A quoi sert la souffrance ? Quels sont ses mécanismes ? Comment ne plus souffrir ?
Je suis sur que beaucoup d'entre vous se posent la question "pourquoi souffrir ?". Je me suis moi même posé la question comme tout à chacun. J'ai trouvé ma réponse, je vous la partage en espérant que cela pourra aider certains à trouver la leur.
Il existe 2 formes de souffrances, la souffrance physique et la souffrance morale. J'ai été malade, des maladies communes, quelques accidents mineurs aussi, os brisés… mais rien de grave. La pire souffrance que j'ai connue était une souffrance morale. Je l'ai traîné pendant des années.
Pendant cette période je suis passé par tous les états, dépression, envie de suicide, perte de confiance en moi…
J'ai essayé de me faire aider au début, consultation de psy, prise de médicaments, parler a des amis. Pas une once de ces méthodes ne m'a apporté de résultats. Très vite j'ai arrêté le psy et les médicaments, j'ai fini par ne plus en parler aussi a mes amis car je sentais bien que je les saoulaient, surtout après plusieurs années ou ils ne voyaient en moi aucune évolution. Cette souffrance étant invisible, elle ne trouve pas l'écho qu'une souffrance physique visible pourrait trouver. J'ai vécu donc longtemps seul avec ma souffrance, cherchant les réponses sans les trouver…
Et un jour j'ai compris.
http://stopmensonges.com/quoi-sert-la-souffrance/
T'as compris quoi ? Car on peut pas accéder à ton site louche
On souffre pour le plaisir
Comme dit dans un précédent topic "Pas de création sans souffrances" mais moi j'aime bien dire "one ne fait d'omelette sans casser des oeux" , le principe d'équivalence s'applique pour à peu près tout.
Après quand tu te cognes le gros orteil dans le pied du lit c'est autre chose même si ça peu t'apprendre à être plus prudent.
Dans le journal l'1nvisible un prêtre évoquait le fait qu'on ne pouvait pas avancer sans souffrance et que c'est l'after-souffrance qu'on en tire une leçon.
j'aurai illustrer avec la sodomie et la fissure anale ou la crise d’hémorroïde, mais soit
certains diront qu'a part la souffrance, tout est mis en scène (ce qui ne veut pas dire qu'on ne peut pas mettre en scène la souffrance des autres dans certains cas)
Le site remarche
Si je peux me permettre l'auteur confond souffrance et douleur, qu'ils apparentent respectivement à la souffrance morale et à la souffrance physique.
Mais sinon c'est globalement inexacte et inutile, enfin, ça dépend surtout des personnes, certaines auront besoin d'une sorte de gourou qui va absolument tout leur expliquer et qui vont se conformer à ses prêches, tandis que d'autre vont plus user de l'introspection pour trouver arriver à se connaître et à pallier à ses faiblesses.
Mais sinon, j'en profite sur ce topic en espérant que beaucoup le lisent, mais on est un forum philo nan ?! Et pourtant, sur le peu de sujet réellement philosophique on retrouve majoritairement des philosophes modernes, et des créteurs de concepts, où sont passés nos sages antiques qui utilisait la définition étymologique de la philosophie, à savoir l'étude de la sagesse. Pour eux, la sagesse est seule garante du bonheur (de l'eudaimonia pour être précis, parceque la définition usuel du bonheur n'est plus tout à fait exact).
Donc en partant de là, trouver votre chemin, eudémonisme ou hédonisme, lisez les philosophes qui vous donneront les clefs de la sagesse et qui appuieront sur vos faiblesses pour comprendre par où commence le bonheur.
Personnellement je suis plutôt adepte du stoïcisme, et le plus simple pour commencer sur cette école très enrichissante c'est avec Sénèque, ses bouquins sont accessibles et peu chère (enfin ils sont accessibles par la longueur, mais peut être pas par le logos).
Pour faire court, il faut toujours relativiser, chercher l'objectivité et la raison, ne pas laisser ses émotions envahir son jugement, de là, on peut commencer la maîtrise de soi et ne plus se laisser aller dans états mauvais et néfastes comme la colère ou la peur.
Oui, je résume ça en 2 phrases
Sana souffrance, tu ne savoures pas le bonheur.
La souffrance te forme une réalité qui se distingue de l'idéalisme du bien-être absolu et imaginaire.
Sans souffrance, tu ne savoure pas le bonheur dis tu ? Dans notre vie nous sommes au moins une fois amené à souffrir, donc je t'accorde le fait que pour pouvoir comprendre le plaisir il faut comprendre la douleur.
Mais souffrance et bonheur sont autre chose, la souffrance résulte de mauvais choix résultant eux même de vice. Le bonheur résulte de bon choix résultant eux même de la vertu.
Le bonheur n'est pas momentané. Le plaisir oui, mais pas le bonheur.
Ça résume bien plus à deux phrases cet article, y'a bcp de donnés
La souffrance et la jouissance ne sont là que pour assurer la pérennité de l'espèce humaine.