voila!vous vous trouvez dans la forêt!cette forêt sombre...est dangeureuse... surtout la nuit!alors faites trés attention a vous!

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Prologue :

Dans une des nombreuses galaxies de l’univers, un nouveau système solaire s’était créer. Ce système, nommé Gamma, comportait sept planètes. Chacune gravitait en orbite autour d’un immense soleil, dont l’éclat était visible de loin dans la galaxie.
Ce groupe d’étoile avait quelque chose de particulier. Quelque chose qui le différenciait des autres milliers d’étoiles qui peuple l’univers.
L´histoire qui va être contée, commence sur la planète la plus éloignée du soleil, la première des sept. Planète plutôt paisible, où la technologie avait cédé la place a la nature. Ou le monde était resté à son état originel.
La dernière guerre sur la planète remontait à si longtemps que plus personne ne s’en rappelait.
Cependant, les marques d’une société implantée ici ressortaient de suite.
Il n’y avait aucune ville, mais de sorte de grand village fort espacé géographiquement les un des autres. De vaste forêt couvrait le reste a perte de vue.
Perdu dans la verdure impressionnante de cette planète, à peine visible a quelque centaine de mètre a la ronde, une fumée épaisse s’échappait de la montagne.
En se rapprochant, on pouvait observer une petite communauté de personne qui avait pris place a cet endroit.
Leurs habitats ressemblaient à de grandes tentes faites en toile sous lesquelles il avait tous arrangé une sorte de résidence assez primaire.
Au milieu de ce petit village brûlait un grand feu, les enfants dansaient tout en tournant autour alors que les plus âgés discutaient, assis tout près de celui ci…

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Chapitre 1 : Pendentif retrouvé.

Dans un petit village perché sur la montagne, tous les habitants étaient réunis autour d’un feu assez impressionnant. Bien que chaque jour un feu brûle au milieu du village, celui-ci était bien plus imposant que d’habitude, et l’ambiance qu’il dégageait ainsi que le fait de voir tous les habitants du village sans exception autour de celui-ci, donnait une impression d’importance a cette journée.
D’ailleurs cette journée touchait a sa fin, le soleil avait commencé à se coucher il y a quelque minute et les étoiles prirent bientôt leur rôle de donneuse de lumière.
-Dis grand père...Je n’ai toujours pas compris ce qui avait de si important aujourd’hui…
Un jeune homme d’une vingtaine d’année se tenait debout accoudé contre un arbre derrière un vieillard qui contemplait le feu sans bouger d’un millimètre.
Il portait sur son dos une épée qui semblait assez lourde.
-Chocobo c’est toi…Il me semblait pourtant te l’avoir dit…Peu importe, tu ne devais sûrement pas m’écouter, et penser à ton entraînement, comme toujours…
-Désolé…
-Ce n’est pas grave, mais je n’ai jamais compris pourquoi tu t’entraînais à devenir si fort…assied toi je vais te raconter.

Le jeune garçon pris place a coté du vieillard, s’allongea sur le sol et plongea son regard dans les étoiles. Il n’était pas bien grand pour son age, un mètre septante cinq, tout au plus.
Son survêtement blanc a longue manche était assez large, et un short noir, large et souple également, lui retombait sur les genoux.
-Tu vois cette planète ?
Il plongea son regard dans les cieux, et se mit à contempler la planète qui leur faisait face.
Il avait les yeux d’un bleu azur qui semblait pouvoir transpercer n’importe quoi…
Ses cheveux châtains dansaient dans le vent, alors que ses pensées étaient rivées sur ce qu’il regardait avec tant d’attention.
-Et bien c’est une des sept planètes que compte ce système solaire…Tout les 20 ans, les planètes sont en alignement parfait…Et nous célébrons ce jours depuis que notre communauté existe…
-Dis grand père…Connais-tu d’autre système solaire que le notre ?
Le vieillard émit un léger soufflement, moitié amusé, moitié blasé.
-C’est ça ton problème, tu veux comprendre ce qui est lointain avant de comprendre ce qui t’entour…
-Je ne comprends pas…
-Ce n’est rien…Mais aujourd’hui est un jour important, et tu devrais au moins savoir pourquoi…
-Oui j’ai bien compris mais qui a t’il d’important dans l’alignement des planète ?
Le vieil homme tourna la tête vers Chocobo pour la première fois depuis le début de la discutions.
-Ca c’est une bonne question…Hé bien je dirais que ce jours est important pour moi car je suis un brin mystique…Comment te dire…
L’homme plongea lui aussi son regard dans les étoiles…
-Disons que depuis de nombreuse année, j’ai un espèce de pressentiment…Comme si quelque chose allais ce passé…Et j’ai l’intime conviction que si quelque chose devait arriver, ça serai le jour ou les sept planète étaient en alignement…J’ai longuement regardé le ciel il y a 20ans…mais rien ne c’est passé…ou tout du moins je n’ai rien remarqué.
-Tu sais grand-père…je t’ai toujours trouvé très bizarre mais tu m’étonne chaque jours de plus en plus… Répondit le jeune homme l´air perplexe.
Le vieil homme se mit à rire de bon cœur et Chocobo commença à rire également.
Les deux hommes étaient maintenant allongé tout les deux sur le sol et contemplait ensemble cette planète si belle qui était la plus proche de la leur.

En effet, cette planète donnait une lumière assez tamisée, mais avait un éclat remarquable.
Tous ce qu’ils savaient sur la planète qu’ils fixaient avec tant d’insistance c’est qu’elle était probablement remplie de glace…
D’ailleurs c’est quelque chose que le grand père de Chocobo n’avait jamais pu expliquer.
La planète sur laquelle il se trouvait était plus éloignée du soleil mais sa température était plus chaude…Alors qu’en toute logique, le contraire aurait du s´imposer.
Chocobo et son grand père était entrain de rêvasser tout deux a toute sorte de théorie sur ce qui les entouraient, sans un mot, comme d’habitude.
Mais a ce moment la, ils purent observer tous deux un spectacle auquel ils n’étaient pas habitués…
-Haaaaaaaaa….!!!
A une vingtaine de mètre du village, quelque chose venait d’atterrir.
Tout ce que Chocobo avait pu voir c’est comme une ouverture dans le ciel de couleur bleu foncé, comme si l’air s’était désintégré à cet endroit précis, pour faire apparaître quelque chose.
Arrivé à quelque mètre de l’impact, il aperçu un jeune homme de son age se relever péniblement.

-Pff…Il aurait pu venir lui-même…
-Ca va ? ?
Le jeune homme fixa Chocobo dans les yeux.
Il portait des vêtements très serrant, qui semblait protéger particulièrement efficacement contre le froid. Ses deux yeux bruns dissimulaient une malice visible au premier coup d’œil.
-Je suppose que tu es Chocobo vu ton regard ça ne fais aucun doute…
-Hein ? ! Qui es-tu ?
-Et bien je m’appelle Sangoka et je suis venu te donner ça !
Sangoka lanca a Chocobo une sorte de pendentif.
-Que veux-tu que je fasse avec ça ?
-Il ma dit de te dire de le mettre au cou…
-Qui ça « il » ?
-Navea, le roi de la planète Asgar…
A l’évocation de se nom, Chocobo eu comme une drôle d’impression…L’impression de connaître ce nom sans savoir mettre une image dessus…
Il mit le collier autour de son cou.

-HA ! !!
Il tomba a terre et fut secoué par de violent flash.
Toute sorte de chose s’imposait alors littéralement a sa vue.
Les images qu’il avait aperçu durant ce flash étaient assez violente, et tournée principalement vers la destruction.
Il voyait deux enfants joués dans une forêt, l’un courait après l’autre et il semblait parfaitement heureux, puis…Soudain des images de destruction assez forte, des explosions et des guerres qui faisait des ravages…Puis il entra comme dans un couloir obscur et au bout se trouvait un homme…
-Oh Chocobo ! !!
Le grand-père de Chocobo l’aida à se relever, et il regarda directement Sangoka avec un air interrogateur.
-C’était quoi ça ? !
-Ecoute…Je n’ai aucune idée de l’effet que te ferai le pendentif j’avais juste ordre de te l’amener et de te le faire mettre autour du cou…Et plus important je ne devais en aucun cas perdre se pendentif avant qu’il soit en ta possession…
-Je vois et pourquoi me donné ce pendentif a moi… ?
-Il a dit qu’il suffirait que je reparte comme j’était venu pour que tu me suive…Je crois qu’il aimerait te voir. Répondis simplement Sangoka.
-…Navea ?
Chocobo ne connaissait aucun homme qui portait ce nom mais pourtant il lui semblait familier…
-Oui.
-Qui est-il exactement ?
-C’est un homme de ton age, qui est roi de la planète Asgar qu’on peut voir d’ici…
Les deux hommes plongèrent leur regard vers Asgar.
-Bon…je ne vais pas m’éterniser ici il m’a demandé de ne pas traîner et je n’ai pas envie de le faire attendre…Ce n’est pas que je me soucie de savoir ce qu’il peut bien te vouloir mais il a horreur d’attendre et je préfère ne pas le mettre en colère…Alors tu me suis ou tu reste la, moi, j’y vais !

Le jeune garçon tombé semblait décidé du ciel, a y retourner, et s´enfonça dans la forêt.

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Chapitre 14: Attaque inattendue.

Debout depuis déjà une bonne heure, Chocobo regardait le soleil illuminé la ville par le balcon de la chambre. Les levés et couchés de soleil lui avait toujours procuré une joie intense. Cependant, malgré la beauté apposée a sa vue, ses pensées n´en restaient pas moins ternes. Il repensait souvent, depuis le début de ce voyage, au flash ressentit lors de la prise du pendentif de Navea, la première fois, lors de la venue de Sangoka sur sa planète.
Toutes ces images imposées de force à son esprit. Des images de joie, suivit d´une destruction inimaginable, et puis… Un homme. Cet homme, c´était Jo, Chocobo en était maintenant persuadé.
Sangoka? Qu´était-il devenu? Il ne l´avait pas tué, il en était presque sur. Cependant, ou pouvait-il être?
Mais une autre question le taraudait toujours autant, voir plus encore.
Pourquoi se battait-il, pour qui?
Son grand-père? Lui?
Autre chose…?

-Oyo… Les autres sont réveillés.
La voix d´Hiro le sortit de ses songes. Il tourna son regard vers le samouraï, qui derrière son long foulard, lui intima de descendre, d´un regard assez distant. Les deux jeunes garçons rejoignirent Navea et Chaoz, tous deux assis à une des nombreuses tables de l´auberge. Celui-ci avait d´ailleurs la mine légèrement déconfite. Le jeune garçon n´était probablement pas du matin. Le roi d´Asgar, quand a lui, n´attendit pas qu´on lui pose la question, et annonça de suite:
-Je sais que ma théorie est encore assez floue, mais allons faire un tour en ville.
-C´est ça ton plan pour trouver l´homme qu´on cherche? Faire un tour en ville? Questionna Chocobo, l´air douteux.
-Allons-y, nous aurons peut-être de la chance… Répondit Navea en se levant.
-La chance… N´existe pas… Murmura Hiro, avant de se lever également.

Sur ce, les quatre comparses quittèrent donc l´auberge en direction du centre de la ville. Cette cité était résolument surdimensionnée, et chaque rue semblait débouché sur d´autre, et encore sur d´autre, et ça à l´infini. Les passants circulaient en tous sens, par milliers. Une véritable fourmilière humaine se pressait devant leurs yeux.
-Hé bah, je sais pas ce qu´on cherche exactement, mais je suis content de pas devoir réellement…chercher justement. Dis Chocobo en avançant nonchalamment.
-C´est vrai que cette ville a l´air immense… Vers ou allons nous aller? Demanda Chaoz, dont le regard dévorait chaque parcelle de cette cité hors-norme.
-Allons vers cette place, la bas… Répondit Navea en désignant du doigt une place gigantesque, situé à une cinquantaine de mètres de leur position.
Une fontaine projetait des jets d´eau a une hauteur impressionnante, et de nombreux enfants jouaient à s´asperger autour de celle-ci. Une dizaine de banc, situé de part et d´autre de la place, étaient occupés par toutes sortes de gens. Décidément, cette ville semblait on ne peux plus normal…

Bien loin de la, dans le palais du démon, l´agitation avait prit possession des lieux. L´antre du mal venait d´être attaqué de front, et cela par un seul homme. Cet individu se tenait devant les deux imposants battants de porte de la forteresse. De nombreux soldats gisaient à ses cotés. Sans même faire usage d´une arme, il avait décimé une quinzaine de garde. Toute la garnison qui protégeait l´entrée, pour être exact.
-Jo!!! Je viens mettre un terme a ta folie!
L´homme tandis la paume de la main fermement en direction de la porte. De l´énergie d´une blancheur pure, parsemée de traînées colorées, ne tarda pas à s´agiter au creux de sa main. Il la projeta subitement vers sa cible, qui explosa littéralement en mille morceaux.
L´individu portait une sorte de longue toge, entièrement blanche, et un large capuchon empêchait de distinguer correctement ses traits.
Shuyine pénétra à l´intérieur du château.

Dans le laboratoire de Chapado, le vacarme résonna juste quand celui-ci venait de finir ses réparations. Le corps de Snebull, allongé sur la table d´opération, reprenait vie. Son bras droit était maintenant entièrement métallique. Quand a son corps, hormis le visage, la chaleur de l´humanité avait cédé sa place, en majeur partie tout du moins, à la froideur du métal.
-Chapado! Nous sommes attaqués! Cria un homme en ouvrant la porte d´un geste brusque, sans même prendre la peine de toquer.
Le scientifique tourna doucement la tête vers son interlocuteur, son visage plain de vice s´illumina et un rictus abominable parcourait maintenant ses lèvres.
-Va prévenir Jo que Snebull vient juste d´être remit sur pieds…
L´homme quitta la pièce a toute enjambée. Chapado se tourna alors vers Snebull, qui reprenait peu à peu connaissance.
- Cette fois ci, je ne me suis pas contenter de réparer les dégâts, je t´ai doté de quelques petites améliorations…

Il bougea son bras sans aucune difficulté, et regarda le scientifique en attende d´une explication. Le souvenir de son bras droit laminé par les attaques à répétitions était encore frais dans son esprit. Il avait une fois de plus frôlé la mort, et son bras droit y était resté…
-J´ai relié tes nerfs aux commandes de ce bras, que j´ai conçu, tu verras, c´est un bras puissant, très puissant, tu me remercieras après l´avoir essayé…
Il se leva, et sortit de la pièce sans un regard pour le scientifique, qui lui, le fixait intensément. Son bras lui faisait encore légèrement mal, mais rien de bien important. Pour une fois, même lui était forcé de reconnaître que ce sadique de Chapado avait fait du bon boulot… Ces deux garçons l´avait salement amoché. Il aurait sa revanche, mais pour l´instant, un ennemi semblait mettre à mal les guerriers de Jo. Pour mettre à mal ce genre de soldat si facilement, il fallait forcément être balèze, et il le savait.
Marchant vers l´entrée, son énorme sabre en main, il comptait bien s´en occuper.
Il n´allait pas être déçu…

Sur la cinquième planète, nos quatre amis se trouvaient donc aux abords de la fontaine au centre de la place. Les enfants furent de suite attirés quand Navea laissa couler lentement sa chaîne le long de ses avants bras.
-Ouhaaaa… Elle est belle ta chaîne, monsieur!
Des nombreux gosses tournaient autour du roi d´Asgar, examinant la chaîne, complètement fasciné. Celui-ci sourit, puis proposa un étrange pari aux gamins. Il leur annonça que si l´un d´eux arrivait à lui raconter l´histoire la plus impressionnante qu´il ait entendu sur cette cité, une pièce d´or récompenserait le vainqueur. Pour appuyer ses dires, il fit voltiger une grosse pièce jaune, qu´il rattrapa au vol.
Les gamins, de plus en plus enthousiastes, s´époumonaient à narrer les histoires les plus invraisemblables. Chaoz et Chocobo regardaient la scène sans comprendre, quand l´un des gamins éleva la voix plus fortement, intimant aux autres de se taire.
-C´est faux! Vous mentez tous… Moi je connais une histoire sur cette cité… Mais après tous ça, elle n´a plus aucun intérêt…
-Mais si, va-y, je t´écoute! L´encouragea Navea.

Le gosse, qui arrivait presque a la taille de la plupart de ses camarades, avait un air farouche, et une sorte de sincérité apparente dans le regard. Navea le remarqua de suite, et sourit en coin, l´air déjà satisfait. Le gamin lui raconta, que dans les bois qui entourent cette cité, un magicien très puissant avait construit une demeure. Un homme mystérieux, et qui avait de drôle de pouvoirs. Voila comment l´enfant présenta l´inconnu.
-Cet homme m´a fais peur, alors je suis partit, mais je ne crois pas qu´il soit méchant…
-Tu es parti parce que tu avais la trouille!!! Cria un des garçons plus grand dans son oreille.
-Quoi qu´il en soit, cette histoire me plaît! Tiens, tu as gagné la pièce d´or.
Navea donna la pièce d´or au gosse, devant les yeux dépités des autres rejetons. Chocobo et Chaoz, incrédule, ne comprenaient pas le moins du monde ce que Navea venait de faire. Et pourtant, c´était simple comme bonjour. Les enfants sont bavards, poussés les à parler, et vous saurez tous ce que vous désirés.
Le roi d´Asgar l´expliqua aux autres, et malgré les réticences de Chocobo, tous les quatre se dirigèrent vers la forêt qui bordait la ville presque de part en part.

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03H25
Parc national de Yellow Stone.
Wyoming, Etats-unis d´Amérique.

Dans son labo, quelque part dans l´énorme caldeira de Yellow Stone, Firtz Heichman, volcanologue renommé, regarde son écran d´ordinateur avec des yeux exorbités. Les informations défilant devant lui, incompréhensible pour le commun des mortels, laissaient présager le pire.
-Bon dieu de bon sang…
Après avoir pianoté encore quelques minutes sur l´énorme console du laboratoire, il décrocha son téléphone d´un geste précipité. Malgré la température plus que supportable, de grosses gouttes de sueur commençaient à perler sur le haut de son front. Ses mains, habituellement si précises, tremblaient en tripotant ardemment le câble téléphonique. Une voix se fit enfin entendre à l´autre bout du fil, fatiguée, la personne en question venait plus que probablement de se faire réveiller.
-Hum…
-Denzel? C´est Firtz, réveille-toi, et viens ici le plus vite possible…
-Firtz…Mais…
La communication venait de couper. L´homme, sortit brusquement de ses songes les plus profonds, attrapa son téléphone pour vérifier la provenance de l´appel. Il venait bien de Yellow Stone. Il regarda l´heure, et son visage changea du tout au tout. Son air endormit se dissipa à une vitesse prodigieuse, pour laisser place à des yeux vifs et avisés. Sans chercher à en savoir plus, il sauta dans son véhicule, et roula à toute allure, droit vers le parc national de Yellow Stone…

03H40
Appartement 216.
Los Angeles, Californie.

Comme toutes les nuits, devant son écran d´ordinateur, il programme, consulte toutes sortes de sites scientifiques, fume cigarette sur cigarette. Malgré l´heure, ce jeune homme de vingt-cinq ans semble plus que réveillé. Un café a la main droite, une clope dans celle de gauche, Say vient de s´accorder une petite pause, les pieds posés sur un bureau qui paraissait avoir subit une guerre nucléaire…
Un fouillis inimaginable trônait sur celui-ci, fait de tout et de rien. Les yeux rivés au plafond, il songeait précisément a ce qui allait lui faire tomber son café. L´écran de l´ordinateur clignota étrangement, clignotement suivit d´un bruit bien particulier.
Son café tomba, et ses yeux ne se détachèrent plus de l´écran. Il se rua sur le clavier, ouvrit quelques fenêtres, afficha quelques illustrations quelconques, puis il se figea, impuissant l´espace d´une seconde face aux événements.
-Alors ça y est… Yellow Stone va rentrer en éruption…
D´un pas pressé, il sortit de son appartement, se mit au volant de sa voiture, et commença sa traversée. La Californie, le Nevada, l´Utah, le Wyoming, peu importe le nombre de kilomètre à parcourir, peu importe le nombre d´états à franchir, pour rien au monde il n´aurait raté ça…

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Syrius: le monde parallèle.

1. Présentation:

L´histoire qui va être contée sur ces pages, se déroule dans un monde extraordinaire et particulièrement singulier. Un monde ou l´astre solaire brille en permanence. Un monde ou la température ambiante n’excède jamais les trente degrés, et ne descend jamais en dessous des quinze, de nuit comme de jour. Un monde ou la végétation luxuriante donne naissance à des forêts a la fois merveilleuses et apocalyptiques. Un monde remplit de montagnes immenses, d´océans insondables. Un monde ou se côtoie multitudes de races de toute sorte.

Oui, l´histoire que je m´apprête à vous décrire ici, se déroule dans un monde magique.
De tout les termes utilisables pour le qualifier, c´est celui la qui s´impose presque de force à mon esprit; magique. Effectivement, si quelque chose dirige ce monde, ce n´est point une race, ou une quelconque entité supérieure. La seule chose qui règne en maître absolu, sur l´ensemble de ces terres, c´est la magie.

Terme bien curieux, je vous l´accorde, et dont le sens échappe à la grande majorité des gens.
Tout d´abord, ce monde porte un nom. Un nom a la hauteur de sa grandeur:
Syrius.
Comme cité plus haut, à Syrius, seul la magie règne. C´est donc logiquement grâce -ou a cause tout dépend du point de vue- à elle que j´ai aujourd´hui l´occasion de vous narrer ce récit.

Dans le fond, tout a commencé assez bêtement. A quelque minute près, jamais je n´aurais ne serais-ce qu´entraperçus les merveilles que cache Syrius. Les merveilles, et les cauchemars… C´est logique, je l´ai finalement compris. Le mal est indissociable du bien. Comme le blanc du noir, l´été de l´hiver… Tous ça forment un tout inséparable, inévitable. C´est l´équilibre qui régis tout monde ou la vie abonde.

Maintenant, si le cœur vous en dit, pénétrés dans les entrailles de ce monde tant féerique que terrifiant…

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Chapitre 20: Les enseignements de Shuyine.

L´endroit était calme, blanc, et relativement grand. Tout du moins, c´était l´impression qui s´en dégageait, car aucun mur, aucune surface plane, excepté celle du sol, n´apparaissait à leurs yeux encore peu habitués à cet environnement si particulier.
-Bienvenue chez moi… Proclama Shuyine de sa voix neutre.
Nos six compagnons promenaient leurs regards un peu partout, en ayant l´impression de ne rien voir d´autre que cette blancheur insolente. Seul le roi d´Asgar semblait plus distant, voir même renfermé sur lui-même. Shuyine ne tarda pas à le remarquer, et lui adressa la parole.
-Un problème, Navea?
L´intéressé daigna lever les yeux après quelques secondes, lançant à son interlocuteur un regard empli de défiance.
-Ouais… Y´a un problème… Se contenta-t-il de répondre.
-Je t´écoute.
-Vous savez très bien de quoi je parle…
La tension venait de monter d´un coup, prenant tout le monde de court. Navea affichait rarement ce genre de comportement. Le fait qu´on l´ait arrêté en plein combat ne lui allait manifestement pas. Il était convaincu que son combat contre Snebull aurait irrémédiablement tourné en sa faveur.
-Approche. Se contenta de dire Shuyine.

- …
-Tu as bien compris, viens te battre. Poursuivis celui-ci, sur un ton provocateur.
Le roi d´Asgar ne tarda pas à céder, et sa chaîne commença à se rouler et se dérouler tout autour de lui. Son aura surdimensionnée refit surface, et il semblait soudainement aussi puissant que lors de sa confrontation avec Snebull. Le maître des lieux rigola légèrement, et jeta son katana au sol, intima à Navea de l´attaquer de suite.
La chaîne partit comme une flèche d´argent, à une vitesse inimaginable.
Nos cinq compagnons, qui regardait la scène sans trop comprendre, furent encore plus surpris quand il observèrent Shuyine. Celui-ci tenait fermement l´extrémité de la chaîne au creux de sa paume. D´un geste souple, il tira cette dernière à lui, emmenant son propriétaire dans un balai aérien peu réjouissant.
A peine retombé au sol, le jeune garçon se releva vivement, et repris une position offensive, concentrant tout son pouvoir dans sa chaîne. Il lança celle-ci avec frénésie vers l´adversaire, qui l´évita sans aucune difficulté, malgré la célérité des attaques à répétition.
-Alors… C´est avec ça que tu comptais gagner? Continua de provoquer Shuyine.
Pour la première fois, l´homme en blanc passa à l´attaque.
Sans arme, il esquiva malgré tout avec une facilité déconcertante la chaîne qui se déchaînait dans les airs. En un instant, il venait d´arriver à hauteur de Navea. Ses poings se détendirent, et d´un enchaînement d´une précision rare, il envoya le roi d´Asgar au sol, sans aucune réplique possible.

Le combat fut donc de courte durée.
Navea leva les yeux, et pu voir la main droite de Shuyine tendue dans sa direction. Il la saisit, et se remit debout. Le mécontentement avait définitivement disparu de son regard, et il comprit de suite le pourquoi de ce combat.
-Je vois que tu as compris… Passons directement à l´essentiel alors, nous n´avons que peu de temps… Fit remarquer Shuyine, ramassant son Katana.
Chocobo s´avança, et prit la parole.
-Pourquoi nous avoir emmenés ici?
-Votre détermination fait plaisir à voir, mais vous n´êtes pas encore assez puissant pour défier vos ennemis, voilà la raison de votre venue ici…
-Et on est ou, ici? Demanda Chaoz, qui venait de se mettre à la hauteur de Chocobo.
-Et qui êtes-vous? Renchérit Woodoo, s´avançant également.
Le maître des lieux sourit légèrement à nouveau, comme si ces questions avaient pour lui un goût de déjà vu. Il abaissa sa capuche, et tourna le dos à nos six comparses. Son katana traça un arc de cercle dans le vide, qui forma une traînée verdâtre dans le néant. Ce cercle de lumière ne tarda pas à se changer en une sorte de portail sidéral. Complètement différent de ceux qu´ils avaient vus auparavant, la faille produit un souffle cosmique qui envahit l´endroit étrange ou ils venaient d´atterrir.

Une créature humanoïde en sortit après quelques secondes, semblant étonné d´être-la.
D´une blancheur cadavérique, sa peau à nu laissait entrevoir de nombreux signes cabalistiques plus complexe les un que les autres. Ses yeux, dont la pupille était jaune et l´iris blanc, virent enfin se poser sur Shuyine.
-Pourquoi m´as-tu donc appelé? Demanda l´individu, d´une voix plutôt insolite.
-Si je ne me trompe, tu n´as rien contre un petit dérouillage, non? Lança Shuyine en désignant nos six amis de l´index.
La créature humanoïde, qui n´était résolument pas un homme, se tourna vers nos compagnons. Son regard brillait d´une étincelle de folie, mêlée à une puissance sans bornes. L´individu asexué affichait maintenant un rictus carnassier.
-Effectivement, ça pourrait me distraire…
L´homme en blanc remit sa capuche en place, et se retourna vers Navea, qui devançait ses compagnons de quelques mètres. Il semblait sérieux, et indiqua à son étrange hôte de passer à l´action. Celui-ci ne se fit pas prier. Il joignit ses deux mains l´une contre l´autre. Formant un signe étrange, elles furent entourées de lumière après quelques secondes.
La créature divisa son corps en six parties distinctes, qui reprirent tout doucement forme. Les différents morceaux s´étaient maintenant reconstitué pour créer cinq nouvelles créatures humanoïdes, identiques en tous points de vues à la première.

-C´est quoi, cette technique? Demanda Woodoo en s´adressant à Shuyine.
-Cela importe peu. Rétorqua simplement celui-ci. Je ne vais pas vous faire un dessin, la situation va très vite être assez claire.
Les six copies conformes bougèrent comme un seul homme, se plaçant toutes face à face avec l´un de nos six compères. Bien que divisé, elle dégageait chacune une puissance phénoménale, et une envie de combattre peu commune.
-Va-y, Darku! Et donne en toi à cœur joie!
Les copies éparpillèrent chacun des protagonistes bien loin de leur point d´origine. Sans pouvoir réagir, ceux-ci se rendirent compte de la situation; ils allaient devoir combattre. Combattre pour gagner de la puissance. Combattre car s´ils n´étaient pas capables de gagner ici, alors tout cela n´aura servit à rien.

coooooooooooooooooooooooooooooool

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"L´abime attire l´abime"

Il fait sale. Dans cette cave froide et poisseuse, il fait très sale, comme dans toutes cave digne de ce nom, d´ailleurs. Ce n´est pas tant la saleté en elle même qui le dérangeait, mais bien les différents hôtes peuplant ce lieux peu acceuillant. Cet Endroit grouillait de bestioles toutes plus répugnante les une que les autres. Du gros rat vivace à la petite blatte rampant sur le sol, la cave "vivait" littéralement.
Bien sur, il avait essayé de crier sa stupeur, son dégout, son étonnement, en vain. L´horreur avait commencé la, quant-il s´était appercu de l´absence total de cette possibilité. Un masque de fer, recouvrant la partie inférieur de son faciès, l´en empechait. Sa bouche, obstruée par une sorte d´embout en caoutchouc, était dans l´incapacité de produire quelques sons audibles.
Bien sur, il avait tenté de fuir. La seule source de lumière était un carreau brisé, semblant donné directement sur l´extérieur, mais bien trop étroit pour pouvoir espérer s´y glisser. L´autre issue, une porte en métal-cadennasée-, se situait au sommet d´une série d´escalier taillé dans la pierre.
Il s´acharna donc sur cette maudite porte. Il l´agressa jusqu´à ce que ses poings ne lui permettent plus de continuer. C´est dépité et sans espoir, que la première idée fatal germa dans son esprit. La sentation suivit, sous forme de crampe au niveau du bas ventre. Cette première idée fixe, c´était la f(a)im. Dans cette cave, pour la première fois de sa misérable existence, il se rendit compte d´une chose éssentiel; si l´ont restait sans nourriture trop longtemps, l´ont crevait, comme un vulgaire chien.
L´idée suivante était déja ammorcée; la mort.
Pour la première fois, ses nerfs craquèrent. Tombant à genoux, il fondit en larme, comme un pauvre petit chialeur. La précarité de la vie-de sa vie- venait de lui éclater devant les yeux, comme un feu d´artifice illumine un ciel sombre. Il dut retenir un cri de rage, qui de toute facon, ne serait pas sortit.
C´est à ce moment la, à genoux au milieu d´un endroit crasseux, que son psychisme commencer à changer. C´est donc également à ce moment la qu´il se décida pour rentrer en scène.

Temps passé dans la cave: 20 heures.

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Une idée noire

"L´abîme attire l´abîme"

Il fait sale. Dans cette cave froide et poisseuse, il fait très sale, comme dans toute cave digne de ce nom d´ailleurs. Ce n´est pas tant la saleté en elle-même qui le dérangeait, mais bien les différents hôtes peuplant ce lieu peu acceuillant. Cet Endroit grouillait de bestioles toutes plus répugnantes les unes que les autres. Du gros rat vivace à la petite blatte rampant sur le sol, la cave "vivait" littéralement.

Bien sûr, il avait essayé de crier sa stupeur, son dégout, son étonnement, en vain. L´horreur avait commencé la, quand il s´était apperçu de l´absence totale de cette possibilité. Un masque de fer, recouvrant la partie inférieure de son faciès, l´en empêchait. Sa bouche, obstruée par une sorte d´embout en caoutchouc, était dans l´incapacité de produire quelques sons audibles.

Bien sur, il avait tenté de fuir. La seule source de lumière était un carreau brisé, semblant donné directement sur l´extérieur, mais bien trop étroit pour pouvoir espérer s´y glisser. L´autre issue, une porte en métal-cadennasée-, se situait au sommet d´une série d´escalier taillé dans la pierre.

Il s´acharna donc sur cette maudite porte. Il l´agressa jusqu´à ce que ses poings ne lui permettent plus de continuer. C´est dépité et sans espoir, que la première idée fatale germa dans son esprit. La sentation suivit, sous forme de crampe au niveau du bas ventre. Cette première idée fixe, c´était la faim. Dans cette cave, pour la première fois de sa misérable existence, il se rendit compte d´une chose essentielle; si l´on restait sans nourriture trop longtemps,on crevait, comme un vulgaire chien.
L´idée suivante était déja ammorcée : la mort.

Pour la première fois, ses nerfs craquèrent. Tombant à genoux, il fondit en larme, comme un pauvre petit chialeur. La précarité de la vie, de sa vie, venait de lui éclater devant les yeux, comme un feu d´artifice illumine un ciel sombre. Il dut retenir un cri de rage, qui de toute facon, ne serait pas sortit.
C´est à ce moment la, à genoux au milieu d´un endroit crasseux, que son psychisme commença à changer. C´est donc également à ce moment-là qu´il se décida pour rentrer en scène.

Temps passé dans la cave: 20 heures.