Au pénitencier, l’exécution se prépare : charpentiers, électriciens et bourreau travaillent à construire la première chaise électrique de l’histoire, celle dont l’image figure en tête de ce billet. Le 6 août 1890, à 5h00 du matin, on réveille Kemmler qui passe un costume, une chemise et une cravate. Le condamné prend son petit-déjeuner avec le plus grand calme, prie quelques instants puis se fait tondre une partie du crâne. A 6h38, Kemmler rentre dans la pièce où l’attendent 17 témoins et une seule chaise – il a de la veine, elle est pour lui. Toujours aussi calme, il prend la parole : « Messieurs, je vous souhaite à tous bonne chance. Je vais dans un bel endroit et je suis prêt à partir. »
Kemmler s’installe sans émotion apparente et sans se débattre. On l'attache à la chaise par plusieurs lanières. Des électrodes sont fixés au bas de la colonne vertébrale, par un trou découpé dans le tissu. Les aides lui en placent d’autres sur la partie rasée du crâne. Kemmler, toujours aussi docile, resserre sa cravate et demande au bourreau si tout est en ordre.
On humecte les éponges placées entre la peau de Kemmler et les électrodes. « Dieu vous bénisse, Kemmler », lui dit un docteur. « Merci » répond-il sous le masque qui lui cache les yeux. Les médecins passent dans le local technique. L’exécuteur, un certain Durston, dit au revoir au condamné, qui ne lui répond pas, cette fois. Durston rejoint les médecins et leur demande combien de temps il doit faire circuler le courant. 3 secondes, 10, 15 ? Quinze, décident les hommes de l'art. « C’est long », commente l’exécuteur.
Et il descend l’interrupteur.
1000 volts passent dans le corps de Kemmler, qui convulse violemment tout du long. Il a même droit à un petit bonus : 17 secondes passent avant que le courant ne soit coupé. Sur sa chaise, Kemmler s’affale. Son front et son nez sont brûlés, à vif. Deux médecins l’examinent et constatent le décès à haute voix - quand soudain, quelqu’un remarque qu’un peu de sang coule d’une blessure au pouce – et surtout, que Kemmler respire. Tout le monde s’écarte tandis qu'un médecin crie « remettez le courant, cet homme n’est pas mort ! »
Sauf que ce n'est pas possible : il faut d'abord recharger les accus… Ce qui prendra plusieurs minutes que Kemmler passe à baver et à râler de plus en plus nettement. On envoie cette fois un courant de 2000 volts pendant une minute entière. Le corps de Kemmler se cabre. Les vaisseaux sanguins du visage explosent sous la peau. Ses cheveux prennent feu, comme une partie de la peau du visage. De la fumée et une odeur de viande brûlée monte de la chaise. Les témoins hurlent de peur et de dégoût et se ruent sur la porte : parmi eux, quelques journalistes.
L’exécution à laquelle ils auront assisté aura pris en tout plus de 8 minutes.
Donc enfaite dans la ligne verte ba c'est ski arrive quand ça foire
Oui et donc ?
Jtrouve ça marrent
jerry du barbecue à la fin
La méthode française est plus... expéditive. Certes ça tachait pas mal, mais c'était rapide, et on pouvait le faire sans courant !
ok
ça me rappelle le nouveau produit de la peine de mort aux USA
un foirage complet
Putain chaud
Autant tuer à la guillotine là au moins t'es sûr de ne pas raté
Voilà une photo d'une autre exécution raté
http://31.media.tumblr.com/tumblr_lkoqodBPIs1qe50yto1_500.png
Lire ce pavay en ecoutant ce vocaroo : http://vocaroo.com/i/s1ncfy4Lj6PX
faux la guillotine par moment ne coupait pas bien a cause des cheveux elle se coinssais dan sl coup donc la t^te etait mal coupéé
Ce topic me fais bander
Ouais mais bon, la tête coupée, que ce soit en entier ou à moitié, je crois pas que ça change grand chose pour le condamné .
Jerry de ce topic, enfin de l'original, du hardcore, du gore, du sanglant
Sweet ?
sanglante histoire
captiens J'ose pas cliquer
+ c'est immonde
Ange_Pleureur Voir le profil de Ange_Pleureur
Posté le 24 avril 2014 à 01:41:26 Avertir un administrateur
Ouais mais bon, la tête coupée, que ce soit en entier ou à moitié, je crois pas que ça change grand chose pour le condamné .
oui mais de se point de vue la la chaise c'est pareille dans tous les cas il meurt