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Sujet : Dialogues de Soutien

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Cracramon Cracramon
MP
Niveau 10
21 décembre 2005 à 07:02:35

21 %, j´ai encore plus de chemin à faire :-p

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
22 décembre 2005 à 17:20:11

Bonjour à ceux qui me reconnaissent ^^. Voilà Amelia et Neimi, je mettrais sans doute Amelia et Ross après.

Amelia et Neimi

Rang C

Neimi : Waouh… magnifique ! Je veux parler de ton armure. Elle est si lustrée.
Amelia : Merci, euh…
Neimi : Je m’appelle Neimi.
Amelia : Oh, je suis Amelia. Enchantée de faire votre connaissance, mademoiselle.
Neimi : Mademoiselle ? Oh, non. Je suis Neimi. Et tu peux me tutoyer. Je suis ravie de te connaître, moi aussi.
Amelia : Très bien, Neimi.
Neimi : Bref, ton armure est très jolie. Sa couleur me rappelle celle des mirabelles qui poussent dans mon pays natal.
Amelia : Oh, j’en ai déjà goûté ! Elles sont brillantes, sucrées et un peu acides quand on les croque. Je les adore dans les tartes !
Neimi : Ah, je sais ! J’ignorais qu’elles poussaient ailleurs. Elles sont si délicieuses !
Amelia : Si nous en voyons, arrêtons-nous pour en cueillir. Qu’en dis-tu ?
Neimi : C’est une bonne idée.
Amelia : Nous pouvons peut-être utiliser certaines provisions pour faire des gâteaux pour tout le monde. Un morceau, et tous oublieront leur fatigue.
Neimi : D’accord. Je vais être aux aguets et, si j’en vois, j’en cueillerai pour toi.
Amelia : Ah ah ! C’est génial ! Ça va mettre du piment dans notre quotidien, hein ? Euh, nous ferions mieux de retourner nous battre.
Neimi : Très bien, Amelia. Mais reviens me voir !
Amelia : Oh, je n’y manquerai pas ! Je suis heureuse de t’avoir rencontrée, Neimi.
Neimi : Moi aussi, Amelia.

Rang B

Neimi : Amelia, puis-je te poser une question ? Pourquoi es-tu devenue soldat ?
Amelia : Hem ? Eh bien… je… Je voulais… devenir forte.
Neimi : Forte ? Que veux-tu dire ?
Amelia : Toute ma vie, je me suis sentie impuissante. J’avais constamment besoin de quelqu’un pour me défendre. Je voulais que ça change. Et toi, Neimi ? Pour quelle raison te bats-tu ?
Neimi : Je ne sais plus comment j’ai été impliquée dans cette guerre. C’est… le hasard qui l’a voulu, si tu vois ce que je veux dire.
Amelia : Peu importe pourquoi tu te bats, tu tires à l’arc comme personne, Neimi. Je ne trouve pas les mots, mais… Tu sembles plus apte à te battre que la plupart des soldats entraînés qui ont croisé ma route.
Neimi : Hum… merci. C’est mon grand-père qui m’a tout appris.
Amelia : Vraiment ?
Neimi : Nous allions souvent chasser ensemble lorsque j’étais petite. Oh ! J’avais complètement oublié ! Lors d’une partie de chasse, j’ai trouvé un bébé renard.
Amelia : Waouh ! Un bébé renard ? Je n’en ai jamais vu. Il était mignon ?
Neimi : Il était adorable ! Il était tout petit et il avait le pelage lisse et duveteux. C’était trop drôle de le voir courir dans tous les sens avec ses petites pattes.
Amelia : Hi hi hi.
Neimi : Et toi ? Tu as déjà eu un animal domestique ?
Amelia : Moi ? Eh bien, je… Oh ! Oui, en effet ! J’avais un oiseau.
Neimi : Vraiment ? Et à quoi ressemblait-il ?
Amelia : Eh bien, je me souviens que ses plumes étaient magnifiques. Elles étaient bleues, jaunes et orange. Et il chantait pour moi.
Neimi : Ton oiseau savait chanter ? Mais c’est génial !
Amelia : En effet. Quand je me sentais seule, il chantait pour me remonter le moral. J’ai ouvert sa cage et je l’ai laissé s’envoler le jour où j’ai quitté mon village pour rejoindre l’armée de Grado.
Neimi : Oh, c’est trop triste… Je crois qu’après cette guerre, j’adopterai un animal.
Amelia : Vraiment ?
Neimi : Absolument. Et tu devrais en faire autant. Quand la paix sera restaurée, nous devrions adopter un animal.
Amelia : C’est une excellente idée ! Nos animaux pourront ainsi se rendre visite.
Neimi : Ce serait merveilleux.
Amelia : Oui.

Rang A

Amelia : Je viens de remarquer quelque chose, Neimi. Il y a beaucoup de femmes qui se battent dans notre groupe, tu ne trouves pas ?
Neimi : Oui, tu as raison !
Amelia : Je trouve ça très bien. Ce n’était pas le cas dans l’armée de Grado. Je me sens plus à l’aise ici.
Neimi : J’étais très nerveuse au début, puis j’ai appris à connaître la princesse…
Amelia : Je me suis rendu compte que certaines femmes se sont liées d’amitié avec les hommes… Je pensais qu’il s’agissait de la fameuse camaraderie des champs de bataille. Mais je commence à croire que c’est bien plus que ça, si tu vois ce que je veux dire. Ça n’a rien à voir avec de la camaraderie, si tu veux mon avis.
Neimi : Hi hi hi… Dis-moi, euh… y a-t-il un garçon que tu aimes bien ?
Amelia : Hein ? Pourquoi cette question ? Oh… il y a quelqu’un qui t’intéresse ?
Neimi : Oui. C’est quelqu’un qui m’a toujours protégée et qui est toujours là quand j’ai besoin de lui. Il me fait souvent pleurer, mais… je l’aime.
Amelia : C’est incroyable ! Tu sais, je crois que je suis jalouse. Tu lui as avoué tes sentiments ?
Neimi : Non…
Amelia : Tu dois lui dire ! Je suis sûr qu’il t’aime lui aussi, Neimi.
Neimi : Je lui dirai. Un jour. Pas aujourd’hui. Mais un jour. C’est promis.
Amelia : C’est bien !
Neimi : Mais tu n’as toujours pas répondu à ma question !
Amelia : Qui, moi ? Je… euh… Honnêtement, je ne parlais à aucun homme de l’armée de Grado.
Neimi : Mais tu ne fais plus partie de l’armée de Grado ! Et maintenant ?
Amelia : Hein ? Oh, euh, eh bien… Je… ne suis pas sûre.
Neimi : Ah ! Bien sûr que tu l’es !
Amelia : Hum…
Neimi : Ne t’en fais pas. Je suis sûre qu’il t’aime bien, Amelia.
Amelia : Pourquoi dis-tu ça ?
Neimi : Tu es si belle… et tellement gentille. Comment pourrais-tu ne pas lui plaire ?
Amelia : Neimi… Merci. Ça me fait plaisir de t’entendre dire ces gentillesses !
Neimi : Dis-lui ce que tu ressens !
Amelia : Toi aussi ! Je ne suis pas la seule à souffrir ici !
Neimi : Hi hi hi. Très bien. Soyons solidaires !

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
22 décembre 2005 à 17:55:40

Amelia et Ross

Rang C

Amelia (derrière Ross) : Oupsie !! !
Ross : Ah !
(ils disparaissent de l’écran)
Ross : Hé, mais qu’est-ce qui te prend ?!
Amelia : Je suis désolée ! C’est juste que je suis très maladroite. Ça va ?
(Amelia réapparaît)
Ross : Ooooooh !
(Ross réapparaît)
Amelia : Excuse-moi.
Ross : Toi ! Tu es de Grado ! C’était une attaque furtive ! Dans ce cas, prépare-toi à combattre !
Amelia : Oh, non ! S’il te plaît, écoute-moi d’abord ! C’est vrai que je viens de Grado, mais je suis de ton côté !
Ross : Tu me prends pour un imbécile ?! Ah, tu ne m’auras pas !
Amelia : Mais c’est la vérité ! Je suis ton alliée ! Je ne t’ai pas attaqué. J’ai trébuché et je suis tombée sur toi. C’était juste un accident !
Ross : Bien. Admettons que ton histoire soit vraie. Sur quoi as-tu trébuché ? Je ne vois aucun obstacle.
Amelia : Il y avait un trou par là-bas, et…
Ross : Hein ? Oh, le trou qui est là. Je vois. Et c’est à cause de ça que tu as trébuché ?
Amelia : Mais oui !
Ross : Tu veux dire que c’est ce trou minuscule qui t’a fait perdre l’équilibre ? Je le vois à peine ! Hé, tu es sûre que cette lance n’est pas trop lourde pour toi ? Tu n’es pas bien grosse. Tu veux que je t’aide à porter ton équipement ?
Amelia : Non. Ma lance est plus légère que celle des autres chevaliers. Je m’entraîne très dur pour accroître ma force physique.
Ross : Hum… J’ai remarqué que ton armure était particulièrement luisante.
Amelia : Ah, oui. Merci. Je la nettoie régulièrement.
Ross : C’est typique de la nouvelle recrue de rechercher le bizutage. Autant écrire sur ton front : "Je suis novice !"
Amelia : Oh… euh…
Ross : Ne t’inquiète pas. Je te couvrirai.
Amelia : Quoi ?
Ross : Mais en échange, tu dois me protéger des ennemis qui cherchent à m’attaquer avec une épée !
Amelia : Oh… d’accord. Je ferai de mon mieux ! Euh… dis-moi…
Ross : Qu’y a-t-il ?
Amelia : Merci… d’avoir bien voulu croire que je n’étais pas ton ennemi.
Ross : C’est ridicule de se battre avec quelqu’un qui est de son côté. Allez, on y retourne !
Amelia : Oui !

Rang B

Ross : Hé !
Amelia : Oh, bonjour, euh…
Ross : Je crois que je ne me suis pas encore présenté. Je suis Ross, le fils du guerrier Garcia.
Amelia : Je suis Amelia. Je suis enchantée de faire ta connaissance, Ross.
Ross : De même. Au fait, on dirait que tu te bats beaucoup mieux qu’avant.
Amelia : Oui. C’est grâce au soutien que je reçois de toi et des autres. Je commence aussi à manier ma lance avec plus d’assurance.
Ross : Je vois. Moi aussi, j’ai eu des débuts difficiles. Nous sommes jeunes et nous commençons tout en bas de l’échelle. Mais tous les deux, nous deviendrons plus forts. Alors, persévérons, d’accord ?
Amelia : Oui !
Ross : Bien, bien. Ah, au fait…
Amelia : Oui ?
Ross : J’ai quelque chose pour toi. Mais qu’est-ce que j’en ai fait ?! Hum… Ah, je l’ai !
Amelia : Merci… Euh, qu’est-ce que c’est ?
Ross : C’est évident, non ? C’est un collier.
Amelia : Je vois bien, mais… Pourquoi ?
Ross : Je l’ai acheté. Mais c’était il y a longtemps. Il y avait un enfant qui vendait des bijoux dans la rue, et il ne voulait pas me lâcher. Je n’avais besoin de rien, mais il semblait affamé, alors…
Amelia : C’est si généreux de ta part, Ross.
Ross : Bah, ce n’est rien. Bref, il est à toi.
Amelia : Quoi ?! Je ne peux pas !
Ross : Non, j’insiste. Prends-le.
Amelia : Mais…
Ross : Il ne te plaît pas ?
Amelia : Ce n’est pas ça. Je le trouve vraiment joli. C’est juste que…
Ross : Alors, garde-le.
Amelia : Merci. Il est magnifique.
Ross : Tu aurais dû l’accepter sans hésiter. Pourquoi est-ce que tu protestes tout le temps ?
Amelia : J’ai toujours mené une vie très… modeste.
Ross : Oui, et alors ?
Amelia : Je n’ai jamais eu les moyens d’acheter ce genre de choses. Voilà pourquoi tout est précieux à mes yeux. Je ne peux donc pas prendre quelque chose qui a de la valeur pour toi…
Ross : Je vois. Mais je veux que tu le prennes et que tu les portes.
Amelia : Si c’est ce que tu veux… Merci.
Ross : Bien sûr ! De plus, les boucles d’oreilles me vont mieux que les colliers. Je plaisante ! Bien, partons maintenant, Amelia.
Amelia : Ah ah ah ! Oui.

Rang A

Amelia : Bonjour, Ross.
Ross : Ah, Amelia. On raconte que tu progresses.
Amelia : Oui, je me débrouille beaucoup mieux.
Ross : Il n’est pas toujours facile d’atteindre les objectifs qu’on s’est fixés.
Amelia : Oui, c’est vrai.
Ross : Mon père est le grand guerrier de la famille. J’ai toujours rêvé de lui ressembler. Je crois que je commence enfin à me rapprocher de ce rêve. Et comment se portent tes parents ?
Amelia : C’est-à-dire que… Je n’aime pas parler d’eux…
Ross : Ah bon… Je suis désolé. Je ne voulais pas…
Amelia : Non, non. Ce n’est pas grave. Je n’étais qu’un bébé lorsque mon père est parti…
Ross : Je vois.
Amelia : Je vivais avec ma mère, mais… Mais elle est… partie, elle aussi.
Ross : Je vois… On dirait que tu n’as pas eu une enfance très facile.
Amelia : Eh bien…
Ross : Je suis désolé d’avoir ravivé ces douloureux souvenirs.
Amelia : Euh…
Ross : Euh… J’ai une idée ! Je serai ton grand frère !
Amelia : Mais d’où te vient cette idée farfelue ?
Ross : Je serai ton grand frère et tu seras ma sœur ! Ouais ! Il y a longtemps que je n’avais pas eu d’idée aussi brillante ! Peu importe que nous ne soyons pas du même sang. L’armée, c’est comme une grande famille. C’est décidé, alors ! A partir d’aujourd’hui, tu es ma sœur. Tu n’es donc plus toute seule. Appelle-moi "grand frère", d’accord ?
Amelia : Euh… tout cela est si… soudain. Je crois que je ne suis pas prête.
Ross : Cesse de te tourmenter. Nous sommes frère et sœur, un point c’est tout. D’accord, petite sœur ?
Amelia : Mais quel âge as-tu ?
Ross : Quel est le rapport ? (s’avance) Je suis… suffisamment vieux pour être ton aîné.
Amelia : (s’avance) Attends une minute… Je suis sûre que nous sommes du même âge !
Ross : Quoi ?!
Amelia : En faite, je parie que je suis même plus vieille que toi.
Ross : Grrrrrr ! N’importe quoi ! Je te dis que je suis ton grand frère. Nos dates de naissances n’ont aucune espèce d’importance. Je suis ton grand frère, un point c’est tout ! Que tu le veuilles ou non, c’est moi l’aîné !
Amelia : AH ah ! Tu es trop drôle ! Tu es si mignon quand tu te mets en colère ! Hi hi hi !
Ross : Grrrrr.
Amelia : Merci de me faire rire.
Ross : Après la guerre, nous irons vivre dans mon village.
Amelia : Comment ?
Ross : Tu ne m’as donc pas écouté ? Nous sommes frère et sœur, tu te souviens ?
Amelia : Euh, oui.
Ross : Dorénavant, toi et moi, nous allons partager nos joies et nos peines, comme une famille. D’accord ?
Amelia : Si je ne te connaissais pas mieux, j’aurais pris ça pour une demande en mariage. Ah ah ah !
Ross : Quoi ?! Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire ! Tu déformes toujours tout ! Allez, oublions ça et retournons nous battre ! (il part)
Amelia : Ah ah ah ! Merci… GRAND FRERE ! Hi hi hi !

Sawens Sawens
MP
Niveau 10
22 décembre 2005 à 21:47:58

Déjà vu ceux-là par contre j´ai est bien aimer :o))

CTB CTB
MP
Niveau 5
22 décembre 2005 à 22:04:14

:lol: mdr ross veut devenir frère et soeur avec tout le monde

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
22 décembre 2005 à 22:31:05

Voilà le dialogue de Marisa et Tana, je mettrais ensuite quand j´aurais le temps celui de Marisa et Tethys.

Marisa et Tana

Rang C

Tana : Oh ! Vous appartenez à la bande des mercenaires de Gerik, non ?
Marisa : Vous êtes la princesse de Frelia, non ?
Tana : Oui, c’est exact. Je suis Tana. Comment vous appelez-vous ?
Marisa : Marisa.
Tana : Enchantée, Marisa ! Je voulais juste vous dire combien je vous appréciais tous. Je veux parler de vous et des autres mercenaires. C’est grâce à vous que nous gagnons tous ces combats.
Marisa : Je suis payée pour ça. Inutile de me remercier.
Tana : Mais on m’a toujours dit que les mercenaires étaient des rebelles, des criminels et des infidèles. Mais vous n’êtes rien de tout ça. C’est pourquoi je voulais vous remercier de vous battre pour nous d’une façon aussi acharnée et engagée.
Marisa : Ce n’est pas par loyauté envers vous ou envers votre royaume. Je suis heureuse quand j’ai l’occasion de dégainer mon épée.
Tana : Ah… vraiment ? Mais ça ne compte pas ! Vous nous aidez maintenant, et je sais que vous ne nous trahirez pas.
Marisa : Je me moque de ce que vous pensez. (elle part)
Tana : Mais, mais… Hé, attendez ! Décidément, elle n’est pas très sociable…

Rang B

Tana : Ohé, Marisa !
Marisa : …
Tana : Qu’avez-vous ? Que se passe-t-il ? Oh ! N’avez-vous jamais vu de pégase ?
Marisa : Magnifique…
Tana : Serait-ce la première fois que vous voyez un pégase de si près ?
Marisa : Oui. Je me suis déjà battue sous des chevaliers pégases, mais je n’ai jamais été aussi près.
Tana : Eh bien ? Qu’en pensez-vous ?
Marisa : … Je croyais qu’ils avaient des pattes plus délicates, vu qu’ils volent si souvent.
Tana : Oh, ils savent aussi galoper très vite. Ils ne doivent pas toujours voler.
Marisa : Intéressant. … C’est un animal magnifique. D’une grande force et d’une grande beauté.
Tana : Vous voulez le toucher ? Caressez-lui la tête. Achaeus adore ça.
Marisa : Le… toucher ?
Tana : Bien sûr. Allez-y ! Sauf si vous avez… peur.
Marisa : Je n’ai pas peur. Très bien… (elle s’avance) …
Tana : Voilà… … Vous voyez ? Il est content.
Marisa : Votre pégase s’appelle… Achaeus ? C’est un nom beau et fort.
Tana : Merci. C’est Syrene qui l’a appelé ainsi. Syrene est un chevalier pégase et mon mentor. Je rêve d’avoir sa grâce et sa force. Et comme Syrene, je transmettrai mon savoir aux nouvelles générations.
Marisa : Je vois. Mon seul objectif consiste à perfectionner mon jeu d’épée.
Tana : Oh, mais c’est un objectif fort louable ! Dans ce cas, poursuivons nos efforts, vous voulez bien ?
Marisa : Oui.

Rang A

Tana : Marisa, est-ce difficile de perfectionner votre jeu d’épée ?
Marisa : Oui. Je m’entraîne quotidiennement. J’ai combattu plus d’un millier de fois et j’ai gagné chaque combat. Quand bien même, je suis loin de voir le bout du tunnel.
Tana : Incroyable… Peut-être êtes-vous trop exigeante envers vous-même.
Marisa : …
Tana : Je remarque les efforts surhumains que vous faites pour devenir imbattable à l’épée. Mais si vous restez focalisée sur l’objectif, il est probable que vous l’atteignez sans même le remarquer. Et je sais que vous allez l’atteindre.
Marisa : …
Tana : Qu’y a-t-il, Marisa ?
Marisa : Pourquoi perdez-vous votre temps à parler avec moi, madame ?
Tana : Oh, ne devrais-je pas vous parler ?
Marisa : Là n’est pas la question.
Tana : Au début, je vous trouvais brusque et… un peu intimidante aussi. Mais vous n’êtes pas du tout comme ça. Vous êtes juste timide et vous ne brillez pas dans les conversations.
Marisa : Comment ?! Savez-vous que beaucoup me craignent ?
Tana : Oh, mais j’en suis sûre ! Votre grâce à l’épée est un autre sujet. Quand vous vous battez, vous êtes différente. Vous êtes plus réfléchie. Vous êtes entièrement dévouée à votre objectif. Vous avez un regard si songeur, comme si vous étiez éperdument amoureuse.
Marisa : Vous semblez avoir une opinion bien arrêtée, madame. Inutile de débattre.
Tana : Nous sommes donc d’accord ! Oh, mais il y a autre chose. Appelez-moi Tana. Vous n’êtes pas obligée de m’appeler "madame".
Marisa : Pourquoi ?
Tana : Nous sommes amies maintenant.
Marisa : Amies ?
Tana : Oui ! Alors, appelez-moi juste Tana. Je veux que vous oubliez titres te formalités quand nous sommes ensemble. Vous dites que vous consacrez votre vie à l’épée, mais cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas avoir d’amis, n’est-ce pas ?
Marisa : …
Tana : … Eh bien, Marisa ?
Marisa : … L’idée ne me… déplaît pas.
Tana : Formidable ! Ouf, j’ignore ce que j’aurais fait si vous aviez refusé. Ça y est, Marisa, nous sommes amies, n’est-ce pas ?
Marisa : Absolument, Tana.

Cracramon Cracramon
MP
Niveau 10
23 décembre 2005 à 11:03:46

Désolé de n´avoir pas posté le dernier Syrene-Kyle à temps, je le ferai vite fait.

Et salut Vlad, tu me connais pas, mais ton site est pas mal du tout :-)))

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
23 décembre 2005 à 12:28:49

Voilà le soutien Marisa/Tethys, je ferais ensuite les soutiens de Neimi.

Marisa et Tethys

Rang C

Tethys : Dis-moi, Marisa, tu es gauchère, non ?
Marisa : Comment le sais-tu ?
Tethys : Eh bien, tu tiens ton épée de la main gauche, n’est-ce pas ?
Marisa : Non, je peux la tenir dans n’importe quelle main. Mais c’est vrai que ma main gauche est plus puissante.
Tethys : C’est un peu comme un signal d’avertissement : ta main gauche est synonyme de danger.
Marisa : Un signal d’avertissement…
Tethys : Mais il y a une chose que je ne comprends pas : pourquoi dors-tu toujours sur le côté droit ? Tu sais que tu ne te retournes jamais quand tu dors ? Et que tu sursautes au moindre murmure ? T’arrive-t-il de dormir à poings fermés ?
Marisa : Je n’ai pas le choix, si je veux survivre.
Tethys : Je trouve que tu exagères.
Marisa : Je dors de façon à ne pas gêner les mouvements de mon bras dominant. Ainsi, si je me fais attaquer, mon bras le plus puissant est prêt à frapper.
Tethys : Hum… est-ce que tous les épéistes dorment ainsi ?
Marisa : Si on te coupe ton bras dominant, tu perds l’avantage. Tu es donc condamné à mourir.
Tethys : Ton bras ne fatigue donc jamais ? N’y a-t-il pas des moments où tu ne peux plus l’utiliser ?
Marisa : Non. Mon père m’a entraînée lorsque j’étais petite. Ça n’arrive donc jamais.
Tethys : Lorsque tu étais petite ? Comment ? Les enfants se retournent souvent pendant leur sommeil.
Marisa : Mon père plaçait des épées émoussées dans mon lit pour m’empêcher de bouger.
Tethys : Ton père faisait ça ? Mais c’est dangereux !
Marisa : Non, les lames n’étaient pas tranchantes. Et ça a marché. Je ne bouge pas en dormant.
Tethys : Dis donc, les épéistes ont des méthodes d’entraînement brutales ! J’ai eu de la chance d’être un enfant moyen. J’étais pauvre, mais je pouvais dormir librement.

Rang B

Marisa : Tethys. Tu es droitière ?
Tethys : Serait-ce un miracle ? Tu as commencé une conversation !
Marisa : Quand tu danses, tu bouges tut le temps le pied droit en premier.
Tethys : Je suis vraiment impressionnée que tu aies remarqué ce détail. Mais les pas de danse n’ont rien à voir avec le fait d’être droitier ou gaucher. La danse permet juste de s’exprimer au moyen des mouvements de son corps. Toutes les expériences de chacun sont extériorisées suivant la manière dont on danse.
Marisa : Les expériences ? Quel genre d’expériences ?
Tethys : Ça, ma chère, c’est mon secret. Ceci étant dit, je suis un cas particulier. Ma vie a pris de drôles de tournants, et c’est ce qui m’a incitée à danser. Et quand je danse, je suis heureuse.
Marisa : Hum. Tes danses redonnent du courage aux gens. Danser te va bien.
Tethys : N’est-ce pas ? Tous les mercenaires le pensent également. Maintenant que tu comprends mes danses, te voilà un membre à part entière de l’équipe de Gerik.

Rang A

Tethys : Dis-moi, Marisa, ça t’es déjà arrivé de vouloir renaître ?
Marisa : Renaître ?
Tethys : Tu sais bien, te réincarner en quelqu’un d’autre ? Si tu pouvais renaître, qui voudrais-tu être ? Peut-être une belle danseuse comme moi ?
Marisa : Non, je veux juste rester moi-même. Je me vois mal dans la peau de quelqu’un d’autre.
Tethys : Je m’attendais à cette réponse. Moi non plus, je ne peux pas m’imaginer dans une autre vie. Ça veut donc dire que nous sommes heureuses, malgré toutes les épreuves auxquelles nous sommes confrontées.
Marisa : Je suppose…
Tethys : C’est notre époque qui veut que nous fassions face à ces pénibles épreuves. Mais nous sommes vivantes, ce qui signifie que nous vivons aussi des choses fort agréables. Parfois, j’ai envie de renaître à une autre époque, mais le plus important, c’est de ne jamais abandonner et de profiter au maximum de la vie.
Marisa : C’est le néant qui succède à la vie. La réincarnation n’est que fabulation.
Tethys : Eh bien, tu as peut-être raison.
Marisa : Nous n’avons qu’une seule chance. Combattre est mon unique option.
Tethys : Tu sembles entièrement satisfaite d’être qui tu es, n’est-ce pas ? Nous menons des vies très différentes, mais nous avons ça en commun. Ça et le même homme, n’est-ce pas ?
Marisa : Quoi ?! Que veux-tu dire ?! ?
Tethys : On ne peut rien me cacher. De plus, tu n’es pas très discrète.
Marisa : Je ne cache rien du tout !
Tethys : C’est une réaction fort intéressante. Les jeunes sont si rafraîchissants.
Marisa : Pourquoi souris-tu ?! Ah…
Tethys : Ne sois pas gênée. Nous allons nous croiser de nombreuses fois encore. Nous devrions papoter plus souvent.
Marisa : Je dois y aller !
Tethys : Tu n’as pas besoin de fuir. Nous sommes certes des rivales, mais nous sommes aussi des amies.
Marisa : Je ne m’enfuis pas ! Je pars… c’est tout !

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
23 décembre 2005 à 12:52:48

Au fait salut Cracramon, et puisque tu parles de mon site je vais mettre l´adresse :-d

:d) http://fireemblemtss.canalblog.com/

Je ne sais pas si Neimi/Colm a été mit mais bon, je le met quand même.

Neimi et Colm

Rang C

Colm : Neimi.
Neimi : Oh, bonjour, Colm… Comment vas-tu ?
Colm : Ce n’est pas le moment de parler de la pluie et du beau temps ! Concentre-toi sur le combat !
Neimi : Je voulais juste être polie…
Colm : Jamais je n’aurais imaginé te voir sur un champ de bataille.
Neimi : Eh bien, je ne suis peut-être pas la meilleure, mais quand j’ai du travail… je le fais.
Colm : Je suis étonné de voir comment la guerre peut changer les gens. Regarde-toi ! Tu es normalement une pleurnicheuse, mais même toi, tu t’es ragaillardie.
Neimi : Hum…
Colm : Quand tu étais petite, tu me suivais partout. Tu trébuchais et tu pleurais à tout bout de champ…
Neimi : Oh ! Sniff… Pourquoi faut-il toujours que tu sois méchant ?! Sniff…
Colm : Tu n’as pas changé ! Tu continues de me suivre partout et tu pleures toujours pour un oui ou pour un non. La seule différence, c’est que tu fais tout ça sur le champ de bataille. S’il te plaît, peux-tu arrêter de brailler ?
Neimi : Sniff… D’accord… je vais essayer…
Colm : Tu ne peux rien faire sans moi, hein ?! Allez, arrête de pleurer à la fin !
Neimi : Mais… sniff…
Colm : Qu’est-ce qu’il y a ?!
Neimi : C’est de ta faute… si je pleure !
Colm : Ah !

Rang B

Neimi : Pfiouh !
Colm : Qu’est-ce que tu fais ?
Neimi : Oh ! Colm… J’étais juste en train de tendre la corde de mon arc.
Colm : Waouh ! Tu manies l’arc aussi bien que ton grand-père !
Neimi : Grand-père m’a appris à tirer à l’arc quand j’étais petite.
Colm : Ton grand-père était un archer de premier ordre. Je me souviens encore du jours où il a dirigé son arc contre moi.
Neimi : Eh bien, Colm… Tu n’aurais pas dû essayer de voler les fruits de notre jardin.
Colm : Il m’a appris combien un bon archer pouvait être terrifiant.
Neimi : Mais… il ne t’a jamais blessé. Il voulait juste te faire peur. Il faisait exprès de te rater.
Colm : Non, c’est bien moi qu’il visait. J’étais juste trop rapide pour lui.
Neimi : Il n’a jamais manqué de cible lors de nos parties de chasse.
Colm : Eh bien, j’en déduis que je suis plus rapide que n’importe quel animal sauvage.
Neimi : Hi hi ! Ah ah ah !
Colm : Hé ! Tu te moques de moi, hein ?
Neimi : Hi hi hi ! Pas du tout… C’est juste que… tu n’as pas changé.
Colm : Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
Neimi : Que tu as tendance à toujours exagérer. Mais maintenant que j’y pense, tu es tout le temps rester à mes côtés.
Colm : Non, pas tout le temps ! Et surtout maintenant, je ne peux plus veiller sur toi nuit et jour. J’ai beaucoup de responsabilités au sein du groupe, tu sais.
Neimi : Je sais…
Colm : Mais je ne peux pas t’abandonner.
Neimi : Merci…

Rang A

Neimi : Ouin !
Colm : Neimi ! Qu’y a-t-il ?
Neimi : Oh… sniff… Colm…
Colm : Qu’est-ce que tu as ? Quelqu’un t’a attaquée ? Tu es blessée ?
Neimi : Non…
Colm : Quelqu’un a été méchant avec toi ? On t’a encore volé ton miroir ?
Neimi : Non, ce n’est pas ça…
Colm : Qu’est-ce que c’est alors ?
Neimi : J’ai juste… quelque chose dans l’œil…
Colm : Quoi ?!
Neimi : Ouf ! C’est parti.
Colm : Et moi qui pensais que tu étais blessée !
Neimi : Colm…
Colm : Qu’est-ce qu’il y a encore ?!
Neimi : Je suis navrée de t’avoir alarmé… Mais… je suis contente que tu… Merci de te soucier de moi.
Colm : Pas besoin de t’attendrir pour ça. Tu ne devrais pas pleurer autant.
Neimi : Je sais. L’autre jour, au combat, je me suis souvenue de toutes les fois où tu as volé à mon secours.
Colm : Ah bon ?
Neimi : Comme la fois où je suis tombée dans la rivière et que tu m’as sauvée. Ou la fois où j’ai cassé l’arc de grand-père et que tu m’as aidée à le réparer. Et toutes les fois où des brutes sont venues me tyranniser. Tu étais toujours là pour me défendre.
Colm : Sérieusement, Neimi. Tu as toujours été une pleurnicheuse.
Neimi : Oui, mais… Parce que tu étais près de moi, je n’étais jamais triste… Depuis la mort de grand-père, tu es tout le temps resté à mes côtés…
Colm : Neimi…
Neimi : Merci, Colm. Pour avant et pour maintenant… Je t’aime beaucoup.
Colm : Oh… Si tu as un problème, viens d’abord me voir, d’accord ? Je m’occuperai de tous ceux qui oseront te faire pleurer.
Neimi : Je n’y manquerai pas…
Colm : Tu n’as pas eu de chance, mais ne t’en fais pas. Je m’occuperai de toi.
Neimi : Oh ! Sniff… Colm… Sniff…
Colm : Oh, non. C’est encore de ma faute si tu pleures, hein ?
Neimi : Sniff… oui… Mais pour d’autres raisons cette fois.
Colm : Tant mieux.
Neimi : Sniff…
Colm : Neimi… Je suis et resterai le seul à pouvoir te faire pleurer, d’accord ?
Neimi : D’accord…

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
23 décembre 2005 à 13:47:11

Je vais continuer avec Neimi, voici Neimi et Garcia.

Neimi et Garcia

Rang C

Neimi : Monsieur ?
Garcia : …
Neimi : Sieur… Garcia ? (elle s’avance)
Garcia : Ne vous approchez pas de moi, Neimi !
Neimi : Oh ! (elle recule) Je suis désolée ! Je me demandais juste ce que vous étiez en train de faire.
Garcia : Je me prépare au combat. Ne me dérangez pas maintenant.
Neimi : Vous êtes en pleine séance de méditation ?
Garcia : Oui. Pour me préparer au combat, je mémorise tous les ennemis se trouvant dans mon périmètre. Puis, pendant le combat, je peux focaliser toute mon attention sur eux. Pour survivre à cette guerre, vous devez porter toute votre attention sur l’adversaire.
Neimi : Je vois. Excusez le dérangement !
Garcia : Attendez !
Neimi : Oui, monsieur ?
Garcia : Pardonnez-moi de vous avoir crié dessus. (il part)
Neimi : C’est sûrement grâce à cette méthode qu’il est devenu un si bon guerrier ! Je dois moi aussi me concentrer…

Rang B

Garcia : Neimi ! (il s’avance) Ce gantelet…
Neimi : Oui ?
Garcia : Ce gantelet ! Celui qui est paré du faucon d’or…
Neimi : Hein ? Ça ? C’est mon regretté grand-père qui me l’a donné. Il était trop grand. Je l’ai donc fait ajuster à la taille de ma main. C’est mon grand-père qui m’a appris à me servir d’un arc. C’est un souvenir qu’il m’a donné.
Garcia : (il recule) Est-ce que votre grand-père s’appelait Zethla ?
Neimi : Mais comment… Vous le connaissiez ?
Garcia : Bien entendu. C’était LE maître des archers. On le surnommait "Zethla, la Flèche solitaire". Il tirait avec une incroyable précision, touchant n’importe quelle cible mobile ou immobile. "Pas de deuxième flèche pour Zethla", voilà ce que tout le monde disait. Renais a essayé à maintes reprises de l’attirer dans ses rangs…
Neimi : Maintenant que j’y repense, quand grand-père partait à la chasse, il n’emmenait qu’une flèche avec lui. Moi, j’en prenais autant que je pouvais…
Garcia : C’était donc vrai !
Neimi : Il n’a jamais rejoint l’armée, malgré l’afflux de recruteurs. Il disait que ce n’étais pas dans sa nature.
Garcia : Je sais. En fait, je lui ai rendu visite une seule fois quand j’étais jeune. Il portait son gantelet ce jour-là et il m’a fait une forte impression.
Neimi : Je vois… Renais est un pays si vaste. Jamais je n’aurais imaginé que vous puissiez le connaître. Décidément, le monde est petit.
Garcia : En effet. Je trouve inouï que la petite-fille de Zethla, la Flèche solitaire, se batte avec nous dans cette guerre. Ça me donne beaucoup de courage. Je compte sur vous, Neimi.
Neimi : Comment ? Vous comptez… sur moi ?
Garcia : Oui.
Neimi : Euh… c’est agréable… à entendre. Je vais faire de mon mieux pour ne pas vous décevoir !
Garcia : Bien. Allons-y, alors !
Neimi : Oui, monsieur !

Rang A

Garcia : Neimi, je suis navré de vous avoir fait sursauter hier.
Neimi : Hem ? Ah, quand je vous ai dérangé pendant votre préparation au combat ? J’étais juste intriguée par votre enthousiasme pour cette guerre.
Garcia : Avant, j’étais toujours comme ça. J’étais si absorbé par les combats que je négligeais totalement ma famille. Et aujourd’hui, je me trouve de nouveau sur le champ de bataille. Je suis sûr que ma femme est quelque part en train de soupirer.
Neimi : Oh, non, sieur Garcia. Je suis certaine que votre femme savait comment vous vous sentiez.
Garcia : Je pense que c’est difficile à comprendre pour quelqu’un qui n’est pas soldat.
Neimi : De nos jours, il faut se battre pour rester en vie.
Garcia : Vous avez également perdu votre famille, n’est-ce pas ?
Neimi : Oui. Mais je dois cesser de pleurer. Je dois être forte et aller de l’avant.
Garcia : Neimi…
Neimi : Vous avez quitté l’armée pour aller vivre dans les montagnes avec Ross parce que Renais n’était plus en guerre, n’est-ce pas ?
Garcia : Oui.
Neimi : Vous ne semblez pas être du genre à vous battre sans raison valable. Vous connaissez mieux que personne les souffrances et le sentiment de vide inhérents à la guerre. Il suffit de vous regarder pour le deviner ! Euh… Je suis désolée si j’ai l’air présomptueuse.
Garcia : Non, Neimi. Merci. Vous êtes très perspicace. Un jour ou l’autre, vous rendrez quelqu’un très heureux.
Neimi : Oh… hum… Vous me gênez.
Garcia : Il n’y a aucune honte à avoir ! Oh, au faite, prenez ceci.
Neimi : Qu’est-ce que c’est ? Oh, cette brosse à cheveux est magnifique !
Garcia : Je l’avais achetée pour mon épouse alors que j’étais encore soldat. Hélas… je n’ai pas eu l’occasion de la lui offrir.
Neimi : Sieur Garcia…
Garcia : Je l’ai enterrée avec certains des cadeaux que je lui avais apportés. J’ignore pourquoi, mais je n’ai pas eu le cœur à enterrer cet objet. Je n’en ai pas besoin. Qu’est-ce que je pourrais en faire ? Vous en ferez bien meilleur usage que moi. Et il sera un prétexte pour utiliser votre miroir plus souvent.
Neimi : Sieur Garcia ! C’est trop ! Merci J’en prendrai grand soin !

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
23 décembre 2005 à 14:37:31

Neimi/Amelia est déjà fait, je vous met Neimi/ Artur. Il ne me reste plus que Neimi/ Gilliam à faire pour en finir avec Neimi ^^.

Neimi et Artur

Rang C

Neimi : Oh… frère Artur…
Artur : Oui ? Vous êtes…
Neimi : Je suis… Neimi.
Artur : Ah, Neimi. Je suis navré que nos présentations soient si tardives. Et s’il vous plaît, appelez-moi Artur. "Frère" est trop formel.
Neimi : Oh… D’accord, Artur.
Artur : Très bien. Ah !
Neimi : Qu’y a-t-il ? Qu’avez-vous ?
Artur : Oh, rien. Désolé. Mais… ce miroir à main qui est pendu à votre taille…
Neimi : Oh, ça ? C’est un souvenir de ma mère. On me l’a volé une fois, voilà pourquoi je porte cette lanière en cuir. Je peux accrocher mon miroir à cette ceinture et le transporter toujours avec moi.
Artur : C’est… Excusez-moi, mais puis-je le contempler quelques instants ? (il s’avance) Hum… Oui, c’est intéressant. Ce miroir est relativement précieux. C’est un présent destiné uniquement aux clercs de haut rang. Il n’en existe que peu d’exemplaires. J’en déduis que votre mère…
Neimi : Oui, elle était clerc. J’étais très jeune quand elle est tombée malade…
Artur : N’ajoutez rien. Je comprends. Quand je vois sa fille et le miroir qu’elle lui a laissé, j’ai la preuve que votre mère était quelqu’un de bien, qu’elle était bienveillante, loyale et généreuse. Et vous êtes le résultat de ses soins, vous êtes remplie de la même lumière.
Neimi : Merci. C’est réconfortant de vous entendre dire cela.
Artur : Je suis enchanté de vous avoir rencontrée. Gardons contact.
Neimi : Oui, Artur ! A bientôt.

Rang B

Artur : Neimi, c’est un honneur de pouvoir vous parler de nouveau et dans de si brefs délais !
Neimi : Oh ! Artur ! Oui, je suis contente de vous voir.
Artur : Cet arc est imposant. Suis-je censé comprendre que vous êtes archer ? Les autres semblent beaucoup admirer vos aptitudes.
Neimi : Merci. Et je vous ai vu utiliser votre magie. C’était saisissant !
Artur : Bah, je ne suis qu’un débutant. Oh ! Neimi, j’ai remarqué que vous aviez rangé votre miroir ailleurs, non ?
Neimi : Hein ? Quoi ?! Non… je ne pense pas…
Artur : Comment ? Que voulez-vous dire ?
Neimi : Oh, non ! Je l’ai perdu ! Que vais-je faire ?
Artur : Perdu ?! Comment serait-ce arrivé ? Ce miroir est un artefact très précieux, et aussi un important souvenir !
Neimi : La lanière en cuir… Elle est déchirée… Ohhhh… sniff… Ouin !
Artur : Oh, non… (il s’avance) Je vous en prie, ne pleurez pas. Ne vous en faites pas. Nous allons le chercher ensemble.
Neimi : Sniff…
Artur : Auriez-vous une idée de l’endroit où il peut être ?
Neimi : Je crois que je… sniff… je l’avais encore sur moi au début du combat. Il était accroché juste là… à ma ceinture… sniff…
Artur : Il doit donc être tombé par ici, n’est-ce pas ? Je vais ratisser cette zone. Vous, allez chercher là-bas.
Neimi : Oui… d’accord…
(ils disparaissent de l’écran)
Artur : …
Neimi : …
(ils réapparaissent)
Artur : Je n’ai rien trouvé. Avez-vous eu plus de chance ?
Neimi : Sniff… sniff… Je ne l’ai pas… retrouvé…
Artur : Ne vous inquiétez pas. Il doit être par ici. Nous devons continuer les recherches. Je vais aussi interroger les autres.
Neimi : Très bien. Je vais regarder par là-bas… (elle part)
Artur : Oh, Neimi… Pfiouh… Comment vais-je pouvoir le retrouver au milieu d’un champ de bataille ? Je suppose que je dois garder la foi. Oui, c’est ce qu’il me reste à faire. C’est la foi qui va me mener au miroir de votre mère.

Rang A

Artur : Neimi !
Neimi : Artur…
Artur : Regardez, je l’ai retrouvé ! Le voilà…
Neimi : Oh…
Artur : J’ai interrogé tout le groupe depuis notre dernière discussion. Le maître de notre convoi m’a dit avoir trouvé un miroir par terre. Quand j’ai demandé à le voir, imaginez quelle fut ma joie en constatant qu’il s’agissait du vôtre !
Neimi : Sniff… je suis si… contente !
Artur : … Vous savez, en cherchant votre miroir, je me suis rappelé une chose… J’ai eu une expérience similaire dans ma jeunesse. C’est d’ailleurs cet événement qui m’a poussé à entrer au monastère.
Neimi : Qu’est-il arrivé ?
Artur : Un jour, alors que je n’étais qu’un petit garçon, je pleurais parce que j’avais perdu un jouet. Je vivais près d’un monastère, et l’un des moines m’avait aperçu seul dans mon coin, en larmes. Il passa toute la journée à essayer de savoir pourquoi j’étais si triste et à me consoler. C’était si trivial, ce jouet n’était qu’une babiole, mais pour moi, il était précieux. J’ai plus tard appris qu’un de mes amis l’avait pris sans rien dire, mais… J’étais très heureux que quelqu’un se soit montré aussi compréhensif. Pour les autres, je n’étais qu’un enfant gâté, qui pleurait à cause d’un jouet. Cependant, pour ce moine, j’étais une âme triste et perdue. Je pleurais car J’étais dans le besoin. Il était si gentil et il a passé des heures à essayer de sécher mes larmes. J’admirais son attitude, même à l’époque. Puis j’ai pris conscience que je pouvais honorer son geste en devenant moine.
Neimi : C’est donc… pour ça…
Artur : Oui, c’est pour ça. Oh ! Votre miroir ! (il s’avance) Voilà.
Neimi : Oh… (elle s’avance) … Je suis… très heureuse…
Artur : Ah. Je le savais.
Neimi : Pardon ?
Artur : Votre sourire est radieux. Ça change de vos pleurs. Je suis sûr que les cieux désiraient voir ce sourire. Ils ont donc tout fait pour m’aider à retrouver le miroir.
Neimi : Merci, Artur… Je vous en sais gré.
Artur : Non, Neimi. C’est vous qui avez toute ma gratitude. Vous parler apaise mon âme. J’ai l’impression… que certains membres du groupe se moquent de moi.
Neimi : Oh, c’est sûrement parce que vous avez le cœur pur et probe. Quelqu’un que je connais me taquine de temps à autre. En fait, il me taquine tout le temps.
Artur : Je vois… et j’en suis désolé.
Neimi : Il n’est pas méchant pour autant. Il peut être très gentil, mais… Vous êtes vous aussi très gentil, Artur.
Artur : Merci. Vous savez, les gens que vous côtoyez vous renvoient une image, un peu comme un miroir. Les personnes colériques attisent l’agressivité chez les autres, tout comme les gens maussades et désespérés répandent le chagrin autour d’eux. Savez-vous pourquoi tout le monde est si aimable avec vous, Neimi ? C’est parce que vous êtes vous-même quelqu’un de très gentil.
Neimi : Oh, Artur… c’est si gentil… Je veux dire… euh… merci.
Artur : Je vous en conjure, Neimi, gardez toujours votre gentillesse.
Neimi : Je vous le promets…

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
23 décembre 2005 à 16:58:35

Voilà le dernier soutien de Neimi, j´ai bien aimé le rang A ^^

Neimi et Gilliam

Rang C

Neimi : Gilliam… Gilliam ! Sieur Gilliam !
Gilliam : Pas si fort, Neimi ! Quelqu’un risquerait de vous entendre !
Neimi : Oups… désolée. Je voulais juste vous dire qu’il y a une éraflure sur le côté gauche de votre armure.
Gilliam : Bah, ce n’est rien. Mon armure est couverte d’éraflures. Celle-ci remonte à plusieurs années. Je défendais alors la frontière de Mulan. Et celle-ci, je l’ai reçue lors de mon premier combat en tant que chevalier. Chaque éraflure est associée à une histoire. Chacune est une marque de fierté.
Neimi : Oui, mais je m’inquiète à cause de l’éraflure au niveau de la glissière. Je peux réparer votre armure ! Ne bougez pas !
Gilliam : Neimi, ne vous éloignez pas ! Nous sommes engagés dans un rude combat ! Un seul faux pas pourrait ruiner notre stratégie… puisque vous risqueriez de créer une ouverture ! Vous mettriez votre vie et celle de tout le groupe en péril si vous faisiez une chose pareille !
Neimi : Oh ! Je ne voulais pas… Sniff…
Gilliam : Ne pleurez pas, Neimi. Economisez votre énergie pour le combat.
Neimi : Oui, monsieur ! Je… suis désolée.
Gilliam : Ecoutez. Ceci est mon armure. J’en prends toujours grand soin. Au lieu de vous soucier de l’armure des autres, gardez-vous à carreau. Vous avez compris ?
Neimi : Oui, vous avez raison. Je suis tellement… désolée de vous avoir… fait perdre votre temps.
Gilliam : J’apprécie… l’attention que vous me portez. S’il y a quoi que ce soit, venez me voir et je réglerai le problème.
Neimi : Je n’y manquerai pas ! Merci, sieur Gilliam !

Rang B

Gilliam : Neimi. Vous semblez vous être vite adaptée aux rigueurs du combat. Contre toute attente, je remarque que vous êtes très douée à l’arc.
Neimi : Oh… je suis heureuse de vous entendre dire ça ! J’étais triste à cause de notre dernière discussion. Je ne savais plus quoi faire. J’ai donc décidé de me concentrer sur le tir à l’arc.
Gilliam : C’était une sage décision, Neimi. Vous vous êtes entraînée seule ? Je n’ai jamais pu maîtriser les techniques du tir à l’arc. Je suis navré, mais je ne peux pas vous assister dans votre entraînement.
Neimi : Non, non… Merci, mais je me suis longuement penchée sur la question. Je dois d’abord affûter ma vue afin de repérer la cible plus facilement.
Gilliam : Affûter votre vue ? Une bonne vue est essentielle pour devenir un grand archer, mais… Comment peut-on améliorer sa vue ? Je ne comprends pas.
Neimi : Mon grand-père m’a appris à regarder au loin et à me concentrer. C’est de lui que je tiens tout ce que je sais sur le tir à l’arc. Mon grand-père était si… C’était un excellent archer. Un jour, un serpent a attaqué un nid d’oiseaux sur un arbre, au sommet d’une montagne. Il a visé le serpent puis il l’a abattu.
Gilliam : Incroyable ! Il a réussi à toucher le serpent de là où il était ? Votre grand-père devait être un grand archer.
Neimi : Oui, en effet. C’est pourquoi je regarde toujours loin devant moi. Grâce à mon entraînement, ma vue s’est nettement améliorée. Vous voyez cet arbre, là-bas ? Je peux voir les insectes qui rampent sur ses feuilles.
Gilliam : Je serais vraiment impressionné si vous parveniez à tuer chacun de ces insectes de là où vous êtes.
Neimi : Mais… ce serait cruel !
Gilliam : Tuer ces insectes serait futile. C’est de l’ennemi dont vous devez nous débarrasser. En utilisant vos yeux de lynx et les aptitudes que votre grand-père vous a transmises.
Neimi : Ne vous en faites pas ! Vous pouvez compter sur moi !

Rang A

Gilliam : Neimi, je voudrais bien en savoir plus sur votre entraînement de développement de la vue.
Neimi : Ah, quand je m’exerce à regarder au loin et que je me concentre ?
Gilliam : Oui. Je me suis moi-même essayé à ce petit exercice, mais j’ai rencontré quelques difficultés.
Neimi : Des difficultés ? De quel genre ?
Gilliam : Quand je m’entraîne, les gens cherchent à m’éviter. Et ce n’est pas tout. Je fais même fuir les animaux.
Neimi : Et vous regardez au loin… c’est tout ?
Gilliam : Oui. Je reste là, immobile, fixant le paysage lointain.
Neimi : Peut-être… que vous leur faites peur… Les gens avaient la même réaction avec moi. Ils disaient que je les effrayais ou ils croyaient que j’étais en colère contre eux.
Gilliam : Je leur… fait peur ? Hum… D’un simple regard, je peux désormais intimider mes ennemis au combat. Pas étonnant que tout le monde s’enfuie quand je fixe le paysage lointain de mes yeux perçants. Je peux presque le prendre comme une reconnaissance de mon talent de chevalier !
Neimi : J’ai une idée ! Si vous souriez, peut-être que vous leur feriez moins peur.
Gilliam : Euh… comme ça ?
Neimi : …
Gilliam : Je suis encore plus effrayant, hein ?
Neimi : Euh… c’est sûrement parce que vous croisez les bras. Et si… vous teniez un bouquet de fleurs ? Ça pourrait marcher.
Gilliam : Vous voulez que je regarde au loin… tout sourire… et avec un bouquet dans les mains ?
Neimi : Je crois que ça fera un joli tableau…
Gilliam : Vous êtes trop gentilles, Neimi. Votre vue affûtée est un don que votre entraînement va améliorer. Moi, je sais que je ne pourrai jamais en faire autant que vous. C’est un cadeau qui ne vous a été offert qu’à vous. J’ai confiance en vos yeux de lynx et en votre main assurée.
Neimi : Merci, Gilliam ! Je ne vous décevrai pas !

CTB CTB
MP
Niveau 5
23 décembre 2005 à 17:07:22

voila je vais mettre garcia et ross A

Garcia:Ross.
Ross:Qu´y a-t-il papa?!Hé arrête!Qu´est-ce qui te prend?Tu me fais mal!Tu m´écrases l´épaule!
Garcia:Ross...
Ross:Qu´est-ce que tu as,papa?
Garcia:Ross...je vais être sentimental quelques instants.Sois indulgent.
Ross:Hein?
Garcia:Tu es presque un hommme maintenant,mais tu es tout ce que j´ai au monde.tes aptitudes se sont améliorées,mais ce n´est pas une raison pour agir bêtement.
Ross:Mais qu´es-tu racontes?
Garcia:Il n´y a pas pire tragédie pour des parents que d´enterrer leur enfant.Tu vois ou je veux en venir?
Ross:Oui...je comprends.C´est juste que je n´ai pas l´habitude d´entendre ce genre de discours de ta bouche.Je crois que je commençais à avoir la grosse tête.Personne n´est invincible.
Garcia:Oui,c´est vrai.Et quand on croit être invincible,c´est la qu´on est le plus vulnérable.
Ross:J´étais bouffi d´orgueil quand tu m´as dit que j´avais progressé.Dorénavant,je serais prudent.Je ne l´ai dit à personne,mais je crois que les papas peuvent voir ces choses.
Garcia:Peu importe l´âge que tu as,tu seras toujours mon fiston.
Ross:Oui,et je t´admirerai toujours!

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
24 décembre 2005 à 13:27:41

Ma nouvelle victime sera Franz, donc inutile de vous embêter à recopier l´un de ses soutiens, je m´en charge ^^.

Franz et Seth

Rang C

Franz : Général !
Seth : Franz. Tu tiens le coup ?
Franz : Bien sûr. Malgré mon jeune âge, je suis un vrai chevalier de Renais. Je me battrai jusqu’au dernier souffle pour protéger la princesse, tout comme vous, général !
Seth : Bien, bien ! C’est ce que je voulais entendre ! Tu sais, tu sembles avoir énormément progressé depuis notre départ.
Franz : Hum, vous le pensez vraiment, général ?
Seth : Oh, absolument ! Tu parais plus sûr de toi maintenant. Le doute ne marque plus ton visage. Quand tu auras atteint mon âge, tu seras le plus grand épéiste et lancier de tout le continent.
Franz : Honnêtement ? Général, vous pensez vraiment ce que vous dites ?
Seth : Oui… Mais nous sommes actuellement engagés dans un combat, Franz. Concentre-toi sur les ennemis et n’essaie pas de faire le malin.
Franz : Oui, général !! ! Vous savez que jamais je ne vous décevrai !
Seth : Ne sois pas obsédé par la victoire. Apprends à connaître tes limites.
Franz : Oui, général !

Rang B

Franz : Général !
Seth : Ah, Franz. Chaque fois que je te vois, tu sembles encore plus fort. Ta parade est un peu raide, mais tes progrès sont indéniables.
Franz : Vous êtes sérieux ? Vous pensez vraiment ce que vous dites, général ?
Seth : Pourquoi me poses-tu cette question à chaque fois que je te fais un compliment ?
Franz : Oh, je suis désolé… Vos louanges me touchent. Vous êtes tout de même le général Seth, le Chevalier d’argent. Vous êtes mon héros.
Seth : Ah ah ah… Cesse ces flatteries, Franz ! Je t’en prie.
Franz : Mais, général, c’est la vérité ! (il s’avance) Vous vous souvenez du jour où les forces de Grado ont envahi le château de Renais ? Malgré de graves blessures, vous avez surpassé l’ennemi, percé s défense et vous vous êtes enfui. Et puis vous avez escorté la princesse jusqu’à Frelia. Personnellement, je n’aurais pas survécu à toutes ces épreuves. Vous seul êtes capable de ce genre de prouesses.
Seth : Mais c’est que tu me mets la pression ! Je n’ai donc plus le droit d’échouer, c’est ça ? Tu perdrais la foi que tu as placée en moi… Ah, mais tu es encore si jeune, Franz ! Tu vas gagner en maturité et devenir un remarquable guerrier. Garde la foi. Je compte sur toi. Entraîne ton corps et ton esprit.
Franz : Sincèrement ? Vous pensez vraiment ce que vous dites, général ?
Seth : Franz… C’est assez.
Franz : (il recule) Oh, oui ! Pardon, général !
Seth : Bien, retournons nous battre ! En avant, Franz !
Franz : Oui, général !

Rang A

Seth : Tu te débrouilles bien, Franz.
Franz : Oh, général !! ! Comment allez-vous ? Je suis si honoré que vous vous soyez déplacé pour me parler.
Seth : Pourquoi en fais-tu toujours trop ? Honnêtement, Franz… C’est moi qui devrais me sentir honoré.
Franz : Je vous demande pardon ? Que voulez-vous dire, général ?
Seth : Lorsque je n’étais qu’un simple écuyer, il y avait un chevalier que j’admirais plus que quiconque. Sa maîtrise de l’épée et de la lance était légendaire. Il n’avait pas d’égal. Tous les écuyers ont appris ce que cela signifie d’être chevalier en le regardant servir le roi. Il y a dix ans, nous avons été informés qu’un assassin tristement célèbre se cachait à Renais. Ce chevalier traquait cet assassin en secret, pour ne pas l’alerter. Il a pourchassé cet être ignoble nuit et jour. Il est parvenu à l’éliminer, mais il a été blessé à mort.
Franz : Il y a dix ans ? Mais… Non, c’est impossible…
Seth : Franz… C’était le plus grand chevalier de tout Renais. Ton père.
Franz : … Mon père est mort alors que j’étais très jeune. Et ma mère nous a quittés avant lui. Forde et moi étions livrés à nous-mêmes. Oh, je me souviens comme je pleurais parce que mon père me manquait. Forde me consolait en disant : "Il sert la famille royale pour protéger Renais". Forde était si fier de notre père, mais il était aussi triste que moi. Je me souviens de la terrible cicatrice que papa avait à l’épaule, probablement une blessure de guerre. Mon frère et moi, nous grimpions sur ses épaules et nous nous battions pour obtenir son attention. J’ai grandi en entendant les gens louer le grand chevalier qu’il était, mais moi, je ne me souviens que de son épaule.
Seth : Tu ignores à quel point tu ressembles à ton père… Ton jeu d’épée, ta façon de manier la lance, ta loyauté envers Renais. Tu as hérité des qualités morales et physiques de ton père. C’est un honneur de te voir acquérir ces aptitudes que nous admirons tous.
Franz : Je… suis tellement flatté. Merci beaucoup, général. Un jour, je deviendrai un chevalier bien plus fort que mon frère et mon père. Pour restaurer Renais, le royaume que j’ai juré de servir, je me battrai jusqu’à la mort !
Seth : Merci, Franz. Donnons le meilleur de nous. Pour Renais et pour votre père.
Franz : Oui, général !

genis_mage genis_mage
MP
Niveau 10
30 décembre 2005 à 11:45:34

et voici Myrrh-Saleh
je ferais aussi eirika-ephraim et artur-lute

Myrrh: ...
Saleh: ...
Myrrh: ...hum...
Saleh: Qu´est-ce qu´il y a ?
Myrrh: Saleh, où que j´aille, tu es toujours présent. Tu ne fais jamais rien dont tu as vraiment envies ?
Saleh: Je suis venu de Caer Pelyn. On m´a confié la responsabilité de vous escorter. Protéger le Grand Dragon est ma raison de vivre.
Myrrh: Le grand Dragon ? Je t´en prie, ne m´appelle pas comme ça. C´est mon père le plus grand. Contrairement à lui, je n´ai rien accompli.
Saleh: Il est vrai, Grand Dragon, que votre père a jadis sauvé l´humanité. Ce jour-là, il nous a protégés du Mal. Il est notre sauveur. Mais les hommes ont oubliés la dette la plus sacrée qu´ils ont envers lui. Je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour réparer cette faute.
Myrrh: ...
Saleh: Grand Dragon, est-ce que ma présence vous dérange? Si c´est le cas, n´hésitez pas à me le dire. Je m´éclipserais sans délai et je ne reviendrai vous voir qu´en cas de besoin.
Myrrh: ...Fais comme tu le sens.
Saleh: ...Merci

genis_mage genis_mage
MP
Niveau 10
30 décembre 2005 à 12:43:08

Myrrh-Saleh rang B:

Myrrh: ...
Saleh: ...
Myrrh: Hum...
Saleh: Oui?
Myrrh: Je voudrais te demender quelque chose, car tu viens de Caer Pelyn. Sais-tu si mon père est déjà venu visiter ton village ?
Saleh: Oui, il est déjà venu au village. Je n´ai personnellement jalais rencontré ce noble personnage. Mais Dara l´a rencontré une fois, alors qu´elle étais très jeune. Des monstres avaient pénétré dans Caer Pelyn, et le Crand Dragon nous a sauvés
Myrrh: Vraiment ? Je me demande pourquoi mon père a choisi de vous aider.
Saleh: ça je l´ingnore. Nous pauvres humains, nous ne pouvons espérer comprendre le raisonnement du Grand Dragon.
Myrrh: ...Mon père a décider de consacrer sa vie à la protection des hommes. Je n´avais jamais compris son choix...jusqu´à recemment. depuis que je asse du temps avec vous tous, je commence à comprendre ce qu´il pouvait ressentir.
Saleh: Drand Dragon...
Myrrh: Je vais donc continuer à me battre comme il l´a fait, pour le bien de toute l´humanité.
Saleh: Je vous suis reconnaissant d´avoir pris cette décision, Grand Dragon.

Myrrh-Saleh rang A

Myrrh: ...
Saleh: ...
Myrrh: ...
Saleh: Grand dragon...Je vais vous paraître irrespectueux, mais j´ai une faveur à vous demander.
Myrrh: Je t´écoute.
Saleh: Pourriez-vous venir au village ?
Myrrh: A Caer Pelyn ? Mais...
Saleh: Votre visite comblerait de joie Dara et les autres villageois. Le village est assez rubimentaire, mais nous ferons de notre mieux pour assurer votre confort et vous divertir Vous pourriez rester jusqu´à ce que vous en ayez assez...
Myrrh: ...Saleh, cette requête, c´est juste pour me faire plaisir, n´est-ce pas ?
Saleh: Non, pas du tout. Excusez-moi si je vous ai manqué de respect.
Myrrh: Non, je suis contente. Cependant...Je ne vais pas pouvoir rester longtemps.
Saleh: Mais pourquoi ?
Myrrh: Mon père me l´a expliqué. Nous sommes mi-hommes mi-dragons. Comme nous sommes les deux, nous ne sommes ni l´un ni l´autre.
Saleh: ...
Myrrh: Nous avons le pouvoir des dragons. C´est pourquoi nous ne pouvons pas vivre parmis les hommes. Nous avons le coeur des hommes. C´est pourquoi nous ne pouvons pas vivre parmis les dragons et autres monstres. Nous sommes des marginaux en ce monde. Nous n´appartenons à aucune communauté. Nous sommes condamnés à vivre coupés du monde, sans que personne ne nous comprenne.
Saleh: Mais il y a des hommes dont les actions font d´eux des monstres aux yeux de tous! Je suis sûr que les villageois se réjouiront de votre visite.
Myrrh: Saleh...Merci. Tes mots m´ont mis du baume au coeur Je te donnerais ma réponse quand tout sera fini, quand la paix sera revenue.
Saleh: Je comprends.
Myrrh: Et lorsque je retournerai aux Bois de Lombres, je ne serais pas triste. Parce que j´aurais passé de bons moment avec vous tous, parce que j´aurais des souvenirs. je ne me sentirais plus seule. Je ne serais plus isolée du reste du monde.
Saleh: Dame Myrrh...

genis_mage genis_mage
MP
Niveau 10
30 décembre 2005 à 12:44:18

je posterais lute-artur demain alors laissez le moi :svp:

shadowfight shadowfight
MP
Niveau 8
30 décembre 2005 à 13:21:06

pitié postez franz-amelia que je voie enfin s´ils vont finir ensembles

aussinon myrrh-dozla, j´ aimerais bien l´ avoir aussi

DartLePirate DartLePirate
MP
Niveau 10
30 décembre 2005 à 15:06:07

Franz: Oh, bonjour. Tu es... Ah, Amelia, c´est ça?
Amelia: Hm? Oh... Oui... et toi, Franz?
Franz: Ouais. Comment ça va? Tu t´accroches?
Amelia: Oh oui! Tu sais, tout le monde ici est beaucoup plus amical que ces gens à Grado. Je suis heureuse qu´il y ait autant de personne de mon âge voyageant avec nous.
Franz: Ouais. Je crois avoir ton âge, aussi. Tu sais ce que ça veut dire? À partir de maintenant, tu es ma rivale.
Amelia: Quoi?
Franz: Qu´en penses-tu?
Amelia: Euh... ça veut dire que... je doit te combattre?
Franz: Non, non, rien de compliqué: on va juste travailler ensemble. Tu vois, j´essaierai de te surpasser et vice-versa! Chaque jour, essaie d´être meilleure qu´aujourd´hui. C´est plus facile quand tu as quelqu´un avec qui travailler.
Amelia: Je vois... mais pourquoi?
Franz: Ouais, bon... Um... Mon frère est un chevalier aussi et il a eu quelqu´un de ce genre. J´ai toujours été envieux envers sa relation competitive. Les deux se battent, ils s´entredéchirent, et se querellent... Mais je sais qu´ils se respectent et grandissent ensemble. Je les envie.
Amelia: Um... je ne suis pas sûre d´être comme ça.
Franz: Ha ha ha! Ne t´inquiète pas. Ça ne compte pas, ce que tu es. Tout ce qui compte est que l´on aie quelqu´un comme ça dans notre vie. Tu es un soldat qualifié, non?
Amelia: Er... Je ne suis même pas sûre d´être assez qualifiée pour être ici.
Franz: Moi aussi. Voilà pourquoi je t´ai choisi. Travaillons ensemble.
Amelia: D´accord! Je ne suis pas de répondre à tes besoins, mais je ferai de mon mieux.
Franz: Bon. Je suis content de t´avoir rencontré, Amelia.
Amelia: Et moi donc.

La flemme de traduire le reste.

Vlad-GoldenSun Vlad-GoldenSun
MP
Niveau 10
30 décembre 2005 à 19:39:07

J´ai un peu la flemme moi aussi de recopier ce soutien là, ce que je peux te dire c´est que dans le rang A on apprend qu´ils sont tout les deux orphelins (enfin la mère d´Amelia est toujours vivante mais elle ne le sait pas vu qu´on l´apprend dans le rang A d´Amelia et Duessel) et Franz lui propose "de suivre la même route", puis Amelia se jette sur Franz.

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