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Sujet : Cormag : Soutiens

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[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
20 octobre 2013 à 13:56:27

:globe: Soutiens possibles

:d) Cormag/Artur
:d) Cormag/Duessel
:d) Cormag/Natasha
:d) Cormag/Seth
:d) Cormag/Tana

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
20 octobre 2013 à 13:59:30

:globe: Cormag/Artur

:d) Soutien C

Artur : C'est donc une wyverne...
Cormag : Hé, qu'est-ce que vous faites? Ne vous approchez pas de cet animal! Malgré son air serein, il a un sale caractère, tout comme moi.
Artur : Désolé! Oh, je suis Artur.
Cormag : Mon nom est Cormag. Enchanté.
Artur : Le plaisir est pour moi, sieur Cormag.
Cormag : Alors, comme ça... vous vous intéressez aux wyvernes?
Artur : Ce n'est pas de l'intérêt, juste de la fascination. Leur façon de voler dans le ciel, leur force physique... C'est la première fois que je vois une wyverne d'aussi près. Vous croyez que je peux la caresser?
Cormag : Oui, allez-y. Mais les wyvernes sont des créatures orgueilleuses et capricieuses. Elles n'obéissent qu'à ceux qu'elles jugent dignes. Il m'a fallu trois ans pour que celle-ci me laisse monter sur son dos. Oh, elle me détestait au début. Elle me montrait les dents et me lançait des grondements... Sans parler des nombreuses fois où elle m'a fait tomber alors que j'essayais de grimper sur son dos.
Artur : Vraiment? Dans ce cas, mieux vaut que je garde mes distances.
Cormag : Non, on dirait que mon fidèle compagnon vous aime bien.
Artur : Comment le savez-vous?
Cormag : Eh bien, il n'a pas encore essayé de vous mordre la figure. Il sent peut-être la fascination qu'il vous inspire. Oui, il est possible que vous deveniez rapidement des amis.
Artur : Hum. Je suis ravi de faire la connaissance... du fidèle compagnon de Sieur Cormag?
Cormag : Son nom est Genarog. Si vous repassez dans le coin, venez nous voir.
Artur : Merci. Je n'y manquerais pas!

:d) Soutien B

Artur : Sieur Cormag!
Cormag : Ah, mais c'est Artur! Qu'y a-t-il?
Artur : J'ai réfléchi à la façon de me rapprocher de Genarog. Je pensais que ça lui ferait peut-être plaisir si je lui donnais quelque chose.
Cormag : Vous voulez faire un cadeau à Genarog?
Artur : Oui. Il s'agit d'une amulette fabriquée à partir d'une pierre stellaire. D'après la légende, quiconque porte une pierre stellaire est béni des cieux. Bref, c'est un objet, voilà pourquoi...
Cormag : Je vois. Mais c'est votre amulette, n'est-ce-pas?
Artur : Ne vous inquiétez pas pour moi, Sieur Cormag. Je prie nuit et jour.
Cormag : Eh bien, dans ce cas, nous acceptons. Regarde, Genarog. C'est pour toi! Artur, je veux que vous la mettiez dans sa sacoche de selle.
Artur : J'ai un peu peur, mais je vais essayer! Très bien. Sa sacoche de selle. C'est celle qui est là ? Voilà! ... Sieur Cormag, regardez! Genarog m'a léché la main!
Cormag : Waouh, pas mal! Pas mal du tout, Artur! Après moi, vous êtes la deuxième personne à qui il a léché la main.
Artur : Vraiment?
Cormag : Oui, et il m'a fallu attendre deux ans pour obtenir cette marque d'affection! Tous les deux, vous semblez très bien vous entendre.
Artur : Je suis content, sieur Cormag. Et ça me fait plaisir qu'il apprécie l'amulette.
Cormag : Honnêtement, je crois qu'il vous préfère à l'amulette.
Artur : Vous croyez, sieur Cormag? M'autorisez-vous à le revoir?
Cormag : Bien sûr. Quand vous voulez. Nous attendons votre prochaine visite avec impatience. Tous les deux.

:d) Soutien A

Cormag : Je vous dois des excuses, Artur.
Artur : Qu'y a-t-il, Sieur Cormag ? Quelque chose est arrivé?
Cormag : Cette amulette en pierre stellaire que vous avez généreusement donnée à Genarog... Elle s'est brisée lorsqu'un archer nous a attaqués. Mais ce n'est pas si tragique. Cette pierre a arrêté la flèche net. Elle nous a sauvés, Genarog et moi. Sans cette amulette, nous ne serions plus de ce monde.
Artur : C'est bien malheureux, mais je suis content qu'elle ait fonctionné! Je dois aller prier pour remercier le ciel de la protection de la pierre.
Cormag : Nous vous en savons gré, Artur. Ce n'est pas un échange équitable, mais... voilà.
Artur : Qu'est-ce que c'est? Ça... ressemble à une pierre de wyverne!
Cormag : Une pierre de wyverne? S'agit-il d'un objet rare?
Artur : Oui, très rare! Mais où l'avez-vous...
Cormag : Cette pierre appartenait à Genarog. Je n'avais aucune idée de ce que ça pouvait être. Je pensais que vous pouviez m'éclairer là-dessus. Et on dirait que j'avais raison. Vous connaissez sa valeur? Eh bien, comme je l'ai dit, cette pierre est à vous. Gardez-la.
Artur : Vous êtes sûr?!
Cormag : Entièrement. Tu n'as rien contre, hein, Genarog?
Artur : Je vous remercie du fond du coeur. Sieur Cormag, Genarog... Les pierres de wyverne sont similaires aux dracopierres, sauf qu'elles sont moins rares. Elles sont très convoitées par les mages. Une seule de ces pierres permet à un mage de concentrer ses pouvoirs et d'améliorer sa maîtrise de la magie. Mais on ignore d'où elles proviennent et comment on les fabrique. Aujourd'hui, il n'en existe pas plus d'une demi-douzaine. Jamais je n'aurais pensé en voir une, et encore moins en tenir une!
Cormag : C'est donc quelque chose d'unique, n'est-ce-pas?
Artur : Absolument, sieur Cormag! Genarog... merci infiniment. Vous avez réalisé l'un de mes plus grands rêves.
Cormag : Je suis heureux que nous ayons pu vous aider, Artur.
Artur : Je chérirai cette pierre de wyverne jusqu'à la fin de mes jours. Au fait, sieur Cormag! Quel est votre plus grand rêve?
Cormag : Hum... Pour le moment, mon unique rêve est de réparer tout le mal que Grado a fait. Je veux que Grado redevienne une nation paisible, dirigée par un homme juste et généreux.
Artur : Je sais que votre voeu se réalisera, sieur Cormag. Après tout, nous nous battons tous pour que ce rêve devienne réalité. Genarog et vous avez réalisé mon rêve. Et vous savez que je ferai l'impossible pour que le vôtre se concrétise.
Cormag : Genarog avait raison. Vous êtes un gentil garçon, Artur. Si nous réussissons à restaurer la paix, vous devez visiter ma patrie. Si vous venez, je suis sûr que Genarog vous fera une visite guidée du pays.
Artur : Ce serait merveilleux, sieur Cormag. J'ai hâte de pouvoir venir à Grado dans un contexte plus clément.

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
20 octobre 2013 à 13:59:52

:globe: Cormag/Duessel

:d) Soutien C

Duessel : Cormag…
Cormag : Sieur Duessel.
Duessel : Vous allez bien ?
Cormag : Comme vous pouvez le voir, je me porte bien.
Duessel : Je ne parle pas de votre état physique. C’est votre état spirituel qui me préoccupe.
Cormag : …
Duessel : Je suis ici parce que j’ai moi-même pris la décision de quitter Grado. Heureusement, l’un des chefs est une vieille connaissance à moi. Je n’ai pas le cœur tranquille pour autant mais j’ai trouvé une cause à laquelle je peux croire. Cependant, vous…
Cormag : Moi aussi, j’ai choisi d’être ici. Il est inutile de vous inquiéter. Moi, j’ai la foi. Peu importe où je me trouve. Peu importe où je vais et ce que je fais, je suis sûr que mon frère comprendrait.
Duessel : Cormag.
Cormag : De plus, général Duessel, vous faites vous aussi partie de cette armée. Il n’y a pas de honte à se battre avec l’homme qu’on surnommait l’Obsidienne.
Duessel : Mm. Cormag, gagnons cette guerre au nom des principes auxquels nous croyons.
Cormag : Oui !

:d) Soutien B

Cormag : Sieur Duessel.
Duessel : Félicitations, Cormag. Vos aptitudes sont impressionnantes.
Cormag : Elles sont bien inférieures aux vôtres, général Duessel. Au fait, j'ai une faveur à vous demander.
Duessel : Qu'est-ce que c'est ? Dites-moi.
Cormag : D'après les récits, vous avez toujours une petite lance sur vous. Puis-je la voir ?
Duessel : Suis-je le sujet de récits ? C'est intéressant. Voici la lance que vous désirez voir. Examinez-la tant que vous voudrez.
Cormag : C'est... C'est vraiment... C'est une Gavaleus...
Duessel : Oh ! Vous connaissez Gavaleus ? Vous devez être un expert en matière de fabrication d'armes. C'est l'une des dernières oeuvres de ce grand créateur. Je possède toute une collection d'armes, mais c'est celle-ci la plus belle. Bien qu'on puisse se battre avec, je ne ternirai pas sa beauté en la tachant de sang ou de saleté. Je jure de ne l'utiliser qu'à ma dernière heure.
Cormag : Elle brille comme si elle pouvait enflammer l'âme de son détenteur. Vous avez raison. Moi aussi, j'hésiterais à entacher sa beauté.
Duessel : Ah, vous me comprenez, alors ? Cormag, vous êtes très perspicace.
Cormag : Merci. Mais je sais que jamais je ne serai votre égal, général Duessel.
Duessel : N'exagérons rien. Vous savez, votre frère m'a lui aussi demandé de lui montrer cette lance.
Cormag : Mon frère ?
Duessel : Tout à fait. Vous vous ressemblez tellement ! Ses commentaires coïncident presque avec les vôtres.
Cormag : Vraiment ?
Duessel : Tout guerrier perçoit son arme comme sa vie. Je suis content que vous le compreniez. Un jour, vous deviendrez un chevalier wyverne aussi splendide que votre frère.

:d) Soutien A

Duessel : Cormag... je voudrais vous montrer quelque chose. Regardez cette lance et dites-moi ce que vous en pensez.
Cormag : Incroyable ! Elle est si puissante ! Elle me glace le sang... Je ne suis pas assez fort pour maîtriser une arme pareille.
Duessel : Hum, vous croyez ? Je tremble d'effroi quand je la porte. J'ai si peur que je n'ose pas m'en servir pour me battre. Cette lance... elle peut faire sombrer son détenteur dans la folie.
Cormag : La folie, vous dites ?
Duessel : Oui, Cormag. C'est une arme magique de conception obscure. Elle appartient à ma famille depuis des siècles. La tradition veut que le chef de la famille la porte toujours, sans jamais l'utiliser. Il est strictement interdit de se battre avec, sauf si la folie domine le monde. C'est une part de mon héritage, mais... … j'ai commis une grave erreur. J'ai laissé Valter se servir de cette lance.
Cormag : Vous avez laissé Valter...
Duessel : Oui... Nous étions au milieu d'un combat. Valter avait cassé sa lance et il a pris cet objet de famille pendant que j'avais le dos tourné. Puis il a subitement changé. Il tuait tout le monde, même ceux qui s'étaient rendus. Je lui ai repris la lance aussitôt après avoir compris ce qui venait de se passer, mais il était déjà trop tard. La folie avait touché Valter et elle se propageait dans tout son corps. Il ne vivait plus que pour le combat et pour le sang... Valter n'était pas une blanche colombe avant cela, mais sa soif de violence ne pouvait plus être étanchée. Et c'est à cause de cette lance maudite.
Cormag : … Cette étrange lumière, elle semblait familière... C'était Valter... C'est cette lumière que Valter avait dans les yeux sur le champ de bataille. Valter est fou à cause de cette lance. … Sieur Duessel, m'autorisez-vous à prendre cette arme ?
Duessel : Comment ? Vous ? Mais...
Cormag : Vous craignez que je finisse comme Valter ?
Duessel : Non... …
Cormag : Cette lance... quelqu'un doit la maîtriser. J'en ai l'intime conviction. Une arme est aussi bonne ou mauvaise que son détenteur. Dans les mains d'un homme juste, elle peut être vertueuse. Dans les mains d'un homme perfide, elle est un danger pour nous tous. Croyez-moi, je n'ai pas été séduit par cette lance. Je veux juste l'utiliser en tant qu'arme de combat.
Duessel : … Je vous comprends, Cormag. Je veux bien vous la laisser. Je n'ai pas de fils. Je n'avais pas encore choisi d'héritier. Je me rends compte que je devrais la laisser à quelqu'un à qui je vous une confiance aveugle. Votre admiration des armes est contrebalancée par un respect mesuré. De plus, vous avez de la clairvoyance et vous possédez une force immense. Le jour où vous aurez dompté cette arme me paraît proche. Si la folie qu'elle contient peut être réprimée, cette arme sera sans égale. … Je n'ai jamais eu le courage de l'utiliser, mais je voudrais qu'elle soit entre des mains saines et vertueuses. Je vous la confie en vous souhaitant bonne chance.
Cormag : J'accepte votre cadeau, sieur Duessel. Mais je le recevrai après ce combat, quand nos coeurs seront plus sereins. Si je la prenais dans ce climat de chaos, je pourrais finir comme Valter. C'est une possibilité qu'il ne faut pas écarter.
Duessel : Oui, je vois. Cormag... je compte sur vous. J'attends le jour où cette lance sera utilisée à bon escient.
Cormag : Entendu. En attendant ce jour, essayez de ne pas vous faire tuer, général Duessel !
Duessel : Ah !

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
20 octobre 2013 à 14:00:35

:globe: Cormag/Natasha

:d) Soutien C

Cormag : Oh, vous arrivez à point nommé. Vous êtes une prêtresse, n’est-ce pas ?
Natasha : Oui, en effet. Que puis je faire pour… ?
Cormag : Désolé mais je suis très pressé. Euh, pourriez-vous soigner cette petite créature pour moi ?
Natasha : Soigner … qui ? Vous voulez parler de ce chaton ?
Cormag : Oui. Il y a un problème ? Vos pouvoirs ne marchent pas sur les chats ?
Natasha : Non, ce n’est pas ça. Je suis juste un peu surprise…
Cormag : Peu importe. Si vous pouvez le soigner, eh bien, allez-y!
Natasha : Oh, oui… Pardon… Voilà, il est hors de danger. Tu en as de la chance, mon minou. Cet homme adorable t’a sauvé la vie!
Cormag : Adorable ? Moi ? Ah. Madame, vous me connaissez mal. Mais merci de l’avoir soigné.
Natasha : C’était tout naturel. Je ne pouvais pas laisser cette petite créature souffrir.
Cormag : Je m’appelle Cormag. Je suis content de vous avoir rencontrée.
Natasha : Et moi, je suis heureuse d’avoir pu vous aider. Mon nom est Natasha.
Cormag : Eh bien, je vous suis redevable d’avoir sauvé ce chat. Si vous avez besoin d’aide, faites-moi signe.
Natasha : Je m’en souviendrai, Cormag.

:d) Soutien B

Cormag : Hé, c'est Natasha, n'est-ce-pas ?
Natasha : Oui, tout à fait. Comment va votre chaton ?
Cormag : Je l'ai ramené auprès de sa mère. Je crois qu'il sera plus heureux avec elle.
Natasha : Je le crois aussi.
Cormag : Et vous ? Où sont vos parents ?
Natasha : Je ne les ai pas vus depuis que je suis entrée dans les ordres. Nous nous écrivions, mais il y a longtemps que je n'ai pas reçu de leurs nouvelles. Je me demande comment ils vont. Je suis inquiète.
Cormag : Vous êtes de Grado, Natasha ?
Natasha : Oui.
Cormag : Je le savais ! Je viens moi aussi de Grado ! Où êtes-vous née ? Moi, je suis né dans le sud.
Natasha : Je suis née dans un petit village près de la frontière de Renais.
Cormag : Ah, dans ce cas, vous n'avez absolument rien à craindre. Lorsque j'ai rejoint l'armée, je stationnais près de la frontière. Les bandits sont le seul fléau qui menace cette région.
Natasha : Vraiment ? C'est bon à entendre. Merci pour ces informations. J'étais si inquiète !
Cormag : Ah, vous avez un très joli sourire. Vous regarder sourire me met du baume au coeur. Ne vous inquiètez pas pour vos parents, Natasha.
Natasha : Oui, Cormag. Et merci du fond du coeur.

:d) Soutien A

Natasha : Bonjour, Cormag.
Cormag : Que se passe-t-il ? Vous avez de nouveau votre tête d'enterrement.
Natasha : Est-ce que tout cela ne devient pas difficile pour vous ?
Cormag : De quoi parlez-vous ?
Natasha : … Depuis le début de cette guerre, nous nous battons sans répit contre les soldats de Grado. Il s'agit de nos compatriotes, de nos familles...
Cormag : …
Natasha : Je me rends compte qu'on ne peut pas gagner un combat sans faire de victimes. Je suis une guérisseuse, mais pour mettre un terme à cette guerre, je dois tourner le dos à mes compatriotes. Je dois les abandonner à leurs souffrances, alors que je ne vis que pour les aider. Mais...
Cormag : … Mais quoi ?
Natasha : Grado est responsable de cette crise. Notre patrie... Grado a pris tant de vies. Nous devons nous battre.
Cormag : Ah. C'est la triste ironie des champs de bataille. Sur le dos d'une wyverne, je brandis ma lance pour tuer des hommes qui devraient être mes alliés. Nous nous sommes unis à cette cause dans l'espoir de ramener Grado à la raison. Notre patrie a semé le chaos et c'est à nous de réparer ses fautes.
Natasha : Je suppose...
Cormag : … Vous savez quoi, Natasha ? N'ayons jamais honte d'avoir pour patrie l'empire de Grado. Vous n'êtes pas responsable et vous ne devez rien à personne. Grado était jadis un pays magnifique. Faites ce que vous pouvez pour restaurer cette gloire perdue. Une seule poignée d'hommes a suffi pour écarter Grado du droit chemin. Alors, peut-être que quelques soldats réussiront à ramener la paix.
Natasha : Je comprends, Cormag. Je vais oeuvrer pour la bonne cause. Merci. C'est comme si le voile qui obscurcissait mon coeur était tombé.
Cormag : Ah, je voulais juste revoir ce joli sourire illuminer votre visage. Vous et moi, nous avons beaucoup de choses à nous dire, je crois. Rencontrons-nous de nouveau.
Natasha : Avec plaisir.

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
20 octobre 2013 à 14:00:50

:globe: Cormag/Seth

:d) Soutien C

Cormag : La lance ne semble avoir aucun secret pour vous.
Seth : Merci. Je ne crois pas m'être déjà présenté. Je suis le général des chevaliers de Renais...
Cormag : Je vous connais. Vous êtes le général Seth, le Chevalier d'argent.
Seth : Oui, c'est exact. Et vous, vous êtes Cormag, le célèbre chevalier wyverne de Grado.
Cormag : Si le légendaire Chevalier d'argent connaît mon nom, c'est que je m'en sors plutôt bien, n'est-ce-pas ?
Seth : Tout le monde vous connaît, votre frère Glen et vous. Même les chevaliers de Renais savent qui vous êtes. Renais n'a pas de chevaliers wyvernes, et vos histoires sont celles que je préfère. J'observe votre style de combat depuis que vous êtes des nôtres.
Cormag : Ah, vraiment ? Dans ce cas, dites-moi ce que vous en pensez !
Seth : J'aimerais bien me battre contre vous.
Cormag : Bah, contre vous, je n'ai pas la moindre chance.
Seth : Non, je peux voir dans vos yeux que vous ne connaissez pas l'échec.
Cormag : Hé... Et dire que je vous prenais pour un autre paladin ennuyeux. J'ai dû me tromper. Nous devrions nous rencontrer de nouveau.
Seth : Oui, ce serait avec plaisir. Quand la situation se sera amélioré, peut-être. J'attends ce jour avec impatience, Cormag.
Cormag : Ce jour arrivera.

:d) Soutien B

Cormag : Hé, Seth.
Seth : Ah, Cormag. Vous arrivez à point. Il y a quelque chose que j'aimerais vous demander. Dans votre famille, est-ce que vous êtes tous soldats ?
Cormag : Pourquoi cette question ?
Seth : Je suis fasciné de voir comment vous maniez votre lance. Vous vous entraînez depuis votre plus tendre enfance ?
Cormag : Non, je viens d'une longue lignée de pauvres paysans. J'ai grandi dans les champs de blé, pas sur les champs de bataille. Quand nous étions petits, Glen et moi, nous devrions chasser les oiseaux et les animaux de nos terres. Nous utilisons des bâtons et des pierres, et je crois que ça nous a beaucoup aidés dans notre métier.
Seth : Intéressant... Pourquoi vous êtes-vous engagé dans l'armée ?
Cormag : C'est vraiment une drôle d'histoire. Un jour, le carosse de l'empereur est passé par notre village. Mon frère et moi, nous regardions le cortège du haut d'un arbre. Soudain, un chien errant est venu harceler les chevaux qui tiraient le carrosse de l'empereur. Nous lui avons lancé des pierres pour le faire fuir, mais des soldats sont venus nous arrêter.
Seth : Pourquoi ? Vous vouliez les aider...
Cormag : Oui. Mais nous n'avions pas seulement touché le chien. Plusieurs soldats avaient reçu des pierres.
Seth : Ah ah... Que s'est-il passé ensuite ?
Cormag : Eh bien, l'empereur est venu dans la pièce où les soldats nous avaient enfermés. Il a regardé autour de lui et, d'une voix calme mais sévère, il a dit aux soldats : "Qu'est-ce qui vous prend d'arrêter des enfants ? Ils voulaient juste nous aider !" Il nous a ensuite invités à dîner à sa table. C'était un festin luxueux ! Bien sûr, nous n'étions que des enfants et nous ne savions pas nous tenir à table. Nous nous sommes empiffrés. Et nous nous étendions sur des sujets complètement stupides : les corvées, le village... Mais il nous écoutait, et son sourire paternel ne quittait jamais son visage. Et il a dit : "Les garçons, vous savez y faire pour chasser les chiens à coups de pierres... C'est dommage de gâcher vos talents à la campagne. Voyons plutôt comment vous vous débrouillez à la lance."
Seth : C'est donc comme cela que vous avez été recrutés.
Cormag : Oui. Il est difficile d'ignorer une personne aussi charismatique. Mais... l'empereur a changé. Je n'arrive toujours pas à croire que tout cela est arrivé.
Seth : Etant né dans une famille de chevaliers, je n'ai pas eu le choix. J'ai suivi un entraînement à l'épée et à la lance. J'ai étudié la chevalerie et j'ai fait mon serment de loyauté. Parce que je travaillais dur, le regretté roi Fado me traitait comme un second fils. C'est drôle... Vous et moi, nous venons de mondes différents, mais nous obéissons aux même principes.
Cormag : C'est vrai... Hélas, le roi Fado est mort. Et mon empereur est celui qui l'a tué. Pour moi, l'homme que j'ai juré de servir est mort.
Seth : J'ai déjà un nouveau seigneur. Cormag, vous trouverez vous aussi un maître digne de vos services.
Cormag : Oui, je l'espère...

:d) Soutien A

Seth : Puis-je vous parler, Cormag ?
Cormag : Oh, Seth. Bien sûr. Que puis-je faire pour vous ?
Seth : J'étais en train de repenser à votre histoire. Et j'ai pris une décision.
Cormag : Hem ? De quoi parlez-vous ?
Seth : Cormag, écoutez-moi... En tant que général des chevaliers de Renais, je voudrais vous offrir un poste.
Cormag : Quoi ? Vous voulez faire de moi un chevalier de Renais ?
Seth : Exactement. Cette idée m'est venue alors que je vous regardais vous battre. Depuis notre petite discussion, je ne vois pas seulement vos prouesses au combat. Je vois aussi que vous avez un moral d'acier et que vous êtes un homme bon et généreux. Je n'hésiterais pas une seconde à vous confier ma vie. Le prince Ephraim sera un grand roi. Voulez-vous vous battre pour lui ?
Cormag : C'est une offre alléchante. Merci, Seth. Mais... c'est Grado ma patrie. Je ne peux pas rompre mon serment pour aller servir Renais.
Seth : Je savais que vous diriez ça.
Cormag : L'empereur Vigarde est mon seul et unique seigneur. Mon devoir consiste maintenant à corriger les erreurs qu'il a commises. Voilà pourquoi je suis ici. J'espère que vous comprenez.
Seth : Oui, naturellement... Quoi qu'il en soit, je suis heureux de vous avoir connu.
Cormag : Le plaisir est partagé, Seth. Allons mettre un terme à cette guerre, vous voulez bien ?
Seth : Oui, et quand ce sera fait, nous échangerons quelques histoires.
Cormag : J'attends ce moment avec impatience !

[Soren57] [Soren57]
MP
Niveau 10
20 octobre 2013 à 14:01:24

:globe: Cormag/Tana

:d) Soutien C

Tana : Bonjour, sieur Cormag.
Cormag : Dame Tana ! Je n'arrive toujours pas à le croire. J'ignorais que vous étiez princesse. S'il vous plaît, appelez-moi Cormag. Oubliez mon titre.
Tana : Cormag, j'ai une faveur à vous demander.
Cormag : Que puis-je faire pour vous aider, Votre Altesse ?
Tana : Je suis vulnérable aux attaques des archers.
Cormag : Eh bien, nous sommes deux. C'est un problème commun à tous les guerriers ailés.
Tana : Je pensais que nous pourrions peut-être monter la garde ensemble et nous prévenir mutuellement, au cas où nous repérerions un archer.
Cormag : Hum. Oui, je trouve l'idée excellente. Une sorte de "système de binôme". Mais si vous voyez un allié en danger, vous le préviendrez quand même, hein ?
Tana : Evidemment ! Mais nous volons si haut dans le ciel que je suis inquiète ! Si je vois un archer, je ne sais pas si ma voix arrivera jusqu'à vous à temps. Peut-être que les cris d'un pégase ou d'une wyverne seront plus porteurs et plus audibles pour sonner l'alarme.
Cormag : Oh ! Je vois. Oui, il y a des chances pour que nos voix se perdent dans l'ardeur des combats. Mais nos montures crient bien plus fort que n'importe quel homme. Croyez-moi, les cris puissants de ma wyverne ne connaissent pas de frontière. C'est une idée brillante, Votre Altesse !
Tana : Vraiment ? Merci.
Cormag : Bien, en cas de danger, nos montures se mettront à crier, d'accord ?
Tana : Oui, et merci, Cormag !

:d) Soutien B

Tana : Cormag, merci de m'avoir avertie de la présence de cet archer, l'autre jour. Votre wyverne m'a fait peur, mais je crois que vous m'avez sauvé la vie !
Cormag : C'est mon fidèle compagnon que vous devez remercier. Il s'est mis à crier pour vous avertir, bien avant que je remarque cet archer.
Tana : Vraiment ? C'est incroyable ! Dans ce cas... Merci.
Cormag : Le lien entre une wyverne et son cavalier est très intense. Je suis sûr que c'est la même chose pour votre pégase et vous, non ?
Tana : Oh, oui. C'est si triste de voir comment la guerre a changé la relation que nous partageons avec nos coursiers alliés. C'est faire payer un lourd tribut à ces magnifiques créatures.
Cormag : Je suis d'accord. La guerre est une chose bien grotesque. C'est une folie attisée par l'avidité et la soif de pouvoir.
Tana : J'espère que nos efforts vont permettre de rapidement mettre un terme à ce conflit. Je ne veux voir personne d'autre mourir.
Cormag : Moi non plus. Mais ce n'est pas une raison pour foncer tête baissée dans la mêlée. N'oubliez pas que nous aurons besoin de vous pour rebâtir nos nations, qui sont en ruines. Contrairement aux soldats, les souverains sont irremplaçables.
Tana : Cormag, ne dites pas ça !
Cormag : Mais c'est la vérité.
Tana : Non ! Chaque être est irremplaçable !
Cormag : Votre Altesse...
Tana : Ne sacrifiez pas votre vie inutilement. Vous me le promettez ?
Cormag : ... Comme vous voudrez, madame. Je serai très prudent.
Tana : J'ai votre parole, Cormag.

:d) Soutien A

Tana : Pour quelle raison vous battez-vous, Cormag ?
Cormag : Pourquoi cette question ?
Tana : Je vous observais combattre récemment... et j'ai ressenti de la tristesse.
Cormag : Je vois. Il y a de nombreuses raisons qui incitent un homme à se battre. L'expiation, la vengeance, le plaisir. Le pouvoir. La victoire. Personnellement, j'ai oublié la raison qui me pousse à combattre.
Tana : Cormag...
Cormag : Quelle réponse attendiez-vous de la part d'un homme qui a perdu la foi, d'un homme qui sert un empereur fou et une patrie qui s'écroule ?
Tana : ... Qu'allez-vous faire quand la guerre sera finie ?
Cormag : J'aiderai à reconstruire Grado, cela va de soi, mais je ne sais pas ce que je ferai après. Cependant, je ne pense pas rester vivre à Grado. Pour eux, je suis un traître. L'accueil qu'on me fera ne sera pas des plus chaleureux.
Tana : Pourquoi ne viendriez-vous pas à Frelia ? Vous pourriez y rejoindre la chevalerie ailée !
Cormag : Et qu'est-ce qui vous fait penser qu'un traître sera mieux accueilli à Frelia ?
Tana : Vous n'êtes pas un traître, Cormag. Vous êtes resté fidèle à vos principes. Cette tristesse dans vos yeux vient du fait que votre patrie a trahi ces principes si chers à votre coeur. Votre tristesse est aussi profonde que la foi que vous aviez jadis en Grado. Je veux que vous mettiez au service de Frelia votre foi, votre force et votre passion.
Cormag : C'est une offre alléchante, mais je ne peux pas ressouder le serment que j'ai brisé. Et vous m'en voyez navré.
Tana : Ne le soyez pas. Je comprends ce que vous pouvez ressentir. Mais si, un jour, vous souhaitez de nouveau vous battre au nom de ces principes, pensez à mon offre.
Cormag : Autant renoncer à ces bêtises militaires et me faire moine !
Tana : Je débarquerai alors dans votre monastère et je réitérerai mon offre.
Cormag : Pour une princesse, vous avez la tête dure. Je penserai à votre offre.

Haar-Wyvern Haar-Wyvern
MP
Niveau 13
20 octobre 2013 à 14:50:06

Cormag :cute:

Seth-Origine Seth-Origine
MP
Niveau 10
20 octobre 2013 à 19:55:25

"Seth, le Chevalier d'Argent" :cool:

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