Bonjour ou bonsoir à tous et à toutes.

Je recrée un topic, qui sera exclusivement pour ma nouvelle FIC.

Chapitre 1 : Cette vie de souffrance.

" Appuie sur la détente, vas y appuie sur cette p*tain de détente !!! cria David, je savais que tu pouvais pas. "

David reprit l'arme qui est contre son front, il la regarde, et retourne le canon vers son mercenaire avant de lui faire sauter la cervelle.

" Vous voyez ça ? Regardez le, ne vous avisez jamais plus de me parler mal si vous ne voulez pas vous retrouvez à sa place, Allez débarrassez moi de ça. "

David est un homme imprévisible, lunatique et violent, c'est le genre d'homme qui pouvait rigoler avec vous et vous tirer une balle dans la seconde qui suit. C'est un chef d'un gang de Miami, comprenant 120 mercenaires, Il préfère les appelés comme ça, il dit que ça rend mieux, il n'as pas tort.

Il travaille pour Alexander Breed et Thomas Ferea, deux associés, qui ont un empire, drogue, gang, boîte de nuit, bref les deux hommes les plus puissants de Miami, mais aussi deux des hommes les plus puissants des États-Unis et du monde entier.

Après cet " incident ", David décide de sortir dans les rues de Miami, elles lui parurent bizarrement calme, il y avait du monde, mais pas autant que d'habitude. Et il y a cette atmosphère malsaine dans l'air, elle est indescriptible mais qui pourtant nous met mal à l'aise. Il se dit dans sa tête que tout ça est louche, mais d'un autre côté, il s'en fout totalement. Il continue à marcher en pensant à tout et à rien, c'est ce qu'il fait de temps en temps pour ce calmer, l'arrogance de son mercenaire l'a énervé, il est plein de rage et il doit se défouler.

Il se rend alors au club de boxe non loin de l'antre du gang, il en a à l'intérieur de son bâtiment, mais il préfére être loin d'eux pour ne pas faire de carnage, c'est aussi ici qu'il passe beaucoup lorsqu'il est autant enervé qu'aujourd'hui. Après s'être défoulé à détruire le pauvre punching ball humain pendant 2 bonnes heures, David décida de rentrer.

Mais sur le chemin du retour, l'atmosphère est encore plus malsaine, bizarre et flippante. Mais une fois de plus, David ne fit pas attention à ce qu'il se passe autour de lui. Il ne vit pas toutes les voitures de police, les camions du S.W..A.T et les hélicoptères qui passent à côté de lui. Et il ne vit pas non plus l'homme qui vient de se faire abattre par la police alors qu'il était couché sur quelqu'un certainnement mort, plein de sang.

Il est dans son monde, dans sa tête, il pense à tout et à rien sans faire attention à la vie qui se déroule autour de lui. Il a 28 ans, mais toute sa vie, il s'est crée un monde à lui dans sa tête, les psychologues qu'il avait été voir à cause de sa mère, lui ont dit qu'il souffrait de trouble bi-polaire, ce sont des troubles qui lui font passer de stade d'heureux à énervé en deux secondes. Il a aussi une manière bien à lui de tué les gens, toujours en les regardant dans les yeux, il sourit, parle avec eux et dans la même seconde, leur met une balle dans la tête. Mais il n'avait pas beaucoup d'adversaires à Miami, il est chef du gang le plus riche et le plus puissant de la ville. Normal en même temps, quand on est le chef préféré de deux des hommes les plus puissants du monde. Il l'avait choisi, lui, David Johnson, comme chef de ce grand gang, pour son physique, 1M90, 110 kilos de muscle, généralement habillé d'un t-shirt, d'un jogging et de petite chaussure, idéal pour courir vite, car il est rapide, très rapide, c'est d'ailleurs une des qualités qui a séduit Alexander et Thomas. Car vos mieux compter David dans ses alliés.

David rentre dans son antre. Rien a changé malgré cette atmosphère pour le moins tendu, bizarre, flippante, bref on peut la désigner un peu par tous les mots négatifs.

David va se poser sur son fauteuil, allume la télé et regarde un film, pendant que ses hommes, s'affairaient à divers activités, poker, jeux de dés, jeux de hasard, jeux vidéos, tous en regardant les strip-teaseuses qui font leurs shows.

Tout se passe bien, du moins à l'intérieur.

A l'extérieur, les gens deviennent fous, certaines personnes marchent, en titubant, les yeux dans le vide, lorsqu'ils s'approchaient des personnes encore normale, ils leurs sautèrent dessus et les.... dévorées. Il a des images d'horreurs dehors, même les morts se remettent à marcher, le cimetière est sans dessus-dessous, la terre des tombes est retourné, les cercueils sont tous ouverts. Les gens qui se sont faits dévorés se reviennent à la vie et se remettent à marcher pour ce qui peuvent.

Dehors, c'est une apocalypse zombie. A l'intérieur, c'était le paradis.

David entendit quelque chose qui provenait de dehors, il n'y prête pas attention, trop absorbé par son programme télé, mais le bruit revint plusieurs fois, ce qui empêcha David de bien entendre la télé, alors il s'énerva, il se lève et va voir ce qui se passe, il regarde par la fenêtre et voit des dizaines de gens frapper après la porte, il demande à son mercenaire le plus proche d'ouvrir la porte pour voir ce que ses gens veulent, mais lorsque l'homme ouvrit la porte, les zombies se jetèrent dessus et dévorèrent le pauvre homme, David qui est au premier plan, n'est pas effrayé par ce genre de situation, malgré son trouble mental et son caractère, il est assez calé en film d'horreur donc il s'y connaît en zombie, il sait ce qu'il faut faire, cela lui permet de ne pas avoir peur dans ce genre de cas. Les autres personnes présentent son terrorisés, femmes et mercenaires.

David sort son colt, met une balle dans la tête des six premiers zombies, prend l'ak-47 et achève les derniers d'une balle dans la tête chacun.

Il ferme la porte, se tourne vers les gens, met une autre balle dans la tête du mercenaire qui vient de se faire dévorer, et commence à parler :

« Ok, écoutez moi, vous voyez ces gens ? Ce sont des zombies, je ne pense pas que j'ai besoin de vous dire ce que c'est, alors les gars, vous allez me faire le plaisir de plus faire vos tapettes ok !!! Ça y est , le monde est dans la merde encore plus qu’avant, alors le premier que je verrais faire sa tapette, je le descendrais sur le champ c'est bien compris ?!!! »

First

Second

First

Chapitre 1 : Cette vie de souffrance. (3/3)

une semaine est passée depuis cet fusillade et cela fait aussi une semaine que l'homme est évanoui.

Sur ordre de David, les mercenaires ont soignés toute les blessures, ce qui étonne les hommes à chaque fois qu'il vont le soigner, mais ils préfèrent ne pas discuter les ordres du chef, ils savent que ça peut très mal tourner, enfin ils savent que ça va très mal tourner si ils contredisent David.

Après une semaine de soins, le prisonnier se réveille. Il est en parfaite santé. David, mit au courant de cela, entre dans la chambre où est le prisonnier qui est assis sur son lit.

David prend une chaise sur le lit et la place devant l'étranger et commença à parler :

« Salut, comment t'appelles tu ?  »

« Je m'appelle Johnny, et toi ? »

« Euh, je pense pas que t'est à savoir mon nom. Mais je vais être clair, tu vois le monde qui a dehors ? Et bah ici c'est pire, t'est ma chose maintenant tu comprends ? Tu comprends ?!! Toi t'est rien ici, t'est juste le machin qui m'as me servir de défouloir. »

« T'est qui espèce de taré ? » Répond spontanément l'homme.

« Moi je suis un taré ? Moi je suis un taré ?!! Et bien je vais te montrer à quelle point je suis taré. »

David sort son couteau, il prend la main de l'étranger, la pose sur la table à côté, et la transperce. Puis il se met à crier :

« T'est ma chose, tu comprends, t'est mon animal de compagnie, je fais ce que je veux de toi et toi tu te la fermes ok !! il se calme et reprend, alors maintenant, on va soigner ta main et tu vas te reposer, demain va être une dure journée pour toi. »

Sur ces mots, David sort de la pièce sans se retourner, et va regarder la télé, laissant l'étranger, la main en sang, le regard rempli de douleur et ayant des larmes aux yeux tellement il avait mal. Les mercenaires viennent le soigner une nouvelle fois. Et la torture recommença pendant une semaine, David prenait plaisir à torturer l'homme, qui était fatigué de ses tortures, il se faisait soigner à chaque fois, mais la torture devenait de plus en plus douloureuse et dangereuse, et les ressources humanitaires de l'homme ne pouvait pas tenir pendant une semaine à toute ses attaques incessantes de la folie de David.

Mais au bout d'une semaine, David se lasse de son jouet, il décide alors d'avoir un dernier divertissement avec cet homme, il retourne dans la chambre de l'étranger est lui dit :

« Écoute, je sais qu'on a pas commencer en bon terme nous deux, mais il faut voir le bon côté des choses, tu m'as bien divertis durant cette semaine, je ne me suis jamais autant amusé que durant ces 7 jours, c'était cool je te jure. Et j'ai un dernier jeu à te proposer, ou plutôt je vais te forcer à jouer à mon dernier jeu, si tu gagnes, je te jure que je te laisserais partir, mais si tu perds, bah tu meurs c'est tout, David regarde d'un air amusé l'homme fatigué par tous ces jeux, il rajouta, allez choper un zombie dans la rue et amené le moi, et emmenez aussi notre cher ami dans la salle close. »

La salle close est une pièce, comme son nom l'indique, où se défoulait les mercenaires, il prenait des membres de gang rival, et ils s'amusaient à les passés à tabac à cinq contre un.

Lorsque le zombie fût amené et que l'homme fût lui aussi dans la salle, David qui a le zombie au bout d'une perche, approche le zombie et le balance sur le prisonnier.

L'homme avait le zombie sur son torse, il le retenait avec ces bras pour ne pas qu'il le dévore, David, à quelques mètres, regardait la scène d'un air amusé :

« Aller mon pote, vas y résiste, dit David en rigolant, »

L'homme, fatigué de cette bataille, n'avait plus de force dans les bras pour repousser le zombie qui commença à lui dévorer le bras.

« Oh t'as perdu, c'est dommage, t'avais l'air fort pourtant, mais bon ce p*tain de monde t'as vaincu mon pote. »

David s'approcha, sortit son colt, tira une balle dans la tête de zombie, s »'approcha ensuite du survivant mordu, mit son pied sur son torse et lui dit :

« Tu vois hermano, tu ne me connais pas, mais moi je te connais, et il faut dire tu m'as bien amusé. »

David se retourna vers ses hommes qui regardaient eux aussi la scène : « Vous aussi il vous as bien amusé hein ? »

« Ah oui patron, ça c'est du divertissement, répondirent les hommes. »

« Et j'aime bien ton t-shirt, tu crois que je peux te l'emprunter quand je t'aurais mis une balle ? réponds -moi p*tain !!! »

L'homme le regardait, il savait que David n'allait pas le sauver, il regretta d'avoir demander de l'aide à David et à son gang, il ne répondit pas, Ce qui énerva David qui lui mit un violent coup de pied dans le ventre.

Le chef de gang se baissa et ajouta :

« Tu as perdu, c'est la règle du jeu, t'est un p*tain de perdant mon pote !! Laisse moi juste te poser une question avant que je te mette une balle. On t'as déjà donner la définition du mot « Folie » ? Non ? Je vais te la donner, la « folie » c'est lorsque l'on commet les mêmes erreurs deux fois, rappelle toi d'il y a deux semaines, tu te souviens quand tu nous a volé nos armes hein ? Ces armes qui étaient en plein milieux de la rue, et oui je t'ai vu, mais maintenant, t'est là, par terre, comme une merde !! en train de souffrir, tu sais, ça me fait du mal de te voir comme ça, je te jure, ça me fait du mal de voir ton beau t-shirt traîner par terre, d'ailleurs, j’espère qu'il ait à ma taille, je me verrais bien avec. « 

Il se retourna une nouvelle fois vers ses hommes et dit :

«  Et vous les gars vous penser qu'il irait bien sur moi ? »

« Oui patron, il irait à merveille sur vous. »

« Tu vois, même mes hommes le disent, bon, il est temps de te donner ta récompense. »

David plaça son colt sur le front de l'homme, et il tira.

« Voilà ce que devienne les perdants, allez les gars, débarrassez moi du zombie et du type au beau t-shirt, et d'ailleurs donnez le moi, je vais aller l'essayer, »

Après cette scène, David prend le t-shirt et va l'essayer, mais pendant qu'il l'essaya, il entend plusieurs détonations qui font sauter les portes et fenêtres de la planque, il entend aussi des grognements de zombies au pas de la porte. Leur sécurité vient de céder et il se retrouve tous maintenant sans protection, avec tout les rôdeurs de la ville, attirer par le bruit de la détonation, qui arrive vers eux.

A suivre...

Voilà la fin de mon chapitre 1. Donnez moi vos avis

OMAGOD

Quoi ?

Des zombies

Nan j'dec mais ce chapitre nous explique le premier extrait que tu nous avait mit sur l'ancienne fic

Et c'est normal vu que c'était un EXTRAIT de ma FIC.

Oui c'est ce que j'ai ecrit

Mais sinon tu aimes ?

Oui

D'où mon " "

Violent

J'kiffe sérieux

D'accord

Et la longueur est bien ?

Merci Schnix, je suis content que t'aimes.

Ouais la longueur est bien

Bonjour cher amis forumeurs et foreumeuses.

Le chapitre deux étant en préparation, j'en profite pour vous mettre un petit bonus spécial, je ne sais ps si ça va vous plaire, mais je pense qu'il ait important que vous le sachiez.

Je mettrais le vrai chapitre 1, non coupé dans un prochain post, je ne peux pas le mettre avec ce message, JVC m'annoce que le message est trop grand.

Chapitre 1 : Cette vie de souffrance.

" Appuie sur la détente, vas y appuie sur cette p*tain de détente !!! cria David, je savais que tu pouvais pas. "

David reprit l'arme qui est contre son front, il la regarde, et retourne le canon vers son mercenaire avant de lui faire sauter la cervelle.

" Vous voyez ça ? Regardez le, ne vous avisez jamais plus de me parler mal si vous ne voulez pas vous retrouvez à sa place, Allez débarrassez moi de ça. "

David est un homme imprévisible, lunatique et violent, c'est le genre d'homme qui pouvait rigoler avec vous et vous tirer une balle dans la seconde qui suit. C'est un chef d'un gang de Miami, comprenant 120 mercenaires, Il préfère les appelés comme ça, il dit que ça rend mieux, il n'as pas tort.

Il travaille pour Alexander Breed et Thomas Ferea, deux associés, qui ont un empire, drogue, gang, boîte de nuit, bref les deux hommes les plus puissants de Miami, mais aussi deux des hommes les plus puissants des États-Unis et du monde entier.

Après cet " incident ", David décide de sortir dans les rues de Miami, elles lui parurent bizarrement calme, il y avait du monde, mais pas autant que d'habitude. Et il y a cette atmosphère malsaine dans l'air, elle est indescriptible mais qui pourtant nous met mal à l'aise. Il se dit dans sa tête que tout ça est louche, mais d'un autre côté, il s'en fout totalement. Il continue à marcher en pensant à tout et à rien, c'est ce qu'il fait de temps en temps pour ce calmer, l'arrogance de son mercenaire l'a énervé, il est plein de rage et il doit se défouler.

Il se rend alors au club de boxe non loin de l'antre du gang, il en a à l'intérieur de son bâtiment, mais il préfére être loin d'eux pour ne pas faire de carnage, c'est aussi ici qu'il passe beaucoup lorsqu'il est autant enervé qu'aujourd'hui. Après s'être défoulé à détruire le pauvre punching ball humain pendant 2 bonnes heures, David décida de rentrer.

Mais sur le chemin du retour, l'atmosphère est encore plus malsaine, bizarre et flippante. Mais une fois de plus, David ne fit pas attention à ce qu'il se passe autour de lui. Il ne vit pas toutes les voitures de police, les camions du S.W..A.T et les hélicoptères qui passent à côté de lui. Et il ne vit pas non plus l'homme qui vient de se faire abattre par la police alors qu'il était couché sur quelqu'un certainnement mort, plein de sang.

Il est dans son monde, dans sa tête, il pense à tout et à rien sans faire attention à la vie qui se déroule autour de lui. Il a 28 ans, mais toute sa vie, il s'est crée un monde à lui dans sa tête, les psychologues qu'il avait été voir à cause de sa mère, lui ont dit qu'il souffrait de trouble bi-polaire, ce sont des troubles qui lui font passer de stade d'heureux à énervé en deux secondes. Il a aussi une manière bien à lui de tué les gens, toujours en les regardant dans les yeux, il sourit, parle avec eux et dans la même seconde, leur met une balle dans la tête. Mais il n'avait pas beaucoup d'adversaires à Miami, il est chef du gang le plus riche et le plus puissant de la ville. Normal en même temps, quand on est le chef préféré de deux des hommes les plus puissants du monde. Il l'avait choisi, lui, David Johnson, comme chef de ce grand gang, pour son physique, 1M90, 110 kilos de muscle, généralement habillé d'un t-shirt, d'un jogging et de petite chaussure, idéal pour courir vite, car il est rapide, très rapide, c'est d'ailleurs une des qualités qui a séduit Alexander et Thomas. Car vos mieux compter David dans ses alliés.

David rentre dans son antre. Rien a changé malgré cette atmosphère pour le moins tendu, bizarre, flippante, bref on peut la désigner un peu par tous les mots négatifs.

David va se poser sur son fauteuil, allume la télé et regarde un film, pendant que ses hommes, s'affairaient à divers activités, poker, jeux de dés, jeux de hasard, jeux vidéos, tous en regardant les strip-teaseuses qui font leurs shows.

Tout se passe bien, du moins à l'intérieur.

A l'extérieur, les gens deviennent fous, certaines personnes marchent, en titubant, les yeux dans le vide, lorsqu'ils s'approchaient des personnes encore normale, ils leurs sautèrent dessus et les.... dévorées. Il a des images d'horreurs dehors, même les morts se remettent à marcher, le cimetière est sans dessus-dessous, la terre des tombes est retourné, les cercueils sont tous ouverts. Les gens qui se sont faits dévorés se reviennent à la vie et se remettent à marcher pour ce qui peuvent.

Dehors, c'est une apocalypse zombie. A l'intérieur, c'était le paradis.

David entendit quelque chose qui provenait de dehors, il n'y prête pas attention, trop absorbé par son programme télé, mais le bruit revint plusieurs fois, ce qui empêcha David de bien entendre la télé, alors il s'énerva, il se lève et va voir ce qui se passe, il regarde par la fenêtre et voit des dizaines de gens frapper après la porte, il demande à son mercenaire le plus proche d'ouvrir la porte pour voir ce que ses gens veulent, mais lorsque l'homme ouvrit la porte, les zombies se jetèrent dessus et dévorèrent le pauvre homme, David qui est au premier plan, n'est pas effrayé par ce genre de situation, malgré son trouble mental et son caractère, il est assez calé en film d'horreur donc il s'y connaît en zombie, il sait ce qu'il faut faire, cela lui permet de ne pas avoir peur dans ce genre de cas. Les autres personnes présentent son terrorisés, femmes et mercenaires.

David sort son colt, met une balle dans la tête des six premiers zombies, prend l'ak-47 et achève les derniers d'une balle dans la tête chacun.

Il ferme la porte, se tourne vers les gens, met une autre balle dans la tête du mercenaire qui vient de se faire dévorer, et commence à parler :

« Ok, écoutez moi, vous voyez ces gens ? Ce sont des zombies, je ne pense pas que j'ai besoin de vous dire ce que c'est, alors les gars, vous allez me faire le plaisir de plus faire vos tapettes ok !!! Ça y est , le monde est dans la merde encore plus qu’avant, alors le premier que je verrais faire sa tapette, je le descendrais sur le champ c'est bien compris ?!!! »

«  Allez, debout les gars, il faut qu'on barricade tout ça, David essaye de remotiver ses troupes, qui sont assez chamboulés par se qui vient de se passer, »

Les hommes, qui ont un peu du mal à ne pas vomir et de se remettre de ce qu'ils viennent de voir, viennent aider, péniblement David.

Pendant un quart d'heure, ils barricadèrent tous ce qui était portes, fenêtres, et tout autre issue, Ils sont maintenant en sécurité, mais ils savent que tôt ou tard, il va falloir aller faire des raids en ville, pour trouver tous ce qui est nourriture, médicaments et autres réserves. Parce qu'il en faut des réserves pour 140 personnes, les 119 mercenaires, David et les 20 danseuses présentent.

Mais pour le moment, David sait qu'ils ne craignent rien, et il sait aussi qu'ils sont en sécurité niveau armes, Mais d'autres armes ne seraient pas de refus, il sait que pendant les expéditions, ils allaient utiliser beaucoup de munitions. Mais pour l'instant, il se repose, en pensant à rien, en n'ayant aucune pitié ni aucun sentiment pour le monde extérieur, il était, encore, une fois dans son monde, dans un monde de folie, qui laisse peu à peu place au monde rêvé de David, un monde où il serait le roi, un monde où il n'aurait pas de supérieur, un monde où il pourrait montrer la vrai face de sa folie, jusqu'au moment où il comprit qu'il est dans ce monde folie.

Il sait que tout le monde est mort dehors, ou du moins presque tout le monde. Et il connaît ses hommes, ce n'est pas eu qui vont prendre le pouvoir, déjà qu'ils sont retournés avec ce qui ont vus, alors ce qu'ils vont voir dehors, va les faire tomber par terre.

Ce monde est le sien, David le sait, il le sent, il a ça dans la peau, il est fait pour gouverner ce monde, il est fait pour gouverner les morts, mais surtout, il est fait pour gouverner un groupe de personne, et encore mieux dans ce genre de situation.

David est réjoui, il allait enfin laisser sortir sa folie, qu'il a essayé de contenir, même si il a eu beaucoup de mal à contenir, comme le coup où il a mis le feu à son lycée, à 17 ans, parce qu'il avait eu un c- en histoire, il avait essayé de ne pas la faire sorti pendant 28 ans. Il n'arrête pas de penser à ça, et c'est ce qui lui met la bonne humeur qu'il n'avait que quand il éclaté un crâne avec une balle de son colt.

Deux semaines sont passés depuis le début de l'épidémie, les hommes et femme se sont remis de ce qu'il s'est passé le premier jour, David lui, jubile toujours de la pensée qu'il a tout les matins en se levant et pratiquement tout le temps depuis le premier jour de l'infection, mais il n'as pas encore usé de sa folie, il faut dire qu'il n'a pas encore eu l'occasion, mais il sait qu'il va pouvoir en user cette après-midi, car il faut aller chercher des provisions, les réserves sont presque vides.

David, et 15 mercenaires armés d'AK-47 sortirent de la planque, sortent de la planque, mais bizarrement, dehors il n'y avait pas de rôdeurs, juste des corps de quelques personnes, il faut dire que la planque était à une des sorties de la ville, et que les rôdeurs était probablement au centre -ville. Ils avancent un peu jusqu'au super-marché qui se trouve à deux rues de la planque, il entrent dans le magasin arme en joue, mais il n'y avait personne dans le magasin, ni zombie, ni survivant.

Mais il y avait beaucoup de provisions, assez pour 1 mois, médicaments, vêtements, nourriture, eau. Mais lorsqu'il s'apprêtent à rentrer, un coup de feu venant du centre ville se fait entendre, David ne put y résister et les 16 hommes foncèrent à l'endroit du coup de feu.

Lorsqu'ils arrivent, ils virent 5 hommes tiraient sur des zombies et tenter de reprendre un sac bien fourni en arme.

David ne réfléchi et balança une grenade sorti de nul part dans le tas, ce qui ne toucha que des zombies, surpris par l'explosion, les 5 hommes se retournèrent et commencèrent à tirer sur David et ses hommes. Tout le monde se mit à l'abri et la bataille commença, 6 hommes de David sont morts durant cette bataille, et 3 sont gravement blessés, David voyant ce massacre, s'énerva et prit un AK-47 sur un de ses hommes, il balançait des grenades et tirait au fusil d'assaut, touchant un homme, mais la bataille ne put continuer, les zombies commencèrent à arriver de tout les côtés, les hommes d'en face eurent le temps d'attraper le sac et de s'en aller, mais avant que les 4 hommes s'en aillent, un homme de David mit un violent coup de crosse dans la tête d'un survivant qui s’évanouit.

David, sans pitié, mit trois balles dans la tête à ses trois hommes gravement blessés, et ils se replièrent, emmenant le prisonnier dans la planque.

Une semaine est passée depuis cet fusillade et cela fait aussi une semaine que l'homme est évanoui.

Sur ordre de David, les mercenaires ont soignés toute les blessures, ce qui étonne les hommes à chaque fois qu'il vont le soigner, mais ils préfèrent ne pas discuter les ordres du chef, ils savent que ça peut très mal tourner, enfin ils savent que ça va très mal tourner si ils contredisent David.

Après une semaine de soins, le prisonnier se réveille. Il est en parfaite santé. David, mit au courant de cela, entre dans la chambre où est le prisonnier qui est assis sur son lit.

David prend une chaise sur le lit et la place devant l'étranger et commença à parler :

« Salut, comment t'appelles tu ?  »

« Je m'appelle Johnny, et toi ? »

« Euh, je pense pas que t'est à savoir mon nom. Mais je vais être clair, tu vois le monde qui a dehors ? Et bah ici c'est pire, t'est ma chose maintenant tu comprends ? Tu comprends ?!! Toi t'est rien ici, t'est juste le machin qui m'as me servir de défouloir. »

« T'est qui espèce de taré ? » Répond spontanément l'homme.

Et voilà la fin du message que je n'est pas pu mettre :

« Moi je suis un taré ? Moi je suis un taré ?!! Et bien je vais te montrer à quelle point je suis taré. »

David sort son couteau, il prend la main de l'étranger, la pose sur la table à côté, et la transperce. Puis il se met à crier :

« T'est ma chose, tu comprends, t'est mon animal de compagnie, je fais ce que je veux de toi et toi tu te la fermes ok !! il se calme et reprend, alors maintenant, on va soigner ta main et tu vas te reposer, demain va être une dure journée pour toi. »

Sur ces mots, David sort de la pièce sans se retourner, et va regarder la télé, laissant l'étranger, la main en sang, le regard rempli de douleur et ayant des larmes aux yeux tellement il avait mal. Les mercenaires viennent le soigner une nouvelle fois. Et la torture recommença pendant une semaine, David prenait plaisir à torturer l'homme, qui était fatigué de ses tortures, il se faisait soigner à chaque fois, mais la torture devenait de plus en plus douloureuse et dangereuse, et les ressources humanitaires de l'homme ne pouvait pas tenir pendant une semaine à toute ses attaques incessantes de la folie de David.

Mais au bout d'une semaine, David se lasse de son jouet, il décide alors d'avoir un dernier divertissement avec cet homme, il retourne dans la chambre de l'étranger est lui dit :

« Écoute, je sais qu'on a pas commencer en bon terme nous deux, mais il faut voir le bon côté des choses, tu m'as bien divertis durant cette semaine, je ne me suis jamais autant amusé que durant ces 7 jours, c'était cool je te jure. Et j'ai un dernier jeu à te proposer, ou plutôt je vais te forcer à jouer à mon dernier jeu, si tu gagnes, je te jure que je te laisserais partir, mais si tu perds, bah tu meurs c'est tout, David regarde d'un air amusé l'homme fatigué par tous ces jeux, il rajouta, allez choper un zombie dans la rue et amené le moi, et emmenez aussi notre cher ami dans la salle close. »

La salle close est une pièce, comme son nom l'indique, où se défoulait les mercenaires, il prenait des membres de gang rival, et ils s'amusaient à les passés à tabac à cinq contre un.

Lorsque le zombie fût amené et que l'homme fût lui aussi dans la salle, David qui a le zombie au bout d'une perche, approche le zombie et le balance sur le prisonnier.

L'homme avait le zombie sur son torse, il le retenait avec ces bras pour ne pas qu'il le dévore, David, à quelques mètres, regardait la scène d'un air amusé :

« Aller mon pote, vas y résiste, dit David en rigolant, »

L'homme, fatigué de cette bataille, n'avait plus de force dans les bras pour repousser le zombie qui commença à lui dévorer le bras.

« Oh t'as perdu, c'est dommage, t'avais l'air fort pourtant, mais bon ce p*tain de monde t'as vaincu mon pote. »

David s'approcha, sortit son colt, tira une balle dans la tête de zombie, s »'approcha ensuite du survivant mordu, mit son pied sur son torse et lui dit :

« Tu vois hermano, tu ne me connais pas, mais moi je te connais, et il faut dire tu m'as bien amusé. »

David se retourna vers ses hommes qui regardaient eux aussi la scène : « Vous aussi il vous as bien amusé hein ? »

« Ah oui patron, ça c'est du divertissement, répondirent les hommes. »

« Et j'aime bien ton t-shirt, tu crois que je peux te l'emprunter quand je t'aurais mis une balle ? réponds -moi p*tain !!! »

L'homme le regardait, il savait que David n'allait pas le sauver, il regretta d'avoir demander de l'aide à David et à son gang, il ne répondit pas, Ce qui énerva David qui lui mit un violent coup de pied dans le ventre.

Le chef de gang se baissa et ajouta :

« Tu as perdu, c'est la règle du jeu, t'est un p*tain de perdant mon pote !! Laisse moi juste te poser une question avant que je te mette une balle. On t'as déjà donner la définition du mot « Folie » ? Non ? Je vais te la donner, la « folie » c'est lorsque l'on commet les mêmes erreurs deux fois, rappelle toi d'il y a deux semaines, tu te souviens quand tu nous a volé nos armes hein ? Ces armes qui étaient en plein milieux de la rue, et oui je t'ai vu, mais maintenant, t'est là, par terre, comme une merde !! en train de souffrir, tu sais, ça me fait du mal de te voir comme ça, je te jure, ça me fait du mal de voir ton beau t-shirt traîner par terre, d'ailleurs, j’espère qu'il ait à ma taille, je me verrais bien avec. « 

Il se retourna une nouvelle fois vers ses hommes et dit :

«  Et vous les gars vous penser qu'il irait bien sur moi ? »

« Oui patron, il irait à merveille sur vous. »

« Tu vois, même mes hommes le disent, bon, il est temps de te donner ta récompense. »

David plaça son colt sur le front de l'homme, et il tira.

« Voilà ce que devienne les perdants, allez les gars, débarrassez moi du zombie et du type au beau t-shirt, et d'ailleurs donnez le moi, je vais aller l'essayer, »

Après cette scène, David prend le t-shirt et va l'essayer, mais pendant qu'il l'essaya, il entend plusieurs détonations qui font sauter les portes et fenêtres de la planque, il entend aussi des grognements de zombies au pas de la porte. Leur sécurité vient de céder et il se retrouve tous maintenant sans protection, avec tout les rôdeurs de la ville, attirer par le bruit de la détonation, qui arrive vers eux.

A suivre...

J'ai tout lu et j'aime

à quand la suite ?