Auteur : Merouane Tamene

Adresse Internet : tamenedruss@gmail.com

Titre de la Fic : Commencement 4 : Star Wars The Old Republic
Chapitre 1 : La flotte perdue

« S'il en demeure dix, je serai le dixième ; Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! »

Revan

Note de l’Auteur :

Jamais je n’aurais cru qu’il y aurait un commencement 4, mais c’est fait. Sauf que cette histoire se déroule 300 ans plus tard durant les événements du jeu Star Wars The Old Republic. Le héros de l’histoire ne sera que l’énigmatique Revan, toute fois pour ceux qui ont joué au jeu, sachez que le Revan de cette histoire ne ressemble en rien a celui du jeu. Ce Revan là pour moi est un imposteur et ne reflète en aucun cas le personnage qu’on a imaginé dans nos têtes. Pour moi, même si c’est cliché. Revan est un homme d’une grande beauté qui ne laisse aucune femme indifférente a son charme. Anakin Skywalker est un blond aux yeux bleus, Han Solo est jouer par un acteur que toute les femmes rêvent d’avoir comme petit ami, Mark Hamill qui joue Luke est deux fois plus charismatique que le Revan de Old Republic, et je parle de Luke a la coiffure des années 70. Tout ça pour dire de ne pas être surpris par certains passages de cette fic ou REVAN en majuscule est beau comme un jeune dieu. Il est Revan, notre commandant Shepard de Star Wars. Bonne lecture et cette fois soyez nombreux a poster.

Histoire :

L’air froid que soufflaient les conduits d’aération charriait un faible relent de métal surchauffé et de matériaux calcinés. Les échos étouffés d’une explosion parvinrent dans sa cabine quand le vaisseau vibra. Des voix glapirent d’effroi de l’autre côté du sas et il perçut des bruits de pas précipités. Mais il ne bougea pas, sachant que, si l’ennemi avait repris l’assaut, on entendrait hurler des sirènes et le vaisseau serait frappé de bien plus d’un coup. D’ailleurs, attaque ou pas, il restait étrangement serein, comme si la bataille dehors n’était rien. Il en a vu d’autre dans une autre vie et certaines plus terribles et meurtrière que celle qui se déroulait dehors. L’homme ne se souvenait de rien, seulement qu’on l’a trouvé dans une capsule étrange, selon les techniciens et spécialistes du vaisseau. Elle était ancienne mais possédait une technologie avancée, antérieure a la république ou de l’histoire elle-même, une scientifique a même reconnu certaines gravures de la capsule, une écriture ancienne des Rakatas. Une citation qu’autre chose.

« La sérénité est le silence des ténèbres. »

L’homme se leva et regarda dans la glace, son visage était grave. Ses yeux vert émeraude figés dans une expression de dureté qui le déconcerta. Il regarda ses mains, et vit des cales qui durcissaient le tranchant, des avants bras capable de broyer des cous, son corps entier est un instrument de mort, un corps façonné pour la force et la vitesse. L’homme en question ne se souvenait de rien, du moins pas encore. Car des bribes de son passé commençaient à revenir. Des batailles, des duels au sabre laser, d’une femme très belle qui lui disait qu’elle l’aimait, d’un homme imposant aux yeux bleus qui l’admirait, et surtout. D’un être encapuchonné représentant le mal absolu. Le reste demeurait flou, ou avait-il trouver cette capsule ? Et comment se fait-il qu’il semblait avoir trente ans alors qu’il avait plus que ça, ou du moins la dernière fois avant qu’il n’entre dans cette satanée capsule.

« La sérénité est le silence des ténèbres. »

Peut être que cette capsule étrange avait un autre effet que de le garder en hibernation, peut être qu’elle l’a rajeunie de plusieurs années, et peut être aussi qu’elle lui y a fait donné un autre bras. L’homme regarda son bras avec stupeur, mais oui il se souvenait, il avait perdu un bras durant un combat et une prothèse l’avait remplacé. Comment se fait-il qu’il ait un bras bien en chair maintenant ? Il secoua la tête et regarda son visage a nouveau dans le miroir. Il se s’est souvenu de son nom trois jours plus tard, et le personnel médical était resté sans voix.

« Je suis Revan. »

Un nom qui résonnait avec vibration, même de sa bouche. Revan se détourna du miroir et regarda le plafond de sa cabine. Bien sur il ne s’agissait pas d’une cellule, l’amiral Olmek s’est montré respectueux malgré sa méfiance. Le vieil homme était proche de la retraite, mais demeurait solide comme un roc. Revan se souvenait de sa première rencontre avec l’amiral. Il était assis dans une salle d’interrogatoire, gardé par deux troopers. Revan observait le vide. Il sentait le trouble des deux troopers, un homme et une femme, leurs armures était étrange, même si elle lui semblait familière, ils appartenaient a la république galactique. Reste a savoir depuis quand Revan était suspendu en animation suspendue, d’après les armes des deux troopers, une sacrée bonne période, même le model du vaisseau lui était inconnu.

La porte s’ouvrit et Revan ouvrit les yeux pour découvrir l’amiral Olmek entrer accompagné par une jeune Kiffar, un docteur d’après son uniforme. L’amiral prit place en face de Revan et le regarda avec gravité. Le docteur s’assit a sa droite et semblait plus a l’aise, Revan croisa les bras et adopta une expression sereine.

- Vous allez bien ? Demande Olmek d’une voix douce.

- Oui, merci. Répondit Revan.

Olmek regarda la Kiffar qui semblait surprise. Revan fronça les sourcilles, qu’est ce qu’ils ont tout a coup ?

- Il y a un problème ? Demande-t-il.

- Je viens de vous parler en Corellien, mon garçon. Êtes-vous originaire du système ?

- Non.

- Pourtant vous n’avez aucun accent. Je dirais même a votre langage que vous avez grandi a Coronet.

- Je ne m’en souviens pas.

La Kiffar intervint :

- Dans votre coma prolongé – vous avez parlé en trois langues différentes : Corellien, Commenorien et Selkath. Ça veut dire que vous êtes polyglotte, que vous êtes à l’aise dans diverses parties de la galaxie. Réfléchissez en termes de géographie. Qu’est-ce qui est le plus facile pour vous ?

- Le basique. Dit Revan avec douceur.

- Donc vous êtes originaire de Coruscant ? Demande Olmek vivement.

- J’y ai grandi, a une époque lointaine.

- Revenons a votre identité. Vous avez dis vous appeler Revan.

- c’est mon nom.

- Un patronyme peu commun.

- Quel est le vôtre, docteur ?

- C’est le patient qui pose les questions ? Demande-t-elle amusée.

- Pourquoi pas ? Demande Revan en la regardant dans les yeux.

- Je suis le docteur Moxla, Rayla Moxla.

- Pourquoi vous ne me croyez pas quand je vous dis que je m’appelle Revan ?

- Que représente pour vous, Revan ?

- Revan c’est moi, dit il d’une voix douce et si calme que Moxla en était impressionnée.

« Il sait garder son calme, il a des nerfs en acier. »

- Très bien Revan, dit-elle en levant les mains. Maintenant je vous pose une autre question : Comment avez-vous atterrit dans cette capsule antique ? D’où est ce qu’elle provient ?

- Je ne m’en souviens pas, tout ce dont je me souviens c’est m’être réveillé dessus, je me souviens seulement de ma vie et de ce que j’ai accompli, le reste est un trou noir.

- Donc vous prétendez être Revan ? Le Revan de l’ancienne république ?

- Je le suis docteur, je suis Revan et j’étais un Jedi avant de devenir Sith, et avant de redevenir Jedi pour combattre mon ancien apprenti Dark Malak et sauver la république.

Olmek se pencha en avant.

- Mon garçon savez vous que vous parlez d’événements qui se sont déroulé trois cent ans plutôt ?

Cette fois le visage de Revan se figea, il les regarda tout les deux et découvrit avec stupeur qu’ils disaient la vérité. Il était resté trois siècles dans cette capsule Rakata.

- Ou m’avez-vous trouvé ? Demande-t-il.

- Votre capsule flottait dans la frontière donnant a l’espace sauvage, répondit Olmek. C’est par hasard que nous passions par là, la flotte Sith nous a taillé en pièce et nous nous sommes replié ici pour réparer nos vaisseaux. Nous avons détecté un faible signal émis par une balise, une coquille étrange faite dans un matériaux inconnu, avec des gravures en Rakata ancien d’après nos droïdes analystes. Vous étiez a l’intérieur baignant dans un liquide organique que nos experts n’ont encore pas reconnu, vous étiez nu comme un ver, mais en bonne santé.

- Vous êtes entrain de me dire que j’ai survécu durant trois cent ans dans une boite ?

- Monsieur, intervint Moxla avec douceur. Vous comprenez pourquoi nous sommes sceptiques, même en hibernation carbonique vous n’auriez jamais survécu aussi longtemps, de plus vous dites que vous êtes Revan, or Revan est mort il y a trois siècle.

- Je suis ici devant vous, vivant et en bonne santé.

- Très bien, dit Moxla en croisant les bras. Donnez moi une preuve.

- Pardon ?

- Une preuve que vous êtes Revan. Montrez nous vos dons de force. Si vous le faites je serais disposé a vous croire, ou sinon nous avons un bon psychiatre qui vous aidera a découvrir votre véritable identité.

Revan regarda par-dessus son épaule et murmura d’une voix terrible.

- DONNEZ MOI VOTRE ARME.

Le soldat obéit sans discuter, sa comparse le regarda ahurie dégainer son Blaster et le donner a l’homme assis tranquillement. Olmek et Moxla se levèrent d’un bond, la porte s’ouvrit et une escouade de soldats entra en pointant leurs armes sur Revan. Ce dernier observa l’arme comme un expert puis le démonta, et examina les pièces de l’arme, puis le remonta rapidement comme si il avait effectuer ce geste des milliers de fois, et le rendit au soldat qui restait pétrifié sur place. Revan fit un geste de la main et le soldat secoua la tête et faillit tomber d’étourdissement.

- Vous dites la vérité. Déclare Revan sans prêter attention aux armes braquées sur lui. Cette arme m’est inconnu et d’après la date inscrite, trois siècles ont passé depuis mon dernier souvenir.

- Que lui avez-vous fait ? Demande Moxla choqué.

- Restructuration mentale ! Déclare Revan froidement, un pouvoir qui me permet de contrôler temporairement l’esprit de quelqu’un. Je pouvais le transformer en légume, ou au pire lui ordonner de se suicider.

- Vous n’aviez pas a faire un geste aussi extrême. Dit Moxla froidement

- Faire voler les objets n’était pas suffisant, vous auriez convenu que je ne serais qu’un adepte maîtrisant la force, rien de plus. Il me fallait quelque chose de plus convainquant pour vous prouver que je suis bien Revan. Et que je ne fais pas de tours de passe-passe comme ceux des Jedi.

- Ecoutez moi mon garçon. Intervint Olmek d’un ton apaisant. Moi je vous crois, plus la peine de refaire ce que vous avez fait avec ce pauvre diable. Maintenant je vais demander a mes hommes de vous raccompagner dans votre cabine. Promettez moi de ne pas brouiller leur esprit, et d’obtempérer sans faire d’histoires.

- Je vous donne ma parole.

Revan accompagna docilement les soldats, une fois Olmek et Moxla seuls, elle regarda l’amiral avec stupeur.

- Vous croyez vraiment qu’il est Revan ? Enfin Amiral, Revan est un mythe, un conte inventé par les Jedi et…

- Ecoutez moi docteur, réplique froidement Olmek. Ça fait quarante ans que je suis dans la flotte, et je connais les Jedi et de quoi ils sont capables, alors ne me parlez pas de mythes. Vous avez vu ce qu’il a fait.

- Votre soldat est un faible d’esprit, ça ne prouve rien.

- Vous faites erreur, tout mes troopers on reçu un entraînement spécial, et croyez moi leur esprit est aussi solide qu’un mur. Ce gars a fait ce que seul Revan pouvait accomplir, jamais un Jedi ou un Sith n’aurait réussi a plier un soldat comme ça, personne sauf lui.

Olmek observa le vide un moment puis ajouta gravement :

- Reste a savoir si il est de notre coté, ou pas.

Une alarme retentit, et Olmek jura a voix basse. Les Sith les ont trouvé.

Un trés bon début passionnant on a qu'une envie c'est de lire la suite . Comme tout tes autres commencements celui-ci m'a l'air trés prometteur beau boulot et excuse moi de ne jamais avoir publier de commentaires alors que je lis toute tes fics^^.
Et je suis complètement d'accord avec toi le revan de the old republic est une insulte à celui que l'on pouvait s'imaginer dans les kotor.

Je suis d'accord avec vous pour Revan de TOR mais je pense qu'ils ont fait ça pour un choix sénaristique afin de ne pas donné le beau rôle à celui ci comme dans les Kotor sinon toujours excellent et j'espère qu'il rencontrera Le Grand Maître du moment ^^ et une suite passionnante aussi .

Apres est-ce que ta fic prend en compte les éventements comme le traité de corusante et l’exile sur typhon ou sinon si ces événements ne ce sont pas encore déroulés ?
Merci pour le travail que tu fournis.

Je pense qu'effectivement, il rencontrera sa descendante, sans aucun doute même ! Ca va être un beau bordel mais j'ai hâte ! Joliment écrit Tamene J'attends la suite avec impatience !

A quand la suite ? C'est un bon début !

Revan acheva de couper ses cheveux et se regarda dans la glace. La coupe Iroquoise lui allait bien, les deux cotés du crâne étaient rasés a blanc et l’arrière retenu par une grande queue de cheval. Revan ressemblait a un grand épéiste Echani, avec ses yeux vert émeraude et son regard glacial il faisait peur a voir et c’est l’effet recherché.

La bataille avait fait rage et Revan sut très vite qu’elle a était perdue, la mémoire continuait a lui revenir par bribe, mais il ne souvenait toujours pas du moment ou il est entré dans cette capsule Rakatas. Au moins il était sur d’une chose, a l’époque il était âgé de soixante ans. Un vieil homme, et pas du tout un jeune de trente ans. La capsule n’a pas fait que le maintenir en hibernation, elle lui y a rendu la jeunesse, et aujourd’hui il se sentait plus en forme que jamais. Mais en forme pourquoi ? Et dans quel but ? Il l’ignore, du moins pour le moment, son corps est peut être jeune mais il ne s’y est pas habitué, sans perdre de temps il commença a faire des exercices d’assouplissement, il devait retrouver sa souplesse et son agilité, il puisa dans la force pour s’aider un peu, quand soudain

« Maître Revan, on vous réclame au hangar. »

L’annonce mit un bon moment à pénétrer son cerveau. Pourquoi avait-on besoin de lui ? Il se releva et s’étira puis ouvrit la porte et ne trouva a sa surprise aucun troopers en garde. Les coursives du cuirassé de la République « Le Gardien » grouillaient de personnel engagé et d’un poudroiement d’autres officiers. Tous lui cédaient le passage en formant un étroit couloir qui paraissait s’ouvrir devant lui et se refermer derrière comme par enchantement, tandis qu’il se dirigeait d’un pas régulier vers la zone de lancement des navettes. Il fixait le vide en évitant de regarder les visages, sachant déjà ce qu’ils trahiraient. Il y avait vu l’espoir et l’effroi sans jamais les comprendre ni y aspirer. Pour eux il était Revan, le sauveur, le Jedi, et il allait tous les sortir de ce guêpier. Alors qu’il ne leur avait jamais rien promis, ni même prétendu être autre chose que ce qu’il était en réalité, il était bien Revan, mais pas celui qu’ils croient.

La cohue se solidifia brusquement devant lui et il lui fallut s’arrêter. Un petit gradé se retourna et l’aperçut : « maître Revan ! » s’écria-t-elle, tandis qu’un espoir irrationnel illuminait son visage, dont une joue était souillée de lubrifiant ; elle portait à un bras un léger plâtre recouvrant une blessure reçue lors du dernier combat et son uniforme, de ce côté, montrait des traces de brûlure. Revan la regarda sans dire un mot, elle baissa les yeux aussitôt, il était conscient qu’il aurait dû lui répondre, son attitude glaciale intimida la femme officier.

« Porte du hangar, finit-il par lâcher. »

- Vous ne pouvez pas passer par là monsieur. Elle reste scellée durant les réparations des avaries consécutives au combat. Vous avez dû sentir le dernier choc, non ? Nous avons bouché le trou, Mais nous serons bientôt parés. Nous ne sommes pas encore battus. Pas vrai ? C’est impossible.

- Je dois me rendre aux hangars. Répète doucement Revan.

Le lieutenant battit des paupières.

- Les Hangars ! Descendez deux ponts plus bas et allez droit devant vous. La voie devrait être dégagée. Ça fait du bien de vous voir, monsieur. » Sa voix se brisa sur cette dernière phrase.

Revan se contenta d’opiner et de dire merci d’une voix sans timbre. Il descendit les échelles pour gagner le troisième niveau inférieur et progressa à travers la foule qui continuait de se scinder puis de se refermer sur son passage. En dépit des efforts qu’il faisait pour éviter de les regarder, il surprenait à présent de fugaces aperçus des visages, qui tous trahissaient la même angoisse et que le même optimisme démentiel illuminait dès qu’ils prenaient conscience de sa présence. Olmek l’attendait devant une navette avec son chef d’état-major et une petite poignée d’officiers, il lui fit signe et l’entraîna à l’écart, l’amiral avait l’air sonné par cette attaque mais gardait néanmoins son calme.

- Les dirigeants de la flotte Sith ont accepté des négociations. Ils insistent pour que tous les hauts gradés et moi y participions en personne. Nous ne sommes pas en position pour refuser de céder à leurs exigences.

- Qui commande cette flotte, un seigneur Sith ?

- Dark Chratis, c’est son nom.

- N’y allez pas, recommande Revan. Il vous tuera sans hésiter.

- Je sais, ce qui fera de vous le plus haut gradé en notre absence, vous êtes un maître Jedi, et pas n’importe qui.

- Sauf votre respect amiral, je ne suis pas l’homme qu’il vous faut.

- Moi je pense que si, mon garçon. Je sais qu’il est dur d’être à la hauteur d’une légende. Mais cette flotte a besoin de vous.

- Je ne suis pas un sauveur, amiral. Réplique Revan d’une voix cinglante. J’ai fais des choses horribles et je ne suis pas qualifié pour…

- Petit je suis très doué pour juger les gens, dit Olmek en lui serrant l’épaule, et moi je vous fais confiance, pas parce que vous êtes Revan, mais parce que vous êtes quelqu’un de bien. Et puis je suis sur que vous avoir trouer est de bon augure.

Olmek ferma les yeux et ajouta.

- Et je suis sur de laisser l’armada entre les mains d’un homme en qui j’ai toute ma confiance.

Revan ferma les yeux un moment, il pouvait encore refuser mais les yeux las et fatigués d’Olmek lui lacéraient le ventre. Il le regarda a nouveau.

- Très bien amiral.

- Parfait. Merci. Merci, mon garçon, je savais que si je pouvais compter sur quelqu’un, c’était sur vous.

- Je ferais de mon mieux.

- je n’en demande pas plus.

Puis Olmek éleva la voix pour conduire Revan vers les autres.

- Le commandant Revan sera responsable de la flotte durant mon absence.

Tous se tournèrent vers lui pour le fixer du regard. Surprise et soulagement s’affichèrent sur le visage des plus jeunes, et scepticisme sur celui des plus anciens, tandis que tous prenaient acte de l’ordre de leur supérieur en marmottant. Revan de son coté leva la main pour effectuer le salut officiel. Olmek lui rendit le salut puis tourna les talons, suivi par d’autres officier supérieurs, et franchit aussitôt le sas vers la navette qui les attendait. Revan la regarda s’éloigner sans bouger puis se rendit compte que les officiers restés dans le hangar le dévisageaient, tandis que l’expression de leur figure trahissait une espérance en conflit avec d’autres sentiments. Revan se tourna vers eux et hocha la tête.

- Vous pouvez vous retirer.

Tous se retournèrent pour sortir, sauf deux qui marquèrent un temps d’arrêt pour saluer gauchement, en réponse à l’ordre qu’on venait de leur donner. Revan leur rendit la politesse en se demandant quand et à quel propos ce geste était passé de mode. Puis les regarda s’éloigner sans savoir ce qu’il allait faire, mais la réponse vint automatiquement, rejoindre le pont du Gardien et analyser la situation. Sans perdre une seconde il remonta plusieurs étages tout en ignorant les regards et les expressions qu’il ressentait par le biais de la force, ils ont peur et l’atmosphère était si chargée qu’elle menaçait d’exploser. Si l’équipage flanche tout est perdu, et même Revan ne peut faire grand-chose. Revan bifurqua en direction de sa cabine, ce qu’il lui faut c’est un endroit calme pour se concentrer, cette panique l’irritait et l’empêchait de réfléchir

En regagnant sa cabine, s’assit devant un bureau puis loucha sur le panneau de contrôle des communications installé près du bureau pour s’assurer qu’il allait appuyer sur les bonnes commandes.

- Passerelle ici Revan, commandant intérimaire de la flotte. Veuillez me prévenir quand notre navette atteindra le vaisseau amiral Sith.

- A vos ordres commandant.

Le Trooper sur l’image holographique hocha très vite la tête. Le regard emprunt d’un respect religieux à la vue de Revan.

- Le délai d’arriver estimé est d’une quinzaine de minutes.

- Merci. Dit Revan irrité par la vénération qu’il lisait dans les yeux de l’homme.

En désactivant l’hologramme, Revan pianota sur le tableau de commande, il voulait avoir les derniers renseignements sur la flotte qu’il commandait. Parcourant lentement et méthodiquement la liste des vaisseaux, leurs classes et leurs armes. Des corvettes Hammerhead L5, des destroyers Centurion dernière génération, les mêmes vaisseau de son époque mais améliorés graduellement. Toute fois la flotte avait souffert, tant de vaisseaux perdus ! Tant de rescapés endommagés ! Pas étonnant qu’Olmek ait décidé de se plier aux exigences des Sith.

« Commandant Revan, la navette a atteint le vaisseau amiral Sith. »

- Merci.

Revan revint a son étude puis croisa les bras en parcourant les données. Voila qui est intéressant, il avait en sa possession des navires mécaniciens pour réparer les vaisseaux ou navette endommagés. Il ne lui restait que trois : le Résolu, le Rebel, et l’Orion.

Le nom du dernier vaisseau attrista Revan. Ils ont donné le nom de son frère à un navire mécanicien. Den avait sacrifier sa vie pour la république et l’ordre et tout ce qu’ils ont trouvé pour l’honorer c’est donner son nom a un gros navire balourd. C’est a ce demander comment résister au coté obscure devant tant d’ingratitude.

« C-Commandant Revan. I-ici la vigie de communications. »

Il jeta un regard vers l’hologramme. L’officier semblait ébranlé, et même au-delà de ce qu’il avait vu jusque là.

- Qu’y a-t-il ?

- Un… un message du vaisseau amiral Sith, ils… ils l’on envoyé a tout nos bâtiments.

- Affichez.

L’image de l’officier disparut. Revan vit l’amiral Olmek et les autres officiers supérieurs a genoux devant un homme au physique ravagé par le coté obscure. Il était encapuchonné et tenait un double sabre laser allumé. Dark Chratis avait une aura sinistre dans la force, et Revan contempla l’image sans trahir aucune émotion.

- Flotte de la république, votre amiral est venu négocier avec moi les termes de votre redditions.

Le seigneur Sith tournoya son double sabre et décapita Olmek et les autres d’un geste rapide et précis. Revan sentit l’horreur de l’équipage par la force. Décapiter le haut commandement de la république, dans cette situation une flotte sans chef s’effondrerait. Dark Charis cherche à les décourager par le spectacle de ce carnage, de cette façon ils seraient incapables d’organiser une résistance. Revan approuva cette stratégie, c’était brillant et l’effet se faisait ressentir, il sentait le désespoir de l’équipage du Gardien. Charis devait le sentir car ses yeux brillaient d’une lueur perverse.

- Vos vaisseaux ont une heure pour se rendre. Cette heure écoulée, nous écraserons toute résistance.

Un bon moment se passa avant qu’il ne comprît que son commandement de la flotte, d’une flotte décimée par les combats et qui, piégée, affrontait désormais un ennemi de loin supérieur en nombre, n’avait plus rien de provisoire. Et que cette flotte ne bénéficiait que d’une heure de grâce. Et cet officier des transmissions, comme d’innombrables autres, espérait, priait, comptait sur lui pour réagir.

Revan se leva et regarda froidement l’officier des transmissions.

- Trouvez moi le capitaine du Gardien.

Non Revan n’avait pas peur comme l’équipage du Gardien, il n’était pas non plus intimidé par la cruauté de ce Sith. Car lui-même en était un, et deux fois plus pragmatique que le cruel Dark Charis, le coté obscure tout comme la lumière n’avaient aucun secret pour lui, il a explorer la force au-delà de sa formation Jedi ou Sith, et elle est avec lui.

- Cette flotte n’est pas privée de commandement. Ajoute Revan d’une voix si sombre qu’elle faisait peur a entendre.

les événements de TOR seront respectés, et Satele Shan pourrait même rencontrer son ancêtre. Un seule question : Qui est le père de Theron Shan ? Est-ce Tavus ou Jace Malcom ? Pourquoi Satele a quitté le père et pourquoi elle a coupé les ponts avec son fils.
Merci de m'aider sur cette question ?

Le père de Theron est Jace Malcom (normalement) même si nous n'avons pas de preuve tangible. Tout mère à croire que ça soit lui.

Cependant, Satele Shan dit: J'ai eu un fils avec mon pire ennemi. Hors son pire ennemi pourrait être Malgus, ce dont je doute puisque Malgus n'a eu qu'un amour au cours de sa vie et ce n'était pas Satele.

Bonne suite !

Ah j'avais pas vu le reste, elle l'a filé à l'ordre Jedi (son fils Theron) puis est retourné à la guerre. Et d'après un texte que j'ai lu, elle a quitté Jace à cause du côté Obscur présent en lui et qui l'effrayait.

Bon j'ai continué mes recherches sur mes heures de boulot (pour te dire). Il semblerait donc bien que ça soit Jace le père, qu'elle aurait quitté à cause de son tempérament et du côté obscur en lui. Elle a abandonné son fils à l'ordre pour partir à la guerre mais il s'est avéré qu'il n'avait aucun don pour la force. Il s'est alors engagé en tant qu'espion de la République.

Source: Wookipedia, Star Wars Universe notamment.

Tres belle suite. On dirait que les talents de stratège de revan vont être mis en pratiques dans la suite.^^

Je passe par là 10x par jour maintenant -_- ! Merci la productivité... XD ! LA SUITE TAMENE !!!!!!!!!!!!

Quelle surprise de voir apparaître un nouveau Commencement ^^ Le début est très bon mais je voulais savoir, le fait que Revan n'ai aucun souvenir des évènements du Commencement 3 (il ne mentionne personne à part Den, même pas Bastila, sa fille ou Avan) est voulu ? Car même si cela se passe 300 ans plus tard c'est assez surprenant qu'il n'ait aucunes pensées pour eux.

Il a encore l'esprit flou, il se souvient de son frère pour l'instant et de quelques bribes de son passé (si j'ai bien compris). Quand il se souviendra de tout, il sera pas content ! ^o^ !

Satele Shan a eu un fils (Theron Shan) avec Jace Malcom mais Jace n'a jamais su qu'il avait un fils car Satele a considéré que les batailles qu'il a mené l'ont rendu trop imprévisible (voire instable) pour le bien de sa progéniture.

Theron nétant pas sensible à la Force mais ayant quand même quelques dons innés de par sa prodigieuse lignée, il devient un très bon espion.

Si vous voulez connaître la lignée des Shan, allez voir à cette adresse : http://starwars.wikia.com/wiki/Shan_family

Revan entra sans cérémonie dans la passerelle du commandement. Cette fois il commandait une flotte décimée par les combats et qui, piégée, affrontait un ennemi de loin supérieur en nombre, bénéficiant d’une heure de grâce. Le personnel du pont le regardait mais cette fois Revan afficha un air décidé. Plus question de détourner les yeux ou quoi que ce soit. Il repéra très vite le capitaine du Gardien. C’était une femme d’âge moyen, le visage marqué par le poids du temps, de l’expérience et du dernier et désastreux combat, tant et si bien que Revan n’aurait même pas pu imaginer à quoi elle ressemblerait en temps de calme et de paix.

- Commandant Revan ! Déclare-t-elle en effectuant le salut militaire. Je suis le capitaine Zolt.

- Êtes-vous au courant du dernier message du Sith, capitaine ? »

Zolt déglutit avant de répondre :

- Oui. Il était adressé à tous les vaisseaux, de sorte que tous les commandants en ont eu connaissance. Mais je ne comprends pas pourquoi ce Sith a fait une chose pareille.

- C’est très simple, explique Revan. Il veut saper le moral des troupes, tout en essayant de diviser la flotte, si un des commandant de vaisseau flanche il pourrait se rendre a l’ennemi sans combattre, et c’est cela que nous devons empêcher.

- Comment allons-nous procéder ?

- Capitaine Zolt vous êtes le commandant du Gardien, je suis sur votre bâtiment, je ne vous donnerais donc pas d’ordre en ce qui concerne votre vaisseau ou votre équipage, sur ce point je vous fais confiance. Mais j’ai pris le commandant de la flotte, et je ne dispose que d’une heure pour montrer aux autres capitaines que c’est moi qui donne les ordres. Une heure pour rassembler une flotte avant qu’elle ne s’éparpille en morceau. Une heure pour organiser une retraite générale. Et j’aurais besoin de toute aide que vous pourrez me procurer.

- Commandant vous comptez battre en retraite ? Demande Zolt d’une voix surprise.

Revan trouva sa réaction étrange.

- Oui je compte battre en retraite, un problème capitaine ?

- Non j’avais cru que le grand… que vous allez lancer une contre attaque contre les Sith.

- Une contre attaque ? Non capitaine, je ne sais pas ce qu’on dit sur moi mais je ne gagne jamais une bataille sans y être préparé. Et je ne le suis pas, cette flotte est décimée et le moral des troupes est au plus bas, lancer une contre offensive c’est du suicide, dans ce genre de situation le repli est la meilleure stratégie qui soit. De plus j’ai promis à l’amiral Olmek de ramener cette flotte saine et sauve chez elle.

- Vous avez raison commandant.

Au son de sa voix, elle paraissait soulagée.

- Convoquez moi les commandants des vaisseaux en salle de conférences. Venez aussi. Ajoute-t-il avec un demi sourire.

Malgré elle, Zolt sourit aussi. Revan de prés était aussi intimidant que beau. Il irradiait une confiance et une présence qui la rendait minuscule. Mais il y avait quelque chose d’effrayant dans ses yeux, une froideur glaciale presque meurtrière, d’après les légendes il avait sombré du coté obscure avant de revenir a la lumière. Zolt voyait très bien les stigmates sur son visage, son expression, son calme effrayant. En le suivant, elle remarqua qu’il se déplaçait comme un prédateur qui chassait dans une jungle, sa aucun bruit de pas. Le regard dans le vide, même sa coupe de cheveux étrange remontait son charisme de plusieurs degrés.

Un troopers, qui se tenait au garde à vous devant l’entrée de la salle de conférence, le salua en le voyant approcher. Le capitaine Zolt avança d’un pas et annonça :

- Tous les capitaines de vaisseaux sont présents, commandant Revan.

- Enchantés.

Bien sûr qu’ils l’étaient. Ils ne savaient pas quoi faire. Mais maintenant ils pouvaient se tourner vers lui. Et Zolt aussi, qui donnait l’impression d’avoir rajeuni de dix ans depuis qu’il lui avait annoncé qu’il exercerait le commandement. Revan entra suivit de Zolt, quand il s’arrêta, lui montra un siège non loin de la porte, puis prit place. Les hologrammes des capitaines les montraient tous assis dans un siège autour de la table ovale. Personne ne parlait et tous le fixaient, à la seule exception du capitaine Zolt qui venait de prendre un siège réel a sa gauche. Revan les regarda sans trahir la moindre émotion, Certains soutenaient son regard en dissimulant leurs pensées, le visage impassible. Le défi se lisait ostensiblement dans les yeux d’un certain nombre d’entre eux, rétifs à reconnaître son autorité. Mais la plupart le fixaient en affichant le désespoir d’un agonisant qui implore la délivrance. Tous, à des degrés divers, semblaient fourbus et soucieux.

- Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis le commandant Revan. En quittant le Gardien l’amiral Olmek m’a désigné pour le remplacer. J’entends assumer mes responsabilités au mieux de mes capacités.

Une Mon Cal lui jeta un regard acerbe.

- L’amiral a-t-il fourni une explication à ce choix ?

Zolt s’attendait à une explosion de colère comme le faisait Olmek d’habitude, mais Revan afficha un sourire et répondit à la Mon Cal comme a une enfant.

- Je n’ai pas pour habitude de demander à des officiers supérieurs de justifier leurs décisions. Cela dit, l’amiral Olmek m’a laissé entendre que j’étais l’officier le plus ancien et le plus haut gradé de cette flotte, et celui aux états de service les plus longs.

La Mon Cal le regarda surprise, ses grands yeux trahissaient facilement ses émotions.

- Les états de services ? Êtes vous sérieux ?

- Souhaitez vous que nous comparions, capitaine… Niathal ? Dit Revan avec son sourire étrange

- Cela n’aurait aucun sens, comme vous devez le savoir.

- Non je n’en sais rien. Réplique-t-il cette fois avec froideur. Si cette flotte se met à chipoter sur l’importance du grade et de l’ancienneté, elle va droit au mur et vous mourrez tous.

Zolt regarda les capitaines, tous restèrent silencieux. Puis le capitaine de l’Orion brisa le silence.

- Seriez-vous entrain de nous dire que vous allez nous apporter le salut ? Nous n’avons qu’une alternative en tant que flotte : mourir en combattant ou nous soumettre et, en mieux connaître l’esclavage et une lente agonie.

- Avez-vous une stratégie a suivre ? Demande Revan en regardant le nom de ce capitaine sur son uniforme. Capitaine Reus ?

- Nous pourrions nous disperser, chacun pour soi.

Cette fois Zolt s’exclama avec véhémence.

- Rompre les rangs ? Fuir chacun de notre coté ?

- Oui. Les vaisseaux les plus lourds et les plus endommagés sont de toute façon condamnés. Il serait stupide de…

- Le mien l’a été parce qu’il a essuyé tout le feu de l’ennemi qui, autrement, aurait été destiné au vôtre ! Et maintenant vous voudriez nous abandonner aux camps de travail des Sith… ? Ajoute un autre commandant en regardant Reus avec colère

- S’il n’y a pas d’autre choix…

- Il suffit !

La voix douce de Revan surprit tout le monde. Tous le regardèrent surpris.

- Cette flotte n’abandonnera aucun vaisseau. Ajout-t-il avec sérénité.

Reus prit la parole.

- Ce n’est pas une décision raisonnée parce que vous n’êtes pas qualifié pour la commander. Et vous le savez. Votre connaissance des armes et des tactiques est complètement dépassée. Vous n’appréhendez absolument pas la situation, ni ici ni chez nous. Vous…

Revan leva une main et le coupa docilement. Zolt enviait son calme, a sa place elle aurait exploser de rage devant l’entêtement de Reus.

- Capitaine Reus je ne suis pas ici pour débattre des questions de commandement avec vous ni aucun des commandants de cette flotte.

- Vous n’êtes pas qualifié pour la commander ! Vous ignorez…

- Je sais au moins que je suis aux commandes sur l’ordre de l’amiral Olmek. Et aussi que, si j’ai besoin d’informations pour appuyer mes ordres, mes subordonnés me les fourniront.

- Je ne suis pas…

- Et que, si vous-même ou un autre commandant vous sentiez incapable de me soutenir correctement ou d’obéir à mes ordres, je vous relèverais de vos fonctions pour vous remplacer par un officier auquel je peux me fier. Et auquel les autres vaisseaux pourront se fier, dois-je l’ajouter ?

Le visage de Reus devint rouge. Et Zolt regarda Revan qui lui souriait toujours comme si il l’incitait à faire cette bêtise.

- Vous sentez-vous incapable de me soutenir correctement, capitaine Reus ? Ajoute Revan en adoptant une expression menaçante.

Reus avala sa salive et répondit avec entêtement, ce type ! Pensa Revan est aussi dangereux pour la flotte que les Sith, une vraie source de discord, il pouvait facilement le tuer en lui provoquant une crise cardiaque, mais il n’en fera rien.

- Trois siècles d’hibernation ne génèrent aucune expérience.

Quelques commandants approuvèrent d’un geste, l’enhardissant visiblement.

- Nous devons nous choisir un commandant en chef sur la base de son aptitude à appréhender la situation présente, et cette aptitude exige une certaine connaissance de l’époque actuelle.

Revan ferma les yeux un moment, oui il pourrait le tuer à cet instant. Mais quelque chose l’en empêcha. En les ouvrant a nouveau il regarda Reus qui se rejeta en arrière comme si on l’avait menacé. A cet instant un homme corpulent prit la parole :

- Le commandant Revan commande la flotte. Fin de la discussion.

Revan grava le nom de cet homme dans sa mémoire. Le capitaine Dax du Léviathan, au nom de ce vaisseau un léger sourire se dessina sur ses lèvres. Puis une femme portant l’uniforme de l’infanterie prit la parole, le colonel Holan avait dû hériter de son commandement quand le général du corps des troopers la flotte était mort avec les autres officiers supérieurs.

- Nous avons fait le serment d’obéir à nos supérieurs et de défendre la république. L’infanterie regarde le maître Revan comme son commandant en chef en vertu du règlement de la flotte de la république.

Un autre commandant de vaisseau – une femelle Zabrak – déclara avec gravité.

- Si Revan en personne ne peut pas nous sortir de là qui le pourra ?

Revan découvrit qu’elle venait de parler a voix haute ce que d’autres pensaient tout bas. Il les regarda tous et parla d’une voix assurée.

- On va s’en sortir.