus imprudent. Je sais que j'ai une position très importante. Est-ce que ce compromis est acceptable, Kyle ?
Kyle : Oui, monsieur. Avançons ensemble !
Ephraim : D'accord, Kyle... Mais ne vous laissez pas devancer !
Kyle : Oui, monsieur !

Kyle/Forde

Soutien C

Kyle : Je te salue, Forde.
Forde : Quoi ? Oh, Kyle ! Comment vas-tu ?
Kyle : Que fais-tu ici ? Es-tu en train de peindre ?
Forde : Non ! Je... Eh bien, oui. En fait, c'est juste une ébauche. J'utilise ce morceau de charbon pour dessiner et colorier... comme cela.
Kyle : Tu sais que nous sommes au milieu d'un combat, n'est-ce-pas ? Et si quelqu'un te prenait au dépourvu et t'attaquait ?
Forde : Du calme, du calme. Ces images me permettent simplement de conserver des archives de nos combats.
Kyle : Et tu crois que je vais avaler ça ?! Tu es un cavalier. Il est temps que tes actes soient en accord avec ton statut.
Forde : Ça va, ça va. J'arrête. A tes ordres, sieur Kyle, commandant des chevaliers de Renais.
Kyle : Pourquoi faut-il toujours que tu compliques tout ?
Forde : Si tu veux que ça soit simple, cesse de me dire ce que je dois faire !
Kyle : Alors, cesse de faire le pitre sur le champ de bataille ! J'ai des choses bien plus intéressantes à faire que de venir te tirer les oreilles.
Forde : Hein ? Tu as dit quelque chose ?
Kyle : Rien ! Puisque tu te crois permis de jouer à l'artiste pendant que les autres se battent, entraînons-nous.
Forde : Quoi ?! Tu veux t'entraîner maintenant ?
Kyle : Tout à fait. J'utilise le temps d'une manière aussi efficace que possible. Je prends soin de mes armes, de mon cheval et de moi-même. Et ce n'est pas tout ! Je t'assure que le moral de nos troupes est bon et que nos hommes sont en sécurité.
Forde : Tu penses à tout, n'est-ce-pas ?
Kyle : Je suis chevalier. C'est là mon devoir.
Forde : Tu as vraiment besoin de relativiser et de prendre ton devoir moins au sérieux.
Kyle : Et toi, tu as besoin de prendre ton devoir plus au sérieux !

Soutien B

Forde : Mmmmmmm... Oh, pourquoi mes paupières sont-elles si lourdes ?
Kyle : Forde ! Comment peux-tu t'endormir sur un champ de bataille ?! C'est quoi ton problème ?
Forde : Pourquoi es-tu hors de toi ? Je te rappelle que j'essaie de faire la sieste.
Kyle : Tu ne cherches même pas à te protéger ? Pourquoi ? Tu es aussi imprudent qu'un petit enfant, tu sais ?
Forde : Bah, c'est la meilleure ! Quand tu étais petit, tu élaborais des stratégies pour t'emparer de la crèche. Tu as toujours eu la folie des grandeurs. Quand bien même, les filles étaient toutes folles de toi !
Kyle : Ne mélange pas tout ! Les femmes n'ont rien à voir dans tout ça !
Forde : Vraiment ? Oh, s'il te plaît ! N'est-ce-pas important pour toi d'avoir un héritier qui prendra la relève, une fois que tu seras parti ? Regarde ta soeur, Mia ! Elle est mariée et a une belle petite famille, non ? Je suis curieux de connaître celle qui succombera aux charmes d'un chevalier aussi tendu et crispé. Y as-tu déjà pensé ? Tu crois que tu vas la rencontrer dans cette guerre ?
Kyle : Ce n'est pas pour ça que je suis là !
Forde : Ah ah ah ah. Bien sûr que non. Mais je parie que tu plais autant aux femmes qu'avant, n'est-ce-pas ? Je te connais bien. Tu es un vrai gentilhomme, toujours respectueux et galant envers ces dames. Je me souviens que, quand tu étais plus jeune, tu volais au secours de la première petite fille que tu voyais pleurer. J'étais si impressionné. Tu étais si héroïque.
Kyle : Jamais je ne tournerai le dos à quelqu'un qui est en détresse. C'est l'attitude qu'un chevalier se doit d'adopter.
Forde : Oui, mais à l'époque, tu n'étais pas chevalier !
Kyle : Eh bien... c'est aussi l'attitude que doit adopter quelqu'un qui aspire à devenir chevalier !
Forde : Tu as réponse à tout ! Mais j'avoue que tu as tout mon respect. Tu es un homme bien.
Kyle : ...
Forde : Waouh ! Je t'ai embarrassé.
Kyle : Forde !

Soutien A

Kyle : Pfiouh...
Forde : Qu'est-ce qui ne va pas, Kyle ? Cette fois, c'est toi qui sembles fatigué.
Kyle : Oh, Forde. C'est toi. J'étais juste perdu dans mes pensées. J'avais besoin de respirer un peu. J'imagine que c'est pour ça que tu peins tes paysages, non ?
Forde : En effet. Tu comprends maintenant ? Chacun a besoin de se changer les idées, même sur le champ de bataille.
Kyle : Hélas, je ne peux pas laisser un soldat se servir du champ de bataille comme d'un atelier de peinture. Et si les recrues se mettaient à suivre ton exemple ? Mais je te comprends. Chacun a sa façon de faire le vide. Dis-moi... tu dessines depuis combien de temps ?
Forde : ...
Kyle : Qu'y a-t-il ? Tu ne sais plus quand tu as commencé ?
Forde : ... J'ai commencé à dessiner et à peindre à la mort de maman.
Kyle : Vraiment ?
Forde : Dans ma jeunesse, j'ai gagné un tournoi d'escrime...
Kyle : Je m'en souviens. Je suis arrivé deuxième.
Forde : Elle semblait plus se réjouir du portrait que j'avais fait d'elle que de ma victoire. Elle gardait toujours ce tableau près d'elle et le contemplait souvent. Mes aptitudes au pinceau la ravissaient plus que mes aptitudes à l'épée. Je n'avais jamais compris pourquoi. Du moins, jusqu'à récemment.
Kyle : La gentillesse et la douceur de ta mère ont toujours fait forte impression sur moi. Je suis désolé qu'elle soit tombée malade alors que tu étais si jeune.
Forde : J'ai de la chance, car il me reste des souvenirs d'elle. Franz, lui... il était trop jeune pour parler ou marcher. Voilà pourquoi j'ai laissé son portrait accroché au mur de la maison.
Kyle : Je comprends maintenant. Mais j'ignorais que c'était toi l'auteur de ce tableau. Quand tu étais petit, je me souviens que je te regardais t'entraîner à l'épée. Je voulais être comme toi et j'étais irrité de ne pas m'être plus entraîné. J'étais si frustré le jour où j'ai perdu ce tournoi contre toi. Voilà pourquoi j'ai intensifié mon entraînement et cherché à m'améliorer.
Forde : Je ne le savais pas...
Kyle : ...
Forde : Oh, comme je déteste raconter ma vie ! Pourquoi suis-je aussi bavard quand je suis avec toi ? Allons, partons.
Kyle : D'accord. Au fait, Forde...
Forde : Oui ?
Kyle : Quand la guerre sera finie, apprends-moi à peindre.
Forde : Très bien. Mais nous devons d'abord sortir d'ici vivants.
Kyle : Marché conclu.

Kyle/Lute

Soutien C

Kyle : Hé, vous.
Lute : ... Pardon, c'est à moi que vous parlez ?
Kyle : Est-ce que vous voyez quelqu'un d'autre par ici ?
Lute : Et qui êtes-vous ?
Kyle : Pardonnez-moi de n'avoir pas pris le temps de me présenter. Je suis Kyle, chevalier de Renais.
Lute : Ah, je vois. Je suis Lute, mage au génie inégalé.
Kyle : Très bien, Lute. Enchanté. Pour être honnête avec vous, cette rencontre n'est pas fortuite. Je vous cherchais.
Lute : Est-ce que quelqu'un a mis ma tête à prix ? Ou s'agit-il d'un règlement de comptes personnel ?
Kyle : Non, j'ai juste une faveur à vous demander.
Lute : De quoi s'agit-il ? Mes requêtes sont classées selon 7 catégories et 25 sous-catégories.
Kyle : Je ne saurais classifier ma requête, mais... je veux que vous nous aidiez à nous battre.
Lute : Pourquoi ?
Kyle : Je crois dur comme fer que seul un bon commandement peut être garant du moral des troupes. Nous sommes un régiment de chevaliers tous entraînés par les plus grands généraux de Renais. Mais nous combattons des ennemis peu ordinaires, et nous avons besoin de capacités diverses et variées. C'est là que vous entrez en scène. Parce que vous êtes capable d'utiliser la magie, votre contribution au développement de stratégies de combat uniques pourrait s'avérer indispensable.
Lute : C'est pour cela que vous êtes venu me voir ?
Kyle : Qu'en dites-vous ? Etes-vous de la partie ?
Lute : Bien sûr. Tout ce que vous voudrez. Ça m'est égal.
Kyle : Je vous préviens. Je suis tout le temps sur la ligne de front. Je suis spécialiste des combats rapprochés. C'est donc bien plus dangereux que de soutenir le groupe à l'arrière. Est-ce que ça vous pose problème ?
Lute : Je n'ai aucune objection.
Kyle : Excellent ! J'apprécie votre aide. Notre coopération tactique va en mettre plein la vue à l'ennemi. Vous n'êtes pas obligée de rester au front tout le temps. Attendez mon signal pour avancer.
Lute : C'est compris. Je ferais tout ce que vous dites.
Kyle : Je compte sur vous.
Lute : Vous pouvez être tranquille, car je suis la meilleure !

Soutien B

Kyle : Lute.
Lute : Oui, monsieur.
Kyle : J'ai eu raison de vous faire confiance. Vous avez été d'une grande aide pour tout le groupe.
Lute : C'est évident ! Je vous ai dit que j'étais la meilleure !
Kyle : La magie peut générer une force incroyable, n'est-ce pas ? Une armure robuste, le meilleur cuir, peu importe l'équipement de défense, la magie ne fait pas de différence. Elle m'inspire un profond respect.
Lute : Vous vous débrouillez également très bien. Vous etes un combattant hors norme.
Kyle : Merci.
Lute : Vous vous êtes beaucoup entraîné ?
Kyle : Oui. Quand j'étais jeune. Il y avait un garçon contre lequel je détestais perdre. Je me suis entraîné d'arrache-pied dans l'espoir de le vaincre un jour.
Lute : Qu'est-il arrivé ? L'avez-vous finalement battu ?
Kyle : Non, pas à proprement parler. Mais il y a longtemps que je n'ai pas perdu contre lui. Nous étions ex aequo lors du dernier duel, ce qui nous a tous les deux contraints à essayer de nous améliorer.
Lute : Je vois. C'est bien d'avoir quelqu'un contre qui on peut se mesurer. N'êtes-vous pas heureux d'avoir votre adversaire personnel ?
Kyle : Si. Vous savez, je crois que c'est notre conversation la plus longue.
Lute : Vraiment ?
Kyle : Oui. Sans vouloir vous vexer, je ne pensais pas que vous étiez du genre à vous intéresser aux autres.
Lute : Je ne suis pas vexée. C'est juste que je m'intéresse... à vous.
Kyle : Je vois. Continuez votre excellent travail.
Lute : Oui, monsieur.

Soutien A

Kyle : Pfiouh... quel combat ! Vous tenez le coup, Lute ?
Lute : Sans problème, monsieur. Je pourrais garder ce rythme toute la journée !
Kyle : C'est bon à entendre. Mais évitez le surmenage ! Sans vous, ma stratégie ne tiendrait plus la route !
Lute : Vous semblez oublier que c'est moi la meilleure !
Kyle : Je le sais bien. C'est pourquoi nous avons tant besoin de vous. Cela va peut-être vous sembler indiscret, mais... Que faites-vous quand vous n'êtes pas engagée dans des guerres ?
Lute : Eh bien, j'étudie la magie.
Kyle : Ça, je l'avais deviné. Je voulais parler de vos passe-temps.
Lute : Mes passe-temps ?
Kyle : Oui. Moi, par exemple, je collectionne les figures sculptées d'animaux. J'ai laissé cette petite collection à Renais. Et vous ?
Lute : Est-ce que l'observation des moines compte pour un passe-temps ?
Kyle : L'observation des moines ? De quoi s'agit-il ? Peut-être devrais-je formuler ma question autrement. Avez-vous un plat préféré ?
Lute : Jamais je n'ai mangé de plat aussi bon qu'un curry de crapauds séchés.
Kyle : Ah... bien... Vous aimez faire la cuisine ?
Lute : Je cuisine rarement, mais je suis un véritable cordon-bleu. Je n'ai pas besoin d'ustensiles pour cuisiner. Une formule suffit !
Kyle : Ah !
Lute : Quoi, qu'est-ce qu'il y a ?
Kyle : Ah ah ah ah ! On ne s'ennuie jamais en votre compagnie. Je vous trouve si rafraîchissante !
Lute : Vraiment ? Moi aussi, j'apprécie beaucoup votre compagnie.
Kyle : ... Lute.
Lute : Oui, monsieur ?
Kyle : Auriez-vous envie de venir à Renais après cette guerre ?
Lute : Pourquoi pas ? Je n'y vois aucune objection.
Kyle : Ah ! Aucune objection ? C'est votre réponse ? C'est très bien, alors. Concentrons-nous avant tout sur cette guerre. Nous devons y mettre un terme.
Lute : Oui, monsieur.
Kyle : Je suis heureux de vous avoir parmi nous.
Lute : Moi aussi, monsieur.

Kyle/Syrene

Soutien C

Kyle :Vous êtes Syrene, le commandant des chevaliers pégases de Frelia, non ?
Syrene : Tout à fait. Moi aussi, je sais qui vous êtes. Vous êtes Kyle, cavalier de Renais.
Kyle : Je suis honoré que vous sachiez mon nom. Je n’ai jamais eu le plaisir de vous rencontrer, n’est-ce pas ?
Syrene : Nous nous sommes rencontrés une seule fois. C’était il y a dix ans environ. Vous avez peut-être oublié.
Kyle : Il y a dix ans ? Attendez, vous êtes…CETTE Syrene ?!
Syrene : Vous vous souvenez enfin de moi ?
Kyle : Jamais je n’aurais pensé vous revoir un jour.
Syrene : Eh bien, sieur Kyle, je vois que vous avez fait carrière.
Kyle : Oh, je vous en prie. Pas de formalisme entre nous.
Syrene : Comme vous voulez, Kyle. Ah, vous n’avez pas changé.
Kyle : Je vous reconnais à peine, Syrene. Vous semblez métamorphosée. J’ignorais que vous étiez devenue chevalier, et qui plus est, un chevalier pégase!
Syrene : C’est gentil. J’ai beaucoup progressé, n’est-ce pas ?
Kyle : En effet. C’est dommage de nous retrouver sur un champ de bataille.
Syrene : Je trouve aussi. Nous devrions aller dans un endroit tranquille pour parler.
Kyle : Ce serait avec plaisir, Syrene. Mais occupons-nous d’abord de ces malotrus, d’accord ?
Syrene :Très bien. Mais n’essayez pas de jouer au héros, comme la dernière fois, d’accord ?
Kyle : Jouer au héros ? Qu’ai-je donc fait ?
Syrene : Vous devez trouver la réponse tout seul. C’est le défi que je vous lance.

Soutien B

Syrene : Comment allez-vous, Kyle ?
Kyle : La guerre est difficile, mais mon épée est redoutable et je vais bien.
Syrene : Hum. C’est une réponse fort pompeuse.
Kyle : Pompeuse ? Elle est précise, c’est tout! Bref. Je ne vois toujours pas ce dont vous me parliez l’autre jour.
Syrene : Oh, le défi ? Vous y avez pensé pendant tout ce temps ? Vous êtes si sérieux!
Vous n’avez pas du tout changé. Vous vous souvenez du jour où j’ai essayé de vous faire visiter Frelia ? Vous avez dit : « Je suis venu pour accomplir mon devoir, pas pour voir les curiosités d’une ville fortifiée. » Vous êtes rentré chez vous sans même goûter à nos délicieux fruits de mer ! Le roi Hayden croyait que je n’avais pas pris le temps de vous faire une petite visite guidée.
Kyle : Je suis désolé, Syrene. Je l’ignorais… J’étais en mission spéciale. Je devais remettre une lettre au roi Hayden. Je n’avais pas le temps de me distraire.
Syrene : Vous me présentez des excuses, alors que tant d’années ont passé ?!
Kyle : Ah ah ah ah… Vous avez raison. Je n’étais resté que trois jours, mais ce fut une visite mémorable. J’ai grandi à Renais, une nation qui n’a pas accès à la mer. Je n’avais jamais vu l’océan. Pas avant que vous me le montriez.
Syrene : Vous sembliez si peu intéressé par la culture et les spécialités locales. Mais lorsque je vous ai demandé si vous vouliez voir l’océan, vous étiez si enthousiaste!
Kyle : C’était si intense. Je me sentais minuscule, debout face à l’océan. Je voulais être aussi fort et persistant que les vagues.
Syrene : C’est la seule fois où j’ai peu entrevoir votre vraie personnalité. Nous n’avions passé qu’une demi-journée ensemble, mais ce fut très agréable.
Kyle :Vraiment ? Ça me va droit au cœur.
Syrene : Nous pouvons y retourner, si vous voulez.
Kyle : J’aimerais beaucoup. Utilisons l’espoir pour aller de l’avant. Quand la paix sera restaurée, nous irons revoir la côte de Frelia.
Syrene : Oui.

Soutien A

Kyle : Qu'avez-vous, Syrene ? Vous êtes blessée ?
Syrene : Non, je vais bien, mais je m'inquiète pour mon pégase...
Kyle : Laissez-moi regarder. Hum, on dirait qu'il a une blessure, juste ici, qui s'est infectée. Je peux la soigner. Ce n'est rien de grave, mais je vous conseille de la montrer à un guérisseur, à l'occasion.
Syrene : Merci, Kyle. Vous êtes mon sauveur. A cause de ma négligence, je n'avais pas vu cette blessure.
Kyle : Votre pégase est rusé. Il vous l'a peut-être cachée pour ne pas vous affoler. Ce n'est pas de votre faute, Syrene. Vous ne devriez pas vous en faire.
Syrene : Non, je ne suis pas digne d'être un chevalier pégase. Je suis si pitoyable. Si vous n'aviez pas remarqué cette blessure, j'aurais pu nous mettre en danger tous les deux. Ma négligence aurait pu nous coûter la vie.
Kyle : Vous êtes trop sévère envers vous-même. Si vous étiez en danger, j'aurais immédiatement volé à votre secours. Je suis sûr que vous en feriez autant, n'est-ce-pas ?
Syrene : … Oui, sans hésiter.
Kyle : Nous devons nous entraider dans les moments difficiles. Vous et moi, nous nous connaissons depuis plus de dix ans, après tout.
Syrene : Depuis plus de dix ans ?
Kyle : C'est exact, Syrene. A l'époque, vous en avez fait autant pour moi.
Syrene : Pardon ?
Kyle : C'était le jour où j'ai quitté Frelia. Près de la frontière, je suis tombé nez à nez avec des bandits importunant un pauvre marchand. J'ai essayé de lui venir en aide, mais ils étaient trop nombreux. Quand ils ont vu que j'étais un chevalier, ils ont eu vite fait de m'encercler. Je me croyais perdu, quand vous avez surgi de nulle part. Vous et moi, nous avons repoussé ces bandits. Vous m'avez sauvé la vie ce jour-là.
Syrene : Je vois que vous avez remporté notre défi.
Kyle : Oh, vous vouliez que je me souvienne de cet incident ! «Ne jouez pas au héros », en effet !
Syrene : Vous aviez quitté Frelia sans me laisser le temps de vous donner votre cadeau d'adieu. Je suis donc partie au galop dans l'espoir de vous rattraper. Puis j'ai vu ces bandits qui vous encerclaient. Vous vous battiez contre eux pour sauver ce marchand... Jamais je n'avais vu de chevalier aussi déterminé à protéger un innocent.
Kyle : Un cadeau d'adieu... c'est de ceci que vous parlez ?
Syrene : Le pégase de bois que j'ai sculpté pour vous ! Vous l'avez encore ?!
Kyle : Bien entendu ! Après nous être débarrassés de tous ces bandits, vous avez dit : « Gardez ceci et souvenez-vous de Frelia. » Cet objet ne m'a jamais quitté depuis. Il me donne l'impression que quelqu'un me protège tout le temps. En fait, j'ai commencé à collectionner les figurines en bois dès le jour où vous m'avez fait cadeau de cet objet. Mais je garde toujours celui-ci sur moi.
Syrene : Je suis heureuse de voir qu'il a autant de valeur pour vous.
Kyle : Je le garderai toujours précieusement.
Syrene : … Kyle... Quand la paix sera revenue, allez-vous revenir visiter Frelia ?
Kyle : Vous savez... J'y pensais moi aussi. J'ai toujours regretté de ne pas avoir goûté aux fameux fruits de mer de Frelia. Et j'aimerais aussi voir ses paysages et curiosités. Vous voulez bien être mon guide, Syrene ?
Syrene : Naturellement. Et on dit que je cuisine très bien le poisson !

C'est nuuuuuuuul.

Kyle/Forde passe, mais sinon c'est sûr qu'il se passe pas grand chose.

Il passe vite fait...et au final c'est même pas du côté de Kyle qu'il est intéressant.

Excellent personnage sinon.