Soutiens possibles

Natasha/Cormag
Natasha/Franz
Natasha/Joshua
Natasha/Knoll
Natasha/Seth

Natasha/Cormag

Soutien C

Cormag : Oh, vous arrivez à point nommé. Vous êtes une prêtresse, n’est-ce pas ?
Natasha : Oui, en effet. Que puis je faire pour… ?
Cormag : Désolé mais je suis très pressé. Euh, pourriez-vous soigner cette petite créature pour moi ?
Natasha : Soigner … qui ? Vous voulez parler de ce chaton ?
Cormag : Oui. Il y a un problème ? Vos pouvoirs ne marchent pas sur les chats ?
Natasha : Non, ce n’est pas ça. Je suis juste un peu surprise…
Cormag : Peu importe. Si vous pouvez le soigner, eh bien, allez-y!
Natasha : Oh, oui… Pardon… Voilà, il est hors de danger. Tu en as de la chance, mon minou. Cet homme adorable t’a sauvé la vie!
Cormag : Adorable ? Moi ? Ah. Madame, vous me connaissez mal. Mais merci de l’avoir soigné.
Natasha : C’était tout naturel. Je ne pouvais pas laisser cette petite créature souffrir.
Cormag : Je m’appelle Cormag. Je suis content de vous avoir rencontrée.
Natasha : Et moi, je suis heureuse d’avoir pu vous aider. Mon nom est Natasha.
Cormag : Eh bien, je vous suis redevable d’avoir sauvé ce chat. Si vous avez besoin d’aide, faites-moi signe.
Natasha : Je m’en souviendrai, Cormag.

Soutien B

Cormag : Hé, c'est Natasha, n'est-ce-pas ?
Natasha : Oui, tout à fait. Comment va votre chaton ?
Cormag : Je l'ai ramené auprès de sa mère. Je crois qu'il sera plus heureux avec elle.
Natasha : Je le crois aussi.
Cormag : Et vous ? Où sont vos parents ?
Natasha : Je ne les ai pas vus depuis que je suis entrée dans les ordres. Nous nous écrivions, mais il y a longtemps que je n'ai pas reçu de leurs nouvelles. Je me demande comment ils vont. Je suis inquiète.
Cormag : Vous êtes de Grado, Natasha ?
Natasha : Oui.
Cormag : Je le savais ! Je viens moi aussi de Grado ! Où êtes-vous née ? Moi, je suis né dans le sud.
Natasha : Je suis née dans un petit village près de la frontière de Renais.
Cormag : Ah, dans ce cas, vous n'avez absolument rien à craindre. Lorsque j'ai rejoint l'armée, je stationnais près de la frontière. Les bandits sont le seul fléau qui menace cette région.
Natasha : Vraiment ? C'est bon à entendre. Merci pour ces informations. J'étais si inquiète !
Cormag : Ah, vous avez un très joli sourire. Vous regarder sourire me met du baume au coeur. Ne vous inquiètez pas pour vos parents, Natasha.
Natasha : Oui, Cormag. Et merci du fond du coeur.

Soutien A

Natasha : Bonjour, Cormag.
Cormag : Que se passe-t-il ? Vous avez de nouveau votre tête d'enterrement.
Natasha : Est-ce que tout cela ne devient pas difficile pour vous ?
Cormag : De quoi parlez-vous ?
Natasha : … Depuis le début de cette guerre, nous nous battons sans répit contre les soldats de Grado. Il s'agit de nos compatriotes, de nos familles...
Cormag : …
Natasha : Je me rends compte qu'on ne peut pas gagner un combat sans faire de victimes. Je suis une guérisseuse, mais pour mettre un terme à cette guerre, je dois tourner le dos à mes compatriotes. Je dois les abandonner à leurs souffrances, alors que je ne vis que pour les aider. Mais...
Cormag : … Mais quoi ?
Natasha : Grado est responsable de cette crise. Notre patrie... Grado a pris tant de vies. Nous devons nous battre.
Cormag : Ah. C'est la triste ironie des champs de bataille. Sur le dos d'une wyverne, je brandis ma lance pour tuer des hommes qui devraient être mes alliés. Nous nous sommes unis à cette cause dans l'espoir de ramener Grado à la raison. Notre patrie a semé le chaos et c'est à nous de réparer ses fautes.
Natasha : Je suppose...
Cormag : … Vous savez quoi, Natasha ? N'ayons jamais honte d'avoir pour patrie l'empire de Grado. Vous n'êtes pas responsable et vous ne devez rien à personne. Grado était jadis un pays magnifique. Faites ce que vous pouvez pour restaurer cette gloire perdue. Une seule poignée d'hommes a suffi pour écarter Grado du droit chemin. Alors, peut-être que quelques soldats réussiront à ramener la paix.
Natasha : Je comprends, Cormag. Je vais oeuvrer pour la bonne cause. Merci. C'est comme si le voile qui obscurcissait mon coeur était tombé.
Cormag : Ah, je voulais juste revoir ce joli sourire illuminer votre visage. Vous et moi, nous avons beaucoup de choses à nous dire, je crois. Rencontrons-nous de nouveau.
Natasha : Avec plaisir.

Natasha/Franz

Soutien C

Franz : Sœur Natasha.
Natasha : Bonjour, Franz. Comment allez vous ?
Franz : Je vais bien, merci. Tout va bien. Et on dirait que vous aussi, vous allez bien. Je suis soulagé.
Natasha : Oui, mais c’est parce que vous êtes tous aux petits soins pour moi. Je suis reconnaissante que tout le monde veille à ma sécurité. Et ça vaut aussi pour vous, Franz.
Franz : Oh, sœur Natasha. Je fais mon devoir, rien de plus…
Natasha : Vous êtes trop modeste, Franz. Je vous dis juste la vérité.
Franz : Merci.
Natasha : Au fait, c’est une sacoche intéressante que vous avez là.
Franz : Comment ?
Natasha : Ce n’est pas pour se battre, n’est-ce-pas ? J’ai remarqué que les autres cavaliers n’en avaient pas.
Franz : Oh, ce vieux truc ? Pour être honnête avec vous, je l’ai confectionné moi-même.
Natasha : Vraiment ?
Franz : Oui. Il y a une poche intérieure où l’on peut placer sa gourde. Il y a aussi cette poche pour y ranger sa nourriture. Il y a un comportement pour les herbes… Je trouve tout en un instant. Oh, et je l’ai aussi ajustée pour qu’elle ne bouge plus quand je suis à cheval. On peut facilement la porter sur une ou deux épaules. Et elle va avec tout!
Natasha : C’est bien! Vous avez le sens pratique.
Franz : Merci. C’est… probablement ma seule qualité. Euh;.. Vous en voulez une ? Je peux vous en faire une.
Natasha : Vraiment ? Ce serait merveilleux. Mais… vous êtes sûr ?
Franz : Oui, sans problème.
Natasha : Merci, Franz.

Soutien B

Natasha : Franz. Cette sacoche que vous m'avez donnée est géniale !
Franz : Vous trouvez ? Bien... Je vous l'ai fait plus légère que la mienne.
Natasha : Merci beaucoup. J'en prendrai grand soin. Oh, ouille !
Franz : Soeur Natasha, vous allez bien ? Mais qu'avez-vous ?!
Natasha : Mes cheveux...
Franz : Oh... vos cheveux se sont coincés dans votre barrette.
Natasha : Aïe...
Franz : Ne bougez pas. Je vais vous aider.
Natasha : Merci. …
Franz : …
Natasha : …
Franz : Ça y est !
Natasha : Merci beaucoup.
Franz : Mais vos cheveux sont tout... Ah, je sais. Attendez un instant. Voyons... voir...
Natasha : Qu'est-ce que vous cherchez ?
Franz : Ah, le voilà.
Natasha : Un peigne ?!
Franz : Vous êtes toute décoiffée. Vous ne voulez pas que je vous arrange ça ?
Natasha : Je vous en prie, faites. Mais où êtes-vous allé chercher ce peigne ?
Franz : Excusez-moi un instant. …
Natasha : …
Franz : … Ce peigne appartenait à ma mère.
Natasha : A votre... mère ?
Franz : Oui. En quittant la maison, j'avais comme un mauvais pressentiment. J'ai donc pris ce peigne pour m'en sevir comme porte-bonheur. Normalement, je le garde avec le portrait de maman que Forde a peint.
Natasha : Je vois...
Franz : Oui... … Et voilà !
Natasha : Hum... Ma coiffure me plaît beaucoup ! Franz, vous avez du talent. Quand vous êtes près de moi, je me sens si rassurée.
Franz : Ne soyez pas bête. C'est avec plaisir.
Natasha : Non, vraiment, merci. J'espère que c'est le début d'une longue amitié.
Franz : Je le souhaite aussi, madame. Je le souhaite aussi.

Soutien A

Natasha : Vous vous défendez superbement.
Franz : Oh, non, soeur Natasha. Je ne suis encore qu'un amateur...
Natasha : Vous êtes si sérieux et concentré, Franz. Vous progressez chaque jour qui passe. Vous allez bientôt devenir un grand chevalier !
Franz : Merci... Mais je suis maladroit à la lance comme à l'épée, et je suis petit. Comparé à nos compagnons, je ne fais pas le poids.
Natasha : Il existe de nombreux types de chevaliers. Ceux-ci sont forts, ceux-là sont rapides, d'autres sont rusés. Vous possédez un talent contre lequel personne ne peut rivaliser.
Franz : Ah bon ?! Et lequel ?
Natasha : Vous avez un coeur pur. Cette force surpasse celle de la lance. Vous devriez avoir plus confiance en vous.
Franz : Soeur Natasha... … Un... coeur pur... Merci infiniment. Je vais vous obéir et prendre plus d'assurance.
Natasha : C'est bien.
Franz : Ah, au fait. Tenez...
Natasha : Hem ? Oh, mais c'est...
Franz : Oui, c'est le peigne de ma mère. J'aimerais vous en faire cadeau.
Natasha : Franz...
Franz : J'ai voulu croire qu'il me protégeait du Mal. Maintenant, je veux qu'il soit votre porte-bonheur.
Natasha : … Franz, je ne peux pas. C'est quelque chose que vous devez garder.
Franz : Soeur Natasha ?
Natasha : Vous avez pris ce peigne parce que vous croyiez que votre mère vous protégeait. Ce peigne incarne l'affection et le souvenir de votre mère. Il doit rester entre vos mains. C'est avec vous qu'est sa place.
Franz : Soeur Natasha...
Natasha : Mais je voudrais tout de même vous remercier. C'est un beau geste de votre part. Je suis très heureuse. Franz, si je me bats avec une telle confiance, c'est parce que vous êtes avec moi.
Franz : Non... ce n'est pas vrai.
Natasha : Si, je suis sérieuse. Vous savez, vous êtes celui qui me donne de la force et de l'assurance. Votre simple présence vaut bien plus qu'un porte-bonheur. J'espère pouvoir passer plus de temps avec vous, en nous battant pour cette juste cause.
Franz : Oui ! Merci pour toutes ces gentillesses que vous me dites. Moi aussi, je l'espère.
Natasha : Restaurons ensemble la paix dans toutes les nations de ce monde, et pas seulement à Renais !
Franz : Oui, Soeur Natasha. C'est une noble cause et nous allons gagner !
Natasha : Allons nous battre. Au nom de la victoire et de l'amitié !
Franz : Oui, madame !

Natasha/Joshua

Soutien C :

Joshua : Hé, on dit beaucoup de bien de vous. Tout le groupe est satisfait de la façon dont vous soignez les blessés.
Natasha : Vraiment ? Je suis contente de l‘entendre. J’aimerais vous aider davantage. Mais je suis ravie de pouvoir être utile.
Joshua : Oh, vous l’êtes, soyez-en sûre! Vous ne soignez pas seulement nos blessures. Votre sourire nous soulage de toutes nos souffrances. J’ai certes perdu notre pari, mais tout semble se dérouler pour le mieux, non ?
Natasha : Joshua… Je vais me contenter de vous aider du mieux que je peux, tout en essayant de ne pas être un fardeau.
Joshua : Je veux juste vous faire comprendre que vous avez sauvé de nombreuses vies. Nous avons d’autres guérisseurs, je sais, mais vous êtes bien plus que ça. Vous êtes quelqu’un de spécial. J’ai beau être le plus cynique du groupe, même moi, je l’ai remarqué.
Natasha : Joshua… Vous êtes trop gentil.
Joshua : Ne soyez pas aussi modeste. Mes compliments sont mérités.
Natasha : Si … vous le dites.
Joshua : C’est la vérité, alors continuez comme ça.
Natasha : Je vais donner le maximum.
Joshua : Quel joli sourire…

Soutien B :

Natasha : Oh! Ahhhhh!
Joshua : Attention! Gnah! Une flèche ? Est-ce que quelqu´un vous a tendu un piège ? Ou y aurait-il un archer dans les parages ?
Natasha : Joshua! Vous m´avez sauvé. Heureusement que vous étiez près de moi!
Joshua : Euh, eh bien, il s´avère que j´étais dans le coin à ce moment là.
Natasha : Vous en faites peu de cas, mais j´ai eu de la chance que vous vous trouviez dans le coin.
Joshua : Eh bien, euh... Vous allez bien ?
Natasha : Je vais très bien, merci. Mais c´est uniquement grâce à vous, Joshua. Vous m´avez sauvé la vie. J´essaierai de faire plus attention à mon entourage.
Joshua : Oui, eh bien... Ce n´est pas toujours facile, vous savez ? Surtout pendant le travail. Quand vous soignez un blessé, vous êtes très concentrée. Restez focalisée sur votre travail et je garderai un oeil sur vous. Cette solution vous convient ?
Natasha : Oh, non. Je ne peux pas exiger de vous que vous me protégiez tout le temps.
Joshua : Vous refusez ?
Natasha : Non, ce n´est pas ça! je préférerai que... Bah, oublions ça.
Joshua : ... Dites, vous voulez faire un pari ?
Natasha : Un autre... pari ? Ici, sur le champ de bataille ? Sur quoi voulez vous parier, cette fois ?
Joshua : Je parie que vous allez tôt ou tard tomber amoureuse de moi.
Natasha : Comment ?!
Joshua : Personellement, je mise sur le oui.
Natasha : Je vous en prie, ce n´est pas le moment de plaisanter! Je ne sais pas.
Joshua : Hé, ne partez pas! Pff... Je ne plaisantais pas.

Soutien A :

Joshua : Ouille...
Natasha : Joshua, vous allez bien ? Avez vous besoin de soin ?
Joshua : Natasha, comment êtes vous venue ici si vite ?
Natasha : ... Je passais... Justement par là. Vous êtes blessé ?
Joshua : Aie, oui... Mais ce n´est qu´une égratignure. Ceci étant dit, ce serait bien si vous pouviez la soigner...
Natasha : Oui... ...
Joshua : ...
Natasha : ... ... Voilà.
Joshua : Merci... Dites moi, Natasha, vous voulez faire un pari ?
Natasha : Un pari sur quoi ? Si c´est encore une de vos plaisanteries, je...
Joshua : Pourrais-je vous rendre heureuse ? C´est sur ça que nous allons parier. Vous êtes de la partie, oui ou non ?
Natasha : Pardon ?
Joshua : C´est tout ce que je possède, je ne peux pas augmenter la mise. Alors ? Acceptez vous le pari ?
Natasha : Etes-vous... sérieux ?
Joshua : Regardez moi dans les yeux et décidez par vous même.
Natasha : ... Je...
Joshua : "Je sers les gens", hein ? Ecoutez, y a t´il une différence si vous les servez à Grado ou à Jehanna ? Vous pouvez venir avec moi. Tout se passera bien, vous verrez. J´y veillerai.
Natasha : Joshua...
Joshua : Natasha.
Natasha : ... ... Très bien.
Joshua : ...
Natasha : ... J´accepte votre pari.
Joshua : Vraiment ?
Natasha : Je parie sur mon avenir, mon bonheur.
Joshua : Natasha... ... Je ne peux pas me permettre de perdre ce pari.
Natasha : Vous avez raison. Et j´espère de tout mon coeur que vous le gagnerez.
Joshua : Ne vous en faites pas. Dans les situations délicates, je ne perds jamais. Bien sûr, il m´arrive de perdre parfois. Mais pas cette fois!
Natasha : Au moins... Vous avez gagner notre dernier pari.
Joshua : Hem ? Oh! Oh, oui... Vous êtes amoureuse de moi.
Natasha : ...
Joshua : Bah, ce pari était facile. Celui ci va me doner du fil à retordre. je vais y travailler sérieusement. Mais avoir déjà remporté un pari me donne de l´espoir.
Natasha : Cette guerre est terrible, mais c´est grâce à elle que nous sommes ensemble.

Natasha/Knoll

Soutien C

Natasha : Maître Knoll...
Knoll : Je vous connais. Vous êtes la Natasha du temple.
Natasha : Oui. Je vous voyais souvent à Grado. Mais c'est la première fois que nous nous adressons la parole.
Knoll : J'ignore pourquoi, mais les clercs et les mages sont comme l'eau et le feu. Et les mages sont parfois énigmatiques. Nous sommes si secrets et sinistres... Du moins, j'ai l'impression que c'est l'opinion que les clercs se font de nous.
Natasha : Oh, non ! Je n'ai jamais... En fait, vous avez raison. Nous avions très peu de contacts avec les mages. Mais c'est du passé. J'ai une question à vous poser, maître Knoll.
Knoll : Je sais déjà ce que vous allez me demander. Ça concerne les Pierres sacrées et le prince Lyon, non ?
Natasha : Oui. Mon mentor est mort alors qu'il tentait de nous mettre en garde contre la menace que représente notre Pierre sacrée. Je veux savoir la vérité. Quel est l'objectif de l'empereur Vigarde ? Et quel rôle le prince Lyon joue-t-il ?
Knoll : Il y a autant de vérités que de gens qui les racontent. Le plus sage serait que vous choisissez la version de l'histoire qui vous sied le mieux.
Natasha : ...
Knoll : J'imagine que votre mentor nous croyait du côté du Mal. Nos études de la Pierre sacrée devaient être un sacrilège à ses yeux. Il méprisait sûrement les magies anciennes qu'il qualifiait d'obscures.
Natasha : Vous vous trompez... Mon mentor n'était pas du tout comme vous le croyez ! Et cette guerre n'est-elle pas le produit direct de vos recherches sur la magie obscure ?
Knoll : ...
Natasha : ...
Knoll : : Hum... oui, je suppose que vous avez raison sur ce point. Votre magie se base sur la foi en l'inconnu, sur la présence divine. En revanche, la magie noire se fonde sur le savoir et la connaissance. Nous rejetons l'irrationnel et nous nous efforçons de connaître l'inconnu. Peut-être que nos disciplines sont réellement incompatibles.
Natasha : ...

Soutien B

Knoll : Nos recherches se sont soldées par un terrible échec. La Pierre sacrée de Grado a été détruite. Le prince Lyon est désormais corrompu. Et la tragédie qui a été causée continue de faire des ravages. C'est vrai. Nous, les mages, nous sommes les responsables de la plus grande calamité de ce siècle.
Natasha : Mais pourquoi ? Que désiriez-vous accomplir ? Quel objectif le pouvoir des Pierres sacrées allait-il vous permettre d'atteindre ?
Knoll : Le prince Lyon désirait seulement aider son peuple... Quant à nous, nous n'étions que ses serviteurs.
Natasha : Aider son peuple ?
Knoll : Nous avons lu qu'il existait un sort pouvant transpercer le temps. Ce sort agit sur le temps et cause un trou entre la cause et l'effet.
Natasha : ...
Knoll : Aujourd'hui, nous ne disposons pas du savoir nécessaire pour reproduire cette ancienne formule magique. Toutefois, le prince Lyon était convaincu que nous pouvions percer son secret. Il voulait l'utiliser pour prédire, voire empêcher les catastrophes à venir.
Natasha : Empêcher... les catastrophes ?
Knoll : Oh, nous avons passé des années à étudier ce sort. Vous voyez, plus la catastrophe est grave, plus il y a d'ondulations perceptibles dans le temps. Nous avons appris à lire ces ondulations qui viennent du futur, dans l'espoir de sauver des vies. Si nous pouvions savoir à l'avance où et quand le désastre frappera, nous pourrions évacuer les gens et ainsi sauver des millions de vies.
Natasha : Mais... Ça semble si blasphématoire. Que des mortels puissent prendre le contrôle du destin, c'est...
Knoll : Vous voudriez que nous demerions passifs, malgré notre connaissance des évènements futurs ? Vous voudriez que nous laissions tous ces gens mourir juste pour préserver le "destin" ?
Natasha : Je...
Knoll : Je suis désolé. Je ne voulais pas vous paraître hostile. Le prince Lyon était lui-même troublé par ce genre de doutes. Mais nous avons accéléré et intensifié nos recherches. Nous sentions que nous devions le faire dans l'intérêt du peuple de Grado.
Natasha : ...
Knoll : Nous étions peut-être amers, car nous n'avions reçu aucun crédit pour avoir aidé Grado. Personne ne nous a félicités des résultats bénéfiques de nos études. Nous avons tout de même continué à approfondir nos recherches. L'amalgame entre les magies anciennes et le Mal persistait. Le prince Lyon s'efforçait de changer les mentalités. Il voulait prouver, comme nous tous que notre magie pouvait être positive.
Natasha : Le prince Lyon n'aurait jamais pu...
Knoll : Avec notre aide, le prince Lyon a pu prédire qu'une violente tempête en provenance du sud allait frapper le pays. Il a interdit aux navires de quitter le port et les gens étaient furieux. Mais la tempête a bien eu lieu. Les océans étaient déchaînés. D'innombrables vies ont été sauvées. Et le prince Lyon ne se souciait absolument pas d'avoir gagné la sympathie des marins. Leur sécurité était tout ce qui comptait pour lui.
Natasha : ...
Knoll : Aujourd'hui, la vérité saute aux yeux. Toutes nos recherches n'ont mené à rien. Et c'est notre soif de savoir et de connaissance qu'il faut blâmer.

Soutien A

Natasha : Maître Knoll...
Knoll : ... Vous avez encore des questions ? Je vous ai dit tout ce que je savais.
Natasha : Je n'ai aucun doute là-dessus. Vous affirmez pouvoir lire... les signes des catastrophes à venir, non ? Et plus la catastrophe est grave, plus les signes sont visibles, c'est ça ? Est-ce que cela signifie que vous avez entrevu quelque chose ? Un désastre terrible qui risque de nous toucher ?
Knoll : ...
Natasha : Et en connaissance de cause, Lyon a tenté de contrer ce désastre. Est-ce qu'il... Etudiait-il la Pierre sacrée pour trouver le moyen d'empêcher ça ?
Knoll : Et qu'allez-vous faire maintenant ? N'avez-vous pas dit que ce savoir était blasphématoire ?
Natasha : Je... ne sais pas quoi faire. Si mon mentor était encore de ce monde, je crois qu'il aurait su me guider. Mais je n'ai pas assez d'expérience pour faire face à pareil dilemme.
Knoll : ...
Natasha : Mais comment pourrais-je rester impassible quand je sais que quelque chose de terrible va se produire bientôt... Je... J'ignore ce que je peux faire.
Knoll : D'ici cinq ans, la moitié de Grado sera détruite.
Natasha : Comment ?
Knoll : Toute la région sud du continent sera frappée par un tremblement de terre terrible. Le sol tremblera violemment. La terre se fissurera et un trou se creusera. Des villes entières seront englouties dans ce trou. Les forêts brûleront dans le coeur ardent de la terre. Seule une poignée d'hommes survivra. Voilà l'avenir que nous avons vu.
Natasha : Mais... comment...
Knoll : Je vous conseille de quitter Grado. Vous pourrez échapper à ce désastre si vous vous rendez au nord de Renais ou de Frelia.
Natasha : Non... Je ne peux pas faire ça. Les victimes du désastre auront besoin d'assistance et de soins. Si je peux les aider, même si ce n'est qu'un peu...
Knoll : Vous voudriez vous jeter dans la gueule du loup pour sauver juste quelques personnes ?
Natasha : Si je meurs en servant Grado, ce sera sans regrets, maître Knoll. Merci d'avoir partagé votre secret. J'utiliserai cette information du mieux que je pourrai.
Knoll : ... Vous parlez comme un vrai clerc. Vous êtes prête à tout abandonner, juste pour aider vos semblables. C'est la différence majeure entre un mage et un prêtre. Le savoir par opposition au sacrifice. J'espère que vous m'autoriserez à me joindre à vous le moment venu...
Natasha : Maître Knoll ?
Knoll : Si je veux faire honneur aux ambitions du prince Lyon, je ne peux pas me défiler. J'ignore comment organiser mon aide, mais je refuse que des gens meurent. Pas s'il existe une chance de les sauver.
Natasha : Je comprends ce que vous ressentez, maître Knoll... Unissons nos forces, pour le bien de tous !

Natasha/Seth

Soutien C

Natasha : Oh, général Seth, comment allez-vous ?
Seth : ... Soeur Natasha, je vous salue. J'apprécie les soins que vous donnez à nos blesséés, mais n'oubliez pas de prendre également soin de vous. J'ai été informé de l'incident de l'autre jour. Ça aurait pu très mal tourner...
Natasha : Je suis navrée de vous avoir inquiété. Quand je vois que quelqu'un est blessé, c'est plus fort que moi. Je dois l'aider. Je pense rarement aux conséquences. Je serai plus prudente à l'avenir.
Seth : L'empire de Grado ignore ce qu'il a perdu. Vous nous êtes indispensable, Natasha. S'il venait à vous arriver quelque chose, notre stratégie en prendrait un sacré coup. Votre sécurité est plus importante que la nôtre.
Natasha : Seth, vous êtes bien plus indispensable que je ne le suis. Le danger ne vous fait pas peur. Vous sauvez les autres sans l'aide de personne. Vous êtes si téméraire. Ah, si vous pouviez prendre moins de risques !
Seth : Je suis désolé. J'ignorais que vous vous inquiétez pour moi. Je vous promets d'être plus prudent. Et j'espère vous voir en faire autant.
Natasha : Vous pouvez compter sur moi. Que le ciel vous protège !

Soutien B

Seth : Soeur Natasha ? Vous allez bien ? Il paraît que vous avez perdu connaissance la nuit dernière. Au lieu de risquer votre vie, vous devriez prendre le temps de vous reposer...
Natasha : Oh, général Seth... Je suis sincèrement désolée ! Il y avait de nombreux blessés et j'ai utilisé toutes mes forces pour tous les soigner. Mais je me suis suffisament reposée et j'ai bien récupéré. Je suis navrée de vous avoir causé du souci.
Seth : Oh là là... Eirika et vous... Que vais-je bien pouvoir faire ? Vous semblez déterminées à perdre la vie dans ce conflit.
Natasha : Oh, je vois... Je suis un fardeau. Et je vous cause un tas d'ennuis.
Seth : Vous êtes toujours la première à voler au secours des blessés. Vous savez comment les autres vous surnomment ?
Natasha : Ils m'ont donné un surnom ?
Seth : Oui, ils vous surnomment "l'ange gardien".
Natasha : "L'ange gardien" ? Ils me surestiment...
Seth : Lorsque vous nous avez rejoints, je ne savais pas si je pouvais vous confier ma vie. Vous êtes de Grado, et nous savons maintenant de quelles traîtrises ses habitants sont capables. Mais je vous ai suffisament observée pour savoir que j'avais tort. Je vous suis gré de la gentillesse et de la compassion que vous nous témoignez. Mes hommes ont raison. Vous êtes un ange gardien, envoyé pour nous revigorer. Nous avons de la chance de vous compter parmi nos amis.
Natasha : Je suis votre amie ?
Seth : Bien plus que ça. Vous êtes l'atout indispensable qui nous permettra d'atteindre notre but.
Natasha : Oh... Je suis désolée... Retournez vous battre s'il vous plaît. Et puisse le ciel vous protéger !
Seth : Soeur Natasha... Si je suis blessé, je ne commetrai pas d'imprudence. J'accourrai à vos côtés. Car je sais que vous serez là pour prendre soin de moi.
Natasha : Bien sûr que je serai là ! Oh, mais... j'espère qu'il ne vous arrivera rien.

Soutien A

Natasha : Général Seth.
Seth : Soeur Natasha. Comment allez-vous ?
Natasha : Bien, merci. Et vous-même ?
Seth : Je vais bien, merci. Et c'est grâce à vous. Car vous étiez près de moi quand je me battais. Vous étiez toujours là pour soigner mon corps fatigué.
Natasha : Vous vous trompez, général. C'est vous qui me sauvez tout le temps. Quand je suis encerclée par l'ennemi, quand je suis séparée des autres...
Seth : Soeur Natasha... Envisagez-vous de retourner à Grado un jour ?
Natasha : Oui. Je dois retourner au temple. Mon peuple a besoin de moi.
Seth : C'est... vraiment ce que vous voulez ?
Natasha : Général Seth...
Seth : N'y a-t-il aucun moyen de vous convaincre de rester à Renais ?
Natasha : ... Général Seth, pourquoi...
Seth : ... Je suis désolé, je... Je vais être direct. Soeur Natasha... Après cette guerre, vous voulez bien... venir vivre avec moi ?
Natasha : Oh ! Mais, Seth... je suis un clerc. J'ai juré de ne jamais...
Seth : Je sais bien que vous êtes un clerc. Vous avez offert votre vie à la cause divine. Mais l'Eternel ne serait-il pas ravi de l'amour que partagent ses créations ?
Natasha : Seth, je... Oui, je crois.
Seth : Je jure sur le serment sacré que vous avez prêté que je vous rendrai heureuse.
Natasha : Seth... j'espère que vous tiendrez cette promesse. Je vous attendrai jusqu'à la fin de la guerre.
Seth : Je suis un homme de parole, Natasha. Je tiendrai ma promesse.

Joshua/Natasha me fait toujours autant rire.

Seth.

Cette grosse trainée.

Ce gros rageux.

Natasha

Elle est cool Natasha.

Elle a de beaux cheveux