Ils aimaient éditer des journaux et des correspondances à une époque, ils ont publié le "vrai" journal de Bloy dans une édition assez onéreuse et longue. Mais c'était l'ancienne ligne.

C'est courageux d'un point de vue éditorial oui, surtout qu'Amiel est plus connu en Russie que dans l'ère francophone

Je lis Le Hobbit pour la première fois.
J'adore l'univers du Seigneur des Anneaux et de Tolkien, mais honte à moi de ne jamais avoir ouvert un de ses livres... Je commence par Le Hobbit et je compte enchaîner avec la trilogie LSDA.

Les démons de Dostoïevski

Œuvres complètes de Richard.

Envie de Le Procés-verbal de Le Clézio donc si vous avez un avis sur l'auteur/ le livre je suis preneur (j'ai pas l'impression qu'il déchaîne les passions sur le phorom).

J'ai pas fini Le Procès-verbal. Sensuel et sans suite comme disait l'autre.

"Rien ne t'éfface" de Michel Bussi

Au pays des choses dernières (Le voyage d'Anna Blume) de Paul Auster

J'essaie de lire le dernier DeLillo, Le Silence, mais il y a moins de souffle que dans les poumons percés d'un fraiseur industriel. J'en ai lu trente pages (soit un tiers, pas loin) et je me suis déjà endormi (littéralement, avec du sommeil) trois fois.

[19:34:29] <FromageDeChienC>
Je lis à l'aise les classiques de Maupassants, Zola, Balzac
Et je lis avec grand intérêt les livres légers comme l'Alchimiste, et romans détectives ( Harry Dickson, Sherlock, Christie...etc) et des livres contemporains comme Marc Levy et Houellebecq

Mais quand je lisais des bouquins philos, je me sentais las d'utiliser Larousse pour comprendre les argots philos et faire va-et -vient entre 10aines de livres de l'auteur différent pour me renseigner sur l'histoire de philo

et "A l'ouest, rien de nouveau", j'ai commencà à me saoûler au milieu, je me sentais las de suivre la description de champ de bataille et d'égarement de soldats allemands.

Pour le 2e cas, ça arrive uniqument quand je suis fatigué. Dans ce cas, je me repose, et je m'offre bon sommeil. Et après la scéance de sport, ça me redonne motivation à suivre le livre.
Mais quant aux livres philos, c'est autre chose. Je me sens perdu, comme si je lis des documents historiques. Je voulais me documenter sur l'histoire de l'Inde qui compte bcp de pays indépendants. j'ai ouvert 30 pages wiki et au bout de 2 heures, j'ai lâché cette mission.

Go chez moi je vais t'apprendre le larousse

En ce moment je m'attache à lire Lorenzaccio.
Je dois dire que je n'accroche pas vraiment. C'est d'un lyrisme oppressant et la multiplication des personnages rend l'histoire difficile à suivre pour le lecteur - il faudrait que je vois ce que ça donne sur scène.

Le 02 juillet 2021 à 13:54:01 :

[12:54:06] <Angelinaa>
Le Colonel Chabert, Balzac.

Tu me diras s'il est bien à l'occasion

Je te le conseille, c'est un livre vraiment intéressant.

La Faim de Knut Hamsun

D'un Château l'autre de Céline, le style est à la limite du supportable

Le 08 juillet 2021 à 22:27:51 :
Tu me diras ce que tu en as pensé si tu veux bien.

J'avais déjà tenté une approche mais elle s'est révélé infructueuse. Je lui redonne une seconde chance car je sens qu'on doit rentrer petit à petit dans le livre.

Qui à déjà lu « L’adolescent » de Dostoïevski ici ?

Je serais très curieux d’un retour car on en parle très rarement

Je termine le Journal d'un curé de campagne

Fini le bouquin de DeLillo.

A une époque, il se plaisait à mettre en scène des vieux écrivains plus ou moins misanthropes ou cachés ou bougons en rupture avec une société qu'ils ne comprenaient plus ; mais il savait regarder aussi à côté pour étudier un minimum ce que cette société avait de sidérant.

Aujourd'hui, il s'est encroûté jusqu'à devenir un de ces personnages et il nous explique en cent pages que quand même on est un peu trop sur nos téléphones et que quand y a la crise bah on sait plus se parler. Et il fait bloquer un de ses perso sur le concept de cryptomonnaie - enfin pas sur le concept, uniquement sur le signifiant - pour nous montrer qu'il est encore dans le coup.

Plutôt pathétique. C'est le meme "ok boomer" incarné par une oeuvre.

Je lis à l'aise les classiques de Maupassants, Zola, Balzac
Et je lis avec grand intérêt les livres légers comme l'Alchimiste, et romans détectives ( Harry Dickson, Sherlock, Christie...etc) et des livres contemporains comme Marc Levy et Houellebecq

Mais quand je lisais des bouquins philos, je me sentais las d'utiliser Larousse pour comprendre les argots philos et faire va-et -vient entre 10aines de livres de l'auteur différent pour me renseigner sur l'histoire de philo

et "A l'ouest, rien de nouveau", j'ai commencà à me saoûler au milieu, je me sentais las de suivre la description de champ de bataille et d'égarement de soldats allemands.

Pour le 2e cas, ça arrive uniqument quand je suis fatigué. Dans ce cas, je me repose, et je m'offre bon sommeil. Et après la scéance de sport, ça me redonne motivation à suivre le livre.
Mais quant aux livres philos, c'est autre chose. Je me sens perdu, comme si je lis des documents historiques. Je voulais me documenter sur l'histoire de l'Inde qui compte bcp de pays indépendants. j'ai ouvert 30 pages wiki et au bout de 2 heures, j'ai lâché cette mission.

Perceval de Chrétien de Troyes