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Sujet : Eirika : Soutiens

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[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 19:49:04

:globe: Soutiens possibles

:d) Eirika/Ephraim
:d) Eirika/Forde
:d) Eirika/Innes
:d) Eirika/L'Arachel
:d) Eirika/Saleh
:d) Eirika/Seth
:d) Eirika/Tana

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 19:52:25

:globe: Eirika/Ephraim

:d) Soutien C

Ephraim : Eirika, tu vas bien ?
Eirika : Oui, je vais bien.
Ephraim : Je reste dans le coin. Si il y a quoi que ce soit, viens me voir.
Eirika : Oui, merci. Mais tu comprends que je suis ici pour me battre, n'est-ce-pas ? Je ne peux exiger de toi de constamment me protéger. Nous nous trouvons sur un champ de bataille, pas dans une garderie.
Ephraim : Eirika...
Eirika : Mais... Qu'est-ce que tu fais ?
Ephraim : Tu semblais ne pas aller fort. Je voulais juste caresser ton visage, comme avant...
Eirika : S'il te plaît, arrête de me traiter comme une enfant !
Ephraim : Oh, je suis désolé. C'est juste une vieille habitude. D'ailleurs, c'est toi qui m'obligeais à le faire. Tu ne te souviens pas ?
Eirika : Non, je ne me souviens pas ! Il y a tellement longtemps... Ah... n'oublie pas que nous ne sommes pas seuls. Que penseraient nos amis s'ils voyaient comme tu me maternes ?
Ephraim : Oui, ce serait embarrassant. Je ne voulais pas que mon attitude te fasse rougir. Pardonne-moi.
Eirika : Non... Ce n'est pas ça... C'est juste que...
Ephraim : Alors tu veux bien que je te caresse le visage ?
Eirika : Non ! Enfin, je veux dire...
Ephraim : Ah ah ah ! Tu ne changeras jamais ! Tu deviens cramoisie pour un oui ou un non !
Eirika : Assez ! Tu vas finir par me mettre en colère !

:d) Soutien B

Eirika : Ah... Ah !
Ephraim : Eirika, pense à prendre suffisamment d'élan quand tu assènes un coup à l'adversaire. Sinon, tu auras des difficultés à éviter sa riposte. Voilà pourquoi il est recommandé de terminer un duel en une seule attaque. Ne laisse pas à ton adversaire l'occasion de contre-attaquer.
Eirika : Ah, mon frère ! Merci pour la leçon ! J'imagine que j'ai encore beaucoup à apprendre.
Ephraim : Non, absolument pas ! Au contraire, je suis étonné de la vitesse à laquelle tu progresses ! Si tu étais mon adversaire, je ne me sentirais pas très rassuré.
Eirika : Tu le penses vraiment ? Pourtant, j'ai l'impression que... Hum... Si seulement nous vivions dans un monde où de telles qualités seraient futiles !
Ephraim : Je vois... Tu défends un idéal pacifiste. Tous ces combats... Ça doit être dur pour toi.
Eirika : C'est... Je prie pour que cette guerre se termine très bientôt. Personne ne veut se battre. Alors pourquoi devons-nous continuer ?
Ephraim : C'est vrai... Et pourtant, chaque génération connaît la guerre. Jadis, nos ancêtres ont combattu toutes sortes de créatures démoniaques. Une fois ces monstres vaincus, ils s'en sont pris à leurs semblables. C'est ce que Lyon nous a raconté.
Eirika : Je sais... Mais si les hommes sont conscients de la futilité de la guerre, pourquoi ce bellicisme acharné ? La coopération nous apporterait tellement plus que toutes ces invasions.
Ephraim : Tu as peut-être raison. Mais je crois savoir pourquoi les hommes font la guerre.
Eirika : Pourquoi, mon frère ?
Ephraim : Je prie pour que la paix règne de nouveau sur Renais. Je sais que la guerre est synonyme de souffrances. Mais au fond de mon coeur, le désir de me battre est irrépressible. Il résonne dans tout mon corps dès que je brandis ma lance...
Eirika : Ephraim...
Ephraim : C'est peut-être parce que je suis un homme. C'est peut-être parce que j'ai grandi avec une arme à la main. C'est un art que j'adore pratiquer. La victoire me procure un plaisir immense. Et plus je deviens fort, plus j'ai besoin de me battre. Je veux me rendre compte de l'expérience que j'ai acquise. Ce sont des bassesses auxquelles je me livre sans retenue.
Eirika : Mon frère...
Ephraim : Est-ce que je mérite ton mépris ?
Eirika : Non, jamais je ne pourrais te haïr ! Mais, écoute-moi. Peu importe pourquoi tu te bats, tu dois te préoccuper du bien-être de notre peuple et de notre royaume.
Ephraim : Cela va de soi. Je ne suis pas du genre à oublier mes devoirs. Et je ne pourrais pas supporter de te voir pleurer pour notre peuple. Et puis, je crains trop le jugement de ta redoutable épée !
Eirika : Je...
Ephraim : Ah ah ! Mais je plaisante !

:d) Soutien A

Eirika : Tout... sera bientôt terminé.
Ephraim : Tu as raison. Tôt ou tard, cette guerre prendra fin. Nous devons vaincre et sceller le Mal qui dévore notre monde. Ainsi, Renais pourra retrouver sa gloire passée.
Eirika : Oui... Tu seras sacré roi, et je t'aiderai à reconstruire Renais. Notre peuple sera heureux. Nous le protégerons de la guerre. C'est de cet avenir que nous rêvions tous les trois...
Ephraim : Tous... les trois. Lyon était ici avec nous, n'est-ce-pas ? Nous avions de si grands projets pour nos pays.
Eirika : Oui... Nous en parlions tout le temps. Mais Lyon...
Ephraim : ...
Eirika : Mon frère... Promets-moi... de ne jamais me quitter. Je t'en supplie, Ephraim, promets-le-moi !
Ephraim : Je te le jure. Jamais je ne t'abandonnerai. D'où te vient cette drôle d'idée ?
Eirika : Mon frère...
Ephraim : Je sais mieux que personne ce que tu peux ressentir. Je le sais depuis que nous sommes nés... non, même avant ! Nous avons toujours été ensemble. Et nous resterons toujours ensemble.
Eirika : Oui...

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 19:52:40

:globe: Eirika/Forde

:d) Soutien C

Forde : Aaaaah…
Eirika : Forde, vous avez bonne mine.
Forde : Ah, madame ! Oui, j’essaie de me ménager un peu. Vous aussi, vous semblez en très grande forme. Sauf que…
Eirika : Oui, Forde ? Qu’y a-t-il ?
Forde : En fait… J’étais juste en train de penser à quelque chose. Madame, vous ne trouvez pas que votre armure vous découvre… un peu trop ?
Eirika : Je vous demande pardon ?
Forde : Vous savez bien. Surtout au niveau de la … euh… taille. N’avez-vous pas que, au beau milieu d’un combat, elle se… euh...
Eirika : Qu’elle s’envole ?
Forde : Ah! Oh… Oh… Vous… plaisantiez. Waouh! Vous m’avez fait peur!
Eirika : Oh, je suis désolée. Ça a dû vous paraître peu distingué. Mais, honnêtement, j’aime beaucoup cette armure. Elle n’est pas trop lourde. Elle ne gêne pas mes mouvements, et c’est très important en combat.
Forde : Eh bien, chacun ses goûts. Mon armure me protège depuis de nombreuses années.
Eirika : J’imagine, oui. Maintenant que je la contemple, je peux voir toutes les entailles laissées par vos combats.
Forde : La plus grande fierté d’un chevalier, ce sont les entailles que porte son armure. Ma carapace de combat est le seul emblème de valeur que je possède. Elle est la preuve que je me suis battu pour mon roi et pour mon pays.
Eirika : Forde…
Forde : Quoique, dans mon cas, certaines de ces bosses ont été causées par mes chutes de cheval. Oh, et puis, à plusieurs reprises je me suis écroulé sur mes armes, après m’être assoupi. Hum…
Eirika : Vous êtes resté auprès de mon frère après notre séparation, n’est-ce pas ? Je n’ai jamais eu l’occasion de vous remercier.
Forde : Oh, ce n’était rien. Vraiment! Pour être franc, Ephraim m’a sauvé la peau plus souvent que moi la sienne.
Eirika : J’en doute fort. Mon frère se jette dans la mêlée sans réfléchir aux conséquences. Je crois que vous avez su réprimer son insouciance et son imprudence. Je vous suis redevable, à Kyle, et à vous.
Forde : Dame Eirika…
Eirika : Forde, Renais vous remercie. Puissiez-vous toujours nous défendre.
Forde : Avec plaisir, madame.

:d) Soutien B

Forde : Dame Eirika! C’est bon de vous voir.
Eirika : Ah, Forde. Comme je suis heureuse que vous vous battiez avec nous! C’est grâce à vos aptitudes que nous sommes ici aujourd’hui.
Forde : Eh bien, nous nous investissons tous dans ce combat, madame…
Eirika : Oui, il n’est plus question de reculer à présent.
Forde : Je l’avais bien compris. Madame, laissez ce combat aux soldats. Malgré le torrent de flèches qui s’abat sur nous, nous avancerons pour assurer votre sécurité.
Eirika : Oh… merci, monsieur le chevalier! Dites-moi, Forde…
Forde : Oui ?
Eirika : Qu’allez-vous faire quand ce combat sera fini ?
Forde : Quand le combat sera fini ? Hum, c’est une bonne question. Eh bien… Je vais retourner à Renais et faire une très longue sieste.
Eirika : Je n’en attendais pas moins de votre part. Et après ?
Forde : Après ? J’aimerais m’adonner à ma passion : la peinture.
Eirika : Vous peignez ?
Forde : Oui, madame, je peins. Par le passé, j’ai essayé de ne pas parler de mon goût pour la peinture. Mais des membres du groupe ont découvert mon petit secret.
Eirika : Vraiment ? J’aimerais beaucoup voir vos œuvres, un jour.
Forde : Ah, ce serait avec plaisir. Ce n’est pas du grand art, mais je serais heureux de vous montrer quelques-unes de mes toiles.
Eirika : J’en meurs d’impatience. Oh… Et… ?
Forde :Oui ?
Eirika : Serait-il possible que vous fassiez mon portrait ?
Forde : Pardon ?
Eirika : L’idée vous déplaît ?
Forde :Non! Non… C’est juste que je ne fais quasiment jamais de portraits.
Eirika : Vous ne voulez pas alors ?
Forde : Je n’ai jamais dit cela! Cette requête vient de ma princesse. C’est avec joie que j’accepte.
Eirika : Merci Forde.

:d) Soutien A

Forde : Dame Eirika.
Eirika : Forde.
Forde : L’autre fois, vous m’avez demandé ce que je comptais faire après ce combat.
Eirika : Oui, je me souviens.
Forde : Eh bien, c’est une question que je souhaitais vous retourner. Qu’allez-vous faire quand ce combat sera terminé ?
Eirika : Ce que je vais faire ?
Forde : Oui.
Eirika : Je… Je vais m’efforcer de reconstruire le royaume de Renais et de rendre bonheur et prospérité à mon peuple.
Forde : Dame Eirika…
Eirika : La guerre se terminera et nous rentrerons chez nous, mais ça ne suffira pas. Mon frère deviendra roi, mais ça ne suffira pas. Tout cela ne suffira pas à assurer le bien-être d’un pays.
Forde : …
Eirika : Notre peuple mérite d’être heureux. Sans peuple, il ne peut y avoir de dirigeant.
Sans peuple, il ne peut y avoir de Renais.
Forde : Pour vivre heureux, pour être fiers de notre nation… Pour restaurer la prospérité de notre peuple…
Eirika : Oui, c’est maintenant mon rêve le plus cher. C’est un objectif vague et un peu abstrait, mais…
Forde : Non! Absolument pas!
Eirika : Non ?
Forde : Je veux que dire que reconstruire un pays est effectivement un objectif abstrait. Mais ce que vous décrivez est une ambition noble et altruiste. Je n’ai jamais été aussi fier de servir le royaume de Renais.
Eirika : Forde…
Forde : J’ai pris une décision! Je sais que j’ai déjà fait un serment, mais… Je voudrais le réitérer. Je vous en prie, laissez-moi vous aider à réaliser ce rêve! Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous aider, tant que vous ne me demanderez pas de soulever des montagnes.
Eirika : Merci… Cela me touche beaucoup, Forde. Cette guerre semble s’éterniser. Nos gens ont perdu tout espoir. Mais c’est grâce à des gens de votre trempe, toujours optimistes, qu’ils pourront être sauvés.
Forde : Oh, non. Vous exagérez. Je n’ai rien de spécial. Je ne peux pas me morfondre quand il reste des ennemis à combattre. C’est vous qui êtes spéciale. Vous avez une profonde influence sur notre moral à tous.
Eirika : Moi ? Comment cela ?
Forde : C’est grâce à vous que nous trouvons la force de continuer. Ephraim et vous, vous risquez votre vie pour votre peuple. Vos conseils, vos ordres… Ils donnent un sens à nos vies.
Eirika : Un sens… à vos vies ?
Forde : Oui, nous vivons pour rendre son sourire radieux à votre beau visage.
Eirika : Oh!
Forde : Je me bats dans l’espoir de revoir votre sourire, pour effacer les inquiétudes qui plissent votre front. Si j’y parviens, je serai plus qu’enchanté de peindre votre portrait.
Eirika : Oh, Forde…
Forde : C’est ensemble que nous y parviendrons. Chaque jour qui passe est un pas de plus vers la fin de la guerre. Un pas de plus vers votre rêve.
Eirika : Oui!

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 19:52:52

:globe: Eirika/Innes

:d) Soutien C :

Innes : Eirika, je sais que ça peut paraître soudain, mais... J´ai décidé de te protéger pour quelque temps.
Eirika : Comment ? Qu´est-ce que tu veux dire ?
Innes : A Carcino, je me trouvais dans une situation délicate. Je... te suis à jamais redevable pour ce que tu as fait pour moi ce jour-là.
Eirika : Je... Je vois.
Innes : J´ai donc décidé de te protéger au combat. Ce n´est pas facile à dire, mais... Ce serait inacceptable si je ne te rendais pas la pareille.
Eirika : Oh, toi et ton orgueil!
Innes : Peu importent les circonstances, tu peux compter sur mon aide. Aucune flèche ne peut toucher tous les ennemis, mais je vais me battre pour ta sécurité. Acceptes-tu mon serment ?
Eirika : Euh... d´accord. Je l´accepte. Merci, Innes.
Innes : Dans ce cas, suis-moi.
Eirika : Euh, un instant, Innes. Tu es un archer... Il serait plus logique que tu restes à l´arrière, non ?
Innes : ...

:d) Soutien B :

Innes : Mais qu´est-ce que tu fais ?
Eirika : Qu´y a-t-il, Innes ?
Innes : Je t´ai dit que j´allais te protéger.
Eirika : Oui, en effet.
Innes : Et pourtant, chaque fois qu´un ennemi apparaît tu te rues sur lui pour l´attaquer! On va finir par croire que c´est toi qui me protèges.
Eirika : Désolée, ton image de marque ne m´intéresse pas, Innes. Tu es un archer, et moi, une spécialiste des combats rapprochés.
Innes : C´est inacceptable! J´ai promis de te protéger et je comptais sincèrement être fidèle à ma promesse.
Eirika : Crois-moi j´apprécie ton dévouement. C´est rassurant de me battre en sachant que tu n´es jamais bien loin, prêt à me défendre.
Innes : Eirika, tu es si gentille... Tu n´est pas... comme ton frère.
Eirika : Détrompe-toi! Tu considères mon frère comme un guerrier, un concurrent. Mais c´est un homme doux et généreux, capable d´une grande compassion.
Innes : Si tu le dis... Je ne peux pas douter de ce qui sort de ta bouche.
Eirika : Innes, je t´en prie, essaie de voir en mon frère un ami. Je sais que c´est ce qu´il voudrait, lui aussi. J´ignore pourquoi il t´irrite autant. C´est quelqu’un de tellement gentil.
Innes : Cette conversation commence à m´agacer. Chaque regard que tu lances à Ephraim excite ma jalousie.
Eirika : Comment ?!
Innes : Ce n´est pas facile de lui pardonner. Au fond, il n´y a peut-être qu´une seule façon de régler le problème.
Eirika : Innes ?

:d) Soutien A :

Innes : Eirika. pardon pour le dérangement, mais il faut que je te parle.
Eirika : Innes ? Qu´y a-t-il ?
Innes : Écoute d´abord ce que j´ai à te dire. Y a-t-il... déjà quelqu'un qui a des vues sur ton cœur ?
Eirika : Pardon ? Non... pas autant que je sache.
Innes : bien. Dans ce cas, je vais te parler franchement. Eirika, je crois que je suis tombé amoureux de toi.
Eirika : Comment ?! Ce n´est ni le moment ni le lieu de te moquer de moi, Innes! De plus, cette plaisanterie est de très mauvais goût.
Innes : Je ne plaisante pas. Je suis très sérieux. Les sentiments que j´éprouve pour toi me surprennent moi-même. Je ne sais plus quoi faire. Tous ces combats menés à tes côtés ont embrasé mon cœur. Je t´aime. Te voir dans les bras d´un autre me tuerait.
Eirika : Innes! Je... Je...
Innes : Non, Eirika. Ne me réponds pas maintenant. Je n´ai pas encore battu Ephraim. Je dois d´abord gagner le droit de te courtiser.
Eirika : Je n´y comprends rien. Qu´est-ce que mon frère a à voir là-dedans ?!
Innes : Avec un homme comme lui à tes côtés, je peux comprendre pourquoi tu as éconduit tous tes soupirants. Si je prouve ma supériorité, tu accepteras sûrement de m´épouser. Si j´échoue, je cesserai de t´importuner. Mais je jure sur la force de mon amour que je détruirai cet homme. Eirika, tu me répondras à ce moment-là. Voilà, c´est tout ce que j´avais à dire.
Eirika : Innes! Quel homme... exaspérant! Pourquoi est-il toujours aussi...

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 19:53:07

:globe: Eirika/L'Arachel

:d) Soutien C

L'Arachel : Je vous salue, madame. Je ne m'attendais pas à vous rencontrer ici ! Ça doit être l'oeuvre du destin !
Eirika : L'Arachel, ce n'est PAS le destin. Ce n'est pas même un coïncidence. Nous avions contenu de nous rencontre à cet endroit. Ça fait juste partie du plan. Attendez... ne me dites pas que vous l'aviez oublié !
L'Arachel : Cette rencontre faisait partie d'un plan ? Je ne me suis jamais intéressée à ce genre de bagatelles. Puisque nous sommes là, j'imagine que notre plan fonctionne.
Eirika : En effet.
L'Arachel : Divine providence ou pas, n'est-ce-pas étrange et merveilleux ? Une belle princesse qui voyage avec des gens de la basse société... Vous auriez pu me le dire plus tôt, vous savez ?!
Eirika : Je vous présente mes excuses. Mais les circonstances exigeaient que je garde mon identité secrète.
L'Arachel : Bah, ce n'est pas si grave ! Je crois que je m'étais déjà dès le départ rendu compte de la supercherie. Voilà ce que je pensais : "Cette délicieuse jeune fille appartient à la grande noblesse." Personne ne peut tromper une femme aussi intelligente que moi.
Eirika : Ah, je suis... impressionnée.
L'Arachel : Un noble sait quand il rencontre un autre noble ! D'ailleurs, vous avez sûrement pensé la même chose en me voyant, non ? Vous avez probablement remarqué une grâce et une finesse qui surpassaient celle des gens ordinaires, n'est-ce-pas ?
Eirika : Euh... hum... Oui, dès notre première rencontre, j'ai su que vous étiez... comment dire... différente des autres gens.
L'Arachel : "Différente" ? Je n'aurais pas pu trouver de meilleur terme ! De nos jours, il n'est plus possible de voyager incognito.

:d) Soutien B

L'Arachel : Prenez ça ! Et encore ça, ça et ça !
Eirika : L'Arachel ? Mais que faites-vous ?
L'Arachel : Je m'entraîne ! Je me prépare à la prochaine attaque de nos ennemis. Qui peut dire quand et où ils frapperont. J'ai peur d'être prise au dépourvu et de perdre tous mes moyens. Je veux juste être prête pour leur montrer ce dont ma magie est capable.
Eirika : Ah... vous ne croyez pas que c'est un peu, euh, dangereux ? Vous feriez peut-être mieux d'arrêter. Si des monstres rôdent autour de vous, je promets de venir vous aider.
L'Arachel : C'est inutile, Eirika. Vous savez comment sont ces créatures. Je dois uniquement compter sur mes facultés.
Eirika : L'Arachel, une chose m'interpelle. Pourquoi parlez-vous tout le temps de ces monstres ?
L'Arachel : Mes parents étaient d'honnêtes gens. J'aurais aimé leur ressembler. Rausten, ma patrie, borde les Bois de Lombres. Nous étions victimes de nombreux raids. Père et mère s'étaient donné pour but de protéger notre peuple des monstres, et...
Eirika : Je l'ignorais...
L'Arachel : Mes parents ont péri. Je n'étais encore qu'un bébé. Ils... ont sacrifié leur vie pour défendre de pauvres gens.
Eirika : Je suis désolée.
L'Arachel : Oh, ne soyez pas triste. Je ne veux pas qu'on s'apitoie sur mon sort. Non, je trouve merveilleux qu'ils aient eu le courage d'affronter ce fléau. J'étais si jeune que je ne me souviens même pas de leurs visages. Il n'empêche que je suis très fière de ce qu'ils ont fait.
Eirika : Vous vous sentez seule depuis la disparition de vos parents ?
L'Arachel : Oh, non ! Pas du tout ! Pour qui me prenez-vous ? Une enfant gâtée et fragile ?
Eirika : Au contraire, vous me paraissez être quelqu'un de fort, L'Arachel.
L'Arachel : C'est le moins qu'on puisse dire. Mais... vous êtes également quelqu'un de très fort, Eirika. Votre père est resté dans son château pour combattre les soldats de Grado. Il est mort en héros, ne pensez-vous pas ? Votre père était un grand homme. Vous devez être fière de lui.
Eirika : Eh bien... oui. Les soldats avançaient, et lui, il refusait de reculer, ne serait-ce que d'un pas. Mais ça m'est bien égal... Je veux dire que... j'aurais gardé la même estime pour lui s'il s'était enfui. J'aurais préféré que mon père soit un roi lâche... Je serais bien plus heureuse s'il était encore vivant.
L'Arachel : Eirika... Comme je vous comprends ! Tous vantent le courage de mes parents, leur sens de l'honneur. Mais moi, je ne les verrai jamais. Je ne les connaîtrai jamais. Oh, j'aurais tout donné pour les voir... juste une fois.
Eirika : L'Arachel...

:d) Soutien A

L'Arachel : Eirika... Restez là un instant.
Eirika : Qu'y a-t-il, L'Arachel ?
L'Arachel : C'est à propos de la conversation que nous avons eu précédemment. J'ai peur que vous m'ayez mal comprise. Je ne me sens pas seule à cause de la mort de mes parents. Je ne suis pas si faible, vous savez ? Je n'ai pas... pleuré... une seule fois en pensant à mes parents.
Eirika : Je sais, L'Arachel. Vous êtes quelqu'un de fort. Nous avons de la chance de vous avoir parmi nous.
L'Arachel : Je ne voudrais pas vous brusquer, mais... Là, regardez cet objet.
Eirika : Qu'est-ce que c'est ?
L'Arachel : Ce rubis appartient à Rausten depuis plusieurs générations. Il est très précieux. Je serais honorée si... Je voudrais que vous le preniez.
Eirika : Pardon ? Non, je ne peux pas ! Je ne peux pas accepter un tel cadeau...
L'Arachel : Permettez-moi d'insister. S'il vous plaît, acceptez mon cadeau. Prenez-le. Vous ne pouvez pas refuser.
Eirika : L'Arachel... Merci. J'en prendrai grand soin. Je souhaiterais avoir quelque chose à vous donner en retour...
L'Arachel : Ce n'est pas nécessaire. Ah, j'ai peut-être une idée ! Quand nos terres seront débarrassées de toutes ces monstruosités, invitez-moi à Renais ! Est-ce que cette solution vous convient ?
Eirika : Oui... bien sûr.
L'Arachel : Nous avons donc trouvé un terrain d'entente ! A présent, je vous interdis de mourir au combat avant moi. Vous me le promettez ?
Eirika : Oui... efforçons-nous de vivre assez longtemps pour pouvoir nous rappeler ce moment. Je suis certaine que c'est le début d'une grande amitié.

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 19:53:31

:globe: Eirika/Saleh

:d) Soutien C

Eirika : Maître Saleh !
Saleh : ...
Eirika : Maître ?
Saleh : ...
Eirika : ...
Saleh : ... ... Oh, je suis désolé, dame Eirika.
Eirika : Ce n'est rien. Etiez-vous en train de... prier ?
Saleh : Pas exactement. C'est ce qu'on appelle le Valéga.
Eirika : Le Valéga ?
Saleh : Oui.
Eirika : De quoi s'agit-il ? Y a-t-il un rapport avec l'histoire culturelle de Caer Pelyn ?
Saleh : Oui, dans un sens. Mais voyez le Valéga comme un voeu, un voeu très pur. C'est un voeu qui transcende le désir humain.
Eirika : Je vois. Je ne dis pas que je comprends, mais... C'est très intéressant. J'aimerais beaucoup en savoir plus. Pourrions-nous en discuter plus longuement la prochaine fois ?
Saleh : Si vous voulez.
Eirika : Merci.

:d) Soutien B

Eirika : Maître Saleh.
Saleh : Madame. Ce que vous m'avez raconté sur le Valéga a été très enrichissant.
Eirika : C'est comme si on créait une sorte d'harmonie entre nos désirs et le monde qui nous entoure. En apprenant à mieux connaître la nature, on apprend à se découvrir. De plus, en transcendant ses désirs personnels, on aspire à un monde meilleur. Ce que vous m'avez dit m'a aidée à redécouvrir l'importance de ce désir universel. Ce monde meilleur... c'est ce qui nous incite à faire cette guerre. Grâce à votre Valéga, mes convictions ont acquis une force nouvelle.
Saleh : Ah. Je suis heureux d'entre ça... Dame Eirika, vous me rappelez la princesse guerrière, Nada Kuya.
Eirika : Nada Kuya ?
Saleh : Il s'agit d'une ancienne héroïne de Caer Pelyn.
Eirika : Parlez-moi d'elle, s'il vous plaît.
Saleh : On raconte qu'elle était une femme forte, belle et fière. Elle défendait la nature et était en phase avec la terre.
Eirika : Mais vous avez dit que c'était une princesse guerrière, non ?
Saleh : En fait, en ces temps anciens, une nation étrangère avait envahi Caer Pelyn.
Eirika : Vraiment ?
Saleh : C'est Nada Kuya qui a pris la tête de la résistance contre les envahisseurs. Elle avait pour arme une épée courte, une griffe que les dragons lui avaient offerte. Grâce à cette épée, elle a refoulé tous les ennemis de Caer Pelyn.
Eirika : Waouh... quelle histoire ! Et vous pensez que je...
Saleh : Oui, vous me faites penser à elle.
Eirika : Non, non... Lorsque Grado a envahi Renais, j'étais paralysée. Je ne pouvais rien faire. C'est seulement parce que d'autres se sont sacrifiés que j'ai pu m'enfuir.
Saleh : Mais maintenant, vous êtes là. Avec votre force, votre courage et votre dignité.
Eirika : Maître Saleh...
Saleh : Si vous nous menez à la victoire, la légende deviendra réalité. Vous deviendez la Nada Kuya des temps modernes.
Eirika : Je vois. Oui, je vois ! J'ai une raison de me battre. J'ai des choses à protéger. Je me bats pour l'avenir de Renais et celui de mon peuple. Merci, maître Saleh. Vos histoires me donnent le courage de continuer.
Saleh : Je suis content de vous l'entendre dire.
Eirika : Je prie pour que votre sagesse nous mène à la victoire.
Saleh : Je vais faire de mon mieux.

:d) Soutien A

Eirika : ...
Saleh : ... Quelque chose vous ennuie, dame Eirika ?
Eirika : Oh, maître Saleh. Non, ce n'est rien. J'avais juste l'esprit ailleurs. Oh, et au beau milieu d'un combat. Je suis désolée.
Saleh : Ne soyez pas désolée. Je ne suis pas là pour juger vos actes ou vos pensées.
Eirika : Tant mieux. ... J'étais juste en train de me souvenir de mon pays. Je repensais au royaume de Renais, quand il était encore en paix.
Saleh : ...
Eirika : Les montagnes étaient majestueuses, l'eau des rivières était si pure... Le parfum des fleurs sauvages embaumait l'air. Le ciel était bleu et clair. C'était avant que la guerre ne défigure les paysages et n'assombrisse le ciel. C'était un endroit magnifique. Chaque jour nouveau était empli d'espoir. Mon frère et moi, nous allions chasser avec le prince Lyon. ... Je nous préparais à dîner. Ephraim me taquinait, mais Lyon était content. Comme cette époque me manque !
Saleh : Dame Eirika... Je vous promets que le Renais d'avant sera bientôt restauré.
Eirika : Maître Saleh... Je le souhaite de tout coeur. Mais vous et moi, nous devons d'abord nous concentrer sur ce combat. Nous devons gagner. Merci, maître Saleh. Votre nation, Caer Pelyn, était également un pays magnifique.
Saleh : Nous n'avions rien de spécial. Mais c'est grâce à cela que nous avions... tout.
Eirika : C'est quelque chose que je ne comprenais pas auparavant. Aujourd'hui, je crois comprendre ce que vous voulez dire.
Saleh : J'en suis heureux.
Eirika : Après la guerre, j'aimerais beaucoup vous rendre visite à Caer Pelyn. Je voudrais mieux connaître votre nation, en savoir plus sur le Valéga et sur la fameuse Nada Kuya.
Saleh : Vous êtes la bienvenue. Caer Pelyn et moi, nous vous accueillerons toujours les bras grand ouverts.

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 19:53:47

:globe: Eirika/Seth

:d) Soutien C

Eirika : Seth.
Seth : Qu'avez-vous, madame ?
Eirika : Comment allez-vous, Seth ? Depuis la prise du château, vous avez assuré ma protection, et ce, malgré vos blessures...
Seth : Comme j'aurais aimé mieux vous servir ! Vous n'étiez pas sensée voir toutes ces choses. Mais mes blessures ne me font plus souffrir. Je peux tenir ma lance sans problème.
Eirika : Attendez. Faites-moi voir. Les plaies se sont fermées, mais vous n'êtes pas guéri pour autant.
Seth : ... Qu'est-ce qui vous fait dire cela, madame ?
Eirika : Comme à l'accoutumée, vous vous battez superbement, Seth. Mais chaque fois que vous levez votre lance, je peux voir comment la douleur crispe votre visage. Ceci étant dit, ce n'est peut-être que mon imagination...
Seth : Votre Altesse, cessez de vous inquiéter inutilement. Soyez rassurée. Mes blessures sont complètement guéries.
Eirika : Je prie pour que ce soit vrai, Seth. Evitez de vous surmener, d'accord ? Sans vous, je ne serais pas en mesure de poursuivre ce voyage.
Seth : Vous exagérez, madame...

:d) Soutien B

Eirika : Gnnnah... YAAAAH ! Qu'en pensez-vous ?
Seth : Votre jeu d'épée est magnifique, madame. Vous avez beaucoup progressé.
Eirika : Je vous remercie. En fait, je n'ai pas vraiment le choix. Mon frère me sermonne dès que je néglige l'entraînement. Mais je ne vous arrive pas même à la cheville, Seth.
Seth : Madame, vous vous sous-estimez.
Eirika : Et si nous nous entraînions ensemble ? Vous pourriez m'enseigner de nouvelles techniques ! Tout ce que mon frère m'a appris se rapporte à la lance. J'aimerais tant en savoir plus sur le jeu d'épée des chevaliers de Renais. Ainsi, je pourrais peut-être devenir plus forte. Et je pourrais être d'une meilleure assistance sur le champ de bataille.
Seth : Oui, mais... Madame, je préférerais que vous ne vous approchiez pas de la ligne de front. Vous appartenez à la famille royale de Renais. Laissez-moi m'occuper de l'ennemi...
Eirika : Non... il n'est pas question que je reste là à regarder comment vous risquez votre vie pour moi ! Je ne peux pas toujours dépendre de vous. Je dois apprendre à me défendre. Alors, continuez à observer pendant que je m'entraîne.
Seth : Dame Eirika...

:d) Soutien A

Eirika : Seth, auriez-vous une minute ? Voudriez-vous vous entraîner quelques instants avec moi ?
Seth : Madame... Avant, il y a une chose dont j'aimerais vous faire part.
Eirika : Je vous écoute.
Seth : Pardonnez-moi d'être aussi direct... Madame, je ne suis que l'un de vos sujets. Depuis quelque temps, vous me témoignez trop d'attention. Quelqu'un de votre rang ne devrait pas se préoccuper autant de ses serviteurs.
Eirika : Oh... mais, je... C'est juste que vos blessures n'ont pas encore... Je voulais simplement...
Seth : C'est vrai, les blessures que j'ai reçues le jour de l'invasion de notre château n'ont toujours pas cicatrisé. Peut-être que j'en porterai les séquelles toute ma vie. Mais vous n'avez aucune raison de vous sentir responsable.
Eirika : Le fait est que vous souffrez à cause de moi...
Seth : Madame, vous appartenez à la famille royale de Renais. Vous devriez traiter tous vos sujets de la même façon. Comment pouvez-vous attendre de la loyauté de leur part, si vous vous livrez à tant de favoritisme ?
Eirika : ...
Seth : La défense de votre pays peut exiger que vous renonciez à certaines amitiés. Il vous faudra parfois faire des sacrifices pour accéder à la victoire. Si vous n'avez pas la force d'exposer vos hommes au danger, alors, vous n'êtes pas faite pour gouverner.
Eirika : ... Je comprends... Seth, vous avez raison. J'ai oublié où était ma place. J'ai oublié quel était mon devoir. Je vous prie de me pardonner.
Seth : ...
Eirika : Cette nuit-là... Nous étions attaqués par l'armée de Grado... Vous m'avez protégée des lames sanguinaires de l'ennemi. C'est peut-être cet évènement qui m'a rapprochée de vous. Mais... mon attitude était indigne d'une princesse de Renais. Et étant donné que mon père est mort, j'ai désormais un nouveau statut. Je dois diriger Renais, et vous êtes un chevalier qui a juré de me servir. Je ne dois pas l'oublier, sinon, jamais je ne serai en mesure de reconstruire notre royaume.
Seth : Merci pour votre compréhension, madame. Si vous voulez bien m'excuser à présent...
Eirika : ...
Seth : Madame ! Permettez-moi d'ajouter une dernière chose...
Eirika : Oui ?
Seth : Cette nuit-là... J'ai ressenti la même chose que vous. Vous étiez dans mes bras, et nous galopions dans la nuit noire... De toute ma carrière de chevalier, c'était la première fois que j'oubliais mon devoir. Je ne vous ai plus considérée comme ma princesse, mais comme un être cher que je devais protéger à tout prix. Je voulais tout abandonner... Je voulais vous emmener quelque part où nous ne serions que tous les deux. Voilà quelles étaient mes pensées...
Eirika : Seth...
Seth : S'il vous plaît, pardonnez-moi. Je vous promets de ne plus jamais négliger mon devoir. Si vous voulez bien m'excuser. Quand je vous reverrai, ce sera en tant que chevalier de Renais. Et je serai prêt à donner ma vie pour sauver la vôtre.
Eirika : Seth...

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 19:54:02

:globe: Eirika/Tana

:d) Soutien C

Tana : Ah, Eirika. Et si nous avancions côte à côte quelque temps ?
Eirika : Tana, tu sembles être en forme. J'accepte avec plaisir.
Tana : Je te dois des excuses. Je regrette de ne pas t'avoir été d'une plus grande assistance, Eirika. A dire vrai, je débute et je ne suis pas encore rompue au combat. Je ne suis peut-être pas digne de voyager avec toi...
Eirika : Non, Tana, ce n'est pas vrai. Tu nous as été d'un grand secours. Je sais de quoi je parle. J'ai vu comment tu te bats.
Tana : Merci, Eirika. Mais... je me sens si stupide maintenant.
Eirika : Pourquoi ?
Tana : Tu es comme une soeur pour moi. Pourtant, bien que nous soyons du même âge, tu parais largement plus mûre que moi.
Eirika : Tu exagères...
Tana : C'est même toi qui m'as donné le courage de quitter le château ! Je voulais apprendre à me débrouiller toute seule. Je voulais devenir comme toi. Je suis très heureuse que nous soyons amies.
Eirika : Oui, moi aussi, Tana. Je suis contente que tu sois venue. Ta présence me rappelle des temps meilleurs.

:d) Soutien B

Tana : Oh, mon frère... Tu vas me le payer !
Eirika : Qu'est-ce qui ne va pas, Tana ? Quelque chose est arrivé à Innes ?
Tana : Mon frère est tellement cruel ! Si tu savais ce qu'il m'a dit ! Il m'a dit que je gênais tout le monde et que je devrais retourner à Frelia sur-le-champ...
Eirika : Oh là là...
Tana : C'est si déprimant ! Il est toujours comme ça. Il me rabaisse et il se moque de moi à tout bout de champ. Je le déteste !
Eirika : Tana, ton frère a juste une étrange façon d'extérioriser ses inquiétudes. Il se fait du souci pour toi. Tu en es consciente, n'est-ce-pas ?
Tana : Oui, mais...
Eirika : Mon frère me gronde également quand je prends un risque, même si c'est pour la bonne cause. Ton frère ne mâche pas ses mots, car il veut éviter que tu te blesses inutilement.
Tana : Eh bien... je suppose que tu as raison.
Eirika : Et si nous allions lui parler ? Je resterai près de toi.
Tana : Ah... d'accord. Merci, Eirika... Je t'envie tout de même.
Eirika : Tu m'envies ?
Tana : Ephraim et toi êtes si proches. Vous vous comprenez l'un l'autre. Ce doit être... si merveilleux ! J'aimerais tellement partager ce genre de relation avec mon frère.
Eirika : Nous sommes jumeaux, tu sais. Voilà pourquoi nous sommes un peu différents des autres frères et soeurs.
Tana : Mais vous ne vous querellez presque jamais ! Comment faites-vous ?
Eirika : Je... Eh bien... N'est-ce-pas normal pour des jumeaux ?

:d) Soutien A

Tana : Eirika, tu vas bien ?
Eirika : Oui, merci, Tana. Quand tu es près de moi, je vais on ne peut mieux.
Tana : J'étais en train de me demander... Eirika, tu crois que je suis devenue plus forte ? Plus forte qu'à l'époquer où j'étais cloîtrée au château ?
Eirika : Oui, bien entendu.
Tana : Tu es sincère ?
Eirika : Tana, tu devrais avoir plus confiance en tes capacités. S'il fallait que je compte sur ma seule épée, je ne survivrais pas. Mais avec toi à mes côtés, je sais que je peux me battre sans crainte.
Tana : Tu crois ? Je n'en suis pas aussi convaincue que toi. Mais c'est agréable à entendre, surtout venant de ta part. Eirika, nous allons surmonter cette épreuve, toutes les deux. Et après ça, nous pourrons nous détendre.
Eirika : Oui, Tana. Mais avant, il va falloir nous excuser auprès du roi Hayden.
Tana : Oh... Mon père... Je me demande s'il est encore furieux.
Eirika : Il faut que tu lui parles.
Tana : Dis-moi, Eirika. Pourrais-tu...
Eirika : Bien sûr. Je comprends. Nous irons lui parler ensemble. Ne t'inquiète pas.

Seth-Origine Seth-Origine
MP
Niveau 10
22 octobre 2013 à 21:39:57

Eirika + Saleh/Innes. :malade:

Haar-Wyvern Haar-Wyvern
MP
Niveau 14
23 octobre 2013 à 16:32:18

Eirika quoi :hap:

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